Jean-Gabriel Greslé au Repas Ufologiques de Toulouse du 14 Mars 2012

31/03/2012

Dans cette vidéo, retrouvons  Jean-Gabriel Greslé, membre de la commission savante 3AF qui nous présente de véritables arguments.

Source : http://ufoetscience.wordpress.com/2012/03/21/jean-gabriel-gresle-au-repas-ufologiques-de-toulouse-du-14-mars-2012/


« Avec les exoplanètes, on a basculé de la science-fiction vers la science »

31/03/2012
Illustration de l'exoplanète Gliese 581e (en bleu) fournie par l'Observatoire européen austral (ESO), le 21 avril 2009.

Illustration de l'exoplanète Gliese 581e (en bleu) fournie par l'Observatoire européen austral (ESO), le 21 avril 2009.(ESO / AFP)

Depuis quelques mois, les annonces de découvertes d’exoplanètes pleuvent. Les scientifiques détectent environ tous les trois jours une de ces planètes situées hors de notre système solaire. FTVi s’est entretenu avec Jean-Loup Bertaux, directeur de recherche émérite au laboratoire « Atmosphères, milieux, observations spatiales » du CNRS, pour comprendre l’enjeu derrière cet emballement.

FTVi : Pourquoi un tel engouement autour des exoplanètes en ce moment ?

Jean-Loup Bertaux : C’est un domaine de recherche très récent. On n’avait aucune preuve de planètes existant hors de notre système solaire avant 1995. Cela a été une énorme révolution. Avant, on en discutait à titre philosophique. Depuis, nous savons que cela existe, ce ne sont plus des suppositions. Pour le résumer, on a basculé de la science-fiction vers la science. C’est très excitant, cela a remis au premier plan cette question existentielle : « Sommes-nous seuls dans l’univers ? » Personnellement, je n’y crois pas trop. Par exemple, il y a 200 milliards d’étoiles dans notre galaxie, la Voie lactée, et l’on sait maintenant qu’environ une étoile sur dix a une planète habitable autour d’elle. Les probabilités de trouver une forme de vie extraterrestre sont gigantesques.

De plus en plus de scientifiques s’intéressent aux exoplanètes. En France, il y a dix ans, les chercheurs dans le secteur étaient peu nombreux. Maintenant, ils sont des dizaines, peut-être même une centaine. Il y a plus de chercheurs, donc plus de découvertes et les outils de détection se sont perfectionnés. La compétition est devenue très féroce. Les budgets de recherches deviennent de plus en plus conséquents. Le télescope spatial James-Webb, qui doit succéder à Hubble en 2018 et qui promet d’être précieux dans l’observation de nouvelles planètes, va coûter 15 milliards de dollars (soit 11,23 milliards d’euros).

Au milieu de toutes les annonces, comment distinguer une découverte importante d’une autre ?

Une découverte est à prendre au sérieux lorsque la planète se trouve dans la zone habitable. Cette zone, c’est la distance par rapport à l’étoile où il ne fait ni trop chaud, ni trop froid. Pour résumer, c’est environ la distance Terre-Soleil. Si une planète se trouve dans cette zone, on peut espérer y trouver de l’eau, et notamment de l’eau à l’état liquide, un facteur important pour découvrir de la vie. Pour l’instant, parmi les 700 exoplanètes que nous connaissons, seules 2 ou 3 sont situées dans la zone habitable. C’est donc un facteur rare et à surveiller de près.

Autre donnée qui permet de donner de l’importance à une exoplanète : sa taille. Si elle est très grande, elle est sûrement gazeuse. Cela exclut presque quasiment la probabilité d’y trouver de la vie. En revanche, si elle est assez petite, c’est-à-dire si elle fait la taille de la Terre ou juste quelques fois sa taille, elle est probablement rocheuse. On peut donc espérer y découvrir de la vie.

L’objectif est de trouver une forme de vie extraterrestre, mais comment faire si on ne peut pas s’y rendre ?

Envoyer une sonde pour observer directement une exoplanète, il faut l’oublier. Ce n’est pas pour tout de suite. Un satellite mettrait plusieurs milliers d’années pour se rendre sur place. Et il est donc ridicule de vouloir aller sur une autre planète. Toutefois, il y a d’autres moyens de découvrir des formes de vie. Dans un premier temps, si nous pouvions prendre des photos de ces planètes, on ferait un bond énorme. On pourrait peut-être ainsi découvrir des signes de vie. Par exemple, de l’espace, on peut voir sur Terre de grandes constructions ou les lumières des grandes villes. L’observation de ce genre de phénomènes serait une preuve tangible. C’est pour cela que les efforts se concentrent actuellement sur l’imagerie des exoplanètes.

Il y a également des chercheurs qui développent des techniques pour communiquer avec les extraterrestres. Je pense notamment au programme américain SETI (lien en anglais). Malheureusement, ceux qui veulent entrer en contact avec une autre forme de vie ne sont pas toujours pris au sérieux par la communauté scientifique. Mais les recherches sur les exoplanètes leur sont également utiles : grâce à elles, ils peuvent au moins focaliser leurs efforts dans telle ou telle région. Pour l’instant, ils sont à l’écoute de tout et émettent dans toutes les directions.

Propos recueillis par Louis San

Source : http://www.francetv.fr/info/avec-les-exoplanetes-on-a-bascule-de-la-science-fiction-vers-la-science_78475.html


CES OVNIS MADE IN USA

31/03/2012

 

Source:

EXO-CONTACTS

     http://skystars.unblog.fr/

Posté par skystars dans : ACTUALITES,OVNI,SCIENCE ET ALTERNATIVE , 1 commentaire

La première chose qui m’a frappé en commençant cette enquête est un double décalage.
Chronologique et technologique. Les machines « futuristes » sur lesquelles le secret a été partiellement levé ont entre 20 et 50 ans d’âge. Et les avancées les plus innovantes ont l’air d’être tombées du ciel.
Historiquement, ces engins commencent à voler juste après les premières grandes vagues d’ovnis.

Flash back : demain c’était hier !

Dès 1950, trois directions de recherche sont privilégiées, séparément ou conjointes : le mur de la chaleur corollaire de la vitesse, la furtivité induisant des formes nouvelles révolutionnant l’aérodynamisme, et d’autres modes de propulsion que les réacteurs, en complément ou en substitution de ceux-ci.

Le Lockheed SR 71 Black Bird « qui n’existait pas, et de toute façon était irréalisable », désormais associé aux documents déclassifiés de l’Area 51, a volé de 1964 à 1990. A la vitesse de Mach 3,5 (3.530 Km/h) avec un plafond stratosphérique opérationnel de 87.000 ft (26 Km) pour un rayon d’action de plus de 5.000 Km.

En même temps, des recherches se poursuivaient dans le domaine de la furtivité.

 

Lire la suite :

CES OVNIS MADE IN USA.


Le 31 Mars, éteignez vos lumières… sauvons le climat et le ciel étoilé!

31/03/2012
  • Le 31 Mars 2012, partout sur la planète, de nombreuses personnes vont éteindre leurs lumières à partir de 20h30, pendant 60 minutes. L’objectif de ce geste: soutenir la lutte contre le changement climatique. Cet évènement est organisé par le WWF et soutenu par de nombreuses associations, y compris dans le domaine de l’astronomie… car éteindre nos lumières, c’est aussi se battre contre la pollution lumineuse. 



Dossiers Ovni 04 Mexique, la grande vague d’ovnis ( reportage)

29/03/2012

Note adm:

reportage concernant cette fois – ci le Mexique ,   faits moins médiatisés, donc connus du  public.

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À la recherche des extraterrestres !

26/03/2012

Un site web pour dénicher les petits hommes verts

Depuis le lancement du site Internet setilive.org, il est désormais possible de rechercher soi-même l’existence d’une forme de vie au-delà de notre planète Terre. Lancé lors d’une conférence à Los Angeles, ce site s’apprête à diffuser les fréquences radio d’un télescope dont l’objectif est de trouver une forme d’intelligence dans l’univers…

À la recherche des extraterrestres !

Les volontaires participant à ce programme devront trouver des signes relatifs à une activité inhabituelle. Les systèmes automatiques utilisés ne peuvent en effet détecter certaines formes d’activité dans l’espace. Lancé par la chercheuse Jullian Tarter, ce programme vise avant tout à réunir une communauté de passionnés et de scientifiques. Et les volontaires auront un rôle primordial dans cette recherche, puisque les informations qu’ils recueilleront pourront facilement être exploitées par les différents chercheurs.
Seti, c’est quoi ?
Cependant, Seti est un organisme assez méconnu, qui survit principalement grâce aux donations du grand public. L’argent ainsi récolté permet aux chercheurs de se consacrer à cette quête ancestrale et d’acquérir des machines plus performantes. Par ailleurs, quelques célébrités sont déjà impliquées dans ce projet, notamment l’actrice Jodie Foster ou l’astronaute Bill Anders.

Cet organisme compte donc maintenant sur la passion du grand public pour l’aider à trouver les données les plus prometteuses. Chris Linott, un célèbre investisseur dans la recherche de vie extraterrestre affirme même que de nombreuses personnes souhaitent aider la recherche. Une recrudescence des demandes a en effet été constatée ces dernières années ; setilive.org va donc probablement susciter un vif engouement.

Source : http://www.masculin.com/culture/1824-a-la-recherche-des-extraterrestres/


Alerte OVNI FRANCE ( odhtv)

26/03/2012

http://odhtv-replay.kazeo.com/alerte-ovni-france/edition-du-23-mars-2012-niveau-1-2,a3128399.html


Les OANIs : un petit historique

26/03/2012

Quantcast

Source:http://yvesh.e-monsite.com/blog/

Note adm:

Nous reprenons cet excellent article rédigé par Yves concernant les O.A.N.I.S.

Nous remercions Yves pour son travail et sa coopération avec nos sites web.

voici ci-dessous cet article:

ufo-sea.jpg

Quand on parle d’O.A.N.I., on ajoute une caractéristique technique de plus aux objets observés : ils ne se contentent pas de voler à des vitesses fantastiques mais se déplacent aussi dans les océans. Cela suggère également que ces OANIs possèdent des bases sous marines, ce qui expliquerait certaines observations locales fréquentes et des disparitions inexpliquées de navires. On peut aussi citer les récentes révélations d’une cité aquatique construite par une civilisation pré-colombienne en amérique centrale…

En quelque sorte, les O.A.N.I. signifient à la fois Objets Aériens Non Identifiés et Objets Aquatiques non Identifiés. Les objets en question se comportent d’après les témoins d’une manière ”intelligente’, c’est-à-dire comme le font des machines construites, téléguidées ou pilotées par des entités vivantes ou robotisées. Ces objets manifestement solides entrent dans les mers et les océans et en émergent, sans oublier les lacs et les cours d’eau. Ces objets qui sortent de l’eau et y plongent peuvent aussi sortir de notre atmosphère pour évoluer dans ce que nous appelons l’espace. Ceci posé, sans toutefois remonter au déluge, voici une série de rapports très significatifs concernant des observations d’O.A.N.I..

Dans les Anales Russes, on trouve un cas très intéressant et authentifié :

Le 15 août 1663, entre 10 heures et midi (heure locale) on entendit un bruit fort et au nord, du ciel clair et ensoleillé surgit un grand objet flamboyant de 40 mètres de diamètres (la hauteur d’un grand immeuble de 12 étages). Se dirigeant vers le sud, cette objet se mit à glisser au-dessus de la surface du Rob-Ozéro.

De la partie avant de l’objet sortaient deux jets de feu et de deux cotés de l’objet on voyait une fumée bleuâtre. Après avoir survolé une partie du lac, l’objet disparut dans des circonstances restées obscures.

Sa deuxième apparition se termina peu après par la diminution de la vivacité de sa luminescence et par sa disparition. Quelques temps après, très vite, à 500 mètres plus à l’ouest, le même objet incandescent apparut plus grand plus éblouissant, plus effrayant.

Ensuite l’objet s’obscurcit et disparut.

Le temps total de la présence de ce corps étrange au dessus du lac fut d’une heure et demie. Les dimension du lac ne sont pas grandes: deux kilomètres de longueur sur un kilomètres de largeur. Au moment de l’apparition de ce corps, des pécheurs se trouvant dans leurs barque voulurent s’approcher de lui. Mais il renoncèrent à ce projet, la chaleur à sa proximité étant insupportable. La lumière que le corps émettait était si forte qu’on voyait le fond à la profondeur de huit mètres et les poisons se sauvant de cette lumière.

Là ou le feu effleurait l’eau en se déplaçant, sur la surface apparut un film brun qui faisait penser à la rouille.

Quant à la véracité des détails, il n’y pas de doute non plus, le rapport ayant été consigné par le scribe du monastère de Saint Cyrille, après la confirmation des faits par les prêtres se trouvant sur la place d’observation. Cette prudence était tout à fait normale, puisque le scribe répondait sur sa tête de ce qu’il envoyait aux supérieurs ; l’église russe de l’époque ne plaisantant pas sur les phénomènes considérés comme des manifestations diaboliques. Naturellement, tout cela a été compris par les témoins comme ’’un signe de Dieu’’.

Extraits “Le livre des damnés” Chap. 5, Charles Fort, 1919) :

18 juin 1845: Les passagers du brigantin Victoria, naviguant à mille trois cents kilomètres d’Adalie, en Asie mineure, ont vu trois corps lumineux sortir de l’océan à une quarantaine de mètres du navire. Les trois “objets” restèrent visibles durant dix minutes. (1)

22 mars 1870Cap vert: Le capitaine F. W. Banner, commandant du ” Lady of the Lake”, fait le point et porte sur son livre de bord: “… les matelots de mon navire ont vu dans le ciel un nuage remarquable. Il avait une forme circulaire avec un demi cercle inscrit divisé en quatre parties, le trait de division commençant au centre du cercle et s’étendant vers l’extérieur, puis se recourbant en arrière. L’objet évoluait d’un point situé à 20° au-dessus de l’horizon jusqu’à un autre situé à 80°. Puis il se dirigea vers le NO alors qu’il était venu du SO. Il était gris-clair, soit couleur nuage, beaucoup plus bas que les autres nuages, il se déplaçait contre le vent. Il se présenta obliquement par rapport au vent puis se décida à filer droit dans l’œil même du vent. La forme fut visible pendant une demi-heure. Elle disparut à cause de l’obscurité. (123).

Voici un autre incident s’étant produit dans le Pacifique nord-est, au cours de l’été 1945.

Il s’agit d’un grand O.A.N.I. sortant de l’eau et observé par des membres d’équipage du transport U.S. Delarof, chargé de munitions et de matériels pour l’Alaska.

Le témoin, auteur du rapport, est Robert S. CRAWFORD qui servait à bord en qualité de radio militaire.

” Le bateau, retournant à Seattle (État de Washington) se trouvait au large de l’île Adak. Le soleil allait se coucher et Crawford se tenait à bâbord, près de la cabine radio, quand il a entendu crier des hommes d’équipages. Il s’est retourné et a vu un grand objet rond qui venait de surgir de la mer. (Plusieurs homme d’équipages ont même vu l’O.A.N.I. apparaître sous la mer à un mille environ du Delarof). L’engin inconnu se découpant en silhouette sombre sur le soleil couchant, est monté presque à la verticale pendant quelques instant, puis il a courbé son vol pour venir à l’horizontal et s’est mis à décrire des cercles autour du bateau.

Tout les observateurs étaient convaincus que c’était un très grand objet. En le comparant à la largeurs d’un doigt tenu à bout de bras, Crawford a estimé qu’il devait avoir de 45 à 75 mètres de diamètres.

En tournant autour du Delarof, l’objet volant était à portée facile de ses canons. Mais les canonniers n’ont pas tirés, tout en guettant tout signe d’hostilité. L’O.A.N.I. a fait deux ou trois fois le tour du bateau, volant régulièrement et sans aucun bruit.

Tout les témoins ont estimé qu’il était auto-propulsé, autrement le vent violent qui régnait aurait visiblement affecté ses mouvements. Au bout de plusieurs minutes, l’objet volant a disparu vers le sud ou le sud-ouest. Soudain l’équipage a vu trois éclat de lumières venant de l’endroit ou il avait disparu. Le capitaine du Delarof a posté une bordée de quart supplémentaire quand le bateau est repassé plus tard par ce secteur, mais rien n’a été vu.

10 février 1951Océan Atlantique: Le Lieutenant réserviste de l’US Navy Graham Bethune, copilote sur le vol 125 de Keflavik, rapporte:

Alors que je volais dans le siège de gauche sur un trajet à 230 degrés à la position 49-50 Nord et 50-03 Ouest, j’ai observé une lueur au-dessous de l’horizon à environ 1.000 à 1.500 pieds au-dessus de l’eau. Nous avons observé son cours et mouvement pendant environ 4 ou 5 minutes avant d’attirer l’attention des autres membres d’équipage… Soudainement son angle d’attaque a changé, son altitude et sa taille ont augmentés comme si sa vitesse dépassait les 1.000 miles par heure. Elle s’est rapprochée tellement rapidement que notre première impression était que nous allons vers une collision en plein air. En fait son angle a changé et sa couleur a changé. Il est ensuite apparu comme sans aucun doute circulaire, orange rougeâtre sur son périmètre. Il a inversé son vol et a triplé sa vitesse jusqu’à ce qu’il ait disparu hors de vue au-dessus de l’horizon. En raison de notre altitude et de la distance trompeuse au-dessus de l’eau il est presque impossible d’estimer sa taille, distance, et vitesse. Une évaluation grossière serait d’au moins 300 pieds de diamètre, d’une vitesse de plus de 1.000 miles par heure, et il s’est approchée à moins de 5 miles de l’avion.” (1)

SUITE


Cité Antique sous les eaux

25/03/2012

En parlant avec une douzaine de capitaines de navires et des pêcheurs de Marathon dans les Keys de Floride, ils déclarent avoir vu des objets volants entrer et sortir de la Mer des Caraïbes,non loin de Cuba. Ce n’est pas loin des eaux profondes de l’océan au large de la péninsule de Guanahacabibes sur la pointe ouest de Cuba.

Cité Antique sous les eaux.


Surveillance du ciel ce soir – Opération Suricate

24/03/2012

http://www.operation-suricate.fr/