Article et image source : inexplicata.blogspot.com/
Traduction Era pour
Référence : Planeta UFO et El Tribuno
Date: 26.11.2018
INEXPLICATA-LE JOURNAL DE L’UFOLOGIE HISPANIQUE
Un rapport de Francisco Palacios, El Tribuno Argentine: Allégations de vie extraterrestre à Jujuy [VIDÉO]Le phénomène se produit depuis des années car « nous sommes une entrée importante d’OVNI et gare de départ « selon le spécialiste Juan Ocampo. Un épisode mystérieux qui a eu lieu ce week-end sur la route nationale 9 sur le chemin du réservoir de La Ciénaga (El Carmen) a relancé le débat éternel de notre société concernant l’existence ou non d’une vie étrangère.
La cause était une vidéo enregistrée par une femme voyageant la nuit avec sa famille .Elle montre une « soucoupe volante » avec des lumières étranges » flottant le long de la route.
Alors que l’enregistrement ne dure que 47 secondes, son auteur déclare avec étonnement que l’objet en question « n’a pas de roues, de pieds ou quoi que ce soit, et qu’il est dans les airs », ce qui est très suggestif.
Cet événement peut s’ajouter aux événements qui se sont déroulés dans notre province, notamment à Maimará, Cerro Zapla et plus particulièrement à EL Huancar, Abra Pampa, où la gendarmerie, la police et des membres de la commune se sont penchés sur les préoccupations des habitants. qui prétendent avoir vu « d’étranges lumières colorées ».
Juan Ocampo, expert des études sur les objets volants non identifiés (OVNI) dans notre province, s’est entretenu avec El Tribuno et a déclaré que « le récent épisode est réel, car il s’agit d’un vaisseau spatial et non d’un drone« .
« Il y a une vie extraterrestre à Jujuy. Ils vivent avec nous (partout dans le monde) mais dans des systèmes ou des dimensions parallèles. Ils ont dépassé notre perception binaire du bien / du mal, communiquent par télépathie et parlent couramment des millions de langues pour se nourrir de connaissance humaine « , a ajouté l’expert.
Interrogé sur la manière dont la présence peut être identifiée sur notre planète, il a noté que leurs formes de communication sont variées et se matérialisent par des « soucoupes volantes pouvant prendre diverses formes, notamment des hologrammes et des personnages allant de l’appareil photo aux structures. similaires à ceux présentés dans un film de Spielberg « .
En ce qui concerne leurs intentions, il a expliqué qu‘ils cherchent à partager leur culture avec nous à différents niveaux. Ils se nourrissent d’énergie à des fins différentes et promeuvent l’évolution et l’involution en fonction des niveaux respectifs concernés. Parmi eux, nous trouvons la catégorie des extraterrestres connue sous le nom de « Reptiliens » (êtres ayant l’aspect physique d’un reptile « ou Les Illuminatis, qui imposent leur pouvoir sur le monde. »
En conclusion, Ocampo a invité la société Jujuy, et certaines parties intéressées, à prendre le sujet avec sérieux et à enregistrer toutes les images trouvées à caractère étrange, ainsi que rechercher des informations sur de vraies observations et de vraies vidéos.
[S. 2018 Corrales, IHU, avec les remerciements de Guillermo Giménez, Planeta UFO]
PUBLIÉ PAR INEXPLICATA (IHU) À 03H10
Remarque : Je signale un fait étrange: la vidéo a été retirée de Youtube .
Une candidate au Congrès américain dit avoir été kidnappée par des extraterrestres
Article source :MSN
En 2009 et 2011, Bettina Rodriguez Aguilera, une entrepreneuse et conseillère municipale de Miami, est passée à la télé pour parler de ses rencontres avec des extraterrestres. Maintenant qu’Aguilera est candidate au Congrès américain, ces conversations sont un peu gênantes.
Sur des chaînes hispanophones, Aguilera avait expliqué qu’à l’âge de 7 ans, elle avait été emmenée par trois extraterrestres blonds dans leur vaisseau spatial rond. Ils portaient des tuniques et parlaient de façon télépathique avec elle. Selon Aguilera, qui a maintenant 59 ans, ces rencontres ont eu lieu plusieurs fois pendant sa vie, et elle a retenu plusieurs discussions.
Les aliens lui ont dit que Dieu était une «énergie universelle, pas une personne.» Ils lui ont appris que le «centre de l’énergie du monde» était en Afrique, qu’il y avait 30.000 crânes différents de crânes humains dans une grotte à Malte, et qu’un château en Floride était une pyramide antique.
Une croyance partagée
Après la diffusion de ces interviews par le Miami Herald, Aguilera a accusé le quotidien de vouloir l’attaquer de façon mesquine. Pour elle, son expérience avec les extraterrestres n’enlève rien au fait qu’elle a été «un exemple à suivre au sein de la communauté pendant quarante ans».
Elle est candidate aux primaires républicaines pour être représentante du 27e district de Floride, à Miami, mais les deux autres candidats sont mieux établis qu’elle, et elle a peu de chance de gagner.
Malgré tout, elle a tenu à faire une déclaration à la presse pour défendre son rapport aux extraterrestres:
«Pendant des années, les gens, y compris les présidents Ronald Reagan et Jimmy Carter et les astronautes ont dit publiquement qu’ils avaient vu des objets volants non identifiés.»
En effet, Carter a une fois raconté qu’en 1969, il avait vu «une lumière étrange», une lumière «ronde» qui a changé de couleur –bleu, rouge, blanc– avant de disparaître. Quant à Reagan, selon son pilote, il aurait vu une «grande lumière» qui volait derrière leur avion.
On est donc loin des conversations avec des extraterrestres dans un vaisseau, mais selon un sondage récent, Aguilera est loin d’être seule dans son délire: environ 36% des Américains croient aux Ovnis.
Je vous partage cet article qui nous est proposé par Patrick D et publié sur Slate, dont le but est de susciter le débat sur le bien fondé ou non de provoquer la rencontre avec nos co-locataires de l’univers. Après la lecture du texte, je vous propose de donner votre avis dans le sondage en bas de page.
Les Terriens font-ils bien d’attendre (dans le silence) qu’une intelligence extraterrestre les contacte ou devraient-ils entamer activement la conversation? Le débat scientifique sur la question est épineux.
Cela fait maintenant plus de cinquante ans que les astronomes ont lancé la première tentative pour faire la chasse aux signaux radio de civilisations extérieures à notre système solaire de façon systématique –une quête connue sous le nom de recherche d’une intelligence extraterrestre, ou SETI, pour Search for Extra-Terrestrial Intelligence. Au cours de cette période, nos télescopes n’ont eu droit qu’à un silence assourdissant –ce qui a conduit certains scientifiques à se demander s’il ne serait pas temps que les Terriens prennent l’initiative d’entamer la conversation.
Les partisans d’un «SETI actif» sont de l’avis que, plutôt que de chercher à entendre les signaux d’une intelligence extraterrestre de façon passive, nous devrions être en train d’essayer d’atteindre nos voisins de galaxie de façon active –que nous devrions utiliser nos émetteurs radio les plus puissants (tels que le radiotélescope géant d’Arecibo, sur l’île de Porto Rico) pour envoyer des messages en direction des étoiles les plus proches.
«Par le passé nous sommes toujours partis du principe qu’une civilisation extraterrestre capable de nous détecter prendrait automatiquement l’initiative d’entrer en contact avec nous, en nous envoyant un signal puissant pour nous faire savoir qu’elle existait, dit Douglas Vakoch, de l’Institut SETI, à Moutain View, en Californie, et l’un des principaux partisans d’un SETI Actif. Mais peut-être qu’il y a des civilisations qui n’accepteront de révéler leur existence que si nous disons clairement que nous cherchons le contact.»
Le SETI actif a toujours été une question épineuse. En 2006, l’Académie internationale d’astronautique a réuni un comité autour du SETI –mais quand le groupe a refusé de faire pression pour bannir les transmissions proactives, deux de ses membres et pas des moindres, John Billingham, alors directeur du SETI, et Michael Michaud, ont démissionné. Même le comité éditorial du prestigieux journal Nature a émis une mise en garde disant que«le risque posé par un SETI actif [était] réel»:
«Il ne va pas de soi que toutes les civilisations extraterrestres sont bienveillantes –ou que, même avec une civilisation bienveillante, le contact n’aurait pas de sérieuses répercussions pour les gens ici sur Terre».
Le débat a repris en février, lors du rendez-vous annuel de l’Association américaine pour l’avancement de la science, qui se tenait à San José. Douglas Vakoch, directeur de l’Interstellar Message Composition au SETI, a organisé un symposium et une conférence de presse pour parler du SETI actif dans le cadre de l’événement; plus tard dans la semaine, il a tenu à l’Institut une journée d’atelier –et la discussion était là encore animée.
Technologie plus avancée, risque plus grand
Ce sur quoi tout le monde est d’accord –et c’est à peu près la seule chose sur laquelle il y a consensus–, c’est qu’il est probable que toute civilisation extraterrestre que nous trouverons sera plus avancée que la nôtre. (C’est une simple question de statistiques: nous n’avons que quelques centaines d’années en tant qu’espèce industrielle avancée, alors que la galaxie est là depuis treize milliards d’années; les extraterrestres que nous rencontrerons seront sans doute beaucoup plus vieux que nous, et en principe par conséquent largement en avance sur nous.) Technologie plus avancée, risque plus grand.
Toute civilisation extraterrestre sera plus avancée que la nôtre
L’auteur de science-fiction David Brin est un franc détracteur du SETI actif. Il se base sur l’histoire de notre propre planète, où les rencontres entre cultures de sophistications technologiques diverses se passent rarement bien. «Nous avons de nombreux exemples de civilisations avancées du point de vue technologique qui sont entrées en contact avec des civilisations moins avancées de ce point de vue-là», dit-il. (On pense aux efforts de colonisation européens en Afrique et aux Amériques.) «Et à chaque fois, cela a été douloureux. Même quand les deux côtés avaient les meilleures intentions du monde.»
Ce schéma s’applique même quand les humains n’entrent pas en jeu, d’après David Brin. Quand ce qu’on appelle aujourd’hui l’Amérique du Nord et l’Amérique du Sud ont été réunies par la tectonique des plaques il y a environ trois millions d’années, les mammifères placentaires du nord et les mammifères marsupiaux du sud ont pu entrer en contact.
«En l’espace d’un million d’années, presque tous les mammifères marsupiaux avaient disparu, dit David Brin. Le contact entre biomes a eu des conséquences majeures en termes d’extinction à chaque fois qu’il a eu lieu sur Terre. Je ne prétends pas que c’est la façon dont les choses vont se dérouler quand nous rencontrerons des extraterrestres –mais cela laisse penser que nous devrions au moins commencer par en discuter.»
Jill Tarter, pionnière du SETI et astronome ayant servi de modèle au personnage principal du Contact de Carl Sagan, est d’accord sur le fait qu’il est prudent d’écouter avant de crier:
«Nous devrions reconnaître l’asymétrie [en termes de sophistication technologique], et permettre aux technologies plus anciennes d’assumer la charge la plus importante, celle de la transmission, dit-elle. En tant que cadets, nous devrions avant tout écouter.»
Beaucoup à gagner en tendant la main
À moins que Douglas Vakoch n’ait raison, et qu’ils attendent de nous entendre. Le cas échéant, et si nous choisissons de rester silencieux, nous passons à côté d’une incroyable occasion. «Peut-être la communication interstellaire est-elle une forme d’échange économique par le biais duquel les civilisations partagent des informations précieuses les unes avec les autres, dans une forme d’altruisme réciproque entre différentes générations», dit-il, ajoutant que des exemples de ce type d’altruisme existent chez différentes espèces animales ici sur Terre.
Seth Shostak, le facétieux astronome à la coupe au bol qui dirige l’Institut, est d’accord pour dire que nous n’avons pas grand-chose à perdre et probablement beaucoup à gagner en tendant la main. D’ailleurs ils savent probablement déjà que nous sommes là: nos programmes de radio et de télévision et nos radars militaires en particulier répandent des informations dans l’espace depuis environ soixante-dix ans, fait remarquer Seth Shostak. On ne peut pas faire machine arrière du point de vue électromagnétique.
«Toute société qui a au moins cent ou deux-cents ans d’avance sur nous sera capable de détecter la fuite, dit Seth Shostak. À moins qu’ils n’aient arrêté de se développer technologiquement –ce qui est bien sûr possible, mais alors ils ne sont pas une menace pour nous.» (Accessoirement, la plaque minéralogique de Seth Shostak affiche SETI GUY [soit le mec du SETI, ndt]; celle de Douglas Vakoch, plus cryptique, dit ASETI, pour Active SETI.)
Le plus probable, c’est qu’ils n’ont aucune idée que nous sommes là
David Brin, auteur de science fiction et titulaire d’un doctorat en sciences planétaires
Mais peut-être n’avons-nous pas encore vendu la mèche: David Brin n’accepte pas la thèse de Shostak selon laquelle «ils» savent déjà que nous sommes là (ce qu’on appelle quelquefois l’excuse de la «porte de l’écurie»[1]. Seth Shostak est trop généreux dans son calcul de notre visibilité depuis des centaines (si ce n’est des milliers) d’années-lumière, dit David Brin, qui est titulaire d’un doctorat en sciences planétaires et a été consultant pour la Nasa. Les signaux terrestres radio et télé, de la série I Love Lucy à ce qui s’échappe de Vandenberg ou de Guantanamo, sont relativement faibles. De plus, les signaux électromagnétiques chutent proportionnellement au carré de la distance (et les extraterrestres, s’ils existent, sont sacrément loin).
Le plus probable, dit Brin, c’est qu’ils n’ont aucune idée que nous sommes là –et cela ne changera pas, à moins qu’on ne se mette à émettre des signaux puissants et dirigés de la façon suggérée par Vakoch. (Les quelques messages en dur que nous avons envoyés –à bord des sondes Pioneer et Voyager, par exemple– sont des coups de poker absolus. Ils contiennent des informations basiques à propos des humains et de notre planète; sur Voyager, il y avait aussi un disque en or avec un échantillon musical allant de Mozart à Chuck Berry, et d’autres messages de Terriens. Ils ne se dirigent vers aucune étoile en particulier et par conséquent risquent de n’être jamais interceptés –mais Voyager 1 se trouvera à deux années lumières d’une étoile nommée Gliese 445 dans à peu près 40.000 ans.)
Comme Christophe Colomb arrivant aux Amériques?
David Brin n’est pas le seul à préconiser la prudence. Plus d’une vingtaine de scientifiques ont signé une prise de position appelant à un moratoire sur le SETI actif en attendant qu’une«discussion scientifique, politique et humanitaire au niveau mondial» ait lieu. Elon Musk, le milliardaire à l’origine de SpaceX, l’a signée; tout comme le chasseur de planètes Geoff Marcy et l’auteur de science fiction à succès Paul Davies. La pétition ne parle pas d’extraterrestres vengeurs et qui bavent –elle note simplement qu’«il est impossible de prédire si [ l’intelligence extraterrestre ] sera bienveillante ou hostile».
Certains, comme le célèbre cosmologue Stephen Hawking, ont été plus directs. Hawking a récemment mis en garde contre la possibilité d’une civilisation extraterrestre avancée, qui ayant épuisé les ressources de sa planète, pourrait «chercher à conquérir et à coloniser toute planète à sa portée». Il cite également l’analogie de Christophe Colomb arrivant aux Amériques, «qui ne s’est pas très bien passée pour les Indiens d’Amérique».
Serons-nous leurs élèves, ou leur déjeuner?
Même si elle paraît clichée, cette bonne vieille histoire de Colomb semble quelquefois avoir le pouvoir de couler le SETI actif. Il s’agit toutefois d’une simplification grossière de l’histoire humaine. Kathryn Denning, anthropologue auprès de l’université de York à Toronto, souligne que tous les contacts interculturels n’ont pas été néfastes. Même l’arrivée des Européens aux Amériques n’a pas été si catastrophique que cela. «De nombreux peuples autochtones du nouveau monde sont toujours bien en vie et connaissent même une certaine croissance, [particulièrement] dans l’hémisphère sud», m’a-t-elle dit récemment. Certes, il y a eu une période agitée; mais plus tard il y a eu «syncrétisme, amitiés, mariages mixtes… un rapprochement progressif de deux sociétés».
Les extraterrestres seront-ils des enseignants bienveillants ou des dirigeants despotiques? Serons-nous leurs élèves ou leur déjeuner? Même si le projet du SETI prétend être ancré dans la science, une grande partie de ce que disent ses fans semble dépendre de si ceux-ci ont grandi avec les envahisseurs armés du Rayon Ardent de La Guerre des mondes ou avec les intellos bien intentionnés de Contact.
1 — Selon le proverbe qui dit qu’«il est trop tard pour fermer l’écurie quand le cheval s’est sauvé» [note du traducteur].
A la demande de mon ami suisse Philippe dit Pi Mu Sigma (que je salue en passant) qui est très admiratif du travail notre ami Gilles Thomas d’ODHTV voici dans cet article les dernières vidéos de Gilles concernant le Tour de Suisse de l’Etrange.
Pour aller directement sur le site de Gilles et avoir toute son actualité cliquez sur l’image ci dessous
Un Article de Ken Pfeifer World Ufo Photos and News
Traduction Era pour Area51blog
Illustration Ken Pfeifer WWW.WORLDUFOPHOTOS.ORG
20 février 1947 ……. Observatoire Holden , Université de Syracuse – NEW YORK
La nuit du 20 Février 1947, cinq mois avant le célèbre incident ovni de Roswell, deux camarades de classe de l’Université de Syracuse ainsi qu’un astronome ont rapporté avoir vu des objets étranges elliptiques ou circulaires traverser l’horizon , couvrant les étoiles en passant à une vitesse prodigieuse . Les deux camarades se promenaient vers 22h15 sur le campus et remarquèrent que les portes du dôme de l’Observatoire de Holden n’étaient pas fermées . Non seulement on avait laissé les portes ouvertes, mais ils découvrirent en passant par là que la porte d’entrée du petit bâtiment était ouverte également. Par curiosité , les deux camarades de classe errèrent dans le rez de chaussée et ils remarquèrent une longue lunette astronomique d’environ 2 mètres qui était suspendue à environ 3 mètre 50 au-dessus du sol. Elle était utilisée par un homme qui la déplaçait rapidement d’avant en arrière sur la longueur de l’ ouverture du dôme . Lorsque l’astronome remarqua les deux étudiants qui montaient sur la plate-forme , il remercia Dieu qu’ils étaient là. Il les invita à jeter un coup d’oeil sur sa découverte pour dire aux autres qu’il n’était pas fou .
Illustration Ken Pfeifer WWW.WORLDUFOPHOTOS.ORG
L’homme dit aux deux étudiants qu’il avait été témoin de quelque chose d’inhabituel dans le ciel nocturne . Il laissa alors les deux jeter un coup d’oeil à ce qu’il avait regardé sans leur donner un indice.
L’un des deux étudiants avait grandi à New York si bien qu’ il avait seulement eu une chance d’apprécier la beauté des étoiles dans le ciel nocturne sur le campus , notamment à l’aide d’un télescope . Il était en admiration devant le champ d’étoiles lumineuses et remarqua alors une lumière qui passait devant ses yeux dans le ciel sombre . Il observa encore près de 20 ou 30 secondes, il passa ensuite le télescope à son camarade.
Après quelques minutes , son camarade avait l’air aussi perplexe que lui et l’astronome . Les trois hommes convinrent qu’ils avaient vu les mêmes objets . Les trois hommes avaient été en mesure d’observer les détails de ces objets à travers le télescope . Ils avaient tous observé les mêmes objets qui semblaient avoir un fond grisâtre , légèrement plus clair que le ciel sombre en arrière-plan. Les objets avaient un mince bord jaune orange lumineux qui semblait légèrement onduler. Les trois hommes remarquèrent que certains objets semblaient être plus lumineux que les autres. L’astronome assura aux étudiants qu’il n’avait jamais rien vu de semblable aux objets mystérieux. Après quelques minutes , les élèves souhaitèrent bonne nuit à l’astronome. Ce fut la première et seule fois où ils rencontrèrent l’astronome . Les deux étudiants parlèrent de l’incident à plusieurs reprises pendant de nombreuses années .
Remarque : les images ci-dessus sont des illustrations
Aux environs de 11h00 le 10 Août 1989 près de la ville de Prohladnyi , en Russie, les unités de radar militaires soviétiques détectèrent un objet volant non identifié . Après des tentatives de communications restées sans réponse , l’objet fut considéré comme « hostile ».
Les systèmes de défense furent mis en état d’alerte , avec l’utilisation de missiles sol-air, et le déploiement de MiGs- 25. Décollant de Rostov et Krymsk , les Migs reçurent l’ordre d’intercepter et d’identifier l’objet inconnu . L’OVNI se dirigeait vers le Nord comme l’auraient fait des missiles ou des avions étrangers et l’ordre fut donné d’armer et d’utiliser les armes .
Le missile sol-air toucha l’ovni, le faisant tomber dans les montagnes du caucase. Une équipe de recherche fut envoyée à bord d’un hélicoptère M1 -8 , et l’objet en forme de disque fut localisé en dehors de Nizhnizy Chegem , et la zone autour du lieu de l’accident fut rapidement bouclée .
L’objet qui faisait 6,9 mètres de long et 3 mètres de haut , était en forme de coquille , selon des témoins . Un long sillon dans la terre semblait mener à l’aéronef, qui avait percuté une zone rocheuse. Les dégâts causés par le missile étaient évidents , et avaient fait perdre à l’objet sa forme d’origine.
Un groupe muni d’un équipement de protection spécial entra en scène. Les dosimètres ayant détecté des radiations, des mesures de précaution furent prises immédiatement , mais pas avant que quelques membres de l’équipe n’aient été exposés .
L’objet fut livré par hélicoptère à la base aérienne de Mozdok , où sont stockés les armes nucléaires et les bombardiers à longue portée. Une unité spéciale d’investigation fut constituée , et envoyée à la base pour ouvrir une enquête sur les mystères de l’objet volant inconnu. Cette équipe était composée de personnel militaire et civil . Le KGB commença une opération de dissimulation. L’unité de recherche entra dans le vaisseau par une porte entrouverte . L’équipe était en tenue de protection complète lorsqu’ ils commencèrent leur prospection à l’intérieur de l’engin. Comme on pouvait s’y attendre, les panneaux et les équipements de contrôle étaient visible, mais plus important encore trois créatures extraterrestres , dont deux mortes furent trouvées.
Les deux extraterrestres morts avaient apparemment été tués par la chute du vaisseau. Le troisième avait réussi à se sauver , mais souffrait de plusieurs blessures . Une équipe médicale tenta de le garder en vie , mais leurs efforts échouèrent. Lui et ses deux compagnons mesuraient environ environ 1 mètre – 1 mètre 20, avec la peau gris blanchâtre qui semblait être enveloppe extérieure . La vraie peau sous cette enveloppe était d’une couleur bleu-vert avec une texture reptilienne . Les autres êtres temporels aussi des têtes chauves , de grands yeux noirs, presque ronds. Trois doigts effilés terminaient leur longs bras maigres. Les corps des trois extraterrestres furent conservés dans des récipients en verre dans une installation souterraine top-secret.On suppose que ce lieu secret est caché parmi la multitude d’arbres près du centre de recherche à l’est de Solnechnogorsk . Le disque endommagé a été emmené à la base militaire Kapustin Yar et gardé en souterrain à l’ouest de Ahryomkin. Toutes les informations incluses ici provenaient de trois enquêteurs russes, Anton Anfalov, Lenura Azizova et Alexander Mosolov. Ils affirment que le disque est encore stocké près de Kapustin Yar .
Remarque :L’ image ci-dessus est une illustration .
New York, États-Unis – Un professeur d’université a formulé une demande auprès de son établissement afin que l’étude des ovnis soit reconnue comme une matière universitaire.
Selon le professeur Philip Haseley, un anthropologue de l’université de New York, l’étude des ovnis devrait être prise au sérieux et être étudiée à l’université au même titre que les autres enseignements de recherche. En effet selon lui, les nombreux témoignages d’apparitions d’objets volant non identifiés devraient pouvoir être étudiés à l’université afin de permettre aux étudiants d’enquêter sur ces phénomènes paranormaux. Le professeur Haseley qui dirige également un groupe de recherche sur les ovnis, pense que ces apparitions peuvent être étudiées de manière scientifique. Ainsi son groupe de chercheurs enquête en utilisant des radars, étudiant l’astronomie et la météorologie. Face aux critiques et aux sceptiques qui pensent que cela n’est qu’une perte de temps, le professeur répond que les faits et les cas répertoriés d’ovnis parlent d’eux même. En effet des centaines d’apparitions d’ovnis seraient répertoriées chaque mois à travers le globe.