Le FAST (Five-hundred-metre Aperture Spherical Radio Telescope) présente une ouverture sphérique d’un diamètre de 500 mètres. Image: Archives/Reuters
Article publié le 11 Décembre par le site Fredzone
Depuis longtemps, le fantasme de la rencontre du troisième type inspire l’industrie du divertissement et nourrit différentes théories du complot. Le débat fait rage, car des personnalités influentes, comme Elon Musk, le propriétaire de SpaceX, se sont montrées septiques à l’égard de la perspective d’une forme de vie douée de conscience à part l’être humain.
De leur côté, les scientifiques des agences spatiales gouvernementales et du SETI essaient de détecter, essentiellement par des moyens technologiques, la présence des extraterrestres dans le cosmos.
Le Dr Jim Green, un scientifique en chef de la NASA,pensequ’il sera bientôt possible d’avoir une réponse.
Récemment, le chercheur a fait une déclaration qui a ensuite été largement partagée sur Internet. Il a prédit que la vie extraterrestre pourrait être découverte sur Mars à l’horizon 2021.
À la recherche de signaux extraterrestres
Selon les prédictions du Dr Jim Green, la vie extraterrestre sera découverte sur Mars en 2021, probablement par des agences comme la NASA ou l’ESA. L’expert a noté que l’humanité n’est pourtant pas encore prête à accepter les réalités entourant l’existence extraterrestre.
Cette prouesse pourrait également être réalisée par leFive Hundred Meter Aperture Telescope(FAST), le chasseur d’extraterrestre chinois. Rappelons que le télescope géant, situé dans la province du Guizhou, a déjà permis la détection et l’identification de 99 pulsars depuis sa mise en service en 2016. Parmi les principaux objectifs scientifiques rattachés à ce deuxième plus grand télescope au monde, il y a l’étude de la matière noire et la détection des signaux extraterrestres.
Zhu Ming dirige l’observation scientifique et de la division des données au centre des opérations FAST. Il a expliqué que,« dans le processus d’observation des signaux des corps célestes, nous recueillons également les signaux qui pourraient être émis par les humains ou l’intelligence extraterrestre. »
Des preuves fossilisées d’anciennes vies martiennes ?
Toutefois, Zhu Ming a reconnu que le défi est ambitieux.« Il s’agit d’un travail énorme, car la plupart des signaux que nous voyons, 99% d’entre eux sont des bruits divers, nous devons donc prendre notre temps pour identifier les signaux qui nous intéressent dans les bruits », a-t-il souligné.
En outre, la NASA a récemment révélé que le roverMars 2020explorera le cratère Jezero dès février 2021 pour trouver des signes de vie extraterrestre. Les chercheurs pensent que l’endroit abritait autrefois un lac où la vie aurait pu s’épanouir. Les gisements minéraux qui s’y trouvent auraient probablement conservé des preuves fossilisées d’anciennes vies martiennes.
Depuis août 2012, le robot de la NASA Curiosity sillonne la planète Mars, délivrant des clichés à l’agence américaine qui les publie sur son site internet. Mais ces photos de la planète rouge suscitent les fantasmes les plus farfelus des fans d’ufologie qui y voient régulièrement des formes extraterrestres. Pour la première fois, la NASA a répondu à ces chasseurs d’ovni.
D’ordinaire silencieuse, la NASA a décidé de démentir les rumeurs suscitées par les clichés de son robot Curiosity envoyé sur Marspour repérer des formes de vies extraterrestres. Ainsi, Ashwin Vasavada, un des 500 scientifiques travaillant sur le projet, interrogé sur CNN a répondu aux fans d’ufologie voyant un lézard, un crabe, une pyramide ou une femme sur les photos. Il a plaidé le phénomène de paréidolie.
Un article du NUFORC – Traduction Era pour Area51blog
General Ben Chidlaw
Timothy Good écrit : « La destruction ou la disparition d’avions militaires au cours des interceptions d’ovnis ont continué au même rythme. » Comme le général Benjamin Chidlaw, ancien général commandant du Commandement de la défense aérienne a déclaré à Robert C. Gardener (ex USAF) en 1953: « Nous avons empilé des rapports sur les soucoupes volantes. Nous les prenons au sérieux, si l’on considère que nous avons perdu beaucoup d’hommes et d’avions qui tentaient de les intercepter. « Leonard Stringfield, un ancien officier des renseignement de l’Armée de l’air a été informé par une source fiable dans les années 1950 que l’Air Force perdait à peu près un avion par jour en lien avec les ovnis” « Stringfield a été informé de manière fiable. Selon les chiffres du ministère américain de la Défense, de 1952 jusqu’à la fin de Octobre 1956, il y a eu 18 662 accidents majeurs des avions militaires, répartis comme suit:
Année – armée de l’air – Pertes de la Marine
1952 2,274 2,086
1953 2,075 2,325
1954 1,873 1,911
1955 1,664 1,566
1956 1,530 1,358
Sur ce total étonnant d’accidents, la plupart impliquaient de nouveaux avions à réaction rapides, (comme ceux qu’on envoyait pour intercepter les OVNIS) , dont 56.2 pour cent d’entre eux furent causés par une erreur de pilotage; 8.1 pour cent par l’équipage au sol ou d’autres ratés du personnel; 23.4 pour cent par la défaillance de pièces et d’équipement dans l’aéronef; 2,8 pour cent par diverses «conditions dangereuses», et -9,5 pour cent (1773) étaient dus à des «facteurs inconnus». Metrci au livre de Timothy Good “Need to Know” (Besoin de Savoir) P.172
Commentaires de l’éditeurP.172: Lorsque j’ai pris en chasse un OVNI nous avons dépassé de 20 noeuds la limite de vitesse de vol de l’avion marquée par une ligne rouge. Dans l’excitation de la chasse, il est facile de dépasser les capacités des aéronefs et souvent une pièce de l’avion peut avoir une défaillance. Il y a beaucoup de récits propos de lancement de missiles et de tirs directs sur les ovnis qui restaient sains et saufs , et qui retournaient le feu et détruisaient l’intercepteur.
Je vous partage cet article qui nous est proposé par Patrick D et publié sur Slate, dont le but est de susciter le débat sur le bien fondé ou non de provoquer la rencontre avec nos co-locataires de l’univers. Après la lecture du texte, je vous propose de donner votre avis dans le sondage en bas de page.
Les Terriens font-ils bien d’attendre (dans le silence) qu’une intelligence extraterrestre les contacte ou devraient-ils entamer activement la conversation? Le débat scientifique sur la question est épineux.
Cela fait maintenant plus de cinquante ans que les astronomes ont lancé la première tentative pour faire la chasse aux signaux radio de civilisations extérieures à notre système solaire de façon systématique –une quête connue sous le nom de recherche d’une intelligence extraterrestre, ou SETI, pour Search for Extra-Terrestrial Intelligence. Au cours de cette période, nos télescopes n’ont eu droit qu’à un silence assourdissant –ce qui a conduit certains scientifiques à se demander s’il ne serait pas temps que les Terriens prennent l’initiative d’entamer la conversation.
Les partisans d’un «SETI actif» sont de l’avis que, plutôt que de chercher à entendre les signaux d’une intelligence extraterrestre de façon passive, nous devrions être en train d’essayer d’atteindre nos voisins de galaxie de façon active –que nous devrions utiliser nos émetteurs radio les plus puissants (tels que le radiotélescope géant d’Arecibo, sur l’île de Porto Rico) pour envoyer des messages en direction des étoiles les plus proches.
«Par le passé nous sommes toujours partis du principe qu’une civilisation extraterrestre capable de nous détecter prendrait automatiquement l’initiative d’entrer en contact avec nous, en nous envoyant un signal puissant pour nous faire savoir qu’elle existait, dit Douglas Vakoch, de l’Institut SETI, à Moutain View, en Californie, et l’un des principaux partisans d’un SETI Actif. Mais peut-être qu’il y a des civilisations qui n’accepteront de révéler leur existence que si nous disons clairement que nous cherchons le contact.»
Le SETI actif a toujours été une question épineuse. En 2006, l’Académie internationale d’astronautique a réuni un comité autour du SETI –mais quand le groupe a refusé de faire pression pour bannir les transmissions proactives, deux de ses membres et pas des moindres, John Billingham, alors directeur du SETI, et Michael Michaud, ont démissionné. Même le comité éditorial du prestigieux journal Nature a émis une mise en garde disant que«le risque posé par un SETI actif [était] réel»:
«Il ne va pas de soi que toutes les civilisations extraterrestres sont bienveillantes –ou que, même avec une civilisation bienveillante, le contact n’aurait pas de sérieuses répercussions pour les gens ici sur Terre».
Le débat a repris en février, lors du rendez-vous annuel de l’Association américaine pour l’avancement de la science, qui se tenait à San José. Douglas Vakoch, directeur de l’Interstellar Message Composition au SETI, a organisé un symposium et une conférence de presse pour parler du SETI actif dans le cadre de l’événement; plus tard dans la semaine, il a tenu à l’Institut une journée d’atelier –et la discussion était là encore animée.
Technologie plus avancée, risque plus grand
Ce sur quoi tout le monde est d’accord –et c’est à peu près la seule chose sur laquelle il y a consensus–, c’est qu’il est probable que toute civilisation extraterrestre que nous trouverons sera plus avancée que la nôtre. (C’est une simple question de statistiques: nous n’avons que quelques centaines d’années en tant qu’espèce industrielle avancée, alors que la galaxie est là depuis treize milliards d’années; les extraterrestres que nous rencontrerons seront sans doute beaucoup plus vieux que nous, et en principe par conséquent largement en avance sur nous.) Technologie plus avancée, risque plus grand.
Toute civilisation extraterrestre sera plus avancée que la nôtre
L’auteur de science-fiction David Brin est un franc détracteur du SETI actif. Il se base sur l’histoire de notre propre planète, où les rencontres entre cultures de sophistications technologiques diverses se passent rarement bien. «Nous avons de nombreux exemples de civilisations avancées du point de vue technologique qui sont entrées en contact avec des civilisations moins avancées de ce point de vue-là», dit-il. (On pense aux efforts de colonisation européens en Afrique et aux Amériques.) «Et à chaque fois, cela a été douloureux. Même quand les deux côtés avaient les meilleures intentions du monde.»
Ce schéma s’applique même quand les humains n’entrent pas en jeu, d’après David Brin. Quand ce qu’on appelle aujourd’hui l’Amérique du Nord et l’Amérique du Sud ont été réunies par la tectonique des plaques il y a environ trois millions d’années, les mammifères placentaires du nord et les mammifères marsupiaux du sud ont pu entrer en contact.
«En l’espace d’un million d’années, presque tous les mammifères marsupiaux avaient disparu, dit David Brin. Le contact entre biomes a eu des conséquences majeures en termes d’extinction à chaque fois qu’il a eu lieu sur Terre. Je ne prétends pas que c’est la façon dont les choses vont se dérouler quand nous rencontrerons des extraterrestres –mais cela laisse penser que nous devrions au moins commencer par en discuter.»
Jill Tarter, pionnière du SETI et astronome ayant servi de modèle au personnage principal du Contact de Carl Sagan, est d’accord sur le fait qu’il est prudent d’écouter avant de crier:
«Nous devrions reconnaître l’asymétrie [en termes de sophistication technologique], et permettre aux technologies plus anciennes d’assumer la charge la plus importante, celle de la transmission, dit-elle. En tant que cadets, nous devrions avant tout écouter.»
Beaucoup à gagner en tendant la main
À moins que Douglas Vakoch n’ait raison, et qu’ils attendent de nous entendre. Le cas échéant, et si nous choisissons de rester silencieux, nous passons à côté d’une incroyable occasion. «Peut-être la communication interstellaire est-elle une forme d’échange économique par le biais duquel les civilisations partagent des informations précieuses les unes avec les autres, dans une forme d’altruisme réciproque entre différentes générations», dit-il, ajoutant que des exemples de ce type d’altruisme existent chez différentes espèces animales ici sur Terre.
Seth Shostak, le facétieux astronome à la coupe au bol qui dirige l’Institut, est d’accord pour dire que nous n’avons pas grand-chose à perdre et probablement beaucoup à gagner en tendant la main. D’ailleurs ils savent probablement déjà que nous sommes là: nos programmes de radio et de télévision et nos radars militaires en particulier répandent des informations dans l’espace depuis environ soixante-dix ans, fait remarquer Seth Shostak. On ne peut pas faire machine arrière du point de vue électromagnétique.
«Toute société qui a au moins cent ou deux-cents ans d’avance sur nous sera capable de détecter la fuite, dit Seth Shostak. À moins qu’ils n’aient arrêté de se développer technologiquement –ce qui est bien sûr possible, mais alors ils ne sont pas une menace pour nous.» (Accessoirement, la plaque minéralogique de Seth Shostak affiche SETI GUY [soit le mec du SETI, ndt]; celle de Douglas Vakoch, plus cryptique, dit ASETI, pour Active SETI.)
Le plus probable, c’est qu’ils n’ont aucune idée que nous sommes là
David Brin, auteur de science fiction et titulaire d’un doctorat en sciences planétaires
Mais peut-être n’avons-nous pas encore vendu la mèche: David Brin n’accepte pas la thèse de Shostak selon laquelle «ils» savent déjà que nous sommes là (ce qu’on appelle quelquefois l’excuse de la «porte de l’écurie»[1]. Seth Shostak est trop généreux dans son calcul de notre visibilité depuis des centaines (si ce n’est des milliers) d’années-lumière, dit David Brin, qui est titulaire d’un doctorat en sciences planétaires et a été consultant pour la Nasa. Les signaux terrestres radio et télé, de la série I Love Lucy à ce qui s’échappe de Vandenberg ou de Guantanamo, sont relativement faibles. De plus, les signaux électromagnétiques chutent proportionnellement au carré de la distance (et les extraterrestres, s’ils existent, sont sacrément loin).
Le plus probable, dit Brin, c’est qu’ils n’ont aucune idée que nous sommes là –et cela ne changera pas, à moins qu’on ne se mette à émettre des signaux puissants et dirigés de la façon suggérée par Vakoch. (Les quelques messages en dur que nous avons envoyés –à bord des sondes Pioneer et Voyager, par exemple– sont des coups de poker absolus. Ils contiennent des informations basiques à propos des humains et de notre planète; sur Voyager, il y avait aussi un disque en or avec un échantillon musical allant de Mozart à Chuck Berry, et d’autres messages de Terriens. Ils ne se dirigent vers aucune étoile en particulier et par conséquent risquent de n’être jamais interceptés –mais Voyager 1 se trouvera à deux années lumières d’une étoile nommée Gliese 445 dans à peu près 40.000 ans.)
Comme Christophe Colomb arrivant aux Amériques?
David Brin n’est pas le seul à préconiser la prudence. Plus d’une vingtaine de scientifiques ont signé une prise de position appelant à un moratoire sur le SETI actif en attendant qu’une«discussion scientifique, politique et humanitaire au niveau mondial» ait lieu. Elon Musk, le milliardaire à l’origine de SpaceX, l’a signée; tout comme le chasseur de planètes Geoff Marcy et l’auteur de science fiction à succès Paul Davies. La pétition ne parle pas d’extraterrestres vengeurs et qui bavent –elle note simplement qu’«il est impossible de prédire si [ l’intelligence extraterrestre ] sera bienveillante ou hostile».
Certains, comme le célèbre cosmologue Stephen Hawking, ont été plus directs. Hawking a récemment mis en garde contre la possibilité d’une civilisation extraterrestre avancée, qui ayant épuisé les ressources de sa planète, pourrait «chercher à conquérir et à coloniser toute planète à sa portée». Il cite également l’analogie de Christophe Colomb arrivant aux Amériques, «qui ne s’est pas très bien passée pour les Indiens d’Amérique».
Serons-nous leurs élèves, ou leur déjeuner?
Même si elle paraît clichée, cette bonne vieille histoire de Colomb semble quelquefois avoir le pouvoir de couler le SETI actif. Il s’agit toutefois d’une simplification grossière de l’histoire humaine. Kathryn Denning, anthropologue auprès de l’université de York à Toronto, souligne que tous les contacts interculturels n’ont pas été néfastes. Même l’arrivée des Européens aux Amériques n’a pas été si catastrophique que cela. «De nombreux peuples autochtones du nouveau monde sont toujours bien en vie et connaissent même une certaine croissance, [particulièrement] dans l’hémisphère sud», m’a-t-elle dit récemment. Certes, il y a eu une période agitée; mais plus tard il y a eu «syncrétisme, amitiés, mariages mixtes… un rapprochement progressif de deux sociétés».
Les extraterrestres seront-ils des enseignants bienveillants ou des dirigeants despotiques? Serons-nous leurs élèves ou leur déjeuner? Même si le projet du SETI prétend être ancré dans la science, une grande partie de ce que disent ses fans semble dépendre de si ceux-ci ont grandi avec les envahisseurs armés du Rayon Ardent de La Guerre des mondes ou avec les intellos bien intentionnés de Contact.
1 — Selon le proverbe qui dit qu’«il est trop tard pour fermer l’écurie quand le cheval s’est sauvé» [note du traducteur].
Des spécialistes de l’archéologie martienne déclarent qu’ils ont découvert une soucoupe volante qui s’est écrasée sur la surface de Mars. Les chercheurs basent leur extraordinaire déclaration sur ce qu’ils croient être une preuve extraordinaire contenue dans une série d’images de la surface Martienne qui montrent le site d’un crash présumé vu sous plusieurs angles.
Selon Scott Waring du site UFO Sightings Daily, le site du crash dans la région Candor Chasma de Mars a les coordonnées : 6°25’40.89?S 76°53’48.65? W. Waring décrit les images comme montrant ce qui ressemble à une soucoupe volante qui s’est enfoncée dans le sol en s’écrasant sur Mars. « Cette structure enterrée semble beaucoup avoir atterri sur la surface de Mars. C’est une découverte fantastique d’un vaisseau réel qui s’est écrasé lors de son atterrissage « .
Dans la description de leur chaîne YouTube, les archéologues affirment que les images montrent « des ruines exposées sur Mars causées par le crash d’une soucoupe volante. » Ils suggèrent que le site du crash coïncide avec les ruines antiques qu’un camarade chercheur, George Marquis, identifie comme « une ancienne usine de production, et un secteur de maintenance pour les soucoupes volantes » avec des « Toitures effondrées et des infrastructures en foullis», probablement causés par l’incident du crash. Marquis spécule en outre, sur la base de caractéristiques visibles, que les images révèlent également ce qui « peut avoir été des escaliers ou des escalators donnant accès aux différents niveaux. »
Un autre spectateur de YouTube, sans doute aussi un chercheur d’anomalie martienne, ajoute que «cela ressemble vraiment à un site de l’accident, avec l’objet rond enfoncé et la trace derrière lui. Mais cela pourrait être une sorte de structure souterraine ou un canal. » Le scénario construit par les chercheurs d’anomalies martiennes est celui dans lequel un pilote de soucoupe volante s’approche de l’entrée d’une installation souterraine, mais perd le contrôle et s’écrase dans l’entrée provoquant un dommage partiel et l’effondrement du bâtiment.
A en juger par la fréquence de la découverte des sites de crash d’OVNI par les chercheurs d’anomalies martiennes, nous croyons que la planète Mars a été la plaque tournante des itinéraires de vol interplanétaires par le passé.
Remarque de Ken:
J’ ai trouvé beaucoup de choses étranges sur la Lune et Mars incluant deux de mes conclusions qui prouvent qu’il y a quelque chose de très étrange sur Mars et je pense que c’est une preuve de civilisations passées. J’ai aussi inclus mes conclusions sur la Lune et Saturne.
Crédit imageKen Pfeifer – world Ufo Photos and News
Crédit image Ken Pfeifer – world Ufo Photos and News
Crédit image Ken Pfeifer – world Ufo Photos and News
Crédit imageKen Pfeifer – world Ufo Photos and News
Crédit photo : Ken Pfeifer – World Ufo Photos and News
Un physicien avance une théorie très étrange sur la disparition de la vie sur Mars. Il pense qu’une guerre nucléaire a eu lieu entre deux colonies d’extraterrestres. meltyDiscovery vous en dit plus sur cette hypothèse rocambolesque
En 1895, un scientifique affirme que les lignes sur la planète Mars sont des canaux, en 1924 ce sont des phrases que l’on croit avoir intercepté…Si le fantasme des petits hommes verts nourrit aujourd’hui uniquement la science fiction, l’arrivée de deux sondes en orbite autour de Mars cette semaine révèle la permanence de la fascination pour une vie extra-terrestre. Is there life on Mars?
En 1957, Marius Dewilde raconte à la radio française sa rencontre bien réelle avec des extraterrestres dans son jardin du nord de la France, affirmant même avoir pu échanger quelques mots en Asiatique avec l’un d’entre eux (Boukak! Boukak!).
Les petits hommes verts ou des animaux vivent sur Mars…
Les petits hommes verts, les martiens… Voilà qui excite les imaginaires depuis bien longtemps. Mais d’autant plus depuis que Lowell, en 1895, a détecté les lignes parfaitement rectiligne caractéristiques de la planète Mars. Selon lui, il ne pouvait s’agir que de canaux réalisés par des sortes d’hommes. En 1924, on a cru intercepter des messages venus tout droit de Mars. Des phrases même, peut-être !
La littérature (soyons à George Orwell et sa guerre des mondes), le cinéma… Même les dessins animés se sont emparés avec délice de cette possible vie extraterrestre sur une planète qui ressemble tant à la notre.
Alors bien sûr, déjà en 1946, personne ne s’attend à trouver sur Mars les petits hommes verts popularisés dans les années 90 par Toy Story, mais les scientifiques envisageaient sérieusement la présence de végétaux, et même d’animaux.
Et l’astronome Jean Dragesco faisait parti de ceux-là.
On devra se contenter des microbes
Toutefois, deux décennies plus tard, la sonde Mariner 4 envoyée par la NASA, première sonde à survoler Mars, vient doucher l’enthousiasme de beaucoup. En juillet 1965, alors très jeune journaliste, François de Closets est formel, l’absence de champ magnétique sur la planète rouge annihile les chances d’y trouver une forme de vie intelligente. Si vie il y a, c’est une vie microbienne, la seule capable de se développer dans ces conditions.
Mars continue cependant à nous attirer comme un aimant. Pour preuve, cette semaine, deux sondes ont été mises en orbite autour de la planète rouge. L’une est Américaine. L’autre est Indienne. Et les deux ont pour mission de déterminer si oui ou non, notre voisine abrite des formes microbiennes de vie.
« Nos sites web fonctionnent actuellement au ralenti, nous sommes en congé.Veuillez nous excuser pour vos commentaires validés tardivement. N’hésitez pas à visiter pleinement nos rubriques.
Les recherches continuent de notre côté également, nous gardons un oeil sur l’actualité, en ce sens cet article de la voix de la Russie permets un suivi de l’exploration spatiale l’ une des disciplines phare pour l’ufologie. A ce titre nous restons attentifs aux événements.«
Article source:french.ruvr.ru/
Le: 10 mai 2014
Par La Voix de la Russie | Des micro-organismes, capables de revivre après décongélation, ont été découverts sur Mars, selon les affirmations d’un certain nombre de chercheurs.
Ces micro-organismes mystérieux auraient été découverts dans un cratère de la planète Rouge, selon les médias étrangers. Selon les chercheurs, les micro-organismes pourraient être viables, car lors du gel de la planète sous l’effet d’un liquide froid, les températures auraient pu être plus élevées à l’intérieur du cratère. T Source:
Mise à jourArea 51 Blog, le: 12/05/2014 à : 10h25.
La vie sur Terre se serait-elle développée grâce à la planète rouge ? C’est en tout cas la théorie (un peu folle) que développe Steven Brenner, enseignant à l’Institut Westheimer de Gainesville. Selon lui, la vie a pu se développer sur Terre grâce à un morceau de métal arrivé tout de droit de la planète Mars.
Et si les martiens étaient finalement nos ancêtres ? Si l’on en croit la théorie (un peu loufoque) défendue par Steven Brenner, enseignant à l’Institut Westheimer de Gainesville, la vie sur Terre aurait été possible grâce à un morceau de métal venu tout droit de la planète Mars grâce à une météorite.
Ce morceau de métal sans doute bientôt aussi connu que la Kryptonite se nomme molybdène et n’était pas présent sur Terre lors de l’apparition des premières formes de vie. « C’est seulement lorsque le molybdène est très oxydé qu’il devient capable d’influencer la formation d’une vie primitive », explique l’enseignant.
Steven Brenner va plus loin en affirmant que la vie ce serait en réalité développée sur Mars avant de venir sur Terre grâce à la chute d’une météorite, événement fréquent à cette époque. « Il semble qu’on accumule les preuves selon lesquelles nous sommes en réalité tous des Martiens », poursuit le chercheur qui estime d’ailleurs que le hasard a bien fait les choses car la Terre est nettement plus propice au développement de la vie que ne l’est la planète Mars, particulièrement inhospitalière.
Bien conscient de défendre une théorie en laquelle peu de personnes vont croire, Brenner a ajouté qu’il allait sans doute recevoir des objets durant sa présentation en guise de protestation !
Alors que la NASA , l’ESA , la Russie et la Chine envisagent prochainement de renvoyer des hommes sur la Lune, diverses entreprises de tourisme spatial sont à pied d’oeuvre pour exploiter l’univers. La plus étonnante d’entre elles annonce proposer des voyages sur Mars d’ici 2018.
Dans moins de 5 ans, il sera possible de réserver ses billets pour mars, du moins si l’on en croit Dennis Tito. Son nom résonne peut-être comme un écho pour certains puisqu’il s’agit là du tout premiertouriste de l’espace, qui s’était invité en orbite il y a un peu moins de 12 ans.
À l’origine de la création d’une nouvelle société baptisée Inspiration Mars Foundation, l’ingénieur et entrepreneur fortuné annonce envoyer une mission habitée sur Mars permettant de faire l’aller-retour vers la planète rouge en 501 jours seulement, et ce, dès janvier 2018.
photo Robinson-vetulet 2009 ELTE FFI PM
Un projet ambitieux si l’on constate qu’il aura fallu près de 10 ans pour Elon Musk et SpaceX pour réussir à envoyer des navettes vers l’ISS, et que la NASA elle-même n’envisage pas de mission habitée vers le sol martien avant plusieurs dizaines d’années.
En 2001, Dennis Tito avait déboursé pas moins de 20 millions de dollars pour s’offrir un petit voyage dans l’espace à bord d’une fusée russe. Aucun tarif n’est actuellement annoncé concernant le voyage vers Mars, mais une conférence de Presse devant présenter davantage le projet devrait se tenir le 27 février prochain.
La société est à priori sérieuse, puisqu’elle affiche un partenariat avec Taber MacCallum et Jane Poynter de Paragon Space Development Corporation, une société qui fabrique des systèmes d’assistance et de protection pour les environnements extrêmes et l’espace.
Mise à jour Aréa 51 Blog , le: 03/08/2013 à : 07h55.