Pour bien débuter le Week-end, je vous partage cette interview de Gary Mc Kinnon trouvée sur le site ufosecret.com. L’information n’est pas nouvelle puisque c’est en 2006 que Kerry Cassidy (lanceuse d’Alerte, Contactée, Sociologue et Journaliste, fondatrice du Projet Camelot) a interrogé le hacker britannique accusé par les États-Unis d’avoir réussi le « plus grand piratage informatique militaire de tous les temps ». Je pense néanmoins qu’elle est intéressante à voir ou à revoir, en plus elle est sous titrée en Français. La première vidéo dure 15 mn environ et contient des extraits, tandis que la deuxième contient l’intégralité de l’interview et dure 50 mn.
Bon visionnage et bonne fin de semaine à tous 🙂
Amicalement
Era
En 2001 et 2002, Gary McKinnon a réussi à pénétrer dans des ordinateurs appartenant à la NASA, à la Navy et au Pentagone. Cherchant à prouver l’existence des OVNIS et de l’énergie libre, il a finit par découvrir que la NASA cache systématiquement des preuves au public et que les Américains auraient un programme spatial secret (officiers non-terrestres) avec de la technologie antigravité…
Un article du NUFORC – Traduction Era pour Area51blog
General Ben Chidlaw
Timothy Good écrit : « La destruction ou la disparition d’avions militaires au cours des interceptions d’ovnis ont continué au même rythme. » Comme le général Benjamin Chidlaw, ancien général commandant du Commandement de la défense aérienne a déclaré à Robert C. Gardener (ex USAF) en 1953: « Nous avons empilé des rapports sur les soucoupes volantes. Nous les prenons au sérieux, si l’on considère que nous avons perdu beaucoup d’hommes et d’avions qui tentaient de les intercepter. « Leonard Stringfield, un ancien officier des renseignement de l’Armée de l’air a été informé par une source fiable dans les années 1950 que l’Air Force perdait à peu près un avion par jour en lien avec les ovnis” « Stringfield a été informé de manière fiable. Selon les chiffres du ministère américain de la Défense, de 1952 jusqu’à la fin de Octobre 1956, il y a eu 18 662 accidents majeurs des avions militaires, répartis comme suit:
Année – armée de l’air – Pertes de la Marine
1952 2,274 2,086
1953 2,075 2,325
1954 1,873 1,911
1955 1,664 1,566
1956 1,530 1,358
Sur ce total étonnant d’accidents, la plupart impliquaient de nouveaux avions à réaction rapides, (comme ceux qu’on envoyait pour intercepter les OVNIS) , dont 56.2 pour cent d’entre eux furent causés par une erreur de pilotage; 8.1 pour cent par l’équipage au sol ou d’autres ratés du personnel; 23.4 pour cent par la défaillance de pièces et d’équipement dans l’aéronef; 2,8 pour cent par diverses «conditions dangereuses», et -9,5 pour cent (1773) étaient dus à des «facteurs inconnus». Metrci au livre de Timothy Good “Need to Know” (Besoin de Savoir) P.172
Commentaires de l’éditeurP.172: Lorsque j’ai pris en chasse un OVNI nous avons dépassé de 20 noeuds la limite de vitesse de vol de l’avion marquée par une ligne rouge. Dans l’excitation de la chasse, il est facile de dépasser les capacités des aéronefs et souvent une pièce de l’avion peut avoir une défaillance. Il y a beaucoup de récits propos de lancement de missiles et de tirs directs sur les ovnis qui restaient sains et saufs , et qui retournaient le feu et détruisaient l’intercepteur.
Je vous partage cet article qui nous est proposé par Patrick D et publié sur Slate, dont le but est de susciter le débat sur le bien fondé ou non de provoquer la rencontre avec nos co-locataires de l’univers. Après la lecture du texte, je vous propose de donner votre avis dans le sondage en bas de page.
Les Terriens font-ils bien d’attendre (dans le silence) qu’une intelligence extraterrestre les contacte ou devraient-ils entamer activement la conversation? Le débat scientifique sur la question est épineux.
Cela fait maintenant plus de cinquante ans que les astronomes ont lancé la première tentative pour faire la chasse aux signaux radio de civilisations extérieures à notre système solaire de façon systématique –une quête connue sous le nom de recherche d’une intelligence extraterrestre, ou SETI, pour Search for Extra-Terrestrial Intelligence. Au cours de cette période, nos télescopes n’ont eu droit qu’à un silence assourdissant –ce qui a conduit certains scientifiques à se demander s’il ne serait pas temps que les Terriens prennent l’initiative d’entamer la conversation.
Les partisans d’un «SETI actif» sont de l’avis que, plutôt que de chercher à entendre les signaux d’une intelligence extraterrestre de façon passive, nous devrions être en train d’essayer d’atteindre nos voisins de galaxie de façon active –que nous devrions utiliser nos émetteurs radio les plus puissants (tels que le radiotélescope géant d’Arecibo, sur l’île de Porto Rico) pour envoyer des messages en direction des étoiles les plus proches.
«Par le passé nous sommes toujours partis du principe qu’une civilisation extraterrestre capable de nous détecter prendrait automatiquement l’initiative d’entrer en contact avec nous, en nous envoyant un signal puissant pour nous faire savoir qu’elle existait, dit Douglas Vakoch, de l’Institut SETI, à Moutain View, en Californie, et l’un des principaux partisans d’un SETI Actif. Mais peut-être qu’il y a des civilisations qui n’accepteront de révéler leur existence que si nous disons clairement que nous cherchons le contact.»
Le SETI actif a toujours été une question épineuse. En 2006, l’Académie internationale d’astronautique a réuni un comité autour du SETI –mais quand le groupe a refusé de faire pression pour bannir les transmissions proactives, deux de ses membres et pas des moindres, John Billingham, alors directeur du SETI, et Michael Michaud, ont démissionné. Même le comité éditorial du prestigieux journal Nature a émis une mise en garde disant que«le risque posé par un SETI actif [était] réel»:
«Il ne va pas de soi que toutes les civilisations extraterrestres sont bienveillantes –ou que, même avec une civilisation bienveillante, le contact n’aurait pas de sérieuses répercussions pour les gens ici sur Terre».
Le débat a repris en février, lors du rendez-vous annuel de l’Association américaine pour l’avancement de la science, qui se tenait à San José. Douglas Vakoch, directeur de l’Interstellar Message Composition au SETI, a organisé un symposium et une conférence de presse pour parler du SETI actif dans le cadre de l’événement; plus tard dans la semaine, il a tenu à l’Institut une journée d’atelier –et la discussion était là encore animée.
Technologie plus avancée, risque plus grand
Ce sur quoi tout le monde est d’accord –et c’est à peu près la seule chose sur laquelle il y a consensus–, c’est qu’il est probable que toute civilisation extraterrestre que nous trouverons sera plus avancée que la nôtre. (C’est une simple question de statistiques: nous n’avons que quelques centaines d’années en tant qu’espèce industrielle avancée, alors que la galaxie est là depuis treize milliards d’années; les extraterrestres que nous rencontrerons seront sans doute beaucoup plus vieux que nous, et en principe par conséquent largement en avance sur nous.) Technologie plus avancée, risque plus grand.
Toute civilisation extraterrestre sera plus avancée que la nôtre
L’auteur de science-fiction David Brin est un franc détracteur du SETI actif. Il se base sur l’histoire de notre propre planète, où les rencontres entre cultures de sophistications technologiques diverses se passent rarement bien. «Nous avons de nombreux exemples de civilisations avancées du point de vue technologique qui sont entrées en contact avec des civilisations moins avancées de ce point de vue-là», dit-il. (On pense aux efforts de colonisation européens en Afrique et aux Amériques.) «Et à chaque fois, cela a été douloureux. Même quand les deux côtés avaient les meilleures intentions du monde.»
Ce schéma s’applique même quand les humains n’entrent pas en jeu, d’après David Brin. Quand ce qu’on appelle aujourd’hui l’Amérique du Nord et l’Amérique du Sud ont été réunies par la tectonique des plaques il y a environ trois millions d’années, les mammifères placentaires du nord et les mammifères marsupiaux du sud ont pu entrer en contact.
«En l’espace d’un million d’années, presque tous les mammifères marsupiaux avaient disparu, dit David Brin. Le contact entre biomes a eu des conséquences majeures en termes d’extinction à chaque fois qu’il a eu lieu sur Terre. Je ne prétends pas que c’est la façon dont les choses vont se dérouler quand nous rencontrerons des extraterrestres –mais cela laisse penser que nous devrions au moins commencer par en discuter.»
Jill Tarter, pionnière du SETI et astronome ayant servi de modèle au personnage principal du Contact de Carl Sagan, est d’accord sur le fait qu’il est prudent d’écouter avant de crier:
«Nous devrions reconnaître l’asymétrie [en termes de sophistication technologique], et permettre aux technologies plus anciennes d’assumer la charge la plus importante, celle de la transmission, dit-elle. En tant que cadets, nous devrions avant tout écouter.»
Beaucoup à gagner en tendant la main
À moins que Douglas Vakoch n’ait raison, et qu’ils attendent de nous entendre. Le cas échéant, et si nous choisissons de rester silencieux, nous passons à côté d’une incroyable occasion. «Peut-être la communication interstellaire est-elle une forme d’échange économique par le biais duquel les civilisations partagent des informations précieuses les unes avec les autres, dans une forme d’altruisme réciproque entre différentes générations», dit-il, ajoutant que des exemples de ce type d’altruisme existent chez différentes espèces animales ici sur Terre.
Seth Shostak, le facétieux astronome à la coupe au bol qui dirige l’Institut, est d’accord pour dire que nous n’avons pas grand-chose à perdre et probablement beaucoup à gagner en tendant la main. D’ailleurs ils savent probablement déjà que nous sommes là: nos programmes de radio et de télévision et nos radars militaires en particulier répandent des informations dans l’espace depuis environ soixante-dix ans, fait remarquer Seth Shostak. On ne peut pas faire machine arrière du point de vue électromagnétique.
«Toute société qui a au moins cent ou deux-cents ans d’avance sur nous sera capable de détecter la fuite, dit Seth Shostak. À moins qu’ils n’aient arrêté de se développer technologiquement –ce qui est bien sûr possible, mais alors ils ne sont pas une menace pour nous.» (Accessoirement, la plaque minéralogique de Seth Shostak affiche SETI GUY [soit le mec du SETI, ndt]; celle de Douglas Vakoch, plus cryptique, dit ASETI, pour Active SETI.)
Le plus probable, c’est qu’ils n’ont aucune idée que nous sommes là
David Brin, auteur de science fiction et titulaire d’un doctorat en sciences planétaires
Mais peut-être n’avons-nous pas encore vendu la mèche: David Brin n’accepte pas la thèse de Shostak selon laquelle «ils» savent déjà que nous sommes là (ce qu’on appelle quelquefois l’excuse de la «porte de l’écurie»[1]. Seth Shostak est trop généreux dans son calcul de notre visibilité depuis des centaines (si ce n’est des milliers) d’années-lumière, dit David Brin, qui est titulaire d’un doctorat en sciences planétaires et a été consultant pour la Nasa. Les signaux terrestres radio et télé, de la série I Love Lucy à ce qui s’échappe de Vandenberg ou de Guantanamo, sont relativement faibles. De plus, les signaux électromagnétiques chutent proportionnellement au carré de la distance (et les extraterrestres, s’ils existent, sont sacrément loin).
Le plus probable, dit Brin, c’est qu’ils n’ont aucune idée que nous sommes là –et cela ne changera pas, à moins qu’on ne se mette à émettre des signaux puissants et dirigés de la façon suggérée par Vakoch. (Les quelques messages en dur que nous avons envoyés –à bord des sondes Pioneer et Voyager, par exemple– sont des coups de poker absolus. Ils contiennent des informations basiques à propos des humains et de notre planète; sur Voyager, il y avait aussi un disque en or avec un échantillon musical allant de Mozart à Chuck Berry, et d’autres messages de Terriens. Ils ne se dirigent vers aucune étoile en particulier et par conséquent risquent de n’être jamais interceptés –mais Voyager 1 se trouvera à deux années lumières d’une étoile nommée Gliese 445 dans à peu près 40.000 ans.)
Comme Christophe Colomb arrivant aux Amériques?
David Brin n’est pas le seul à préconiser la prudence. Plus d’une vingtaine de scientifiques ont signé une prise de position appelant à un moratoire sur le SETI actif en attendant qu’une«discussion scientifique, politique et humanitaire au niveau mondial» ait lieu. Elon Musk, le milliardaire à l’origine de SpaceX, l’a signée; tout comme le chasseur de planètes Geoff Marcy et l’auteur de science fiction à succès Paul Davies. La pétition ne parle pas d’extraterrestres vengeurs et qui bavent –elle note simplement qu’«il est impossible de prédire si [ l’intelligence extraterrestre ] sera bienveillante ou hostile».
Certains, comme le célèbre cosmologue Stephen Hawking, ont été plus directs. Hawking a récemment mis en garde contre la possibilité d’une civilisation extraterrestre avancée, qui ayant épuisé les ressources de sa planète, pourrait «chercher à conquérir et à coloniser toute planète à sa portée». Il cite également l’analogie de Christophe Colomb arrivant aux Amériques, «qui ne s’est pas très bien passée pour les Indiens d’Amérique».
Serons-nous leurs élèves, ou leur déjeuner?
Même si elle paraît clichée, cette bonne vieille histoire de Colomb semble quelquefois avoir le pouvoir de couler le SETI actif. Il s’agit toutefois d’une simplification grossière de l’histoire humaine. Kathryn Denning, anthropologue auprès de l’université de York à Toronto, souligne que tous les contacts interculturels n’ont pas été néfastes. Même l’arrivée des Européens aux Amériques n’a pas été si catastrophique que cela. «De nombreux peuples autochtones du nouveau monde sont toujours bien en vie et connaissent même une certaine croissance, [particulièrement] dans l’hémisphère sud», m’a-t-elle dit récemment. Certes, il y a eu une période agitée; mais plus tard il y a eu «syncrétisme, amitiés, mariages mixtes… un rapprochement progressif de deux sociétés».
Les extraterrestres seront-ils des enseignants bienveillants ou des dirigeants despotiques? Serons-nous leurs élèves ou leur déjeuner? Même si le projet du SETI prétend être ancré dans la science, une grande partie de ce que disent ses fans semble dépendre de si ceux-ci ont grandi avec les envahisseurs armés du Rayon Ardent de La Guerre des mondes ou avec les intellos bien intentionnés de Contact.
1 — Selon le proverbe qui dit qu’«il est trop tard pour fermer l’écurie quand le cheval s’est sauvé» [note du traducteur].
Note Era Admin : Je vous partage cette info envoyée par Patrick D, avec un peu de retard, étant depuis deux semaines chez Sylvain en Saône et Loire, j’ai un peu « déconnecté » d’internet, sans pour autant laisser de côté l’ufologie puisque nous avons fait d’avantage de terrain.
Article source : Atlantico.fr
Andrew Danziger a piloté à plusieurs reprises l’avion du président américain lors de la campagne présidentielle de 2008. Interrogé par la presse, il a récemment confié en avoir vu un en plein vol.
crédit image : Atlantico.fr
Andy Danzinger, l’un des pilotes de Barack Obama, est loin d’être un illuminé de plus qui affirme que les extra-terrestres existent. En effet, il est l’un de ceux qui pilotait l’avion officiel du chef de l’Etat américain lors de la campagne présidentielle de 2008. Il a ainsi expliqué au New York Daily News qu’en 1989 il a croisé un objet volant non identifié.
Et de raconter que cette rencontre fortuite s’est déroulée en pleine nuit, mais par temps clair, donc avec une bonne visibilité.
Il était alors co-pilote sur un vol du Kansas vers l’Iowa. Pour les plus sceptiques, l’homme apporte des détails sur cette observation de 20-30 minutes : un disque blanc serait d’abord apparu pour devenir une grande sphère rouge flamboyante. Il volait à côté de l’appareil présidentiel.
Les pilotes, témoins de cette scène, auraient alors interrogé les contrôleurs aériens pour savoir si un vol « suspect » avait été repéré. Mais rien à signaler sur les écrans radar. Pris au sérieux par le National UFO Reporting Center, ils ont témoigné de ce qu’ils avaient vu.
Mais, plus tard, pour éviter d’être considéré comme un farfelu qui croit en l’existence de petits hommes verts, Andy Danziger avait évité d’évoquer cet épisode au sein des compagnies aériennes où il avait travaillé. Mais de très nombreux autres sont convaincus de l’existence des OVNI. Ainsi, il y a quelques années, le pilote de chasse Jack Krine a lui aussi témoigné à plusieurs reprises dans les médias français et son récit présente de nombreuses similitudes avec celui d’Andy Danziger.
Résumé traductionsylv1 à l’aide de traduction en ligne
Selon le témoin ( récit) : « Sur un voyage en voiture récent aux environs de Las Vegas, ma curiosité pour des choses inhabituelles m’a mené vers le Nord sur la l’Autoroute 375.Cette route (l’autoroute) est « tristement célèbre « pour les rapports des lumières (feux) étranges et observations d’OVNI en raison de sa proximité proche de la légendaire zone 51. Mes intentions se vantaient simplement pour avoir conduit (roulé) vers la célèbre » route d’ ET , » …. » La Mission accomplie, derrrière moi je quitte cette route sombre » pour un retour à la civilisation ».(la promenade en voiture) très ordinaire pour la plupart, mais la vidéo montre que les choses sont devenues plus intéressantes lorsque je me suis approché de la fin du trajet (au bout de la route.) »
« Les chasseurs d’OVNI de la célébre série ufologique aborde cette zone qui a beaucoup fait paler d’elle, alors vu que le site Area 51 Blog s’en inspire de part le nom, ce reportage doit y figurer, bon visionnage.«
Le site ovnis USA revient sur la supposée rencontre en 1954 entre le Président Eisenhower et des extraterrestres sur la base Air Force d’Holloman au Nouveau-Mexique : Henry W. McElroy Jr, ex-député de l’État du New Hampshire a déclaré cette semaine que l’ancien président américain avait été informé de la présence sur Terre d’êtres intelligents d’origine extraterrestre. McElroy raconte aussi que le document qu’il a vu à l’Assemblée Législative de l’État mentionne l’opportunité qu’avait eue Eisenhower de rencontrer ces visiteurs.
J’ai reçu hier un courriel d’un jeune scénariste, David Coho, qui vient de signer un contrat avec une société de production quebecoise qui doit réaliser son long métrage dont le titre est : AREA51.
Le scénario se base sur un dossier très détaillé de près de 500 pages (témoignages, photos…). Enfin un film pour parler de la vérité en image !
Histoire :
A environ 190 kilomètres au nord-ouest de Las Vegas en plein désert du Nevada se trouve la base militaire la plus secrète du monde. Elle s’étend sur quelque 40000 kilomètres carrés. Nous sommes en février 1994, Hank DAWSON conduit sur la route 375. C’est un homme de service agé de 45 ans. Il a été d’affecté au poste de sécurité numéro 5 sur le périmètre extérieur de la base militaire. Joe Mac Alone est son supérieur hiérarchique. Il travaille sur la base depuis environ 40 ans tout comme le colonel Joseph ZIMMERMAN qui supervise l’expérience secrète menée sur la zone 51.
Une nuit, trois adolescents pénètrent en secret à l’intérieur de la zone avec un caméscope et activent l’alarme générale.
Hank se rue à leur poursuite et pénètre à son tour dans la zone réglementée. Il découvrira les secrets enfermés dans la base militaire et surtout, l’enfer de découvrir que lui-même est une pièce de ces secrets!
La chercheuse Liliana Núñez Orellana (anciennement avec l’AFLA) nous a envoyé une vidéo de la télévision Chilienne affichant certaines des images vraiment surprenantes prises avant, pendant et après le séisme de magnitude 8,8 dans ce pays. Rodrigo Fuenzalida et Alberto Urquiza ont été interviewés pour cette présentation. M. Fuenzalida, a été invité à fournir une analyse de la situation, et il a partagé une théorie intéressante: que les OVNIS, quelle que soit leur nature ou leur origine, quittent leurs repaires souterrains ou sous l’eau avant un tremblement de terre un peu à la manière dont nos propres navires de surface quittent la mer avant un ouragan.
Les photographies d’ovnis seront toujours un sujet de discorde mais nous sommes heureux de partager ces captures vidéo avec les lecteurs.
Cette vidéo inexpliquée d’un OVNI capturée par un hélicoptère de la police a déjoué les experts et a fait un buzz sur Internet. Les images en infrarouge montrent un objet sphérique se déplaçant à toute vitesse dans le ciel de Los Angeles. La vidéo montre également du liquide qui sort de l’arrière du mystérieux engin. L’OVNI a été filmé par la police de Long Beach le jour de Noël en 2004. Mais aucun officier n’a jamais commenté l’étrange évènement en Californie. La vidéo a été vue plus de 150.000 fois sur YouTube. L’ancien expert en ovnis du ministère de la Défense Nick Pope a déclaré: «C’est bizarre et en dépit des théories concurrentes, ça reste en suspens. « Les sceptiques disent que c’est la combustion des débris spatiaux dans l’atmosphère, ou une fusée militaire sur un parachute, avec des cendres chaudes qui s’en détachent.Les croyants disent que c’est un vaisseau spatial extraterrestre libérant des sondes.