Tom C. Lethbridge – Le Pouvoir du Pendule – Le spectre de fréquence de la réalité, les autres dimensions, et la mémoire de l’eau

22/03/2013

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Article source: newsoftomorrow.org 14 mars 2013 | Publié dans: Géobiologie.

Les recherches de T. C. Lethbridge sont extrêmement intéressantes. Vous trouverez une étude très approfondie sur ce blog. Par ailleurs, Laura Knight-Jadczyk a écrit dans l’Histoire secrète du Monde (p.390 sqq) :

« La Technologie de la Pierre et T.C. Lethbridge

Pour en revenir à nos pierres et à notre envie de savoir s’il existe l’une ou l’autre indication que celles-ci impliquaient une quelconque technologie, notons tout d’abord que l’archéologue T.C. Lethbridge ayant placé un jour une main sur une de ces pierres, éprouva une forte sensation de picotement, comme un choc électrique, et la grande et lourde pierre parut s’ébranler violemment.

De nombreuses autres personnes ont ressenti un choc lorsqu’elles ont placé leurs mains sur certaines pierres, et des photographies ont, à l’occasion, montré d’inexplicables rayonnements lumineux émanant de ces pierres.
L’examen montre que sur beaucoup de ces mégalithes sont gravés des “coupes et des anneaux”: des cercles concentriques et des “couloirs” ou sillons. La première impression devant ces dessins est qu’ils représentent des circuits imprimés tels qu’utilisés dans les ordinateurs.

Dans le mythe grec il est dit que les murs de Thèbes avaient été construits grâce à l’habileté d’un musicien nommé Amphion et au son de sa lyre. Il jouait de la lyre d’une manière telle que les pierres se déplaçaient.
Le mythe phénicien parle du dieu Ouranos qui faisait bouger les pierres comme si elles avaient une vie propre. Voilà l’une des nombreuses traditions dans le monde, selon laquelle différentes sortes de sons étaient utilisées pour faire lever et déplacer de grosses pierres.

Les pierres pourraient avoir une autre propriété intéressante qui mérite des recherches sérieuses. En 1982, Tafter, le propriétaire de la « Prince of Wales Inn » (Auberge du Prince de Galles) à Kenfig dans le Mid-Glamorgan, Pays de Galles, se plaignit d’une musique d’orgue et de voix qui le gardait éveillé la nuit.
Pour étudier le problème, John Marke, ingénieur électricien, et Allan Jenkins, chimiste industriel, connectèrent un soir des électrodes aux murs du pub, après la fermeture.
Ils envoyèrent 20.000 volts dans les électrodes et enfermèrent des enregistreurs dans la pièce pendant quatre heures. Lorsque les bandes furent analysées, il fut constaté qu’elles avaient enregistré des voix parlant en vieux gallois, de la musique d’orgue, et le tic-tac d’une horloge. Il se fait qu’il n’y avait pas d’horloge dans la salle à cette époque. Il a été suggéré que les pierres du mur contenaient des substances semblables à celles qui se trouvent dans les bandes d’enregistrement actuelles.

Cette dernière remarque à propos “d’enregistrements” dans la pierre nous fait penser à un autre point intéressant.
Tom C. Lethbridge, l’archéologue mentionné plus haut (et qui est devenu par la suite Directeur des Fouilles de la Société des Experts en Antiquités de Cambridge, et Directeur du Musée d’Archéologie et d’Ethnologie de l’Université ), a écrit de nombreux excellents ouvrages formant un ensemble considéré comme l’une des plus fascinantes collections jamais compilées de comptes rendus de recherche dans le domaine du paranormal. 
Depuis quelques années, Lethbridge commence à être apprécié à sa juste valeur.

Combinant les compétences d’un scientifique avec un esprit totalement ouvert, il a mené une série d’expériences qui l’ont convaincu de l’existence de mondes hyperdimensionnels qui interagissent dynamiquement avec le nôtre.

Colin Wilson a dit de lui que c’était un homme dont les talents étaient très en avance sur son temps et l’a considéré comme l’un des esprits les plus remarquables et originaux dans le domaine de la parapsychologie.
Nous approuvons sans réserves et recommandons chaleureusement son oeuvre au lecteur.
Au cours des dix dernières années, et peut-être même davantage, l’oeuvre de Lethbridge nous a servi de plate-forme pour de nombreuses spéculations fructueuses à propos des réalités hyperdimensionnelles. (voir la suite ici).

Laura Knight-Jadczyk écrit dans ce chapitre que le pendule (ou baguette) semble être « connecté » au mental de celui qui l’utilise, et qu’ainisi Lethbridge découvrait des objets cachés, etc. Il découvrit alors que la longueur du fil du pendule correspondait à des fréquences différentes.

« La longueur d’onde de l’eau, par exemple, était différente de celle du métal. (…) Il était capable de détecter non seulement des minéraux, mais aussi des choses abstraites comme la colère, la mort, la tromperie, le sommeil, les couleurs, les genres (mâle ou femelle). Après une longue série d’expériences par essais et erreurs, il rédigea une table de mesures très précises montrant, par exemple, qu’une longueur de 22 pouces (55 cm) révèle l’existence d’argent ou de plomb, tandis que le fer demande une longueur de 32 pouces (80 cm), mais pour le soufre il n’en faut que 7 (17,5 cm). Plus étrange encore, le pendule réagit à différentes émotions et attributs, avec des longueurs différentes : pour les éléments féminins la longueur du cordon doit être de 29 pouces (72,5 cm), pour les éléments masculins elle doit être de 24 pouces (80 cm), qu’il s’agisse d’objets ou de restes humains ou animaux. Les détails de ses expériences sont absolument fascinants. (…)

D’où vient le pouvoir de travailler au pendule ? Lethbridge pensait qu’il pourrait s’agir de quelque chose d’invisible et d’intangible, une partie de nous-mêmes qui en sait bien plus que nous. (…) »

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« Grâce à de nombreuses expériences, Lethbridge établit que la « fréquence » de la mort et de la colère violente était à 40 pouces (un mètre). Et il découvrit que cette longueur est aussi la fréquence du froid et du noir. En effet, les couleurs ont des fréquences. Le gris est de 22 pouces (55 cm, ce qui n’est pas surprenant, puisque le gris est également la couleur de l’argent et du plomb. Pour le jaune c’est 29 pouces (72,5 cm) et pour le vert : 30 pouces (75 cm).

Après des mois d’expériences, Lethbridge avait mis au point sa table des fréquences, et découvert que 40 pouces représentait une sorte de limite. Toutes les substances simples qu’il avait testées correspondaient à des longueurs de zéro à 40 pouces. C’est alors qu’il découvrit quelque chose de curieux : le soufre réagit à un pendule dont le cordon est de 7 pouces (17,5 cm); s’il allongeait le cordon du pendule jusqu’à 47 pouces (117,5 cm), le pendule réagissait encore au soufre, mais pas directement au-dessus de cette substance. Il n’y réagissait que faiblement sur un côté. Il se rendit compte que cela était vrai pour tout ce qu’il avait testé et qui réagissait à plus de 40 pouces : il y avait une réaction, mais seulement à côté. Il remarqua encore une autre chose étrange : au-delà de 40 pouces, il n’y avait pas de fréquence pour le concept de temps. Le pendule ne réagissait tout simplement pas. Lethbridge réalisa qu’il mesurait en fait une autre dimension. Cependant, quand il allongea le cordon du pendule à 80 pouces (2 mètres), il y eut une réponse à l’idée de temps. Lethbridge médita sur cette énigme, et émit finalement la théorie que, dans le monde d’au-delà de 40 pouces, le pendule est dans le temps lui-même, et que c’est pour cette raison qu’il n’y a pas de réaction au concept. Mais, au-delà de cela, il y a d’autres « mondes » où l’idée de temps existe, dans un autre monde « au-delà de la mort ».

Lethbridge découvrit que s’il allongeait encore le cordon au-delà de 80 pouces il obtenait toujours le même résultat, comme s’il y avait encore une autre dimension. Lethbridge réalisa qu’il avait découvert des mondes mondes d’autres dimensions, en dehors des limites spatio-temporelles, et supposa que nous ne pouvons pas les percevoir parce que notre corps physique est un détecteur limité.

Tom Lethbridge poursuivit ses expériences et détermina que le monde du niveau « jouxtant le nôtre » est un monde où les vibrations énergétiques sont quatre fois plus rapides que celles de notre monde. L’effet d’une rencontre avec cette réalité peut être comparé à un train rapide dépassant un train lent. Bien qu’ils avancent tous deux dans la même direction, le train lent paraît aller à reculons. Ce monde hyperdimensionnel se trouve tout autour de nous, mais nous sommes incapables de le percevoir parce qu’il dépasse la portée de nos sens. Tous les objets de notre monde représentent très probablement juste notre perception limitée de ce qui se passe dans cette réalité totale.

Malheureusement, Lethbridge mourut des suites d’un infarctus avant d’avoir pu mener ses recherches à bonne fin.

Notons ici que Tom Lethbridge n’était pas un spiritualiste. Il était convaincu que la magie, le spiritisme, l’occultisme et toutes ces « foutaises » n’étaient que des tentatives grossières de comprendre le vaste univers des énergies cachées, dans lequel nous vivons. Nous voudrions ajouter que les explications issues de la plupart des tendances ésotériques ne servent généralement qu’à obscurcir, et non pas à révéler; elles servent à désinformer plutôt qu’à diffuser de la vraie connaissance. Tom Lethbridge a eu recours à la logique, à l’observation, et à l’expérimentation pour arriver à la conclusion qu’il existe d’autres mondes de réalité en dehors de notre propre monde, et qu’il existe des formes d’énergie que nous ne commençons même pas à comprendre. »

Baguette de sourcier et sa réaction

Baguette de sourcier et sa réaction

Le « champ psychique » : l’atmosphère subtile entourant toute chose.

Le « champ psychique » : l’atmosphère subtile entourant toute chose.

Un pendule réagissant à un champ psychique

Un pendule réagissant à un champ psychique

Le diagramme montre qu’au-delà de la limite de 40 pouces le champ d’un objet est déplacé.

Le diagramme montre qu’au-delà de la limite de 40 pouces le champ d’un objet est déplacé.

Ce diagramme montre la spirale des fréquences d’un point de vue horizontal. On voit qu’il y a la « frontière » de 40 pouce qui marque la limite de notre réalité.

Ce diagramme montre la spirale des fréquences d’un point de vue horizontal. On voit qu’il y a la « frontière » de 40 pouce qui marque la limite de notre réalité.

Ce diagramme montre la distribution des fréquences sur 40 degrés (au sein de notre réalité). Le temps est en dehors de ce cercle. Cliquer sur l’image pour l’agrandir.

Ce diagramme montre la distribution des fréquences sur 40 degrés (au sein de notre réalité). Le temps est en dehors de ce cercle. Cliquer sur l’image pour l’agrandir.

Le spectre des fréquences sous forme de spirale. Les nombres sont des pouces. Cliquer sur l’image pour l’agrandir.

Le spectre des fréquences sous forme de spirale. Les nombres sont des pouces. Cliquer sur l’image pour l’agrandir.

Diagramme de Stéphane Cardinaux (Géométries Sacrées, tome. 1). La logique de compréhension est similaire.

Diagramme de Stéphane Cardinaux (Géométries Sacrées, tome. 1). La logique de compréhension est similaire.

L’eau, un lien entre les mondes

Lethbridge étudia également les propriétés de l’eau. Il se rendit compte que certains endroits conservent la « mémoire » d’un évènement. Il fait référence à un lieu où quelqu’un s’était suicidé et qui donnait des frissons et rendait déprimé à chaque fois que l’on passait à cet endroit précis. Il comprit que des sentiments peuvent être « enregistrés » dans l’atmosphère ou dans les objets et que la clé était l’eau. L’eau interagit avec le champ magnétique de la terre. 

« Les champs magnétiques sont les moyens par lesquels le son est enregistré sur une bande recouverte d’oxyde de fer. Cela fit penser à Lethbridge qu’un champ magnétique produit par del’eau courante pouvait enregistrer les fortes émotions qui (…) déclenchent des activités électriques dans la physiologie humaine. Ces champs pouvaient « être rejoués » continuellement et amplifiés par temps humide et lourd.
Cela pourrait expliquer pourquoi ces « zones de dépression » semblent former des murs invisibles. Lorsqu’on approche un aimant de plus en plus près d’un objet de fer, on remarque qu’à un certain point, l’objet est « saisi » par l’aimant alors qu’il entre dans le champ de force. (…) »

 Source

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Remarque administration Aréa 51 Blog:

Ce document classé dans divers car ce n’est pas de l’ufologie et ici nous sommes entre science et paranormal, d’ailleurs nous l’incluons sur notre autre site paranormal à la une.paranormal-c3a0-la-une1 (2)

Pouvons nous prêter intention à ce genre d’investigation pour l’ufologie concernant l’ aspect du magnétisme,  » le pouvoir des pierres » et ainsi ,indirectement trouvés des points communs avec les  cas d’O.V.N.Is ?

Il convient de se mesurer, ainsi nous le prenons comme une alternative , dans le chemin de la connaissance et ainsi nous comptons sur vous pour communiquer votre avis dans le respect d’autrui cela va de soi.

separation

Mise à jour Aréa51 Blog, le : 22/03/2013 à : 21h55.

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Europa : Les possibles atterissages sur la lune de Jupiter compromis par de pics de glace géants.

22/03/2013
Crédits images : Ted Stryk/Nasa/JPL et médaillon Javier G. Corripia.

Crédits images : Ted Stryk/Nasa/JPL et médaillon Javier G. Corripia.

Article source: maxisciences

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Publié le 22 mars 2013 par Morgane Henry

Selon une nouvelle étude, les conditions d’atterrissage sur Europa, une des lunes de Jupiter, pourraient être difficiles. La raison ? La surface de la planète, en partie couverte de pics de glace.

Europa, la lune glacée de Jupiter, est l’un des objectifs principaux pour les futures missions spatiales. En effet, la présence d’un océan liquide souterrain qui pourrait contenir les bonnes conditions pour le développement de la vie intéresse tout particulièrement les chercheurs.

Pourtant, ces missions pourraient s’avérer plus qu’hasardeuses : des stalagmites en dents de scie, pouvant mesurer jusqu’à 10 mètres de hauteur recouvrent une partie de la surface de la planète.

Ce problème de terrains a été exposé en détails par des scientifiques jeudi, lors de la 44ème Conférence sur la science lunaire et planétaire. Sur Terre, ces pics de glace se forment à de très hautes altitudes, comme dans les Andes, lorsque les irrégularités du sol glacé sont accentuées par l’énergie solaire. Cette dernière se retrouve piégée dans les sillons de glace et va de plus en plus profondément, pour former les fameux pics.

Europa : Les possibles atterissages sur la lune de Jupiter compromis par de pics de glace géants..

 


Une ville vieille de 2500 ans découverte dans le Chhattisgarh en Inde.

22/03/2013

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Article source: Live mint: « Explorers find evidence of 2,500-year-old planned city« via wikistrike.

Des explorateurs pensent avoir la preuve d’une ville entière âgée de 2500 ans dans le Chhattisgarh. Cela est annoncé comme l’une des plus grandes découvertes archéologiques en Inde depuis au moins un demi- siècle.

Les découvertes ont été faites à Tarighat dans le district de Durg et s’étend sur cinq hectares dans une zone peu habitée et près d’une rivière, d’après les archéologues du département d’état de la culture et de l’archéologie.

Ont été mis au jour des réservoirs d’eau, des routes et des pièces enterrées… « Pour le moment, nous avons quatre monticules de 4.5m de haut autour desquels nous avons des morceaux de poteries, des monnaies et quelques figures en terre cuite », a déclaré JR Bhagat, directeur adjoint du département. « Maintenant que nous avons commencé, les fouilles du site en entier pourraient prendre de 5 à 10 ans. »

Le 5ème et 3ème siècle avant JC, les dates trouvées à Tarighat, sont une époque où la région était gouvernée par des dynasties Kushan et Satavahana dans le centre de l’Inde.

Bien qu’il y ait eu beaucoup d’artéfacts indiquant une croissance urbaine après le premier siècle, ces découvertes sont extrêmement rares pour les périodes précédentes. « Ce sont parmi les moments les plus intéressants de l’Inde ancienne », a déclaré Abhijit Dandekar, un archéologue au Deccan College. « C’était la fin de la période des 16 Mahajanapadas et le début de l’empire Maurya. On en sait très peu sur les structures urbaines de cette période ».

Dandekar, qui n’est pas impliqué dans ces découvertes, a ajouté que les fouilles d’Ahichhatra, près de Bareilly dans l’Uttar Pradesh, qui ont commencé dans les années 1960 étaient la preuve la plus récente de l’urbanisme à grande échelle en Inde pour une période comparable. Et, si les conclusions disent que Chattisgarh était aussi vaste, alors ce serait une importante découverte.

« Dans le contexte indien, une fouille a rarement été décevante », a déclaré Dandekar, « si vous pensez qu’il y a une ville, elle s’avère généralement être plus grande que ce que vous avez d’abord prévu. »

Bhagat a précisé que les découvertes n’ont pas encore été datées par des méthodes telles que le radiocarbone ou la datation par thermoluminescence-moderne; mais il a ajouté que la texture des pots, le modèle typique des monticules etc, sont tout a fait la preuve d’une agglomération urbaine.

 

Artéfacts trouvés sur le site de Tarighat. Photo: Chhattisgarh ministry of culture and archaeology

Artéfacts trouvés sur le site de Tarighat. Photo: Chhattisgarh ministry of culture and archaeology

« Le type de poterie appelé la Poterie rouge et noire du Nord, les pièces de monnaie, etc, à la surface du site lui-même montrent des signes très visibles d’une urbanisation complexe. » explique Arun Raj, un archéologue de l’Archaeological Survey of India basé dans le Chhattisgarh .

Chhattisgarh serait une « mine d’or » inexploitée pour l’archéologie. «Nous venons tout juste de donner la permission pour cette fouille, et je pense qu’il faudra un certain temps avant de comprendre à quel point cela est important», a déclaré Raj. « Mais cette région, qui a été relativement peu explorée en raison des conflits naxalites, pourrait apporter plusieurs de ces trouvailles.« 

Il a ajouté que l’un des volets de la recherche archéologique indienne est de trouver des dénominateurs communs aux modes de vie urbains de la civilisation de l’Indus qui a décliné autour de 1300 avant JC, dans le centre de l’Inde. « Cela peut éventuellement fausser ou ajouter plus de crédibilité à ces théories, » at-il dit.

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Mise  à  jour Aréa 51Blog, le : 22/03/2013 à : 17h15.

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