Pétrole abiotique et non fossile

03/09/2010

Source : http://www.diatala.org/article-12938617-6.html

Une théorie Russe datant de cinquante ans sur l’origine abiotique et non fossile du pétrole et du gaz remet en cause l’enseignement traditionnel. Les théories étasuniennes sur l’origine des ressources naturelles seraient, une absurdité non scientifique, qui demeure à ce jour, improuvable. Ces recherches et ces expertises si elles sont avérées et applicables bouleverseraient l’économie mondiale et changeraient les rapports de domination dans le futur.


Par F. William Engdahl

Fossiles intellectuels ?
L’école du pic pétrolier appuie sa théorie sur les manuels occidentaux conventionnels de géologie, la plupart écrits par des géologues états-uniens ou britanniques, qui affirment que le pétrole est un « combustible fossile », un résidu ou un détritus biologique des restes fossilisés de dinosaures ou peut-être d’algues, signifiant par le fait même un produit dont l’approvisionnement prendra fin. L’origine biologique est centrale à la théorie du pic pétrolier qui est utilisée pour expliquer pourquoi le pétrole est découvert seulement dans certaines régions du monde où il s’est géologiquement emprisonné il y a des millions d’années. Cela signifierait par exemple que les restes de dinosaures morts ont commencé à être compressés et qu’au cours d’une période de 10 millions d’années, ils se seraient fossilisés et se seraient emprisonnés dans des réservoirs souterrains de peut-être 4000 à 6000 pieds (1 à 2 Kms) sous la surface de la terre. Dans des rares cas, ainsi le veut la théorie, des quantités énormes de matière biologique devraient avoir été emprisonnées dans des formations de rocs situées dans les hauts-fonds océaniques telles que dans le Golfe du Mexique, la Mer du Nord ou le Golfe de Guinée. La géologie devrait uniquement tenter de comprendre l’endroit où ces poches dans les couches géologiques, appelées des réservoirs, se trouvent à l’intérieur de bassins sédimentaires spécifiques.

Une théorie complètement différente sur la formation du pétrole est apparue en Russie au début des années 50 et elle demeure pratiquement inconnue en Occident. Elle affirme que la théorie conventionnelle états-unienne sur les origines biologiques est une absurdité non scientifique qui demeure improuvable. Ils indiquent que les géologues occidentaux ont prévu à plusieurs reprises la fin du pétrole au cours du siècle dernier, en attendant d’en trouver plus, encore plus.
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Nouvelle-Zélande: séisme de magnitude 7,2

03/09/2010

Source : http://www.radio-canada.ca

Mise à jour le vendredi 3 septembre 2010 à 14 h 52

Un tremblement de terre de magnitude 7,0 est survenu dans une zone assez populeuse du centre-est de la Nouvelle-Zélande.

Selon l’Associated Press, la police de Christchurch a signalé quelques routes endommagées et des pannes de courant dans certains quartiers de la ville de 400 000 habitants. Des bulletins de radio ont aussi parlé de plafonds endommagés et d’objets tombant des étagères de commerces.

L’épicentre du séisme, survenu à 4 h 35, heure locale, samedi matin, était situé à 30 km de la ville de Christchurch, et à près de 300 km de Wellington. Il était à une faible profondeur de 16 km.

Le tremblement de terre a été suivi d’une réplique de magnitude 5,7, à peu près dans la même zone, environ 20 minutes plus tard, toujours selon l’USGS.

Le centre de surveillance des tsunamis dans le Pacifique n’indiquait aucun risque de tsunami pour le moment.


Les ovnis et les extraterrestres sont réels…

03/09/2010

Les ovnis et les extraterrestres sont réels : Ben Rich Ancien directeur de  Lockheed Skunk Works l’a admis sur son lit de mort…



Petits déchets spatiaux: la Russie crée un détecteur spécial

03/09/2010

MOSCOU, 2 septembre – RIA Novosti

Les chercheurs de l’Institut de physique Lebedev de Moscou ont créé un instrument spécial et un logiciel destinés à détecter les petits déchets spatiaux, jusqu’ici indétectables, qui peuvent endommager les satellites, a annoncé le service de presse de l’Institut.

« Il s’agit d’un télescope réfracteur avec une ouverture de 50 mm. Il détecte des déchets spatiaux dans un rayon de plusieurs centaines de kilomètres. Il n’a pas besoin d’un satellite porteur, il peut être installé sur n’importe quel engin spatial. Cet instrument permet de repérer des débris dont la taille varie entre 1 et 10 centimètres », a indiqué Sergueï Kouzine, chef du laboratoire d’astronomie solaire X de l’Institut Lebedev.

Le logiciel conçu par les chercheurs russe augmente la fiabilité du nouvel instrument. « C’est un savoir faire dans la détection des déchets spatiaux. A présent, les télescopes enregistrent leurs données sur des matrices CCD qui sont très sensibles aux particules énergétiques, surtout sur les orbites circumterrestres. Une question se pose: comment distinguer le signal d’une particule du celui d’un débris spatial. Nous avons élaboré et testé une méthode spéciale », a ajouté M.Kouzine.

A l’heure actuelle, près de 100.000 débris de satellites, étages de lanceurs, blocs d’accélération, ainsi que de boulons, écrous, ressorts et autres objets évoluent autour de la Terre à une vitesse d’environ 10 km/sec. Les télescopes terrestres permettent de détecter uniquement des objets dont la taille est supérieure à 10 cm.

Le nouveau détecteur doit être installé de préférence sur les satellites évoluant sur les orbites « les plus polluées » (entre 600 et 800 km d’altitude), ainsi que sur l’orbite géostationnaire (environ 35.000 km), estime le chercheur.

Le nouvel appareil permet de connaître la trajectoire et les particularités des débris spatiaux. Il aide également à préciser l’orientation du satellite porteur.

Les spécialistes étudient la possibilité d’utiliser le nouvel détecteur sur plusieurs satellites russes.


Orcus Patera: une mystérieuse dépression proche de l’équateur de Mars

03/09/2010

Source :  http://www.planet-techno-science.com

Orcus Patera est une dépression elliptique énigmatique près de l’équateur de Mars, dans l’hémisphère Est de la planète. Situé entre les volcans du Mont Elysium et du Mont Olympus. Sa formation reste un mystère.

Elle s’étend à environ 380 km par 140 km, avec un rebord qui s’élève jusqu’à 1800 m au-dessus des plaines environnantes, tandis que le fond de la dépression se trouve 400-600 m en dessous.

Outre le volcanisme, il existe un certain nombre d’autres origines possibles à sa formation. Orcus Patera peut être dû à un grand cratère d’impact météorite qui par la suite fut déformé par les forces de compressions tectoniques. Sinon, il aurait pu se former après l’érosion de plusieurs cratères d’impacts alignés. Toutefois, l’explication la plus probable est que cette dépression ait été faite lors d’un choc oblique, lorsqu’un petit corps céleste aurait heurté la surface à un angle très faible, peut-être moins de cinq degrés à l’horizontale . L’existence de forces tectoniques à Orcus Patera est évidente par la présence de graben (fossé tectonique d’effondrement entre des failles normales).

Ces grabens sont orientés approximativement d’Est en Ouest et ne sont visibles que sur la jante et les environs. Dans la dépression Orcus Patera elle-même, les grands grabens ne sont pas visibles, probablement après avoir été couverte par des dépôts par la suite. Tandis que de petits grabens sont présents, ce qui indique que plusieurs événements tectoniques ont eu lieu dans cette région et ce qui suggère également que de multiples épisodes de dépôts ont eu lieu.

Les images de la sonde européenne Mars Express montrent également la présence de crêtes de rides au fond de la dépression, ce qui prouve que des forces d’extension créant les grabens ont côtoyé des forces de compression dans cette région. Les formes sombres proches du centre de la dépression se sont probablement formées par des processus provoqués par le vent.

Cependant, la présence du Graben et de crêtes de rides n’a aucune incidence sur l’origine d’Orcus Patera.

La véritable origine d’Orcus Patera reste une énigme.


Des fuites de documents apportent un nouvel éclairage à l’incident de la « Bataille de Los Angeles » en 1942

03/09/2010

Source :  http://newsoftomorrow.org/spip.php?article8765

(Source : par Robert Wood, MUFON.com)

Le rapport selon lequel 1430 obus antiaériens ont été tirés sur des objets non-identifiés au-dessus de Los Angeles, en Californie, en début de matinée le 25 février 1942 – deux mois et demi environ après l’attaque japonaise sur Pearl Harbor – n’a jamais été sérieusement contesté. Ce qu’il y a de nouveau dans l’histoire, c’est qu’une fuite de cinq documents anciennement hautement classifiés font remonter les débuts d’un projet de rétro-engénierie de vaisseau non-terrestre à l’évènement de 1942, qu’on connait maintenant sous le nom de « Bataille de Los Angeles ».

Selon les documents, deux présidents américains avaient connaissance de ce projet top-secret. Un mémo fournit la preuve que l’armée américaine avait récupéré deux vaisseaux « d’origine interplanétaire », incitant une enquête dans les fichiers du Département de la Guerre pour des preuves de tout autre vaisseau de ce type.

Les documents indiquent également l’existence d’un « Comité spécial sur la Science et Technologie Non-Terrestre » et impliquent de forts intérêts du gouvernement à soutenir les études de biologie et physique non-terrestre.

Plus d’informations dans le fichier PDF

Rappel de l’histoire :  https://area51blog.wordpress.com/?s=bataille+de+los+angeles