Les ovnis sont réels d’après un pilote de vols commerciaux

08/08/2010

Avec pratiquement 30,000 heures de vol à son actif, les qualifications de  Jim Courant en tant que capitaine sur une ligne aérienne principale de transports de passagers sont solides.  Il en va de même de sa conviction que le phénomène ovni est réel.

“J’ai eu la preuve que je cherchais,” déclare Courant. “C’est la partie que je ne discuterai pas. Évidemment quelque chose m’a retenu dans ce domaine, à prendre les risques que j’ai pris.”

La nature de la preuve qu’il a trouvé n’est pas tout ce dont Courant ne va pas discuter. Préoccupé  par les répercussions sur sa profession, il se refuse à confirmer le nom de sa compagnie aérienne. Ni à  révéler l’identité de certains fonctionnaires de haut niveau qui, dit-il ont confirmé la présence extraterrestre dans des conversations avec lui.

Il lâchera quelques noms cependant.

L’astronaute  Gordon Cooper, dont la propre rencontre  ambigue avec un ovni est une question de notoriété publique, était un ami de Courant.  Il a également échangé des histoires avec l’astronaute Edgar Mitchell, dont la déclaration en 2009 au National Press Building pour demander au gouvernement des États-Unis d’être clair sur le sujet des ovnis a  suscité une telle attention fugitive des médias.

Le peu de cas reçu par Mitchell dans la presse  n’encourage guère  Courant à l’optimisme que les futurs évènements médiatiques inversent la tendance.

Media obscura

“Un héro national et le sixième homme à marcher sur la lune dit que votre gouvernement et les autres ont été en contact avec les extraterrestres depuis 67 ans. C’est une déclaration incroyable.  Elle a été enterrée à la page 7 du NY Post le lendemain. Alors Rush Limbaugh est entré en jeu.”

La frustration de Courant  à propos de l’effet de retombée de ce que  Steve Bassett l’organisateur de la X-conférence appelle « l’embargo sur la vérité »  est évidente lorsqu’on lui demande de commenter l’efficacité du mouvement de divulgation.

“J’aimerais dire que Steve en est quelque part avec ce qu’il essaie de faire ,” dit Courant . “Mais l’ internet est le nouveau shérif en ville. Il y a tellement de m…. qu’il est devenu difficile au gens de savoir ce qu’ils doivent croire.”

Disant qu’il est prêt   à se débarrasser de sa bibliothèque de  5,000 livres sur les ovnis , Courant parle avec la circonspection lasse de quelqu’un qui a raconté son histoire à d’innombrables reprises, et qui s’est pris quelques coups pour l’avoir fait.

“Cela a ruiné ma vie sociale,” dit  Courant, qui est divorcé et vit en  Caroline.

Selon Courant, il n’est pas inhabituel pour le personnel du poste de pilotage de se tourner vers des pilotes qui expriment leur  intérêt pour les ovnis.   Cela peut déclencher toutes sortes  de tests psychologiques  qu’on appelle des contrôles « ligne » (les évaluations du rendement en vol) qui, s’ils se passent mal, peuvent entraîner le licenciement. La meilleure façon d’éviter les ennuis, dit  Courant, est  de se tenir à l’écart du sujet tant qu’on porte l’uniforme, et même lorsqu’on ne le porte plus, ne jamais mentionner le nom de votre employeur dans n’importe quel contexte qui implique des ovnis.

Remerciements spéciaux à technorati.com

KEN PFEIFER MUFON NEW JERSEY
WWW.WORLDUFOPHOTOS.ORG
source :  http://ufoweek.com/

Au delà des limites scientifiques

07/08/2010

Source de l’article  : http://ufoetscience.e-monsite.com/blog,au-dela-des-limites-scientifiques,239411.html

J’espère que nous ne sommes pas seuls!

Par ce slogan, vous avez ainsi une partie de ma personnalité,  de mon fond de pensée en fait!

L’ufologie et la science ne forment malheureusement pas « le couple idéal », s’opposant durement quelquefois!

La ligne directrice et l’orientation choisie pour ufoestcience est de concilier  à défaut de réconcilier les 2 parties!

Nul doute que l’ufologie a grand besoin de bases scientifiques solides. Compréhensible si l’on veut une étude rationnelle et sérieuse sur les O.V.N.I, et en allant encore un peu  plus loin, d’entrevoir une possibilité de vie extra-terrestre. Il faut bien admettre qu’à ce petit jeu, les scientifiques sont les mieux placés pour décrypter les mystères du monde grâce à leur savoir dû à leur haut niveau d’études ! Pour autant, la communauté scientifique en règle générale à un petit problème. Ce « défaut « est mineur , facile à résoudre, et pourtant il leur est , semble-t-il , insurmontable! C’est ce que j’appellerais ici une certaine indulgence, un esprit d’ouverture, qui leur manque!

Il leur est bien difficile d’admettre pour certains d’entre-eux d’autres hypothèses que les leurs!

Il n’est nullement question ici de dénigrer ces professionnels!  Je ne remets aucunement en cause leur talent. Grâce à ces personnes, la recherche et l’ évolution technologique avancent.

Ce qui est dommage, mais d’une certaine façon compréhensible, c’est que leurs recherches soient dirigées autrement , dictées plus ou moins par l’état!  C’est bien l’état qui débloque les ressources, les moyens et fixent une ligne à suivre pour débloquer des fonds, et par conséquent orientent d’une certaine façon la recherche sur une piste plutôt qu’une autre à explorer. Pour preuve, voyez ce qu’il est advenu du programme lunaire constellation aux états-unis!

Nous pouvons penser à tort  peut-être , que inconsciemment les scientifiques se basent,  s’appuient sur le mode de pensée humaine,  sur le savoir du moment de l’être humain,  donc de la leur!

Ce qui a pour effet d’éliminer,  exclure,  rejeter d’emblée des orientations,  des hypothèses de ce qui leur paraît irrecevable,  inimaginable.

Laissant ainsi ce type de raisonnement à ceux qu’ils appellent avec « raison néanmoins « des pseudos-scientifiques et autres, auteurs de science-fiction!

Ce comportement volontaire ou non me semble facile , un raccourci. Cette voie qui paraît directe est sans doute semée d’embûches imprévues,  et au bout du compte peut s’avérer une perte de temps,  si une découverte aussi soudaine qu’inattendue les obligeait à faire marche arrière !  Bénéfice=temps=perte!!

Enfin, ne serait-il pas judicieux d’associer sans brides certains ufologues sérieux aux scientifiques ouverts! Lire le reste de cette entrée »


Rencontres entre avions et OVNIS : Le cas de Bariloche

19/06/2010

Source : http://www.ufologie.net/htm/bariloche95f.htm

Les sceptiques ont bien des commentaires ironiques à émettre au sujet des OVNIS. L’un des plus récurrents est: « s’il y avait vraiment des OVNIS, comment vous expliquez que les pilotes ne les rencontrent pas dans le ciel? ». Mais, il se trouve qu’ils les rencontrent. Parfois les pilotes se demandent si la rencontre ne risque pas d’être un peu trop …rapprochée.

UN OVNI PERTURBE UN ATTERRISSAGE, BARILOCHE, 1995:

Le matin du 02 août 1995, mon poste de télévision est par pur hasard réglé sur l’affichage des pages télétexte de la télévision Suisse Romande, et j’y lis la nouvelle suivante:

Un équipage de la Aerolineas Argentinas et des fonctionnaires de l’aviation au sol ont observé un objet lumineux qui s’est approché de l’avion alors qu’il se préparait à atterrir à l’aéroport de Bariloche, à environ 870 miles de Buenos Aires. Le capitaine Jorge Polanco a dit aux journalistes que toutes les lumières de l’aéroport et des alentours s’étaient éteintes au moment où l’objet est disparu et qu’il allait atterrir. Le personnel de la tour de contrôle a rapporté que tous leurs instruments ont commencé à se comporter de façon étrange au même moment. Des observateurs au sol disent que l’OVNI semblait avoir des lumières sur son ventre.

A cette époque je n’avais aucun opinion sur les OVNIS et peu d’intérêt pour le sujet, je me suis donc demandé si je rêvais. Mais je n’ai pas pas été tout à fait le seul à apprendre la nouvelle et à commencer à me poser des questions. N’ayant pas de connexion Internet à cette époque, j’avais aussitôt parcouru la centaines de chaînes de TV que je recevais par cable en me disant que cette nouvelle extraordinaire allait être le titre principal de tous les journaux. Il n’y avait rien, et il n’y eut rien dans les heures et jours qui suivirent.

L’Armée de l’Air de l’Argentine, pressurisée indirectement par les médias à propos de l’incident, se contenta de paresseusement expliquer que « aucune recherche sur ce cas n’aurait lieu, puisqu’il n’y a aucune agence officielle chargée d’enquêter sur les OVNIs… »

La plus immature et la plus risible de toutes les explications proposée sur le cas fut celle qui jetai le blâme sur la Lune comme étant ce que le capitaine Polanco et d’autres pilotes Bariloche avaient vu à Bariloche. Ce n’est pas la première ni dernière fois qu’une tentative de justifier un cas de cette manière est faite: si c’est inexplicable par un ballon météo, il y a une palette infinie d’objets qui peuvent être employés comme explication.

Par conséquent, nous avons entendu que « Jupiter » erre au-dessous de la couverture de nuages dans les cieux au-dessus de Mar del Plata à quelques occasions. Confronté à un cas tel que Bariloche (témoins qualifiés, coupure de courant, effets multiples) il était indubitable que les sceptiques devraient essayer d' »expliquer » ce qui s’était produit. Quand ils ne pouvaient pas recourir à leurs « favoris », la Lune et Jupiter, ils opuvaient encore invoquer un alcoolisme supposé des pilotes et une hallucination collective parmi la population.

Le 6 Octobre 1995, on a entendu la nouvelle que quatre membres de la gendarmerie de l’air de l’Argentine étaient décédés dans un accident d’aviation. Une des victimes était le commandant Juan Domingo Gaitán, qui au côté du pilote Jorge Polanco d’Aerolíneas Argentinas, avait été témoin du cas de Bariloche le 31 Juillet 31. Aucun détail n’a été rendu disponible quant aux causes de cet accident tragique, bien que beaucoup de passionnés d’ufologie de la scène Sud-Américaine croient que des actions pour « faire taire » les témoins de l’OVNI de Bariloche ait été mis en marche. Lire le reste de cette entrée »


Détection radar d’ovni

10/03/2010

MUFON Case # 22214
Date/time: 09/05/1974 18:14
Localisation : Ft. Yukon, Alaska
Forme : Cigare
Résumé: Détection Radar d’un Objet

Mon nom est  James Beaman. De Janvier 1974 à Décembre 1975, j’étais affecté au site de  Ft. Yukon Acws à FT Yukon Alaska, qui fait partie du premier système de surveillance. Le site était dirigé par du personnel de l’US Air Force. Plusieurs fois durant les quarts du soir nous obtenions des images radar d’engins volants non identifiés molestant des avions civils liés à différentes destinations à travers le monde. Ces appareils étaient incroyablement rapides et pouvaient tourner sur une pièce de 10 cents. Plusieurs fois l’appareil en question a molesté un  SR 71 se dirigeant vers l’espace aérien de l’Alaska. Vous connaissez la rapidité du SR71. La vitesse manuelle au sol telle que déterminée par les opérateurs était de plus de 2600 centaines de miles par heure. Ces appareils arrivaient de différentes directions et molestaient les avions pendant quelques minutes puis partaient à toute vitesse dans des  directions différentes. Certains de ces tours étaient impossibles pour les avions civils et militaires.  Lire le reste de cette entrée »