OVNI nazis et la base secrète allemande en Antarctique…

Source du site: http://forum.mystere-tv.com/ovni-nazis-base-secrete-allemande-antartique-t1686.html

En date du 14 décembre 1944 (six mois avant la fin de la Guerre) le très sérieux et important quotidien US, le “New-York Time”, publiait pour la première fois, depuis les premières observations dans le monde, de “soucoupes volantes”un article étonnant: ” Les ’soucoupes volantes’ sont des armes secrètes.Une nouvelle arme allemande a fait son apparition sur le front occidental.Les pilotes de l’US Air Force rapportent que des “boules d’argent” survolent l’Allemagne, parfois isolées, parfois en formation. Certaines semblent totalement transparentes“

Que se passa-t-il donc après la guerre et qu’advint-il de ces engins? Un retour en arrière est indispensable : Vers les années 1936, dans la prévision d’un inévitable second conflit mondial, l’Allemagne nazie s’y préparait méthodiquement. Entre autres préparatifs il était indispensable de prévoir une logistique performante pour la guerre maritime. Outre les accords secrets avec des “alliés du Grand Reich” et amis potentiels dans certains pays d’Amérique du Sud pour le ravitaillement et l’avitaillement des navires de guerre, il fallait une base discrète, solide et inattaquable pour les sous-marins de la Kriegsmarine.

L’histoire commence en fait en 1938, lorsque le transporteur hydravion allemand Schwabenland commandé par Albert Richter, un vétéran des opérations par temps froid navigué à travers l’Atlantique Sud, à destination de Terre de la Reine Maud dans l’Antarctique.

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arrivés à l’endroit prévu, situé entre le 10° méridien Ouest et le 20° Est et entre le 70° et 75° parallèle Sud (à 10° sous le cercle polaire antarctique), une région libre de glace avec lacs et montagnes, bordée au nord par l’Océan Atlantique, les allemands s’attribuèrent 600.000 km carrés de terrains qu’ils baptisèrent “NEUES SCHWABENLAND”

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appellation géographique figurant toujours sur nos atlas sous le nom anglicisé de NEW SCHWABENLAND…

Les scientifiques allemands ont découvert de la glace des lacs libre (chauffée par des éléments souterrains volcaniques) et ont pu se poser sur eux.

 » Il est largement admis que l’expédition de NewSchwabenland visait à installé une base secrète des opérations. « 

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Une base allemande a été établi dans la Muhlig-Montagnes Hofmann, juste l’intérieur des terres de la côte Princesse Astrid. La zone a été rebaptisé Neuschwabenland (Nouvelle-Souabe) et la base a été connu que comme station 211.

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Des flottilles entières de sous-marins firent route vers ce territoire et des centaines de submersibles allemands équipés du schnorkel, connu sous le nom de tuba Walter, leur permettant de naviguer sous l’eau durant plusieurs semaines,

se dirigèrent vers cette “base” y faisant escale et un certain nombre restèrent sur place.. et nul ne les revit.

Les état-major des marines des Alliés, en particulier ceux de la US-Navy et de la Royal-Navy ont estimé, après avoir des mois durant dressé les inventaires de la flotte sous-marine de la Kriegsmarine depuis le début de la guerre, après avoir comptabilisé les pertes réelles, ont estimé qu’une bonne centaines d’unités, les plus récentes en technologie, les U-21 et U-23, avaient mystérieusement disparu… ni coulées en opérations, ni sabordées par leurs équipages, ni saisies, ni arraisonnées par les forces Alliées.. Officiellement et statistiquement, personne ne sait où sont passés ces sous-marins ! Il est raisonnable de penser que ces sous-marins ne partaient pas à vide, mais outre des “équipages et passagers constitués de techniciens spécialisés”,

fuyant sur ordres l’occupation alliée en Allemagne après ou très peu de temps avant la défaite, et du matériel sophistiqué furent débarqués à la base du Neu-Schwabenland, et aussi certainement des disques volants en pièces détachées ou tout au moins tous les plans et documents techniques permettant de les construire y furent mis à l’abri…

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Ce n’est pas sans une bonne raison évidente que fin 1946 sous le commandement de l’amiral Richard, Evelyn BYRD, ayant un passé d’explorateur de l’Antarctique, une expédition baptisée se mit en place pour une opération de plusieurs mois. Une partie de l’armada quitta la base US de Norfolk en Virginie le 2 Décembre 1946, pour être rejointe par deux autres groupes d’unités vers des bases de l’Antarctique prévues à l’avance, mais avec pour objectif parfaitement ciblé, la base de NEU SCHWABENLAND.

Après avoir installé un camp de base sur une zone centrale à Little America, les zones Est et Ouest étant couvertes par des patrouilles maritimes et aériennes, le 13 Février 1947 les vols de reconnaissance sur l’objectif commencèrent, mais la perte d’avions et aussi surtout après avoir constaté que les occupants de Neu Schwabenland, disposant d’une telle supériorité technologique inattendue, seraient invincibles face à la logistique militaire dont était dotée les américains et leurs alliés du moment,

le 3 Mars 1947, ordre fut donné à toute l’armada d’abandonner l’aventure et de regagner Norfolk.. Ce à quoi cette expédition fut confrontée reste encore un mystère bien épais… (malgré la profusion de “rapports officiels” prêtant plus à sourire qu’à être crédibles!).

Le 5 mars 1947, le journaliste Lee van Atta, accrédité lors de cette expédition, publia dans les colonnes du plus grand quotidien sud-américain, “El MERCURIO”, une interview de l’amiral Byrd au cours de laquelle il déclara en substance: “C’est dur à entendre, mais dans le cas d’une nouvelle guerre, il faudra s’attendre à des attaques d’avions qui peuvent voler d’un pôle à un autre” Il laissa aussi comprendre: “Qu’il y avait là-bas une civilisation avancée qui se servait d’une technologie supérieure“ Rappelons nous que ces événements se sont passés en 1947. En résumé que conclure de tout cela : Il y a déjà des millénaires que sur terre, des hommes de civilisations disparues ou venant d’ailleurs disposant de technologies avancées firent voler des engins, tout comme dès le premiers tiers de notre XX°, d’autres furent également capables de rééditer ces “exploits technologiques” dont l’homme de la rue n’a jamais entendu parler, pas plus qu’il ne soupçonne quelle peut bien être la source d’énergie en permettant le fonctionnement… D’après les “Lectures” d’Edgar CAYCE et les “Planches et “Codex” de Pierre GUILDER, force est d’admettre que seules des Intelligences supérieures évoluant hors de portée physique des terriens avaient la connaissance et la maîtrise de la manipulation de ces énergies cosmiques ou solaires que les sciences humaines sont encore maintenant loin d’appréhender. De là, il ne peut être nié que les membres les plus éminents de Sociétés hautement secrètes (VRIL, THULE et l’Ordre Noir de la SS) ayant eu accès à ces informations par « contacts », lesquels ne disposant pas plus que les autres humains d’une science infuse, furent alors en mesure de mettre en oeuvre les techniques permettant de construire des engins et d’élaborer des matériaux aux performances bien supérieures

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à ce que les industries classiques mettaient au point et d’autres encore plus récentes utilisées actuellement. Il y a pour tous un mystère qui n’en est plus un si l’on accepte avec humilité et sagesse, de vouloir bien admettre que certains humains ont reçu des messages et des informations en provenance de sources nous étant inconnues. Il faudrait être complètement obtus pour ne pas comprendre que de nombreuses lois physiques universelles sont encore inconnues de l’homme (tout comme l’électricité l’était au Moyen-Âge) et que des «initiés», dotés de sens perdus par l’homme après des millénaires d’oubli et d’adaptations génétiques à d’autres milieux successifs, soient capables de recevoir des informations… rejetées par la masse ignorante… mais pouvant très bien être exploitées par des esprits spirituellement ouverts, sans qu’il soit prouvé que ces esprits soient les mieux intentionnés du monde…
Que les septiques viennent donc nous expliquer comment ces engins purent être fabriqués et évoluer ainsi., alors que les avions de chasse les plus performants de l’époque de la Seconde Guerre Mondiale, de la Luftwaffe, de la Royal Air Force, de l’US-Air Force et de l’aviation japonaise, n’atteignaient pas les 800 km-heure ! Des vétérans de l’US-Air Force et de la R.A.F.se souviennent encore de ces “bizarres apparitions” durant leurs missions !

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Les vagues d’observations de juin à juillet 1947 s’étant multipliées en Amérique du Nord, semblèrent venir narguer et faire toute une série de pied-de-nez aux observateurs officiels, scientifiques, et aux militaires du Pentagone et des Agents de la CIA, placés pour longtemps devant le problème que posait ces manifestations, sans réponse possible quant à la technologie spécifique utilisée par les constructeurs et utilisateurs de ces mystérieux objets volants… à identifier officiellement ! Rien de plus irritant pour un militaire que ne pouvoir trouver la parade à l’arme de l’ennemi (si toutefois dans le cas des ovnis, il s’agisse d’adversaire) et de relever le challenge ! Le double crash de ROSWELL ne permit pas de répondre car, quand bien même les fragments d’un très étrange métal aux surprenantes propriétés, des pièces diverses et à usage inconnu que plusieurs témoins ont effectivement eu en mains et ainsi que la presque totalité du second engin tombé un peu plus loin près d’une falaise, devant les connaissances forcément limitées des sciences humaines, ne permirent apparemment pas de comprendre le fonctionnement, la propulsion de cet engin…pas plus que pouvoir identifier le fameux “métal” dont il était en grande partie composé. Seuls quelques ‘plagiats’ électroniques et chimiques de composants ne permirent certainement pas de reconstituer un tel appareil.. et de l’utiliser ! Les quelques archives, documents, dessins et épures récupérés après la Guerre par les Alliés, ne constituaient que des informations,certes convaincantes, détenues par les Services Secrets de l’Ordre Noir de la SS et récupérées après-guerre mais étaient techniquement inexploitables. Les plans et les documents technologiques, permettant la construction en usine de ces engins étaient entre les mains des spécialistes chargés de l’élaboration, de superviser les assemblages et de faire procéder aux essais en vol

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et, compte tenu du caractère ultra-secret de leurs contenus, ayant été évacués à temps avant l’arrivée des forces Alliées soit sous la forme classique de papiers, soit plus vraisemblablement sous forme de microfilms, procédé systématiquement utilisé par les technologies de pointe de la production allemande du III° Reich. Beaucoup n’ayant pas le caractère “top secret de la SS” des armes secrètes et engins volants, les films de Carl Zeiss furent facilement “saisis” par les troupes US, sous les ordres du Major-Général ANDERSON de la US-Army, parvenues les premières à Jena le 21 Avril 1945 lesquelles, le jeu de la politique faisant, se sont retirés un peu plus tard, pour laisser une place “nette et bien propre”.. à leurs alliés soviétiques, après que les ingénieurs, technicien de points et leurs familles avaient été emmenées par autocars entiers vers les bases américaines du Sud de l’Allemagne, pour ensuite gagner les USA.

Or, ce procédé d’archivage et de conservation de documents était utilisé dans toutes les industries “sensibles” de l’Allemagne nazie pour mettre en lieux sûrs un ensemble de technologies pouvant éventuellement être facilement reconstituées en cas de destruction locale et aussi faire face à une issue désastreuse de la guerre pour le III° Reich, que beaucoup avaient envisagé bien des mois avant la chute de Berlin ou encore aussi -pourquoi pas- pour des technologies très avancées pour l’époque- servir plus tard pour la “bonne cause” à une survivance du Nazisme.(Car, depuis l’armistice signé à Berlin le 8 Mai 1945, n’oublions pas qu’aucun Traité de Paix n’a été signé avec l’Allemagne nazie depuis la fin de la Guerre. Si l’Allemagne a reconnu sa défaite, les “éléments nazis” ne l’ont jamais reconnue!!… Partant de ce “concept” tout est donc possible…) Survivance sous la forme d’ “organisations nazies” réparties dans quelques bases secrètes prévues, organisées et installées de longue date dans certaines contrées, occupées par des milliers d’hommes bien entraînés et bien sélectionnés, sans attaches familiales pouvant faire preuve de zèle pour les rechercher après guerre, rayés officiellement du monde des vivants et évacués longtemps avant le 8 Mai 1945 et pour certains grands pontes… durant les tous derniers jours de la guerre!! Il était donc facile, sous une forme extrêmement réduite, de transporter tous les plans, cahiers et autres protocoles de fabrication de ces engins volants déjà utilisés auparavant, sans oublier les projets non encore mis en chantier, tel le stupéfiant ANDROMEDE de 139 mètres de long prévu pour emporter environ 130 personnes pour des vols au-delà de la stratosphère, voire intergalactiques(?) Ces hommes embarqués à bord de sous-marins, bénéficiant également de techniques de propulsion très en avance sur celle de l’époque et équipés d’un système de récupération d’oxygène pouvant naviguer sous la surface durant plusieurs mois sans se faire repérer vers, entre autres, la base du NEU SCHWABENLAND en Antarctique…

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précaution supplémentaire doublant ainsi l’envoi en pièces détachées des engins ayant fait leurs preuves. Il est donc loisible d’imaginer sans trop de risques d’erreurs que, de mai 1945 à fin 1946, les techniciens et spécialistes de la base de NEU SCHWABENLAND et également les occupants d’autres bases,

pouvaient travailler activement au remontage des engins et aussi, à en élaborer d’autres. Personne ne sait tout ce qui avait pu être stocké et emmagasiné auparavant comme matériel, machines-outils et infrastructures, en bref toute une activité dans l’ordre et la discipline, la méthode, le calme et la sécurité.

L’attention des Alliés du conflit terminé se portait vers d’autres préoccupations politiques et économiques prépondérantes plutôt que continuer, après cette “aventure”, à chercher à investir des bases fantômes, pour la plupart très mal localisées …

l’Operation Highjump

Au début de l’année 1946, la situation mondiale semblait stabilisée après les horreurs et les morts de la seconde guerre mondiale. Cependant, il restait encore des Nazis en fuite de part le monde, mais aussi des bases secrètes du III Reich. La base de NewSchwabenland, sur le territoire allemand du même nom, en antarctique existait toujours et des Nazis l’occupait toujours après l’armistice.

Plusieurs missions furent organisées sur ce continent afin d’y déloger les derniers soldats du Reich, sans aucun succès. Les expéditions se sont soldées par beaucoup de morts et une perte de matériel énorme. Plusieurs avions espions ne revinrent jamais du secteur de la base de NewSchwabenland.

Aussi En 1946, le commandement allier confia la responsabilité d’une nouvelle et colossale opération à l’amiral Richard Byrd, l’homme le plus expérimenté pour mener cette opération à l’époque. L’Amiral Richard Byrd avait déjà effectué plusieurs vol de reconnaissance au pôle nord et au pôle sud à la fin des années 20 et 30 organisant et participant à plusieurs missions aériennes dans les zone polaires en 1929, 1934 et 1939.

L’Amiral Richard Byrd prépara l’invasion avec des forces spéciales américaines, anglaises et russes (et certainement d’autres nations) : “l’Operation Highjump”.

Une opération militaire mais aussi à but scientifique selon les sources officiels, notamment l’étude des pingouins. Le plan d’attaque était d’entrer dans la région opposée de la base de NewSchwabenland et de traverser tout le territoire Antarctique, dans la direction de l’objectif final. L’opération militaire combina des forces terrestres et navales de façon massive :

– 2 brise glace: le USCGC NORTHWIND et le USS BURTON ISLAND
– 2 navires citerne: le USS CACAPON et le USS CANISTEO
– 2 porte-avions: le USS PHILIPPINES SEA et USS CURRITUCK
– 2 navires cargo de soutien: le USS YANCEY et le USS MERRICK
– 2 destroyers: le USS HENDERSON et le USS BROWNSON,
– 1 sous-marin : le USS SENNET
– 1 navire catapulteur : le USS PINE-ISLAND
– 6500 hommes américains anglais et soviétiques, etc.

Il n’est pas étonnant de trouver des navires de guerre pour une expédition scientifique, en effet nombre de ces bateaux après la seconde guerre mondiale furent utilisés pour des expéditions par l’armée US quand il n’étaient pas vendus ou donnés à des organisations ou firmes non gouvernementales, transformés alors en navire de transports où autres… La Calypso du Ct Cousteau était un ancien démineur par exemple. Il est à noter que le porte-avions USS PHILIPPINE SEA était neuf.

L’expédition est décrite sur ce site officiel du pôle sud : South-pole.com (en anglais) mais relate uniquement les exploits scientifiques sur le territoire du sud. Officiellement il n’y a pas eu de combats contre les Nazis en antarctique.

Le résultat fût un fiasco sur toute la ligne. 1500 morts chez les alliés et une perte de matériel énorme. De retour aux USA par le Chili Richard Byrd dira dans une conférence de presse le 5 mars 1947 que “la menace la plus grande vient maintenant du pôle sud car ils ont observés des engins volants pouvant atteindre des vitesses impressionnantes !”

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Aux USA il sera difficile de justifier à l’opinion publique et au congrès la mort de millier d’hommes en antarctique avec de nouvelles opérations. Aussi le sujet sera clos. Cette opération est pourtant bien connue sous le nom de « guerre des pingouins », une fois que le gouvernement fédéral indiqua que dans ce territoire il n’y avait uniquement que des pingouins et qu’il n’y avait aucun nazis.

Mais le 8 janvier 1956, plusieurs scientifiques chiliens revenant d’une expédition sur le continent observèrent pendant plusieurs heures des objets volants en forme de cigare et de disque dans le ciel de la zone de la mer de Weeddell. La même année 1956, une nouvelle opération militaire sera essayée par les américains : l’Opération Deepfreeze. Le résultat sera encore plus dévastateur pour l’armée US quittera se contentera de missions géographiques et de reconnaissances simples au pôle sud.

Plus tard, l’Afrique du Sud détectera deux explosions nucléaires dans la zone de NewSchwabenland, une explosion en surface et une autre souterraine…

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Source : Karmapolis

Voici le témoignage d’un officier du SAS paru dans le magazine Nexus et intitulé :
La guerre secrète britannique

Dans les récits officiels sur les opérations militaires alliées en Antarctique, il est très peu question de la Grande-Bretagne. Pourtant, des documents attestent qu’elle tenta, en 1945, un assaut final contre l’Allemagne nazie sur ce continent. On sait que les Allemands y avaient construit, dès 1938, une base secrète où des rescapés se seraient réfugiés après la défaite du IIIe Reich. Cette base de Neuschwabendland aurait été entièrement détruite par l’armée britannique lors de l’expédition totalement occultée par les livres d’histoire, mais dont témoigne ici le dernier survivant. Une pièce essentielle qui vient éclairer le mystère de la quarantaine de sous-marins allemands disparus à l’issue de la guerre, et relance le « mythe » nazi de l’Antarctique.

Le dernier témoin

Aujourd’hui, presque tous ceux qui ont servi pendant la campagne du Neuschwabenland nous ont quittés. Mais j’ai pu recueillir du dernier survivant le récit que vous pouvez lire ci-dessous. Je précise qu’il m’a raconté son histoire lors de deux entretiens séparés de dix ans, et que je n’ai pu déceler aucune contradiction entre les deux récits.

Le dernier survivant de la mission témoigne

Quand on nous annonça la victoire de l’Europe, mon unité était au repos dans une grotte de l’ex-Yougoslavie.

J’étais content que cette guerre soit finie, mais avec les combats qui continuaient dans le Pacifique et les tensions qui montaient en Palestine, nous savions bien que notre guerre à nous pourrait bien continuer. Grâce au Ciel, je fus dispensé de participer à la guerre contre le Japon, mais hélas, je fus envoyé en Palestine où l’afflux de Juifs, joint à une montée du terrorisme sioniste, angoissait non seulement les Palestiniens, mais aussi les forces britanniques chargées d’endiguer cet afflux et de réprimer les insurrections. On m’avertit que mon affectation en Palestine pouvait durer indéfiniment. Je vis mourir beaucoup de mes compagnons soldats. Heureusement, je reçus au début d’octobre 1945 l’ordre de me présenter à mon officier supérieur, car j’avais été choisi pour une mission secrète à Gibraltar (aucun de mes supérieurs ne connaissait la nature de cette mission). N’ayant reçu aucune explication, j’espérais qu’on me rendrait bientôt à la vie civile. Je me trompais lourdement ! J’allais passer un autre Noël sur le pied de guerre.

Une fois arrivé à Gibraltar, un Major me prit à part et m’informa que je serais muté aux Colonies des Îles Falkland pour instructions complémentaires et que plusieurs autres soldats d’autres corps d’élite britanniques allaient me rejoindre. Le mystère s’épaissit quand on nous envoya tous par avion aux Falklands en nous demandant un complet silence. Nous avions reçu ordre de ne même pas spéculer sur la raison pour laquelle nous avions été choisis et sur le lieu où nous nous rendions.

Un entraînement extrême

En atteignant les Îles Falkland désolées et sévères, nous fûmes présentés à l’officier qui commandait l’expédition et à un Norvégien qui avait servi dans la résistance norvégienne, un expert en combats hivernaux qui allait nous entraîner pour une mission dont nous n’avions pas la moindre idée. Aujourd’hui, on sait que les Falklands, considérées comme le secret le mieux gardé de l’Armée britannique, promettent quelques années difficiles à ceux qui y sont affectés, mais dans les années 40, personne ne les connaissaient et encore moins les soldats comme moi. Pendant un mois, nous fûmes soumis à un éreintant entraînement au combat par temps froid. Plonger dans l’Atlantique glacé, affronter les éléments dans une tente en Géorgie du Sud nous paraissait Quand d’autant plus fou que nous ne savions pas pourquoi nous étions là ! Cependant, après cette préparation, un major et un scientifique nous expliquèrent enfin la nature de notre mission, et là, nous réalisâmes tous qu’il y avait peu de chances pour que nous en sortions vivants, surtout si ce que l’on soupçonnait était exact.

Parés pour la « guerre secrète »

On nous expliqua que nous devions examiner des activités « anormales » dans les environs des Monts Mühlig-Hoffmann à partir de la base britannique de Maudheim. L’Antarctique, à ce que l’on nous dit, était « la guerre secrète de la Grande-Bretagne ». On nous informa ensuite des activités britanniques au Pôle Sud pendant la guerre. Nous étions là, assis, intrigués par ce qui allait nous être divulgué ; aucun de nous n’avait rien entendu d’aussi fascinant ni d’aussi effrayant. Très peu de gens savaient que les nazis étaient venus dans l’Antarctique en 1938 et 1939, et plus rares encore étaient ceux qui avaient connaissance du fait que la Grande-Bretagne commençait, en réaction à établir des bases secrètes autour de l’Antarctique. Celle que nous devions’visiter, Maudheim, était la plus importante et la plus clandestine de toutes les bases antarctiques. En effet, elle n’était qu’à 300 kilomètres du lieu présumé de la base nazie.

On nous informa de l’activité allemande dans l’Atlantique Sud, autour de l’Antarctique. Un nombre impossible à estimer de sous-marins allemands étaient manquants et non signalés ; mais, pire, certains de ceux qui avaient fait leur reddition des mois après la fin de la guerre alimentaient encore davantage de spéculations.

L’armée britannique avait capturé trois des plus grands noms du parti nazi – Hess, Himmler et Ddnitz – et au moment de leur capture, la Grande-Bretagne avait obtenu des informations qu’elle ne partagea pas avec la Russie ou les États-Unis.

C’est sur la base de ces informations qu’agissait, seule, la Grande-Bretagne, et nous étions à la pointe de cette opération. On nous indiqua sans trop de précision ce que l’on attendait de nous et ce que nous étions susceptibles de trouver sur l’Antarctique. La Grande-Bretagne était convaincue que les Allemands avaient construit une base secrète, et qu’ils avaient fait sortir d’Europe, comme par magie, de nombreux Nazis dont on avait perdu la trace.

Hommes polaires, tunnel et nazis

Des révélations en cascade nous attendaient. L’été précédent, nous dit-on, les scientifiques et commandos d’origine avaient trouvé un « ancien tunnel ». Des militaires envoyés sur place y auraient pénétré, mais seuls deux d’entre eux étaient revenus à leur base avant que l’hiver austral ne soit installé. Ensuite, les deux survivants avaient fait par radio des déclarations absurdes à propos « d’hommes polaires, d’anciens tunnels et des nazis ». Le contact radio avait finalement été perdu en juillet 1945, après un message de très mauvais augure pour nous :

« … les hommes polaires nous ont trouvés ! » Après nous avoir fait écouter cet enregistrement, le Major qui devait commander l’expédition essaya de nous encourager : « Nous allons nous rendre à la base de Maudheim, trouver le tunnel, élucider l’énigme des hommes polaires et des nazis et tout faire pour détruire cette menace. »

Par bonheur, les réponses à nos questions, si nombreuses, furent honnêtes et directes.

On nous apprit que la Grande-Bretagne entendait prendre de vitesse les Américains et les Soviétiques qui préparaient leurs propres expéditions. Elle ne voulait pas prendre le risque que les États-Unis ou l’Union soviétique ne découvrent la base allemande et ne recueillent des technologies nazies. Ces deux pays avaient déjà une avance technologique sur la Grande-Bretagne grâce aux scientifiques et aux équipements récupérés sur les nazis. En outre, considérant l’Antarctique comme étant sous la juridiction de l’Empire britannique, elle entendait bien être la première et la seule à éradiquer la présence nazie sur son sol, refusant ainsi à la fois aux États-Unis et à l’Union Soviétique la gloire d’avoir livré le dernier combat de la Seconde Guerre mondiale.

Parachutés dans la neige

On nous emmena en avion jusqu’au point de largage prévu, situé à 30 kilomètres de la base de Maudheim. Des chasse-neige attendaient notre arrivée. Après le saut en parachute dans la solitude glacée, la peur au ventre, nous rejoignîmes les chasse-neige. A partir de cet instant, nous fûmes sur le pied de guerre. Nous devions opérer sous silence radio total. Nous étions seuls, sans appui ni chance de retraite si nos pires craintes se confirmaient.

Nous approchâmes de la base, sur nos gardes, mais elle nous apparut bientôt dépourvue de toute vie, une ville fantôme. Cela éveilla immédiatement notre méfiance, mais, comme dans toutes les campagnes précédentes, nous avions une mission à accomplir et nos peurs ne devaient pas paralyser notre jugement.

Première victime de l’expédition

Comme nous nous dispersions autour de la base, un fil déclencha une alarme et une sirène retentit, déchirant le silence et nous faisant sursauter. Une voix, impossible à localiser, nous cria de nous identifier. Nous levâmes nos fusils, le major nous présenta, et la voix prit corps.

Elle appartenait à un survivant isolé, et ce qu’il révéla ne fit que nous inquiéter davantage et nous faire regretter de ne pas être plus nombreux. Il nous expliqua que, dans le bunker numéro 1, se trouvait l’autre survivant de « l’expédition dans le tunnel », en compagnie de l’un des mystérieux hommes polaires dont nous avions entendu parler sur l’enregistrement radio.

Malgré les objections du survivant, ordre fut donné d’ouvrir ce bunker. Il essaya de s’y opposer avec une peur panique qui nous gagna instantanément : aucun de nous ne voulait être le premier à entrer dans le bunker.

Heureusement pour moi, je ne fus pas choisi. Cet honneur fut dévolu au plus jeune membre de notre unité désigné à la courte paille. Il entra, hésitant un peu, en se heurtant à la porte.

Une fois à l’intérieur, un silence s’abattit sur la base, suivi par deux coups de fusil. La porte s’ouvrit et l’homme polaire s’échappa en courant, nous prenant tous de cours et nous laissant juste le temps de tirer quelques coups de feu, pour la forme. C’est alors que nous pénétrâmes dans le bunker où gisaient deux cadavres : notre camarade, la gorge tranchée, et, plus atroce, le survivant, déchiqueté jusqu’aux os. Nous étions envahis de colère et d’interrogations après avoir vu mourir un membre de notre unité quelques heures seulement après notre atterrissage, et nous écoutâmes anxieusement les réponses du dernier survivant aux questions du Major. Il lui demanda d’abord ce qui avait bien pu arriver à l’autre survivant,et comment il s’était retrouvé piégé dans le bunker avec cet homme polaire. Mais l’homme préféra commencer par le début, c’est-à-dire le moment où ils avaient découvert le « tunnel ». Le scientifique qui nous ccompagnait prenait des notes.

Une immense base souterraine

On apprit que la région où se trouvait le tunnel était l’une de ces vallées sèches particulières à l’Antarctique, ce qui explique la facilité avec laquelle les Britanniques avaient pu le trouver.

Les trente membres de la base de Maudheim avaient l’ordre de découvrir où conduisait le tunnel.

Ils avaient parcouru le tunnel pendant des kilomètres, et finalement, étaient arrivés à une vaste caverne souterraine anormalement tiède ; certains parmi les scientifiques pensèrent qu’elle pouvait être chauffée par géothermie. L’immense grotte comportait des lacs souterrains, mais, beaucoup plus mystérieux, elle était éclairée artificiellement. Devant l’immensité de la grotte, l’expédition s’était divisée pour mieux l’explorer C’est alors qu’ils avaient découvert l’énorme base construite par les nazis,

avec des quais pour les sous-marins, dont l’un d’entre eux, semble-t-il, pût être identifié. Mais plus les britanniques avançaient, plus le spectacle était étrange. Le survivant parla notamment « de hangars pour d’étranges avions et de multiples excavations ».

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Cependant, leur présence n’était pas passée inaperçue et les deux survivants de la base de Maudheim avaient vu leurs camarades se faire capturer et exécuter un par un. Après avoir été témoins de six exécutions, ils s’étaient enfui par le tunnel, mais trop tard : « les hommes polaires arrivent ! », avait alors hurlé le survivant. Les forces ennemies à leurs trousses, ils n’avaient pas eu d’autre choix que de retourner à leur base pour informer par radio leurs supérieurs de ce qu’ils avaient découvert. Ils avaient réussi à rentrer à la base, mais, comme l’hiver approchait et qu’il y avait peu de chances pour qu’on vienne les secourir, ils avaient décidé de se donner toutes les chances de pouvoir témoigner de leur découverte. Ils s’étaient donc séparé, chacun prenant un poste radio sans fil et attendant dans un bunker différent. L’un des survivants avait servi d’appât et lorsqu’une poignée d’hommes polaires l’avait découvert dans son bunker, ils avaient cru qu’il était le dernier survivant. Le plan avait fonctionné, mais au détriment de sa vie et de la radio, car le brave du bunker numéro un détenait le seul poste radio sans fil opérationnel qui fut détruit dans la bagarre. Le deuxième survivant n’avait plus eu d’autre choix que de s’asseoir, attendre, et essayer de ne pas devenir complètement fou.

Une source d’énergie inconnue

Sans explications satisfaisantes, l’homme nous parla ensuite des hommes polaires comme étant des produits de la science nazie. De la même manière, il tenta de nous expliquer la manière dont les Nazis se fournissaient en énergie : celle-ci provenait, d’après lui, de l’activité volcanique, qui, à travers sa vapeur, leur permettait de produire de l’électricité. Mais il semblerait que les nazis disposaient d’une source d’énergie inconnue, car le survivant déclara :

 » … d’après ce dont j’ai été témoin, la quantité d’électricité requise est supérieure à ce que pourrait produire, à mon avis, de la vapeur ».

Les scientifiques de l’expédition rejetèrent la plupart des informations livrées par le survivant, lui reprochant même son manque de culture scientifique et objectant que ces données « ne pouvaient en aucun cas être véridiques ». Le major, quant à lui, voulait en savoir plus : en savoir davantage sur l’ennemi que nous avions à affronter et sur ce qu’allait bien pouvoir faire l’homme polaire qui s’était échappé. La réponse ne fut pas pour nous réconforter et poussa le scientifique à annoncer que le survivant était « bon à enfermer ». Il n’y a pas de mots pour exprimer ce que nous ressentîmes en entendant la réponse : « Il va attendre, nous épier en se demandant quel goût nous pouvons bien voir. »

Un paysage saharien

En entendant cela, le Major ordonna qu’un tour de garde fut établi pendant que lui et le scientifique discuteraient, en privé, de la suite de la mission.

Le lendemain matin, on nous ordonna d »‘inspecter le tunnel » et pendant les quarante-huit heures qui suivirent, nous progressâmes régulièrement vers la vallée sèche, lieu du supposé « ancien tunnel ». En arrivant dans la vallée sèche, nous fûmes tous abasourdis, car on nous avait dit que l’Antarctique était totalement entouré de glaces et pourtant, nous étions dans un paysage qui rappelait le Sahara.

Nous avions l’interdiction d’approcher du tunnel avant que le camp de base provisoire n’eût été dressé. Pendant que les hommes construisaient la base, le scientifique et le major inspectaient le tunnel.

Au bout de quelques heures, ils revinrent au camp pour nous faire part de ce qu’ils avaient vu et de notre prochain plan d’action. Le tunnel n’était pas du tout ancien, d’après le scientifique. et le major ajouta que les murs de granit poli semblaient interminables. Nous pourrions le constater nous-mêmes le lendemain, après une bonne nuit.

Juste avant de nous assigner nos tours de garde, on nous confirma qu’il s’agissait de suivre le tunnel jusqu’au bout, « jusqu’au Führer, au besoin ».

Il est difficile de dormir dans l’Antarctique pendant les mois d’été, à cause de la lumière du jour qui brille perpétuellement. Mais cette nuit-là, le sommeil fut encore plus long à venir…

Autopsie d’un homme polaire

Et cette nuit-là, l’homme polaire revint, effectivement. Mais cette fois-ci, il n’y eût pas de victime dans notre camp : l’homme polaire s’écroula sous nos balles. Le scientifique, après avoir examiné le cadavre, déclara que l’homme polaire était un « humain », certes plus poilu et mieux armé contre le froid. Après une autopsie rapide, le corps fut mis dans un sac afin d’être conservé jusqu’à un prochain examen plus minutieux.

Le lendemain matin, deux personnes restèrent à l’entrée du tunnel, avec le cadavre, les chasse-neige, l’équipement et, le plus important, la radio. En tête de l’expédition, le major était accompagné du Norvégien et du scientifique. Le survivant, lui aussi, était indispensable au succès de la mission. Nous voulions tous nous joindre à eux.

Je fus choisi avec quatre autres hommes tout joyeux : nous allions entreprendre l’une des expéditions les plus passionnantes, et peut-être les plus importantes, de l’histoire de l’humanité. Bien que leur rôle fût tout aussi essentiel pour le succès de la mission, les deux compagnons qui restaient à l’entrée du tunnel étaient déçus.

Une véritable ruche technologique

En nous préparant tous les neuf à entrer dans le tunnel, nous nous assurâmes que nous avions emporté suffisamment de munitions et d’explosifs pour mener un affrontement et peut-être détruire la base dans son intégralité, car telle était notre mission : non pas sauver, mais détruire. Nous marchâmes longtemps dans l’obscurité et, au bout de quatre heures,nous commençâmes à percevoir de la lumière au loin, à environ une heure de marche, une heure interminable, la tête pleine de questions. Finalement, nous arrivâmes dans la vaste caverne éclairée artificiellement. On se dirigea ensuite à l’endroit d’où les survivants avaient été témoins des exécutions. En observant d’en haut les galeries de la caverne, nous fûmes ébahis par le nombre d’ouvriers qui s’activaient ici et là, comme des fourmis.

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Mais ce qui était le plus impressionnant, c’était l’énormité des constructions en cours. Tout semblait indiquer que les nazis étaient dans l’Antarctique depuis longtemps. Le scientifique notait tout ce qu’il pouvait, dessinait des diagrammes, prenait des échantillons de roche, et des photos. Le major, de son côté, s’intéressait davantage à la manière de détruire la base sans être pris par les nazis.

Au bout de deux jours de reconnaissance attentive, le scientifique et le major décidèrent des cibles pour les mines. Elles allaient devoir être placées tout autour du toit de la caverne.

D’autres cibles étaient également prévues, comme par exemple le générateur et les cuves d’essence ainsi que, si possible, les dépôts de munitions.

Trois survivants seulement

Pendant toute la journée, nous posâmes des mines et primes des photos de cette technologie très avancée ; nous prîmes aussi un otage, un « homme polaire ».

Une fois les mines posées et les preuves substantielles de l’existence de la base rassemblées, nous nous dirigeâmes vers le tunnel.

C’est alors que nous fûmes découverts et poursuivis par des hommes polaires et des nazis.

En atteignant le tunnel, nous plaçâmes un obstacle sur le passage de sorte à ralentir nos ennemis assez longtemps pour que les mines explosent. Certaines mines avaient été placées à l’entrée du tunnel, et quand nous entendîmes les explosions, nous espérâmes que nos poursuivants avaient été atteints. Il n’en était rien.

Les mines avaient bien obstrué le tunnel, mais les nazis et les hommes polaires nous poursuivaient. Seulement trois d’entre nous en réchappèrent : le Norvégien, le scientifique et moi-même. Quand nous atteignîmes la vallée sèche, suffisamment de mines avaient été posées pour fermer le tunnel à jamais. Après que les mines eussent explosé, il ne subsista aucune trace de tunnel. Curieusement, il resta très peu de preuves de la mission. Qu’elles aient été perdues accidentellement ou à dessein importait peu, car le scientifique était déjà parvenu à ses conclusions et la mission avait été accomplie.

Retour aux Îles Falkland

Le camp fut démonté et nous rentrâmes à la base de Maudheim d’où l’on nous évacua. On nous transporta par avion jusqu’aux Colonies des Îles Falkland. En atteignant la Géorgie du Sud, on nous distribua une directive nous interdisant de révéler ce que nous avions vu, entendu, et rencontré. Le tunnel fut expliqué comme n’étant rien de plus qu’un accident naturel, « une érosion glaciaire ». Les hommes polaires n’étaient autres que « des soldats débraillés devenus fous ». La présence d’Allemands n’a jamais été mentionné dans le rapport, et toute idée de rendre publique la mission fut fermement rejetée.

La mission ne serait jamais rendue officielle, bien que certains éléments de celle-ci aient
déjà fait l’objet de fuites vers les Russes et les Américains.

Aucune reconnaissance

Ainsi mon dernier Noël de la Seconde Guerre mondiale se passa-t-il sur le continent Antarctique en 1945, à combattre les mêmes nazis que j’avais combattu tous les Noëls depuis 1940.

Le pire, c’est le fait que l’expédition n’ait jamais reçu aucune reconnaissance ni les survivants aucun honneur.

Au contraire, les survivants britanniques furent démobilisés, le rapport du scientifique disparut. Cette mission n’a jamais figuré dans les livres d’histoire, alors que s’y trouve la mission de 1950, menée par une expédition conjointe de Britanniques, de Suédois et de Norvégiens, et qui dura jusqu’en janvier 1952. Elle avait pour but de vérifier et d’enquêter sur certaines découvertes des expéditions nazies de 1938-1939 au Neuschwabenland.

Neuschwabendland revisité ensuite

Cinq ans après notre mission, Maudheim et Neuschwabenland furent revisités, et cette expédition avait tout à voir avec la campagne du Neuschwabenland, mais, plus important, avec ce que nous avions détruit. Pendant les années qui s’écoulèrent entre les deux missions, la Royal Air Force ne cessa de survoler le Neuschwabenland.

La raison officielle invoquée par la RAF pour ces vols intensifs était la recherche de lieux propices pour établir des camps de base. Toutefois, on ne peut s’empêcher de se poser des questions. »

(NDLR : ici finit le récit de l’officier du SAS).

Source : James Robert

Jean-Marc ROEDER nous parle des ovnis nazis, de l’antigravité et des ovnis militaires US

Pour l’opinion publique en général, les Ovnis n’existent pas. Pour ceux qui s’y intéressent un minimum, on évoque plus souvent l’origine extraterrestre de ces engins. Mais un nombre croissant d’indices, de témoignages, d’hypothèses, voire de faits scientifiques tendent à montrer que certains Ovnis sont en réalité d’origine … humaine. En fait, cela signifie que les militaires, aujourd’hui surtout les États-Unis et l’Air Force via des réseaux très cloisonnés du complexe militaro-industriel maîtrisent en partie des technologies relatives à l’antigravité. Cela implique également que l’armée américaine fait voler, dans le cadre de programmes plus ou moins bien occultés car incroyables pour le sens commun, un certain nombre d’appareils furtifs et ultrarapides, à savoir des disques et des triangles volants dont certains dépasseraient la vitesse de la lumière. Quant à savoir pourquoi ces appareils ne sont pas «ouvertement» employés comme arme offensive, il existe aussi un certain nombre de réponses. Jean-Marc Roeder, totalement dévoué à la physique, spécialiste de l’antigravitation, qui nous a largement aidé à la constitution de ce dossier, aborde dans cette interview un grand nombre de réponses et de thèmes soulevés par ce sujet extrêmement polémique. Dans une seconde partie mise sous la forme d’un document annexe, il nous explique en termes clairs comment fonctionne l’antigravitation mais aussi quelles sont les bases et les mécanismes qui sous tendent le fonctionnement de notre univers. De ce fait, certaines conceptions comme l’énergie quantique du vide, la raison pour laquelle des générateurs comme ceux de Schauberger produisent plus d’énergie qu’ils n’en consomment, ce qui est toujours aujourd’hui considéré comme une hérésie par la physique «officielle» et les média de vulgarisation scientifique (nous ne citerons personne), sont pleinement expliqués et détaillés dans ces annexes d’une grande importance.

Karma One : Toute une vague d’auteurs (comme Mc Lure) affirme que les programmes nazis sur l’antigravitation sont purement et simplement une supercherie et qu’il n’y a jamais eu de «Haunebus» ni même de disques volants opérationnels. Qu’en pensez-vous ?

Jean-Marc Roeder : Notre entretien portant sur des sujets qui soulèvent souvent les passions, il serait peut-être utile que je vous précise tout d’abord dans quel esprit je travaille sur ces thèmes. Je ne souhaite pas convaincre qui que ce soit de mes conclusions, je vous livre simplement mon témoignage scientifique et technique. Vous pouvez rejeter librement ce que je dis ou au contraire comparer aux observations ce que je pense être les solutions de « l’énigme » des prototypes antigravitationnels (Allemands, Américains ou autres…) et vous faire votre propre jugement. De plus, ayant conçu et fait voler avec succès (en trente ans) une dizaine d’avions allant de planeurs de vol libre de haute performance à des démonstrateurs de drones furtifs militaires, je pense avoir le minimum d’expérience et de jugeote dans les technologies aérospatiales avancées m’autorisant à m’exprimer sur ces sujets. Je n’ai ni les moyens matériels ni les compétences pour faire un tri définitif entre les sources crédibles et les sources fantaisistes en ce qui concerne l’histoire des programmes secrets nazis (ou américains, d’ailleurs). Lorsque je cite des dates, des lieux ou des événements, je ne dispose d’aucune preuve formelle attestant de leur réalité ou de leur fiction. J’ai simplement fait, au cours des années, un tri entre les affirmations d’enquêteurs réputés sérieux et honnêtes (comme Mc. Lure, Nick Cook et quelques autres) et celles d’auteurs (comme Terziski, Van Helsing et consorts) qui, à l’évidence, prennent leurs désirs pour des réalités (ou pire, essaient de propager un négationnisme historique). Par contre, je suis sûr de mon fait lorsque j’expose les technologies antigravitationnelles. J’ai l’impression, à regret, que peu d’auteurs comprennent véritablement les principes théoriques et les technologies effectivement utilisés en antigravité civile et militaire. Vous n’imaginez pas le nombre d’erreurs techniques et scientifiques que peuvent publier de nombreux auteurs, « de référence  » et réputés sur ce sujet, tant dans le clan des sceptiques que dans celui des enthousiastes de la propulsion exotique militaire! Ce qui selon moi établit avec certitude l’existence de prototypes antigravitationnels nazis et américains c’est le fait, irréfutable, que plusieurs « civils » ont fait voler des démonstrateurs antigravitationnels (Keely, Tesla, Shauberger, Otis Carr, Searl, Hammel, Hutchison, etc.) de 1886 à nos jours. Toute personne connaissant un tant soit peu la recherche militaire sait qu’il est impossible que certaines grandes puissances n’aient pas développé à leurs extrêmes limites militaires ces technologies expérimentées avec succès par des inventeurs civils. De plus, même si l’on rejette en bloc la totalité des clichés, plans techniques et témoignages sur les protos anti-G allemands et américains, il reste les observations établies de certains de ces véhicules de 1945 à nos jours. Par exemple, et ceci sans croire aucune des déclarations d’Adamski, on peut établir l’authenticité de deux de ses photos de soucoupe « vénusienne » (qui n’est pas un abat-jour art déco avec des balles de ping-pong, j’ai vérifié!). Cette soucoupe est à l’évidence un Haunebu II à moteur Shumann. Il existe trois autres clichés du même type, pris devant témoins entre 1957 et nos jours, qui sont authentifiés par des enquêtes irréprochables sur ces observations. Et je ne parle même pas de deux rencontres « du troisième type », bien documentées, où de très humains « extraterrestres » parlaient un dialecte allemand du Tyrol dans un des cas et l’anglais avec un accent allemand « à couper au couteau » dans l’autre, en descendant de leur Haunebu II!

Je salue et respecte sans réserve l’honnêteté et la rigueur des historiens qui affirment en toute bonne foi que tous ces engins antigravitationnels nazis sont une supercherie. Les méthodes rigoureuses d’investigation historique amènent nécessairement un enquêteur sérieux à cette conclusion. Pour noircir encore le tableau, j’affirme qu’au moins 90% des prétendues preuves documentaires et photographiques présentées dans des livres ou sur Internet sont des faux (souvent grossiers) probablement diffusés par des mouvements néo nazis et/ou par des auteurs peu scrupuleux, en mal de célébrité et de profit. De plus, on ne peut exclure l’hypothèse que des services de renseignement occidentaux diffusent des faux pour renforcer la désinformation sur les ovnis. En la matière, la confusion et le mensonge sont mères de sûreté…militaire! Le problème est que dès que l’on veut enquêter sur des sujets présumés ultrasecrets les outils de l’historien se révèlent insuffisants et vous laissent peu de chance de percer la vérité si elle existe. La méthode documentaire historique n’aurait jamais permis de savoir ce qui s’était réellement passé à Dallas lors de l’assassinat de Kennedy, à savoir un coup d’état exécuté par quatre équipes de tir et non pas l’acte d’un déséquilibré solitaire. Il convient donc, selon moi, d’enquêter avec des méthodes proches de celles d’un officier de police judiciaire ou d’un journaliste d’investigation. Il est aussi indispensable, lorsque cela est possible, d’utiliser des techniques proches de celles de la police scientifique pour analyser les indices que l’on aura pu trouver. Par exemple, j’ai analysé avec des outils photogrammétriques sophistiqués de prétendues photos de soucoupes nazies et je suis arrivé à la conclusion que seuls une vingtaine de clichés (sur les centaines de photos disponibles) étaient authentiques. Cette approche est d’ailleurs la même que celle qu’utilisent les chercheurs sérieux en ufologie (Comme le Professeur Meissens pour le « triangle belge »). En ce qui concerne les témoins, je n’en ai rencontré que deux, tout à fait par hasard d’ailleurs. Il y a environ deux ans, à la fin d’une petite conférence que je donnais au Lion’s club de Strasbourg sur les soucoupes nazies, deux messieurs très âgés vinrent me trouver. Le premier m’expliqua que, alsacien enrôlé de force dans la wermacht, il avait observé une soucoupe de couleur rougeâtre survolant sa position à basse altitude (environ 60 mètres) lors de la bataille de Koursk sur le front russe. Il estimait la taille de l’engin à environ 20 à 30 mètres de diamètre. Il m’affirma aussi que la soucoupe qu’il avait vue ressemblait à s’y méprendre à un des modèles de Vril dont j’avais montré les photos durant la conférence. De plus, l’officier commandant leur position d’artillerie leur dit de ne pas s’inquiéter car il s’agissait d’une nouvelle arme de vengeance ultrasecrète testée sur le front. L’autre monsieur, alsacien engagé volontaire dans les Waffen SS, me donna un témoignage encore plus impressionnant. Il m’expliqua que, alors qu’il était basé à Augsbourg en 1944, il fut convoqué avec une vingtaine de ses camarades par son commandant S.S. Le commandant leur annonça qu’ils se rendraient le jour même à l’aéroport militaire d’Augsbourg pour sécuriser celui-ci durant un test ultra secret. Il leur précisa aussi que la moindre révélation sur ce qu’ils verraient serait sanctionnée par une exécution immédiate. Le témoin m’expliqua qu’il vit sortir d’un hangar, à 100m de sa position, une soucoupe d’environ trente mètres de diamètre et quinze mètre de hauteur, en forme de cloche et surmontée d’un petit dôme. Elle émettait un faible sifflement ainsi qu’un bourdonnement d’abeilles. L’engin semblait flotter à deux mètres du sol en oscillant lentement. Il se dirigea lentement vers la piste de décollage puis s’éleva doucement verticalement jusqu’à cent mètres d’altitude en oscillant comme une feuille morte. Détail intéressant, l’engin de couleur noire devint lumineux en s’élevant, passant d’une luminosité bleue électrique à une couleur rouge grenat sur le côté et orange vif sous le dessous. Il accéléra ensuite à une vitesse foudroyante et disparu à l’horizon en deux seconde en émettant un « son d’orgue ». L’engin réapparu dix minute plus tard au dessus du hangar et chuta en feuille morte devant celui-ci avant de se plaquer au sol avec un bruit métallique sourd. Dès l’atterrissage, le témoin et ses camarades furent immédiatement rembarqués en camion vers leur caserne et ne purent approcher le prototype. Bien sûr, il ne s’agit que d’un témoignage qui n’a pas valeur de preuve mais il m’a parut sincère, d’autant plus que cet ancien combattant avait les larmes aux yeux en me racontant son aventure. Il me remercia même en m’affirmant qu’il attendait depuis cette époque de comprendre ce qu’il avait vu. Je pense que ces témoins ont vu le prototype antigravitationnel Vril 5 « Odin ».

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Vril Odin

Karma One : Les nazis avaient développé des modèles assez ingénieux d’ailes volantes (Horten). Cela a-t-il été la base du programme du B2 et du F117 ? Est-ce que les nazis avaient également des idées sur la façon dont la MHD fonctionnait ?

Jean-Marc Roeder : Rappelons tout d’abord que la MHD, découverte par Faraday dès les années 1840, est tout sauf nouvelle. Les nazis n’avaient nul besoin d’une technique aussi archaïque et inefficace dans l’air que la MHD et ils ne l’ont jamais envisagée. D’ailleurs ils n’auraient pas disposé des matériaux, eux très sophistiqués, indispensables pour supporter les contraintes électromagnétiques, thermiques et mécaniques de la MHD à haute énergie. Il est intéressant de rappeler que si les américains ont développé dans les années 70-80 un programme d’avion MHD, le programme Aurora (qui fut d’ailleurs un échec partiel), c’est essentiellement, selon moi, pour entraîner l’Europe, la Chine et la Russie dans des voies technologiques de garage, ruineuses et sans intérêt. Pendant que nous continuons nos programmes MHD et Plasmas Froids, les USA développent dans un secret absolu l’antigravité et l’énergie quantique du vide! S’il est exact que l’aile Horten, ainsi d’ailleurs que ses ailes volantes des années quarante, ont inspiré la firme Northrop dans la conception aérodynamique du bombardier furtif B2, elles n’ont joué aucun rôle dans ses techniques de furtivité. Dans les années quarante, la furtivité radar de l’aile Horten et des ailes Northrop était purement fortuite et totalement incomprise des allemands et des américains. En plus de sa furtivité passive, obtenue par des matériaux Aile volante Hortenabsorbants (inconnus durant la guerre) et des formes particulières, le B2 dispose d’un bouclier plasma froid actif absorbant les ondes radar et procurant une propulsion électrocinétique (et non pas MHD) complémentaire pour franchir le mur du son.

Karma One : Selon certains auteurs comme Henry Stevens (NDR : « Hitler’s Flying Saucers » AUP Edition), les nazis avaient développé des modèles de disques plus « conventionnels » mélangeant le concept de propulsion par pales orientables et réacteur orientables, notamment certains modèles développés par Miethe capables de performances intéressantes (décollage vertical, vitesse proche de Mach 1). Ces modèles ont-ils été opérationnels ?

Jean-Marc Roeder : Oui et non… Trois types de « soucoupes » (baptisées toupies ou flugsheibe et rundflugzeug par les nazis) à propulsion aérodynamique « classique » furent effectivement construites et testées en vol. L’ingénieur Andréas Epp créa trois toupies qui volèrent respectivement en 1943 et 1944. La première, d’un diamètre de 2m, contenait une turbine radiale (comme celle de votre aspirateur) placée à l’intérieur de la soucoupe et aspirant l’air par effet Coanda sur la coque supérieure à travers deux orifices à volets. L’air comprimé étant ensuite soufflé à travers deux fentes superposées, l’une sur l’extrados et l’autre sur l’équateur de la soucoupe. L’obturation de certaines parties de la fente équatoriale assurait la propulsion et le pilotage. Ce drone était motorisé par un moteur deux temps de l’époque. On ignore si l’engin a bien volé, tout ce qu’on sait c’est qu’il devait servir de drone cible pour l’aviation et la défense antiaérienne. Ce drone n’a rien à voir avec les « Foo Fighters » qui sont, selon moi, d’authentiques ovnis et en aucun cas des armes secrètes « miracles » comme tant d’auteurs l’affirment. Une version monoplace pilotée (de 6m de diamètre) de cette première soucoupe de Epp fut conçue par Habermohl en 1944 et vola la même année sur le site partiellement détruit de Peennemünde. Le rotor était entraîné par une turbine au peroxyde d’hydrogène d’une autonomie de 10 minutes de vol. Ce concept d’Andreas Epp, revu par Habermohl, fut partiellement copié par Foster pour la firme canadienne Avro en 1956 sur son prototype Avrocar qui fut un lamentable échec. La troisième toupie d’Andréas Epp comprenait six turbines horizontales de petit diamètre qui aspiraient l’air par effet Coanda au dessus de la soucoupe et le rejetaient comprimé vers le bas. L’engin télécommandé, d’un diamètre de 2m50, fut construit dans les usines Messerschmitt et fut principalement testé au Spitzberg afin de se soustraire aux bombardements alliés. Ce prototype vola parfaitement mais ne put jamais résoudre ses problèmes d’alimentation électrique autonome. La motorisation était électrique, l’alimentation étant fournie par un câble depuis le sol. De 1975 à nos jours l’américain Moller a fait voler avec succès plusieurs versions pilotées de la soucoupe d’Andreas Epp. Himmler souhaitait faire construire pour 1947 deux versions grandeur du prototype de Epp.

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Flugsheibe (toupie) à propulsion aérodynamique d’Andreas Epp

La première aurait été un chasseur bombardier monoplace volant en croisière à 700 Km/h et capable de courtes accélérations à 1000 Km/h grâce à des fusées au peroxyde d’hydrogène (du même modèle que celle du Messerschmitt 163). Une version intercontinentale, capable d’atteindre la côte est des Etats Unis, fut même étudiée théoriquement par Adréas Epp avec Dornberger et Von Braun (les responsables du programme A4-V2). Dans ce cas la soucoupe était lancée au sommet de la fusée géante A8 (jamais construite) et suivait une trajectoire suborbitale à 120 Km d’altitude et à Mach 8 (10 000 Km/h) jusqu’aux Etats Unis! Enfin, comme souvent chez les nazis, une version « Kolossale » de l’engin fut étudiée, dans le cadre d’un programme baptisé « Omega », pour le transport de troupes (120 commandos armés) ou le bombardement lourd… Le monstre, portant le doux nom de Rundflugzeug 7 Walkyrie (merci Wagner!) ou RFZ 7, aurait fait 42m de diamètre pour un poids de plus de cent tonnes. Il devait être propulsé apparemment par 12 turbopropulseurs BMW, de 1800 ch. chacun, et voler à 1000 Km/h. Bref, on nageait en plein délire technologique nazi de fin de Reich millénaire! Une autre toupie fut conçue par BMW en trois modèles différents respectivement baptisés Flügelrad I V-1, II V-2 et III V-3. Deux de ces prototypes ont effectivement volé contrairement aux affirmations de Manfred Franzke. Le modèle I V-1 vola à Prague, assez mal (au moins un crash bénin répertorié), en août et septembre 1944 sur l’aérodrome de Prag-Kbely. Fin 44 et début 45 le II V-2 biréacteurs fit une dizaine de vols concluants, le III V-3 triréacteurs quand à lui fut étudié mais ne fut pas construit. Tous les prototypes furent détruits avant l’arrivée des Russes. Le I V-1 comprenait un rotor à 16 pales de 6m de diamètre entourant un cockpit de 2m de diamètre surmonté d’une petite coupole en Plexiglas. Il était équipé de quatre trains d’atterrissage de Messerschmitt BF 109. Un turboréacteur BMW 003 était fixé horizontalement sous le rotor et comprenait une tuyère vectorielle rectangulaire pouvant dévier le flux du réacteur de 45 degrés vers le bas et le haut et de 6 degrés vers les côtés. Le souffle du réacteur, orienté à 45 degrés vers les pales du rotor, les mettait en rotation ce qui permettait un décollage vertical « sauté », la propulsion horizontale étant ensuite assurée par la mise en position rectiligne de la tuyère. Le rotor tournait ensuite en rotation libre (comme les autogyres) le pilotage étant assuré par la tuyère vectorielle. Le Flügelrad III V3 n’était qu’une évolution du I V-1 et du II V-2 avec un rotor de 24m de diamètre. Le dernier type de toupie « classique » fut conçu par Mietheen 1940 et vola en 1941 à Peenemünde (alors encore en construction) avant d’être transférée en 1942 dans un laboratoire secret des usines Skoda près de Prag-Kbely. Baptisée Flugkreisel, elle avait un diamètre de 14m40 pour une hauteur de 3m20 et comprenait un rotor radial de type Shauberger entraîné par le soufflage, sur sa surface périphérique inférieure (un peu comme pour le Flügelrad) des flux de quatre turbo réacteurs BMW OO3. Il ne s’agit donc pas, comme l’on écrit à tort la totalité des auteurs, d’un rotor d’aérodyne entraîné par propulsion des extrémités de pales. Dans ce dernier cas, les forces centrifuges auraient arraché les réacteurs! Deux réacteurs BMW 003 supplémentaires, placés sous le cockpit circulaire central, assuraient la propulsion horizontale et l’anticouple résiduel. Contrairement aux épures présentées par Mietheen 1951, le rotor ne propulsait pas l’air vers le bas comme un hélicoptère mais créait un vortex implosif. Le dessus et le dessous du rotor étaient donc obturés par deux coques (de confinement du vortex), à volets radiaux pour la coque supérieure. Ces volets furent confondus par erreur avec des pales par les « spécialistes ». Les volets pouvaient localement s’ouvrir ou se fermer pour piloter le véhicule en incidence. Le vortex ne communiquait avec l’extérieur, sur l’intrados, que par un orifice de deux mètres sous la cabine centrale de la soucoupe. Selon moi, ces plans volontairement erronés ont été publiés par Mietheà la demande des Etats Unis pour masquer les vrais principes de propulsion (je soupçonne que les Etats Unis ont fait voler au moins un proto MietheV7 dès 1948). L’appareil ne dépassa probablement jamais 380km/h et 800m d’altitude et servi de laboratoire pour la mise au point du Kugelblitz. Le Vergeltungswaffe Sieben (V7) Kugelblitz vola pour la première fois le 17 mai 1944 sur l’aérodrome de Breslau en Pologne, puis plus tard, à Stettin et en Forêt Noire. Le V7 était une sorte de « Repulsim » de Shauberger, de 14m 40 de diamètre (comme le Flugkreisel) pesant 4500 Kg. Contrairement au Flugkreisel, son rotor radial « Shauberger » n’était pas entraîné par des turboréacteurs qui n’auraient pas permis d’atteindre le régime de rotation de 8000 T/min. du rotor. Le lancement de la turbine radiale Shauberger s’effectuait au sol, probablement à l’aide d’une turbine au peroxyde d’hydrogène montée sur un véhicule. L’impossibilité de redémarrage en vol de la turbine Shauberger interdisait toute panne sous peine de crash immédiat. Une fois à 8000 T/min., la turbine entretenait « éternellement » sa rotation (en fait pas plus d’une dizaine d’heures vu l’usure rapide des roulements à billes du rotor) par « pompage » de l’énergie quantique du « vide » par la tornade. Le V7 n’utilisait donc aucun carburant. Il était toutefois équipé de deux réservoirs pressurisés toriques, sous la cabine, remplis respectivement d’essence et de propane. Le mélange aérosol des deux composés, éjecté par un orifice sous le V7, permettait de créer un nuage de carburant déflagrant autour d’un avion ennemi en le frôlant à grande vitesse. La chaleur des moteurs de l’avion déclenchant la déflagration. Il s’agissait donc d’un explosif binaire primitif (F.A.E. ou Fuel Air Explosive). La tornade implosive interdisant la formation de toute onde de choc et assurant une « poussée » (en fait une aspiration) de plus de 22 tonnes, permettait au V7 d’atteindre 2200 Km/h sans aucun bang sonique. Le pilotage directionnel était assuré par des volets qui s’ouvraient ou se fermaient autour de la « jupe » inférieure de confinement de la tornade. Le pilotage en incidence se faisant par des volets radiaux en extrados comme sur le Flugkreisel. La jupe inférieure comprenait aussi quatre « airbags » sphériques d’atterrissage gonflés par prélèvement d’air comprimé sur la tornade. Sur le dessus du V7, un dôme hémisphérique en Plexiglas abritait le pilote en position couchée à plat ventre (comme les pilotes de delta en vol libre), ceci pour mieux résister aux accélérations phénoménales (9g) du V7. Un périscope (et non pas une verrière ventrale comme on l’affirme souvent!) assurait la visibilité vers le sol. Selon plusieurs témoignages, le Kugelblitz effectua deux missions de combat en avril 1945 (dans la région de Reims) contre des escadrilles de B17 américains. La position allongée du pilote fait souvent confondre le V7 avec un projet de soucoupe à rotor « classique » entraîné par des fusées équatoriales. Ce projet de l’italien Belluzo et de l’allemand Habermohl ne fut jamais construit. Enfin la référence V7 fut aussi utilisée pour classer un type de coque de Haunebu II, qui fut construit en différentes tailles de « jupe » et de cockpit mais avec le même moteur Schumann.

Karma One : Selon certains auteurs, les nazis et plus spécifiquement la loge du Vril auraient reçus leur inspiration pour construire ces engins incroyables que sont les Vrils et autres Haunebus de «supérieurs inconnus» par channelling. D’autres évoquent le fait que ces mêmes nazis ont mis la main, comme à Roswell, sur l’épave d’un Ovni accidenté ou encore qu’il existait des contacts entre les nazis et une race extraterrestre. D’autres enfin estiment que le «saut créatif» nazi provient tout simplement d’eux-mêmes, de leurs propres conceptions de la physique qui étaient en opposition avec la physique d’Einstein. Quel est votre point de vue ?

Jean-Marc Roeder : Il n’existe aucune preuve, si petite soit-elle, de la capture en Forêt Noire d’un ovni par les nazis. En ce qui concerne l’acquisition de connaissances sur l’antigravité grâce aux visions de deux voyantes, durant des réunions secrètes de la confrérie du Vril à Berchtesgaden entre 1917 et 1924, nous n’avons que les témoignages d’anciens nazis qui ne furent pas les témoins directs de ces éventuelles réunions. Quoi que cela soit parfaitement possible, cela reste une hypothèse tant qu’on ne pourra examiner les écrits et dessins réalisés par ces voyantes durant ces réunions ainsi que l’affirment plusieurs auteurs. Il est par contre tout à fait certain pour moi que les nazis disposaient de théories physiques, certaines empiriques et d’autres scientifiques, leur permettant de réaliser des moteurs antigravitationnels. Pour être précis, les nazis faisaient appel à trois théories distinctes qui, une fois associées, leurs permirent de maîtriser l’énergie quantique du vide et l’antigravité. La première de ces théories, qui remonte à l’antiquité grecque, est celle des monocordes. En langage moderne on dirait qu’il s’agit de la théorie des résonances et des harmoniques ondulatoires. Une petite partie de ce savoir antique se retrouve, du moyen âge à nos jours, dans les lois du solfège et de la gamme bien tempérée en musique. La deuxième est la théorie implosive de Shumann (nazi de la première heure) et de Schappeller qui permit à Victor Shauberger (anti nazi convaincu), dès le début des années 1920, de construire et faire fonctionner des turbines hydrauliques implosives à rendement apparent « sur unitaire » (c’est à dire produisant plus d’énergie à la sortie de la turbine qu’à l’entrée). Dans les années 30, Shauberger fit voler deux types différents de modèles réduits de « soucoupes volantes » qu’il baptisa « Répulsim ». Une turbine spéciale, placée au sommet de la soucoupe, met en rotation un mélange d’air et de 1% d’eau refroidie à sa température critique de transition de 2,93°C. L’air est centrifugé en tornade sous la soucoupe et remonte par la colonne centrale de la tornade vers le sommet de la soucoupe où il est à nouveau centrifugé par la turbine. Les différences de température entre le haut et le bas de la tornade ainsi que les différences de pression et de charge électrostatique entre le centre et la périphérie de la tornade (appelée aussi vortex) créent une énorme force de propulsion par dépression de l’environnement de la soucoupe. A partir d’une vitesse de rotation de 7000 T/min. la tornade s’auto entretient et la turbine n’a plus besoin de son moteur d’entraînement. De plus, à partir de 30 000 T/min., le vortex annule la masse et l’inertie de la soucoupe et de tout corps placé dans sa proximité immédiate (à quelques centimètres). Il y a alors antigravité. La troisième théorie (publiée en 1903) nous vient du mathématicien britannique Whittaker et, pour l’expérimentation, du physicien américain Nicolas Tesla. Il s’agit de la théorie des potentiels et des ondes longitudinales scalaires. Dès 1896, Tesla avait observé des pertes de masse et d’inertie d’objets de son laboratoire soumis aux ondes scalaires en phase (ou en résonance synchrone si vous préférez) à très basse fréquence (6Hz) de ses bobines « Tesla ». Ces expériences ont été reproduites avec succès depuis 1995 par un expérimentateur empirique et indépendant de Vancouver, John Hutchison, ainsi que par le physicien Brésilien Fran De Aquino qui a publié ses travaux en Refere au Brésil et en soumission au CERN.

Le sanguinaire Obergruppenfuhrer SS Hans Kammler (qui fut aussi, ne l’oublions jamais, l’un des principaux artisans de la solution finale), responsable de la coordination de tous les programmes d’armes secrètes de « vengeance » (Vergeltungswaffen) du Reich (V1, V2, V7 Kugelblitz, Vril, etc.), fit construire un laboratoire d’essai de moteurs antigravitationnels (baptisés « Glocken » par les S.S.), pour le programme « Kronos », sur le site minier de Wenceslas en Pologne. Le banc test des moteurs existe toujours et fait même partie d’un circuit touristique! Le dernier moteur antigravitationnel nazi fut testé en 1943 et 1944 dans ce laboratoire. Il comprenait deux cylindres superposés et contrarotatifs, de 1m de diamètre, en métal diamagnétique. Chaque cylindre contenait de la vapeur de mercure, sous vide, mise en rotation équatoriale par les cylindres. Des ondes radio, émises à l’intérieur des cylindres formant une cavité résonante, induisait un courant électrique intense dans la tornade de vapeur de mercure. Une fois ionisée, la vapeur de mercure devenait un puissant électro-aimant tournant. Chaque tornade de mercure tournait dans le sens de rotation mécanique de son cylindre respectif. A partir d’une vitesse de rotation relative, entre les tornades, d’environ 8Km/sec le système annulait totalement sa masse et son inertie. L’ajout d’un faisceau radio supplémentaire permettait de créer une force de propulsion dirigée dans le champ antigravitationnel. L’énergie électrique du vide quantique dans le vortex de mercure était récupérée par auto-induction, ce qui permettait d’alimenter éternellement la tornade. L’inventeur Canadien Hammel a refait, empiriquement et sans le savoir, une version mécanique de ce moteur où les tornades de mercure sont remplacées par des cônes oscillants et superposés en aluminium. Le concepteur du « Kronos Glocke » original était le Professeur Gerlach qui travailla sur les extensions de la relativité générale en relation avec Albert Einstein dans les années 20. Son moteur n’était qu’une évolution plus « élégante » du moteur magnéto électrostatique et électromécanique de Shumann développé depuis 1934 et dont la première version opérationnelle vola sur le Vril 1 en 1936. Les moteurs Shumann (lévitators Shumann), développés dans le cadre du programme « Lanternenlichte », équipèrent tous les prototypes Vrils et Haunebus, à l’exception du Vril 5 « Odin » et du Haunebu III équipés du moteur Gerlach. La théorie qui veut que les nazis aient refusé la relativité générale sous prétexte qu’Einstein était juif est fausse. Les nazis utilisaient sans vergogne toute théorie, quelle que soit son origine, du moment qu’elle leur permettait d’asservir le monde! Les nazis ont fait appel, tardivement et en complément des théories déjà mentionnées, à la théorie (incomplète) unifiée des champs d’Einstein (ou relativité générale étendue) de 1928. Selon moi à partir de 1944, date à laquelle ils furent confrontés à des distorsions spatio-temporelles, sur leurs prototypes Vril 5 « Odin » et Haunebu III, qui ne pouvaient être décrites par leurs premières théories.

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Les similitudes trop frappantes entre un Haunebu II à gauche et la soucoupe « Adamski » à droite

Karma One : En ce qui concerne les Ovnis nazis récupérés par les Américains ainsi que les ingénieurs exfiltrés aux Etats-Unis, cela a-t-il suffit pour donner à ce pays de bonnes bases pour leurs programmes sur l’antigravité ?

Jean-Marc Roeder : Les savants allemands rapatriés en Amérique dans le cadre de l’opération Paperclip furent très utiles dans les domaines de la propulsion « fusée » et « réaction » ainsi qu’en aérodynamique mais n’apprirent pas grand chose aux américains dans le domaine de l’énergie libre et de l’antigravitation. En effet, les Américains menaient depuis 1938 deux programmes de recherche sur le sujet. Le premier, initié à l’université de Princeton sous le nom de Project Mirage puis (à partir de 1942) de Project Rainbow, fut un succès dès 1946-47 après avoir partiellement échoué en juillet-aout 1943 (expériences à bord de l’USS Eldridge). Il portait à la fois sur l’invisibilité optique par distorsion spatio-temporelle et sur la suppression de la masse et de l’inertie. Le second, rebaptisé « Aquarius » après guerre, débuta en 1941 et consista peut-être à étudier une épave d’ovni (extraterrestre) capturée en 1940 dans la baie de San Diego et plus sûrement à tester un moteur antigravitationnel magnéto-électrostatique de conception américaine (le moteur de l’ARV Flux Liner). Ces deux programmes furent ensuite intégrés dans d’autres programmes des années 50. En ce qui concerne les générateurs à énergie quantique du vide (énergie libre ou du « point zéro »), les américains disposaient du générateur de Tesla (mis au point en 1931), identique dans son principe au générateur de Schappeller (utilisé dans les lévitators Schumann).

Karma One : En ce qui concerne l’Astra de Lockheed Martin, vous évoquez le fait que les premiers triangles volants ont été aperçus par des témoins au début des années 60. Or, l’envol des premiers prototypes remonterait au début des années 80. Qu’est ce que cela signifie ? Que les premiers triangles volants étaient extraterrestres et que Lockheed s’est inspiré de cette forme ? Qu’ils ont peut être mis la main sur l’un de ces appareils pour en faire du «back engineering » ? Qu’est-ce qui indique que les appareils aperçus lors de la vague belge sont bien des Astra ? Et qu’ils ont été employés en Irak par exemple ?

Jean-Marc Roeder : Le TR3B Astra a suffisamment été filmé au dessus de la Belgique, de la Russie, des USA, d’Israël et de l’Irak pour qu’il soit inutile de commenter son existence. Ayant pu m’entretenir, lors d’un salon aéronautique militaire, il y a quelques années, avec un membre du complexe militaro-industriel américain ayant travaillé sur les programmes Aurora et Astra, je me permet d’être assez précis dans la description des technologies utilisées sur ces appareils. Je pense que la majorité, voire peut-être la totalité, des observations avérées « d’ovnis » triangulaires d’avant 1988 sont soit des avions classiques, soit des protos secrets de dirigeables militaires en forme de delta. Le premier de ces dirigeables hybrides secrets de la Navy fut mis en service au milieu des années soixante.

TR-3B Astra

Karma One : Si le cartel militaro industriel possède des vaisseaux capables de performances incroyables (ne fut-ce que des voyages interplanétaires), à quoi sert alors une telle dépense de vies humaines et d’argent dans les programmes spatiaux conventionnels (lancements de sondes, de télescopes, programmes Apollo, navettes spatiales, bref tout le programme de la Nasa ?)

Jean-Marc Roeder : Tout d’abord, perdons toute illusion (soigneusement entretenue par les gouvernements et les médias) que les choix techniques, économiques et politiques de nos sociétés soient faits sur des bases ordonnées et rationnelles. Tout n’est qu’équilibre instable de forces et d’intérêts antinomiques, lobbying et gratifications personnelles dans ces choix. De plus, le principe de tout Etat et de toute armée est de toujours développer au maximum toutes les techniques, des plus simples aux plus sophistiquées, afin de ne jamais mettre « tous ses œufs dans le même panier ». Enfin, les programmes militaires « antigravité » et « énergie libre » sont tellement secrets qu’il n’est pas question que l’on puisse même soupçonner qu’ils puissent exister! C’est pourquoi le développement du spatial « classique » est « l’arbre idéal pour cacher la forêt ». Il convient aussi de savoir que les programmes spatiaux officiels, civils et militaires, font vivre une part énorme des industries de pointe des pays concernés et génèrent (surtout dans le spatial militaire) des profits colossaux aux frais du contribuable! Le secret absolu qui entoure les recherches anti-G oblige les USA à financer ces programmes avec des fonds « inexistants » venant principalement du trafic d’armes et de drogue et du détournement clandestin des fonds publics ainsi que d’opérations boursières illégales de grande ampleur. Comprenons aussi que les Etats ne peuvent reconnaître, l’eussent-ils souhaité, l’existence de l’énergie libre et de l’antigravité (l’une implique l’autre) ainsi que des ovnis, car cela provoquerait un effondrement instantané de nos économies et de leur pouvoir. Cet effondrement déclencherait inéluctablement une guerre mondiale, car toute notre économie et nos rapports de force et de pouvoir sont basés (depuis l’âge de pierre!) sur la rareté des matières premières et des énergies non renouvelables.

Karma One : D’où provient l’essentiel des données sur les programmes d’antigravitation américain? D’un travail de compréhension et de copies des technologies capturées aux nazis? Ou bien des divers vaisseaux qui auraient été «capturés» en 1947 (à Roswell) et après ?

Jean-Marc Roeder : En fait des deux à la fois. Il faut tout d’abord comprendre qu’il existe aux USA deux secteurs de recherche sur l’anti-G qui ne communiquent pas entre eux. Le premier dispose de ses propres structures de recherche et de fabrication dans des bases souterraines et n’a aucun besoin de l’industrie d’armement privée. Il dépend directement de la Majority Agency for Joint Intelligence (la MAJI créée en 1947 par Truman) qui est littéralement un Etat dans l’Etat et n’a de comptes à rendre à personne (pas même au Président). La MAJI a probablement changé plusieurs fois de nom depuis 1947, je ne connais que son premier nom de code, attesté par un document signé de Truman. Le deuxième secteur, qui inclut le complexe militaro-industriel et la recherche scientifique militaire, n’a accès qu’au minimum de secrets nécessaires aux programmes en cours mais n’a jamais une vue d’ensemble des projets et des connaissances acquises. Jusqu’en 1968, les chercheurs de la MAJI utilisaient la relativité générale étendue d’Einstein, publiée en 1928 (qui prévoit pour la première fois la possibilité d’annuler la masse et l’inertie sans dématérialisation), tout en échouant à pouvoir comprendre et reproduire les technologies des ovnis extraterrestres capturés à San Diego, Roswell, Kingman et probablement ailleurs. A partir du milieu des années 50, on délégua une partie de la recherche anti-G à l’industrie militaire privée, sans toutefois lui transmettre l’outillage théorique et les technologies développés dans les labos MAJI. En 1971, la section militaire du Lawrence Livermore Laboratory réussit péniblement à pondre un complexe « bricolage » mathématique à partir du modèle quantique standard permettant de reproduire partiellement la propulsion de certains des ovnis capturés (lorsqu’on utilise une physique fausse, il ne faut pas attendre de miracles!). En gros, ce modèle théorique postule qu’une inversion de la température quantique statistique dans un système d’atomes inverse (autrement dit, annule) le signe de masse et d’inertie du système. Cet effet, baptisé par le Pentagone « Magnetic Field Disruption (MFD) », est utilisé dans les quatre moteurs des célèbres « triangles belges ». Le « triangle belge » n’est pas un ovni mais un prototype hybride primitif (antigravitationnel et EMHD), développé en 1986 par les firmes Lockheed Martin et Boeing, portant le nom de TR3B Astra. Notez que « l’ovni » de Gulfbreeze en Floride utilise un moteur MFD (plus sophistiqué). Il s’agit en fait d’un successeur plus petit et biplace du TR 3B et de l’ARV Flux Liner. Les Américains et les Britanniques ont récupéré en 1945 pas mal de plans et de pièces de Vril et de Haunebu mais aucun engin en état de vol. De plus, les physiciens militaires américains ont toujours rejeté obstinément toute l’approche théorique des nazis sur l’antigravité préférant se débrouiller tout seul avec le modèle quantique standard et la relativité générale étendue. Je serais donc étonné qu’ils aient compris complètement les moteurs Schumann et Gerlach. Ceci explique pourquoi les moteurs anti-G américains sont si différents des moteurs Allemands, à l’exception peut-être des moteurs MFD du TR3B Astra qui ont quelques points communs avec le moteur Gerlach, en beaucoup plus compliqué et inefficace. Il semble que l’apport principal aux Américains des techniques antigravitationnelles nazies ait été le choix des fréquences de résonance du champ antigravitationnel. Dans le programme Rainbow, la Navy utilisait des basses fréquences de 125Hz, mortelles en mode scalaire pour les êtres vivants, alors que les nazis travaillaient à 4GHz ce qui réduisait de 96% la nocivité du rayonnement.

Karma One : Certains auteurs conspirationnistes de même que des « témoins» du projet «Disclosure» du Dr Greer affirment que les Américains ont bénéficié d’une belle aide d’entités extraterrestres dans le cadre d’un programme d’échanges de «bons procédés». On parle même de l’existence de bases communes comme celle de Dulce ou de Denver Airport où certains niveaux seraient dévolus aux extraterrestres. Que pensez-vous de ces affirmations ?

Jean-Marc Roeder : Franchement je n’en sais rien. J’ai quand même de sérieux doutes, vu que je n’ai jamais trouvé l’ombre d’un indice crédible permettant de soupçonner une collaboration technique entre militaires et extraterrestres. Je soupçonne par contre qu’il existe depuis les années trente des contacts directs et fréquents entre militaires et extraterrestres mais sans qu’aucune collaboration ne soit possible à cause du manque de maturité spirituelle de nos militaires et de nos dirigeants. J’émets même l’hypothèse que les militaires américains sont hostiles aux extraterrestres qu’ils ont pu rencontrer et cherchent parfois à les détruire pour voler leurs technologies. Je suis par contre convaincu que les extraterrestres qui se montrent à nous sont totalement amicaux (à l’exception, peut-être, des « petits gris ») et ne veulent que notre bien, sans toutefois intervenir physiquement dans nos affaires (n’en déplaise aux conspirationnistes et aux abductionnistes). Cela n’exclue nullement une intervention psychique et spirituelle de ces extraterrestres dans le seul but de nous aider à sauver notre planète. Je pense que la prétendue base souterraine de Dulce (comme d’ailleurs la « Chaise de Montauk ») est une vaste foutaise et n’a jamais existé! Par contre la base souterraine de l’aéroport de Denver existe (sa construction devrait s’achever à la fin de ce siècle) et fait partie du réseau mondial de bases « Alternative 2 ». Ces gigantesques bases ultrasecrètes sont des « arches de Noé » destinées à sauver une petite élite de l’humanité et un maximum d’espèces vivantes lorsque toute vie sur terre sera détruite en 2218 par des corps célestes extra solaires qui, après avoir arrêté la rotation terrestre en 2208, provoqueront un renversement de l’axe de notre planète en 2213. La base de Denver sera alors le centre de commandement de la planète ainsi que le Q.G. central de guerre spatiale. Mais rien n’indique qu’il y ait le moindre extraterrestre dans la base de Denver!

Karma One : Mise à part l’Astra, quels autres vaisseaux «exotiques» ont étés employés sur des terrains d’opération militaire ? Quelles sont les fonctions et les usages généraux des vaisseaux à antigravitation employés par les militaires US ?

Jean-Marc Roeder : Selon ce que j’en sais, le premier véhicule antigravitationnel américain, destiné au vol spatial, vola en 1954 sous le nom d’ARV Flux Liner (Antigravity Research Vehicle). Le second fut une copie d’un ovni capturé en 1954 à Kingman en Arizona. Il semble avoir volé pour la première fois au milieu des années 80 (en même temps que le TR3B) sous le nom de TR3A Sportster. Le TR3A a été utilisé au moins une fois au combat, durant la guerre du golfe en 91, contre une division blindée de la garde républicaine au sud de l’Irak. Il semble, sans certitude absolue, que le TR3B Astra ait aussi été utilisé pour détruire une ou plusieurs rampes de missiles Scud en 91. Le Pentagone n’a nul besoin de tels engins pour une guerre classique. Toutefois, l’occasion faisant le larron, ils ont probablement profité de la guerre du golfe pour tester la plupart de leurs « gadgets » les plus secrets. Quand à l’usage militaire des véhicules antigravitationnels, il est très clair: l’arme absolue pour la guerre spatiale et l’outil parfait pour coloniser militairement, dans le plus grand secret, le système solaire à l’insu du complexe spatial civil limité à ses archaïques fusées chimiques et à ses budgets scientifiques de misère! Toutefois la vraie finalité de ces programmes n’est pas la guerre mais la tentative désespérée (qui veut rester secrète jusqu’en 2135) de sauver une petite partie de la vie terrestre lorsque l’inévitable déluge se produira dans deux siècles. Que vous le croyiez ou non, là réside le véritable et ultime secret de nos gouvernants et du dossier ovni!

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arv flux liner

Karma One : Possédons-nous, comme l’affirment certains, des bases sur la lune ou sur Mars ?

Jean-Marc Roeder : Je l’ignore, mais je suis convaincu que rien ne s’opposerait techniquement à ce que des Etats disposant de prototypes antigravitationnels en construisent. Je spécule toutefois que peut-être les USA n’en ont pas construites sur mars ou ailleurs. Ceci pour la simple raison que ce n’est pas vraiment utile. Considérez que, si j’ai raison sur l’existence de protos anti-G, ces véhicules parcourent la distance terre lune en quelques secondes, terre mars en moins d’une heure et terre Jupiter en moins de trois heures! Avez-vous encore vraiment besoin de bases planétaires dans ce cas? Enfin, lorsqu’une naine blanche (étoile morte) croisera notre système solaire de 2197 à 2218, avec son cortège de planètes « tueuses », les perturbations gravitationnelles de notre système solaire seront telles que toute base planétaire serait totalement détruite. Je pense que le gouvernement américain le sait, et, par conséquent, n’a probablement aucuns programmes ambitieux de bases spatiales pour le long terme. Par contre, les militaires américains ont probablement déjà calculé que le déluge, provoqué par le renversement de l’axe terrestre de 2213, rendra toute vie impossible sur la surface terrestre jusqu’en 2255 (retrait des océans). C’est pourquoi ils construisent selon moi des bases spatiales, non pas sur mars ou ailleurs, mais sous notre planète, la Terre!

Karma One : Aujourd’hui, les témoins qui aperçoivent des Ovnis voient-ils en majorité des vaisseaux extraterrestres ou bien militaires ou pour faire plus simple, croyez-vous en la coexistence d’un phénomène Ovni d’origine humaine et d’origine extraterrestre ?

Jean-Marc Roeder : Tout d’abord, soyons francs et rigoureux: 99% des observations d’ovnis ne sont de fait que des confusions (bien compréhensibles) avec des phénomènes naturels terrestres ou spatiaux ainsi qu’avec des véhicules ordinaires (camions, bateaux, avions, satellites, etc.). Ne voyez là aucun « debunking » de ma part, c’est tout simplement la vérité scientifiquement vérifiable. Pour les 1% d’observations « irréductibles » à des phénomènes connus, il s’agit bien le plus souvent d’authentiques ovnis extraterrestres, n’en déplaise à de nombreux spécialistes obtus ou malhonnêtes. Sur 100 cas d’ovnis authentiques, j’avance l’hypothèse, purement spéculative et probabiliste, qu’au plus 5% sont des protos militaires anti-G. Les 95% restant étant soit des véhicules extraterrestres soit, parfois, des manifestations (entre autres, les agroglyphes) d’entités conscientes n’appartenant pas à ce que nous considérons comme le monde physique (« l’au-delà » des traditions).

Karma One : Selon les dernières informations en votre possession, mis à part l’ARV Flux Liner ou l’Astra, est ce que les militaires américains ont mis au point un nouvel appareil à antigravité ? Possédons-nous également ce que l’on appelle des «vaisseaux mère», c’est-à-dire des vaisseaux de taille importante pouvant abriter des vaisseaux de plus petite taille ainsi qu’un nombre appréciable d’homme d’équipage pour des croisières au long cours?

Jean-Marc Roeder : Si les témoins récents de certains véhicules, observés décollant de nuit de bases militaires américaines, ont dit la vérité, les USA disposent de plusieurs nouveaux engins anti-G. Ces engins, s’ils existent, semblent d’ailleurs plus gros que ceux (plus anciens) dont j’ai dévoilé les secrets technologiques. Je ne dispose pas d’un nombre suffisant d’informations fiables, actuellement, pour vous répondre plus avant. Tout en pouvant me tromper, je ne pense pas que les USA aient construit de « vaisseaux mère » géants à ce jour. Les personnes qui spéculent sur l’existence de centaines de prototypes anti-G ainsi que de « porte soucoupes » géants n’ont aucune expérience de la conception de prototypes et sous estiment l’immense difficulté de l’entreprise (ou, pour l’humour, de « l’Enterprise »!). Par contre, attendez vous à ce que les USA, associés aux plus grandes nations, démarrent au prochain siècle (dans un secret absolu) la construction d’un gigantesque et unique vaisseau antigravitationnel (plusieurs kilomètres de diamètre) capable de détruire en 2209 des corps célestes de taille planétaire. Le vaisseau (ou devrais-je déjà dire la « Bête »?) sera alors le « Pourvoyeur » de bombes à antimatière pour détruire deux planètes extra-solaires, bloquant la rotation terrestre, dans un « Armaggedon » final… Qui a des yeux pour voir comprenne.

Karma One : A part les USA, pensez-vous que d’autres nations (Russie, Chine, France ?) emploient des vaisseaux à antigravité ?

Jean-Marc Roeder : Pour la France et la Chine je ne dispose d’aucune information indiquant la moindre percée scientifique militaire dans le domaine de l’antigravité. Pour la Russie, je suis convaincu, sans qu’aucune preuve vienne étayer mon propos, qu’ils maîtrisent parfaitement (tout au moins en laboratoire) l’antigravité. Je puis par contre témoigner, ayant étudié comme physicien leurs publications théoriques, qu’ils sont très en avance sur les Américains et les Européens sur le plan théorique. En effet, les USA et l’Europe utilisent la mécanique quantique qui, je vous l’assure, même si cela va faire hurler la plupart des physiciens, est fausse de A à Z! La mécanique quantique n’est d’ailleurs pas une théorie scientifique mais une théorie métaphysique de l’information qui ne répond pas aux critères de la science exacte, même si on nous enseigne le contraire depuis presque un siècle. Certains physiciens russes, par contre, font de la vraie physique et non pas des mathématiques physicisantes comme l’Occident!

Karma One : En ce qui concerne l’antigravité, qu’est-ce qui empêche les courants «officiels» de la science ainsi que les média (comme Science et Vie etc.) de reconnaître l’existence de cette conception de la physique ? Pourquoi ces scientifiques récusent-ils intellectuellement la possibilité de considérer le temps comme une énergie, une onde ? Et pourquoi le cartel militaro industriel appuie-t-il ce type de «négationnisme» ?

Jean-Marc Roeder : Le blocage du monde scientifique face aux ovnis et à l’antigravité vient du fait que ces phénomènes contredisent formellement la « physique » actuelle et témoignent concrètement de la fausseté du « modèle standard ». De plus, les enjeux budgétaires des laboratoires ainsi que les enjeux de carrière des chercheurs font qu’il sont, consciemment ou non, enclins à censurer ou à dénigrer par tous les moyens (y compris par le mensonge) toute preuve (ou personne apportant ces preuves) contredisant les modèles officiels. Pour les militaires, c’est encore plus simple, ils utilisent tous les moyens, des plus violents aux plus subtils, pour éloigner les chercheurs civils des vraies solutions théoriques et expérimentales de l’antigravité et de l’énergie libre!

Nous sommes à quelques années d’un effondrement complet de la totalité de la physique élaborée par Maxwell et Heaviside en électromagnétisme et par leurs successeurs en mécanique quantique. Il ne restera de ces « ruines » que la mécanique classique corrigée (de Newton et Leibniz), la mécanique des fluides, une (petite) partie de la thermodynamique ainsi qu’une (grande) partie corrigée de la relativité générale d’Einstein. J’affirme (avec de plus en plus de grands scientifiques infiniment plus compétents que moi, comme René Thom) que cette prétendue physique du vingtième siècle est une trahison totale de tous les principes, formellement établis et vérifiés, de la science exacte. Lorsqu’il y a trente ans, je soulignais à des amis physiciens que la théorie du big bang de Lemaître était physiquement absurde (je dirais même une superstition créationniste à but religieux masqué qui n’a pas sa place en science) et formellement contredite par de nombreuses mesures et observations (interdites de publication), je passais au mieux pour un incompétent. C’est désormais un fait établi (et publié) par les observations les plus récentes de galaxies lointaines avec les derniers super télescopes… Il restera toutefois, de ce que j’ose appeler la pseudoscience physique du vingtième siècle, nombre de nouveaux et véritablement merveilleux « outils » mathématiques (particulièrement en topologie différentielle). Ils seront de la plus grande utilité pour ce retour inéluctable à une véritable physique. On les utilisera enfin pour décrire et découvrir ce que sont réellement la matière et l’énergie et non pas pour inventer de toute pièce et manipuler des concepts arbitraires afin de toujours obtenir une prédiction exacte de la mesure et un bilan conservé d’énergie, sans même se préoccuper de la réalité objective de ce que l’on décrit. Jean D’Alembert, mathématicien et scientifique un peu oublié, disait il y a plus de deux siècles: « Trouver d’abord les principes et y appliquer ensuite le calcul, voilà deux démarches qu’il ne faut pas intervertir, et les mathématiciens modernes n’ont pas été assez attentifs sur ce point. C’est le désir de faire usage du calcul qui les dirige dans la recherche des principes, alors qu’ils devraient d’abord chercher les principes pour eux-mêmes sans chercher d’avance à les plier de force au calcul. Les mathématiques, qui ne doivent qu’obéir à la physique, lui commandent! ». Les immenses erreurs que je relève en physique remontent très loin, en fait elles commencent avec Newton au dix septième siècle. Quoi que les lois universelles du mouvement et de la gravitation de Newton contiennent une part d’exactitude, elles sont déjà entachées de deux erreurs grossières. La première étant qu’elles ne sont pas toutes invariantes aux changements d’unités ce qui implique, entre autres, que la prétendue constante de gravitation n’en est pas une. Ce n’est qu’en 1925 que le mathématicien et ingénieur André Turpin a relevé cette grossière erreur. Il a publié un monumental travail de correction des équations de Newton en 1994. Malgré cela, on persiste à enseigner la forme ancienne et erronée de ces équations par ignorance de ce travail irréfutable de correction des lois de Newton! La deuxième erreur fut de postuler arbitrairement et faussement une prétendue force d’attraction qui n’a jamais existé que dans l’imagination de Newton (et de tous ses successeurs) et ne peut tout simplement pas exister dans la réalité physique. En fait, et Leibniz avait averti Newton sur ce point, il convenait d’énoncer (troisième loi corrigée de Newton): les corps sont poussés l’un vers l’autre en raison inverse du carré de leur distance. Il m’est impossible de vous décrire sans une formulation mathématique un peu lourde les conséquences de ces erreurs, mais je puis vous assurer qu’elles font déjà à elles seules s’effondrer un immense pan de la physique contemporaine! Je relève au passage que les équations de Turpin prédisent et quantifient précisément les anomalies d’accélération des sondes Pioneer, à la sortie du système solaire. Anomalies (parmi beaucoup d’autres) qui plongent depuis quelques années nos cosmologues dans des abîmes de délires pseudo scientifiques à base de matière sombre (axions), d’énergie sombre ou quintessente ou autre prétendue cinquième dimension. Tout ceci n’est que tours de passe-passe mathématiques et conceptuels pour cacher le fait que leur paradigme est faux dans ses fondements même et ne pourra que finir dans le cimetière des chimères de l’histoire des sciences comme la cosmologie de Ptolémée à la Renaissance et la mécanique quantique dans peu de temps. Le véritable physicien est totalement ouvert à toutes les propositions théoriques et expérimentales. Toutefois, il n’a pour seul juge que l’expérience reproductible et la stricte conformité de la description formelle avec les lois incontournables de la science exacte. Les plus importantes de ces lois sont:

– La loi de dualité qui impose que toute chose n’existe que relativement à son contraire et réciproquement et que l’une et l’autre existent nécessairement ensemble (sont inséparables). Cette loi exclut tout indéterminisme ou principe d’incertitude.
– La loi de cohérence, dite aussi de généralité, qui impose que les lois sont invariantes à toutes les échelles. C’est à dire que les lois sont constantes dans leurs fondements et leur expression de l’échelle cosmique à l’échelle microscopique. Ce qui, soit dit en passant, disqualifie immédiatement la totalité de la mécanique quantique…
– La loi de moindre action qui impose que tout phénomène suit toujours la trajectoire d’espace, de temps et d’énergie la plus courte et, de même, que la description formelle et vérifiée la plus simple est toujours la plus vraie.
– La loi de conservation de l’énergie qui impose que la quantité d’énergie dans un système reste constante quelque soient les transformations et les échanges à l’intérieur de ce système (par exemple, E=mc^2). Rappelons nous plus simplement Lavoisier, « rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme! ».
– La loi de causalité qui impose que tout effet a une cause et est précédé par elle, et exclue toute incertitude. Une expression de cette loi se retrouve dans la symétrie CPT (Charge, Parité, Temps). Ceci disqualifie la mécanique quantique qui prétend, dans certaines de ses propositions théoriques, violer la causalité et imposer un principe d’incertitude. (NDR : la mécanique quantique affirme que dans le règne de l’infiniment petit, celui des constituants de la matière, l’observateur est incapable de prédire précisément le comportement d’une particule. Par conséquent, il existerait toujours une zone de « flou », incertaine)

Karma One : Est-ce que les vaisseaux construits par des hommes sont capables de voyages interplanétaires, voire de dépasser de si loin la vitesse de la lumière que l’on peut imaginer des voyages temporels ou intersidéraux.

Jean-Marc Roeder : Il est tout à fait possible de voyager à vitesse supra-luminique sans violer la relativité générale d’Einstein, une fois celle-ci corrigée de certaines erreurs. Tout en étant globalement juste, la relativité générale contient, selon moi, deux erreurs. La première est le concept d’un « continuum » d’espace temps.
Postulant à tort un espace fondamentalement vide, Einstein l’a décrit par une « surface » Riemannienne abstraite dont la « substance » est le quadrivecteur, ou tenseur, espace temps et la mesure les coefficients posant la métrique de cet espace temps. Toute réalité s’exprimant comme une « déformation » de cette surface peut alors se décrire comme une suite de relations entre des transformations tensorielles complexes ayant chacune un repère d’espace temps propre « tangent » en un point au continuum d’espace temps (ouf!). Le problème est que ce paradigme impose encore un absolu, le continuum espace temps, dans une description qui introduit à juste titre la relativité de toute chose à commencer par l’espace et le temps. La deuxième erreur est, selon moi, d’avoir postulé une vitesse limite constante de la lumière elle-même, vitesse limite absolue de toute chose. Effectivement, si l’on considère comme vrai le premier absolu (la continuité de l’espace temps) la deuxième proposition s’impose, la lumière se confondant alors obligatoirement à sa vitesse limite avec « l’horizon » relativiste. Ces deux absolus violent la loi de dualité, qui ne souffre aucune exception et exclut tout absolu ou singularité et ne peuvent par conséquent se vérifier dans la réalité physique. En fait, il convient de quantifier et de fractaliser « l’espace temps », ce qui permet de décrire la possibilité de se déplacer plus vite que la lumière, sans violer la constante c, ainsi que d’annuler la masse et l’inertie.

Karma One : Aujourd’hui, qu’est-ce qui manque en termes clairs à la physique pour mettre en place une théorie unifiée sérieuse de la physique, une théorie qui unit les micros et les macros événements, l’infirment petit et l’infiniment grand ? Cette théorie unifiée permettra t’elle d’expliquer clairement l’antigravitation et l’énergie libre ?

Jean-Marc Roeder : Un ami mathématicien et physicien, Siegfried De Chaudun, et moi-même élaborons depuis quelques années les fondements d’une théorie de grande unification que nous baptisons « holodynamique quantique » que l’on pourrait traduire par loi du tout par le mouvement de ses parties. Vous trouverez, en annexe à notre entretien, une description la plus simple possible de l’holodynamique quantique. La complexité de votre question impose un exposé nécessairement long de la théorie. L’explication vulgarisée que j’en donne en annexe n’est pas « facile » à lire mais reste accessible, moyennant un effort d’attention, à une personne peu familière de la physique fondamentale.

Source : Karmapolis

13 Responses to OVNI nazis et la base secrète allemande en Antarctique…

  1. Drenagoram dit :

    Excellent ,
    Origine d’un Mystère ,
    Que Même le Temps n’a pas Percer ,
    En quelques Lignes le Lien effet ,
    D’une Source Mère d’Objets Volants ,
    En Pôles Distants et Blanc Eclairs ,
    Bien des Histoires partent de là ,
    Sociétés d’Hors on Sut y Faire ,
    Garder Secrets sous Coupes du Froid.
    NéO~
    Bravo Haut billet 🙂

  2. Casals51 dit :

    AntarCtique!

  3. xléèèm414 dit :

    Oui mais bon

  4. OBERSONN888 dit :

    Bonjour, comment ça va? Un grand article très intéressant et très long (c’est rare). Tout en remerciant l’auteur d’avoir réalisé son article, je me permet de demander s’il ne serait pas mieux d’être à l’origine des informations de cet article, avec preuves à l’appui, plutôt que d’en être le porte parole!
    Je prends un exemple, l’histoire de MONTAUK, dénommée aussi « la chaise de MONTAUK », est « enterrée » en quelques lignes sans autres formes de procès (si cela en est un). Ma question, sur le sujet de MONTAUK (du nom de la ville qui s’y trouve)est celle-ci: ce chercheur a-t-il passé assez d’années sur le seul sujet de Montauk pour en tirer des conclusions aussi hâtives?
    Bien sûr, il est facile de savoir quelque choses sur un sujet NON ETUDIE par soi-même, en se laissant raconter des histoires provenant d’autres personnes aux qualités scientifiques, qui, elles, soyez-en sûr, certifierons (en s’appuyant certainement sur de nombreux et somptueux diplômes scientifiques accrochés aux murs d’un bureau…) qu’une aventure insolite, mystérieuse, est impossible en dehors de leurs diplômes. Ces derniers, étant reconnus par un gouvernement, leur donnerons, de ce fait, des prérogatives sur l’environnement (dont vous faites parties).

    Quant aux nombreuses observations rapprochées d’OVNI et rapportées par des témoins depuis environ 60 ans, vous pouvez toujours aller dire à ces personnes qu’il s’agissait de camions bennes à l’atterrissage dans un champ d’herbes sauvages, (avec les clignotants allumés pour faire comme un OVNI, évidemment).

    Je propose donc à ce grand chercheur devant l’éternel, de commencer « au plus vite », des recherches effectuées par lui-même concernant les sujets décrits dans son article. Cela lui permettra de vous apporter des faits objectifs sur les sujets proposés. Cela lui permettra aussi ensuite de déclarer devant n’importe quelle personne de notre bonne planète, que telles choses inconnues existent bien, ou NON.
    Des preuves, des preuves et encore des preuves sont nécessaire pour pouvoir déclarer que quelque chose d’insolite est faux, où inexistant.

    Quant à ces histoires des années 2208 et autres, si jamais vous pensez être encore là à cette lointaine période pour témoigner de l’événement, faite le savoir autour de vous (au plus vite).

    Et puisque nous y sommes, je vous demande un peu quelles têtes vont faire les personnes qui ont prévues la fin du monde pour le mois de décembre 2012, ceci, le 1er janvier 2013, s’il n’arrive pas ce qui a été annoncé…(évènement reporté par d’autres personnes parait-il, pour l’année 2060. Il fallait bien trouver une « combine », hein!).
    Ce jour là Mesdames et Messieurs, vous comprendrez enfin comment voir les choses futurs et ne passerez plus pour des « pigeons » a qui ont donne à manger (d’autres auraient dit que vous avez été « plumés »…)A bientôt.

  5. Sylv1 dit :

    Oberssonn à qui s’adresse cette question?
    Tout en remerciant l’auteur d’avoir réalisé son article, je me permet de demander s’il ne serait pas mieux d’être à l’origine des informations de cet article, avec preuves à l’appui, plutôt que d’en être le porte parole!Et cette réflexion:
    Ces derniers, étant reconnus par un gouvernement, leur donnerons, de ce fait, des prérogatives sur l’environnement (dont vous faites parties)

  6. OBERSONN888 dit :

    Bonjour, comment ça va? Merci sylv1 de votre réponse. Etre à l’origine des informations données dans cet article peut être compris comme: « informations provenant des recherches personnelles effectuée par son auteur ». Pour être plus précis, les histoire racontées sur l’Antarctique (et les autres infos) devraient provenir des recherches effectuée sur place par la personne aux qualités scientifique qui signe l’article.

    Il existe des groupes de scientifiques qui dictent leurs désirs à certains gouvernement qui leurs donnent, par exemple, l’immunité diplomatique. Ceci est une prérogative importante, un pouvoir, de ce fait. Nous faisons toutes et tous partie de l’environnement… A bientôt.

  7. sylv1 dit :

    Je nage, oula !J’en sais rien moi.
    Simplement je me vois mal être le lundi en Alaska,le mercredi en Australie au beau milieu des kangourous et le vendredi au Pérou pour être dans l’ Oural le dimanche et en Norvège à Hessladen 2 h après etc…
    Donc mon secteur étant en 71 ‘ce qui est déjà bien, vu que je suis bénévole et pas Rothschild ben on fait ce qu’on peut Mr.
    Et à partir de là relayer des infos venues de partout risquent admettons le, d’être quelquefois un beau ramassis de conneries!
    On sélectionne, mais n’étant pas dans le secret des ducs(même de bourgogne,sic),l’erreur qui engendre l’intox est de mise.Toutefois, retenons les faits qui résistent au temps : exemples : (lumières de Phœnix, Valensole, Rendlesham, Téhéran 1976,les enfants du Zimbabwe…, il y a certainement une bonne part de vérité dans l’insolite et de ce que nous relayons.

  8. Drenagoram dit :

    Du Grain à Moudre en l’édit Vrai ,
    Quand à Vouloir au Temps Résoudre ,
    Parler De Vain en Chaque Reflets ,
    C’est Donner pain et Fil Découdre ,
    Prouver à Torts en l’Un Précis.
    NéO~

  9. Phobos dit :

    bonjour a toutes et a tous! Mouai bah comme le dit mulder la verite semble bien etre ailleur que penser avec tout ca! les pilotes de chasses peuvent prendre 9G grand max si je ne me trompe alors aller sur mars en une heure ca peut donner mal au crane hihi!!de plus l ovni dit triangle est celui qui est le moin contestable donc la on nous dit que c est un aeronef ricain pourquoi pas cela dit mais qui croire du coup! des preuves, des preuves oui mais du FAUX et du VRAI alors! en tout cas je pense que seul l evolution et les experiences permetron d ameliorer la phisique etc car c avec de bon outils qu on realise de belle choses.Sinon pour moi etant donne la taille de l univer nous ne pouvons etre seul et ce que ce soit une plus grande ou moindre forme d inteligence au vu le nombre de planettes tellurique et meme sans cela d ailleur!etre trop sceptique c est avoir les yeux ferme par contre etre ouvert d esprit peut je pense rendre aveugle sur ce salut tout le monde et desole pour mon ecrit plutot nul, car cela n est pas mon fort.

  10. […] s’il en est… le voici pour vous, repris sur le site aera51 : Source : Karmapolis Voici le témoignage d’un officier du SAS paru dans le magazine Nexus et […]

    • Stédry dit :

      Je suis ores a aller en antarctique meme si le pouvoir en place meécoute il faut qu on sache la vérité sur notre passé et avenir meme si ob nous écoute je lâcherai rien faite moi confiance aidez moi a faire mes recherche car les infos sont tres limitées. Envoyez moi plus d infos sur adrien.stedry@sfr.fr et la terre creuse, je ferais la lumière. J attends vos infos voir votre soutien financier si vous voulez me faire confiance mon num 0762893544 si vous vous posez des questions sur moi. Mais je saurais la vérité trop de mensonges et de trop noir sur l antarctique j y crois et vous

  11. Hisoka dit :

    Très intéressant,il faudrait nous réinventer la physique afin de nous y mettre,bien distinguer le vrai du faux,l’école nous enfonce dans la médiocrité depuis l’enfance.rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme. 🙂

  12. Germain dit :

    La paranoia est une maladie americaine, incurable

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