Les Ufonautes géants d’Amérique du Sud

Les Ufonautes Géants d’Amérique du Sud

par Scott Corrales

Les informations à propos d’une entité prétendue non-humaine de trois mètres de haut traînant  vers un bord de route au Chili (Mars 2010) rappelle des souvenirs des occupants d’ovnis vraiment géants qui ont été fréquemment rapportés dans les années 1950 et 60, généralement en Argentine, au Brésil et au Chili , bien que des cas en Espagne et même aux États-Unis ont été signalés. Comme avec tout ce qui touche les ovnis, nous devons d’abord assumer la bonne foi de la part de personnes qui sont hors de notre portée: le témoin, le magazine ou un journal dans lequel l’histoire est apparue, et ainsi de suite. Ces cas ont été portés à la connaissance des publics des États-Unis par les livres sur les ovnis de  Jim et Coral Lorenzen  dans les années 60 et 70, auxquels ont contribué un formidable réseau de correspondants et conseillers dans d’autres pays.

Certains rapports ont suggéré que leur grande taille prouvaient au delà du questionnement leur origine non-terrestre, car même les humains qui naitraient un jour dans un environnement à faible gravité pourraient atteindre une taille considérable.

Leurs buts semblent centrés sur « recueillir des échantillons », tout comme leurs autres occupants signalé à l’époque, ou en chassant parfois les témoins terrifiés (potentiels «échantillons»?qui sait ?) qui s’échappaient de justesse.

On pourra toujours arguer avec l’observation récente du Chili que l’énergie libérée lors des séismes énormes peut causer des effets inhabituels dans l’esprit humain, ce qui permettra sans doute aux individus de voir ce qui n’y est pas, ou mal interpréter ce qu’ils voient. Mais il est primordial de regarder en arrière sur certains des cas que nous avons accumulées au fil des décennies avant de reléguer les géant des ovnis à la compagnie du gentil géant vert.

Un géant argentin

En Janvier 2002 le chercheur argentin Pablo Omastott a porté le cas suivant à l’attention de Quique Mario, directeur du groupe de recherche ufologique « Proyecto Condor Ufo » de ce pays. L’évènement, une Rencontre Rapprochée du 3ème type impliquant un motocycliste et une entité géante,  est parue dans l’édition du 15 janvier du journal Cordoba.

Enrique Moreno, 19 ans, employé de bureau à l’IKA-Renault Corporation, dont le travail nocturne, implique d’agir en qualité de courrier pour des documents commerciaux d’un bureau de la compagnie à l’autre. En arrivant à l’un des bureaux Ika-Renault dans l’obscurité de la nuit pour poser des papiers au milieu d’une table, il s’est rendu compte que les lumières de l’installation vacillaient sous et hors tension de façon inexplicable. Moreno n’a pas prêté attention aux variations du courant et a sauté sur sa moto se dirigeant vers sa prochaine destination.

En atteignant un site où les véhicules sont garés avant d’être envoyés à travers les Andes au Chili, Moréno a été surpris de voir une silhouette verte géante  à 150 mètres. Pensant tout d’abord qu’il s’agissait d’un soudeur dans l’exercice de ses fonctions à cette heure de la nuit,   le courrier est monté sur sa motocyclette et s’est dirigé vers la silhouette. Lorsqu’il est arrivé dans les 30 mètres,  sa motocyclette autrement fiable a s’est mise à faire ratés et à hésiter,  à vibrer et est devenue pratiquement incontrôlable. Moreno a du faire des efforts extraordinaires pour rester au contrôle de son deux roues, mais il était encore plus  affligé par la silhouette brillante que par la réaction inhabituelle de son véhicule.

« J’étais gelé après l’avoir vue, » dit Moreno. « c’était comme un robot de deux mètres de haut. Sa tête angulaire était  chauve, il avait des yeux brillants lumineux,  était vêtu comme un  homme grenouille, portant une ceinture avec une large boucle ovale autour de la taille. »

La motocyclette incontrôlable décolla comme une flèche hors de contrôle traversant une grille ouverte et traversant la route sans que son conducteur ne puisse y faire quoi que ce soir. » Mes bras me font encore mal, ca m’a vidé de mes forces, » a t il déclaré à l’enquêteur de  Córdoba. « J’ai ressenti comme si j’étais au milieu d’un champ magnétique. Il faisait froid la nuit, mais la zone autour de moi était très chaude. »

Après l’expérience, Moreno a trébuché à travers les portes de l’usine avec un bourdonnement terrible dans sa tête, comme si elle était sur le point d’exploser. Le personnel de l’usine l’a immédiatement conduit à une clinique où on lui a donné des sédatifs. Bien que le journal considère que le jeune courrier a pu halluciner cette expérience, il ajoute  qu’il y avait d’autres témoins qui ont vu l’entité ce même soir : une infirmière du même établissement médical où Moreno avait été conduit, a administré des sédatifs à une femme  qui déclare avoir vu la même silhouette colossale léviter dans les airs et entrer dans un objet volant non identifié — un évènement qui a été confirmé, à son tour, par les habitants de la Villa   de El Libertador, qui ont vu le présumé engin spatial ce même soir.

Comme si ces récits qui se recoupent ne suffisaient pas  il ya aussi l’affaire impliquant camionneur Luftolde Rodríguez, 52 ans, qui tournait lentement son camion et qui a été terrifié de trouver le géant vert se tenant debout sur sa plateforme. La présence du géant a semblé pomper non seulement la source d’alimentation du véhicule mais aussi sa montre et sa radio portable.

Compte tenu de sa proximité avec le personnage inconnu, Rodríguez a été mieux en mesure de le décrire. Le géant, dit-il, le regardait curieusement, il avait une tête aplatie, était complètement chauve et n’avait pas de sourcils et de cils. Ses oreilles étaient longues, et il portait un habit de lumière bleu éclatant avec une large ceinture noire et des bottes blanches. Un détail intéressant dans le  rapport de Rodríguez est que le géant avait une « boule semblable à une boule de billard » dans sa main gauche. L’ article du Córdoba offre la conclusion suivante : « L’attitude du Géant était tout à fait inoffensive, et on pourrait dire qu’il était en observation? L’entité était faite complètement d’énergie, peut être appartenant à une forme de vie  dans laquelle le protoplasme ne joue plus aucun rôle.

« Les géants » et les conducteurs de camions

On a beaucoup écrit sur l’amour des gens pour leurs automobiles. Vu le nombre de voitures sur nos routes, le fait est incontestable. Quoi qu’il en soit on a peu couché sur le papier concernant l’affection similaire du phénomène ovni pour l’humble voiture.   Avant l’age des enlèvements, une bonne partie des cas d’ovnis impliquaient des automobilistes non avertis.

« RV » ne se doutait pas qu’il serait l’un d’entre eux.

Alors qu’il conduisait à 3 heures du matin sur l’autoroute A68 en Espagne depuis la ville de  Logroño vers sa maison au Pays Basque,  le protagoniste anonyme de notre histoire était plus intéressé à gagner la prochaine aire de repos que d’avoir une rencontre rapprochée avec l’inconnu. Le hasard voulu qu’ il en trouve une un peu plus loin sur la route, déserte si ce n’était la présence d’un camion-remorque Français dont le conducteur avait visiblement eu la même idée.

« RV » gara sa Citroen BX, coupa le contact et ferma rapidement les yeux, glissant vers le sommeil avant même de s’en rendre compte. Bien qu’il soit profondément endormi, « RV » fut réveillé par un léger bourdonnement et une lumière éblouissante qu’il pensa totu d’abord venir d’un autre véhicule–peut être une autre remorque se dirigeant vers l’aire de repos. La lumière éblouissante faiblit graduellement jusqu’à s’éteindre, et l’obscurité des premières heures du matin régna sur l’aire de repos à nouveau.

Alors qu’il réfléchissait sur l’origine de la soudaine explosion de lumière, « RV »  vit le conducteur du camion remorque Français sortir de la cabine de son véhicule et s’approcher de la voiture avec empressement pointant le champ vide adjacent à l’aire de repos. »Est ce que vous avez vu ça ? demanda le routier en français.

« RV » sortit avec précaution de sa voiture et fut stupéfait. La source de la luminosité inattendue s’est avérée être une structure vaste sombre, plus noire que la nuit autour. Le camionneur français débordait de crainte et d’excitation nerveuse mais suivit volontairement  « RV »‘ qui se dirigeait vers la structure sombre.

Lorsqu’il fut  interviewé par l’ufologue espagnol  Juan José Benítez in 1988, l’année où l’évènement s’est passé, « RV » n’a pas pu expliqué ce qui l’a poussé à prendre l’initiative d’une excursion potentiellement téméraire,et il a avoué ne pas être une personne très curieuse. Les deux hommes   marchèrent une dizaine de mètres vers l’objet estimé  sinistre avant de se lancer dans ce qui peut être décrit comme un «mur invisible». Les de RV se sont  pressées contre son visage, alors qu’il frappait la barrière étrange, qu’il  décrira à  Benítez comme ayant une consistance gélatineuse ou en plastique. Encore plus effrayante était la luminescence verte qui a émergé de nulle part soulignant la menaçante structure sombre.

Le camionneur Français, émit quelques jurons dans sa langue ce qui poussa RV  à regarder une deuxième fois vers la structure verdâtre :  des colosses jumeaux semblaient avoir émergé du véhicule, avançant lentement vers l’homme. Les genoux tremblant de peur, RV  estima leur hauteur à trois mètres (9,8 pieds), et leur largeur ne semblait correspondre.

Lors de l’interview, RV prit soin de dire qu’il ne croyait pas que les colosses étaient des robots–tout au moins pas mécaniques comme nous le comprenons. Ils se déplaçaient à l’unisson « comme s’ils étaient le reflet de l’un l’autre ».  Leurs visages étaient inexpressifs, leurs bras le long du corps, leur jambes massives semblaient être légèrement articulées. Silencieux dans l’obscurité les deux géants regardaient impassiblement les deux humains à une distance de 5 mètres. Le courage ou la curiosité qu’avaient pu avoir RV et le routier français s’évaporèrent et les deux hommes se lancèrent dans une course effrénée, pour finalement se cacher derrière la voiture de RV.

La totalité de l’évènement, qui  dura une heure, se termina avec un léger bourdonnement venant de la structure sombre, qui commença à s’éloigner à faible altitude avant de disparaître.  RV estima que la structure pouvait faire à peu près une centaine de mètres de diamètre (en gros trois cent pieds) et il n’a pas une seule fois pensé que  l’objet et son silencieux « équipage » pouvaient être le produit d’une technologie  terrienne. « n’importe quel pays qui aurait accès à de tels artéfacts dominerait la planète à son aise » dit il à  Benítez.

Mais les détails entourant la rencontre avec l’inconnu sont encore plus étranges :  durant toute l’heure  pas une seule voiture ou camion n »est passé près de l’aire de repos en dépit du fait que la a-68 et une artère majeure ; le routier Français a sauté  dans son camion et s’est éloigné de l’aire de repos à toute vitesse, sans même s’embarrasser à échanger des remarques avec RV concernant l’évènement bizarre que tous deux venaient de vivre. La batterie de la Citroën BX d’RV était déchargée malgré que la voiture n’avait pas plus d’un an. D’étranges déformations comme des cloques étaient apparues sur le pare brise arrière et sur le pare-chocs avant, les parties de la citroën qui étaient faites en plastique. Les mécaniciens les attribuèrent à la proximité d’une source de chaleur. Les supports magnétiques ne s’en tirèrent pas mieux :  Les cartes de crédit de RV refusèrent de fonctionner aux guichets automatiques.

Le chercheur  Benítez ne fut pas déçu lorsqu’il visita l’aire de repos à la recherche de  preuves physiques. A une courte distance du parking asphalté il a trouvé une large bande de terrain avec du gazon, qui semblait blanchi et détérioré par rapport  aux alentours–desséché sans  signes  visibles de brulures.

Géants, Gardes et coups de feu

Aux premières heures fatidiques du matin  de cette journée Novembre il y a vingt-six ans, aux alentours de 2h45, José María et Juan Trejo Carriozosa montaient la garde à l’extérieur du dépôt de carburant de la base aérienne, chacun dans sa  propre guérite, séparées par une distance d’une soixantaine de mètres (deux cent pieds). La nuit, qui avait par ailleurs été sans incident, a été perturbée par un  sifflement fort, perçant,  qui a poussé les soldats à se boucher les oreilles pendant environ cinq minutes. Le bruit aigu a pris fin brusquement,  poussant les soldats à sortir de leurs cabanes. Étant donné qu’ils assuraient la sécurité de dizaines de milliers de litres de kérosène, la possibilité d’une attaque terroriste a traversé leur esprit.

Armés de mitraillettes, les soldats  décidèrent de sillonner la zone au-delà de la guérite  de Trejo, qui semblait se rapprocher de la source du son. Ils n’avaient fait que quelques mètres lorsque le sifflement aigü se fit entendre à nouveau, assez fort »pour rendre fou», pour reprendre  les mots de Carrizosa. Les choses ne faisaient  que commencer.

Au moment même où le second coup de sifflet fut terminé, le ciel se remplit d’une lumière intense, » plus lumineuse qu’une fusée », ce qui dura quelques 20 secondes. Les deux soldats étaient étonnés de ce spectacle inattendu, et étaient toujours en train d’échanger des questions là dessus lorsqu’un troisième soldat les rejoignit, leur demandant si ils avaient vu la lumière. Décidant que ces événements étaient un peu trop dérangeants pour ne pas  être déclarés, ils convoqua le caporal de service, qui ordonna aux trois soldats et un chien de garde – un hybride de loup – de patrouiller dans la zone et de vérifier s’il y avait  quelque chose d’inhabituel.

Un craquement inattendu sortit d’un eucalyptus. Les soldats lâchèrent leur chien qui grondait, celui ci s’élança à toute vitesse vers la zone assombrie. Les trois hommes tinrent leur mitraillette plus fort,  s’attendant à entendre le chien de garde aboyer sur un intrus. « Le chien loup revint vers nous,  » déclare Trejo au chercheur Garcia, « mais il semblait , nauséeux, étourdi, comme si quelqu’un ou quelque chose lui avait donné une raclée ou effrayé ». Les trois soldats ont commencé à crier des défis dans le l’obscurité, le doigt sur la gachette, s’attendant à tout moment à se trouver dans une chaude bataille  d’armes à feu contre des intrus déterminés à faire exploser le dépôt de carburant. J’ai ressenti une sensation étrange » raconta Trejo. « Quelque chose se tenait derrière moi. Du coin de l’oeil je pouvais voir une lumière verte. Pivotant sur mes talons je me trouvai face à la vision la plus fantastique et inexplicable que j’ai jamais vu : une silhouette humaine de 3 mètres de haut faite de lumière verte. Encore plus étrange, remarqua un autre des témoins, la silhouette semblait être composée de petits points de lumière verte, lui faisant une petite tête, un torse large et des bras extrêmement longs. Le géant lumineux  semblait ne pas avoir de jambes ni de pieds. Trejo essaya de faire feu sur la silhouette mais il lui fut impossible de tirer sur la gâchette  de sa mitraillette Z-62.  En effet, un raidissement progressif s’emparait de son corps  entrainant une sensation de lassitude. Il pouvait parfaitement voir et entendre, il réussit cependant à crier :  » couchez vous, ils vont nous tuer! » avant de heurter le sol face la première. Les frères d’armes de Tréjo terrifiés ne furent pas frappés par l’énigmatique paralysie et ouvrirent le feu sur la gigantesque  silhouette verte, estimant un total de 40 à 50 tirs entre eux. Le géant vert devint plus lumineux, « comme le flash d’un appareil photo » avant  de s’estomper comme une image sur un écran de télévision.

Alavera de la Real était  en émoi. On sonna l’alarme alors que des soldats prenaient des positions défensives et que d’autres se dirigeaient vers le dépôt de de carburant. Les trois sentinelles ont eu du mal à expliquer ce qui s’était passé à un officier supérieur en colère. Mais ce qui leur épargna un inconfortable séjour aux arrêts fut un fait purement physique : bien qu’ayant ordonné à 50 hommes de passer la région au peigne fin en plein jour, aucune cartouche ne fut trouvée.   Un mur de maçonnerie derrière l’endroit où le géant vert s’était matérialisé aurait dû être grêlé avec des impacts de balles, mais il était intact. Mais ce fut Trejo–le premier à avoir vu l’intrus–en paya le prix après l’incident, il était affligé par des accès soudains de cécité que ni les médecins de la base, ni les médecins de l’hôpital militaire n’ont jamais été en mesure d’expliquer au-delà d’une description imprécise de « choc nerveux ».

Les géants d’Andalousie

Tomber sur des géants occupés à des activités bizarres et assez mauvais comme ça ; être poursuivi par eux est un véritable cauchemar. Andrés Gómez Serrano, un officier de police espagnol en retraite, devenu ufologue, a été aidé par ses années sous l’uniforme à aller au fond de nombre de mystères paranormaux et ufologiques qui se sont produits avec un certain degré de fréquence sur son terrain — les villes espagnoles d’Algeciras et Cádiz.

Le résultat de son travail a été rassemblé dans le livre sur les ovnis : 50 ans de recherches au Camp de Gibraltar (Antakara, 2000). Pour des raisons inconnues, les observations impliquant des entités géantes associées à d’énigmatiques appareils volants sont courantes dans cette section de la péninsule Ibérique, mais aucune ne correspond aux évènements à faire dresser les cheveux sur la tête qui se sont déroulés en février 1980.

Le 6 février, après une série d’observations nocturnes lumière dans le voisinage de Botafuegos, trois enfants ont décidé de prendre sur eux d’enquêter sur le  possible atterrissage de l’une des lumières–décrit comme une géante « ferris wheel »– sur la route qui va de Botafuegos à la ville de El Cobre. Les trois jeunes, comme les personnages d’un film de Spielberg, s’équipèrent avec à peine plus que des lampes de poche  et  partirent à l’aventure.

En traversant un ruisseau qui a dû être passé à gué afin de parvenir à leur but, quelque chose d’inhabituel s’est produit: les lampes de poche, alimentées par des piles neuves, tout à coup s’éteignirent.  Quand ils ont décidèrent  de retourner à leur point de départ, les sources de lumière portatives  retrouvèrent leur puissance. Surpris, les enfants franchirent la barrière invisible à plusieurs reprises, en remarquant la même perte inexplicable de puissance à chaque occasion. Incapables d’expliquer cette bizarrerie, les enfants sont retournés chez eux. Le spectacle des lumières nocturnes continua sans relâche.

La nuit du 11 février, alors que les trois enfants étaient témoins, « leur lumière » fit ce qui semblait être un atterrissage en zigzag sur les pistes de la colline voisine, une voiture conduite par  Rafael Tobaja et sa femme alla jusqu’à eux. Tobaja demanda : « avez vous vu la même chose que ma femme et moi avons vu à San Jose Artesano? » Lorsque les jeunes acquiescèrent, Tobaja leur dit de grimper sur le siège arrière , et les conduisit pour trouver l’étrange objet. A 21:45   Tobaja et ses passagers  atteignirent les portes d’une ferme appelée « La Rejanosa » . Sortant de la voiture pour examiner les environs, le groupe  fut surpris par une énorme lumière blanche qui s’élevait lentement de derrière  une petite colline, se divisant en deux. De chaque moitié lumineuse émergea une gigantesque entité de forme humaine, avec des bras et des jambes allongés, se tenant sur ses excessifs 3 mètres de haut. Le rayonnement de leurs corps rendit impossible de distinguer leurs visages. Le humains fixaient les géants lumineux jusqu’à ce qu’ils réalisent que les entités se dirigeaient droit sur eux. La peur gagna Madame Tobaja, dont les cris de panique ajoutèrent à l’horreur de la scène. Clairement averti du danger, et de sa responsabilité d’avoir amené trois enfants inconnus dans cette périlleuse situation, Rafael Tobaja surmonta sa paralysie créée par la peur et cria : « Retournez à la voiture ! Tout le monde entre dans la voiture ! » Si l’évènement irréel avait été une scène d’un film, le moteur de la voiture de Tojoba  n’aurait pas démarré, exacerbant la panique à son paroxysme. Mais le coupé démarra normalement et le conducteur s’éloigna des géants lumineux, ne s’arrêtant pas pour regarder en arrière avant d’avoir atteint le voisinage où ses jeunes passagers–compagnons d’aventure salement secoués–résidaient. Le lendemain, le chercheur Gomez se rendit à « La Rejanosa » en compagnie de  Manuel Aguilar, un  arpenteur local et ingénieur, pour reconnaître les lieux. Les deux hommes trouvèrent une profusion de « marques de bottes » triangulaires sur le sol et une empreinte laissée par un objet d’un poids considérable.

L’enquête faite par les militaires suggéra que les marques triangulaires avaient été laissées par des mortiers au cours d’exercices de tirs réels ; cependant aucune manœuvre n’avait été menée pendant cette semaine de février, ni même avant.

Les occupants géants des ovnis ne font pas partie des histoires de cas récents, et particulièrement pas durant les années 1990 hantées par les enlèvements. Ils semblent se limiter à certaines parties du monde, comme si ils  leur étaient assignés. Très peu d’entre eux se sont passés aux États-Unis, et le seul digne de mention est l’ incident de  Août 1973 qui s’est produit à Buffalo Mills, en Pennsylvanie, où des habitants ont vu  un géant de 3 mètres de  haut avec « une expression funeste » qui descendait  la rue principale.

Durant les premiers jours de l’ufologie, on spéculait que les ufonautes géants étaient affectés à une tache spécifique, juste comme les petits avec une grosse tête semblaient bons pour une autre. Dans le cas de Botafuego, les géants apparaissent des projections non substantielles  peut être désignées pour effrayer et faire fuir les humains curieux ? Si les entités étaient là pour faire respecter une politique de « pas de témoins », ils auraient certainement pu rattraper le véhicule en fuite en quelques bons.  Dans le cas de Talavera del Real,   nous retrouvons un autre géant apparemment  « testant les défenses» d’une installation militaire.  Le concept de ces géants en tant que mesures de sécurité est mis en évidence dans l’affaire de « RV » et du camionneur français sur l’aire de repos.  Est ce que les géants gardaient un appareil énorme–probablement un vaisseau-mère- qui avait atterri provisoirement pour des raisons inconnues ?

Traduction:  Era à partir de  http://inexplicata.blogspot.com/

4 Responses to Les Ufonautes géants d’Amérique du Sud

  1. masquerytte dit :

    Bonjour,Comme avec tout ce qui touche les ovnis, nous devons d’abord assumer la bonne foi de la part de personnes qui sont hors de notre portée

  2. madmax2012 dit :

    En effet pour peu qu’ils aient vu juste avant de témoigner le film « le jour où la terre s’arrêta » !

  3. évhémère dit :

    C’est surtout un « pot-pourri » de cas avec comme dénominateur le gigantisme des aliens ( dénués d’ovnis dans la plupart des cas ) !… C’est plutôt un bestiaire de l’ Étrange que de l’ufologie. Même les dates n’y sont que vaguement : 1988, 2002, février 1980 …. Pourtant, avec le remue-ménage de Cergy-Pontoise ( depuis fin novembre 79), cette équipée de « goonies » andalous aurait dû laisser des traces profondes … ( et non pas un seul article !…)

  4. rere dit :

    pitié plus de couriel

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