Lieu de l’incident : Kapustin Yar, Fédération de Russie
En 1989, dans une base militaire près du site d’essais nucléaires de Kapustin Yar, des membres de deux unités de l’armée ont remarqué un OVNI qui planait pendant des heures sur l’arsenal de la base. Les fichiers du KGB contenaient les rapports manuscrits de l’observation. L’ OVNI a survolé les magasins de l’unité et s’est dirigé vers l’arsenal de missiles. En survolant l’arsenal, un rayon lumineux apparut sur son dessous. Source: Michael Hesemann, 1998.
[cette affaire] a eu lieu le 28 juillet 1989, à une base militaire près du site d’essais nucléaires de Kapoustine Yar dans la région d’Astrakhan (basses terres de la mer Caspienne).
Crédit dessin : ufosightingsdaily.com
Il était environ minuit lorsque les membres de deux unités de l’armée ont remarqué un OVNI qui planait pendant des heures au-dessus de l’arsenal de la base. Les dossiers du KGB contenaient les rapports manuscrits de l’observation, que 4 des témoins ont écrits après avoir été interrogés par des agents du KGB. Le rapport ne dit pas quel type de missiles étaient dans l’arsenal, ni s’il y avait eu des ogives nucléaires.
« J’ai grimpé jusqu’à la tour de guet et j’ai regardé l’objet à une hauteur de 18 pieds ( 5,40 m). Je pouvais clairement distinguer un clignotement flagrant, brillant comme un flash de caméra.
L’objet a survolé les magasins de l’unité et s’est dirigé vers l’arsenal de missiles, à environ 1 km, il flottait à une hauteur de seulement 60 pieds ( 18,28 m ) au – dessus du dépôt. L’OVNI brillait dans une sorte de vert phosphorescent. C ‘était un disque de 12 pieds ( 3,60 m ) à 15 pieds ( 4,57 m )de diamètre avec un dôme semi-sphérique.
Crédit photo document KGB via ufosightingsdaily.com
Alors que l’objet planait au-dessus de l’arsenal, un rayon lumineux apparut sur sa face inférieure, là où la lumière avait clignoté auparavant, et dessina 2 ou 3 cercles. Ensuite, l’objet s’est déplacé vers la gare, clignotant toujours. Bientôt, cependant, il est revenu au dépôt de missiles et a plané à 180-200 pieds au-dessus de lui. Deux heures après le début de l’observation, l’objet a volé en direction de la ville d’Akhtoubinsk et a disparu de notre champ de vision, » a écrit le responsable des communications, V. Voloshin.
Et le soldat G. Kulik a ajouté:
« Près de l’objet dans le ciel, j’ai vu une boule de feu qui s’est levée de la terre et l’a approchée. Lorsque l’ovni s’est dirigé vers moi, j’ai pu sentir son approche. Puis il a tiré dans le ciel.
J’ai vu un avion qui essayait de s’approcher de l’objet, mais l’objet accélérait si vite qu’il a rapidement semé l’avion « .
Un phénomène qui a pris de l’ampleur dans les années 80 est celui des récits de
image source: mysteresdumonde.f
supposés enlèvements à bord d’ovnis. Jusqu’à la fin des années 70, il n’y avait encore que quelques cas connus d’enlèvements (connus mais sans preuve décisive de leur réalité), et l’on ne pensait pas qu’il puisse y en avoir beaucoup d’autres. L’un des touts premiers cas, celui d’Antonio Villas Boas, avait eu lieu au Brésil en 1957, les autres apparaissant surtout aux Etats-Unis. Rappelons les principaux : Betty et Barney Hill en 1961, divulgué seulement en 1966, le policier Schirmer en 1967, Hickson et Parker en 1973, Carl Higdon en 1974, le jeune bûcheron Travis Walton en 1975, et enfin la remarquable histoire de Betty Andreasson, s’étalant sur de nombreuses années, avec premier livre en 1979.
Mais voilà que les choses changent au tournant des années 80. Un premier livre de Budd Hopkins, Missing Time (« le temps manquant ») paraît en 1981, sur des cas d’enlèvements supposés, révélés en grande partie sous hypnose, alors que le témoin se rappelait seulement d’un trou inexpliqué dans son emploi du temps. Hopkins est un artiste New Yorkais d’excellent niveau (et non pas un artiste » commercial » comme l’a raconté Jacques Vallée !) qui s’est intéressé aux ovnis après en avoir observé un lui-même. Ce premier livre était suivi d’un autre en 1987, Intruders, encore plus impressionnant, qui paraissait presque en même temps que le premier livre de l’écrivain à succès Whitley Strieber sur le même sujet, Communion, un best seller immédiat avec plus d’un million d’exemplaires vendus. Sa couverture popularisait la figure de l’extraterrestre à grands yeux noirs, à la peau grise et au menton pointu, qui est devenu célèbre sous l’appellation de » Gris « ou » Petit Gris « .
Mise en évidence de la taille d’un implant L’analyse en général ne révèle rien d’extraordinaire, la coque extérieure est composée de keratine, matière naturelle, se formant habituellement autour de tout corps étranger invasif se trouvant dans le corps humain.Des moyens d’analyse poussés mis en action (microscope électronique, spectroscope, rayons X, chimie), permettent d’étudier la composition, la densité et propriétés électromagnétiques des implants. image source: mysteresdumonde.fr
Les Français ne se sont pas rendus compte tout de suite de ce choc culturel américain car, sur la version française du livre, publiée à la sauvette comme roman de gare, cette tête inquiétante, ressemblant à un diable, avait été remplacée par un dessin insignifiant. Le livre de Strieber est passé tout à fait inaperçu dans notre pays, de même que le premier livre de Budd Hopkins, traduit quatorze ans après l’édition originale, sous le titre ronflant Enlèvements extraterrestres. Les témoins parlent (Editions du Rocher, 1995), qui fut passé quasiment sous silence dans les médias.
Le deuxième livre de Hopkins, Intruders, non traduit en français, est très important car il osait parler pour la première fois de manipulations génétiques et de » fabrication » d’enfants hybrides. Un thème inquiétant au possible qui n’a pas manqué de susciter une violente et durable controverse aux Etats-Unis. De nombreux autres cas ont fait surface depuis, au point que le phénomène a commencé à ressembler à une épidémie au cours des années 90. Ces récits, souvent révélés sous hypnose, ont suscité des critiques de toutes sortes, certains accusant notamment les hypnothérapeutes d’influencer malhonnêtement les témoins, et même ces derniers d’être des déséquilibrés avides de publicité.
Pourtant, un examen objectif du dossier, tel que l’ont fait des chercheurs compétents, nous oblige à prendre très au sérieux cet aspect inquiétant du » phénomène ovni « . Inquiétant, certes, mais aussi fascinant car il a ouvert ces dernières années des perspectives qui rapprochent singulièrement ces récits des expériences de » sortie du corps « et » proches de la mort « , les fameuses » NDE » ( Near Death Experiences) dont on parle de plus en plus aujourd’hui. Le Figaro Magazine du 15 avril 2000 leur consacrait un dossier intitulé » l’explosion du paranormal « , qui posait la question » Et si c’était vrai ? « . Peut-être les journalistes français vont-ils commencer à se poser la même question au sujet des ovnis et de ce phénomène des enlèvements ?
Il faut bien reconnaître que les preuves concrètes et irréfutables du phénomène des enlèvements n’ont pas encore pu être réunies. Cependant, il y a de nombreux indice de cette réalité, tels que des traces au sol, des marques sur le corps, et surtout, à présent des implants qui ont été extraits du corps des enlevés. C’est le Dr Roger Leir, qui est devenu depuis 1995 le spécialiste de ce type d’opérations aux Etats- Unis.
Photographie d’un implant Source image du Dr leir
Que penser de cette affaire d’implants ? par Simone Brunie, coordinatrice d’UFOCOM
Le Docteur Jacques Costagliola, d’une part et Gildas Bourdais, d’autre part, nous proposent chacun un article que nous publions, bien que la relation entre « implants » et ovnis n’ait pas encore été établie jusqu’ici. Dans les deux cas, il s’agit d’une note de lecture du livre du Dr Leir: « The Aliens and the Scalpel », publié par le « NIDS » (National Institute for Discovery Science). Alors que J. Costagliola rapporte les résultats d’un point de vue médical, G. Bourdais, avec son talent reconnu d’écrivain ufologue, fait le point sur la question des implants.
NIDS rappelle toutefois que ce n’est pas parce qu’il publie un tel livre qu’il assume la responsabilité du contenu, qui reste à la charge de son auteur. UFOCOM s’associe à cette mise en garde. Cependant, l’ensemble des faits relatés par le Dr Leir sont hautement intrigants et c’est à chacun de se forger sa propre opinion en fonction de ses propres convictions.
image source: ufocom.eu/
Afin que la publication des diagrammes de rayons-X soit plus claire que celle présentée dans le livre, nous avons demandé au Dr Leir de nous fournir une copie grandeur nature des diagrammes. Le Dr Leir a répondu rapidement à notre demande, ce qui plaide en sa faveur. Vous pouvez ainsi prendre connaissance du rapport du laboratoire « New Mexico Tech » qui a effectué des analyses d’échantillons d’implants. Les techniques rapportées sont celles habituellement utilisées dans de tels laboratoires, que l’on peut difficilement soupçonner de tricherie. Les diagrammes justifiant les conditions expérimentales et les résultats sont reproduits.
source image: ufocom.eu/
Voici la traduction en français du sommaire du rapport.
Résumé du rapport, publié par le NIDS, des analyses métallurgiques des échantillons
L’échantillon T1,2 a une forme d’aiguille, avec un un cœur de fer prédominant, enrobé d’une couche non conductrice, gris-noir foncé. Cette couche superficielle est composée de Fe, Ca, P, Cl et très probablement d’éléments plus légers comme du carbone ou de l’oxygène. L’analyse de phases par diffraction des rayons-X n’a pas été absolument concluante du fait de la très petite taille de l’échantillon. Cependant le diagramme obtenu suggère la présence probable de quatre phases : apatite (phosphate de calcium Ca2Fe(PO4)2H2O), gœthite (hydroxyde de fer FeO(OH)), phosphure de fer FeP4 et oxyde phosphorique P2O5. La structure microscopique du cœur, observé au microscope optique après décapage et polissage, semble être un alliage riche en fer avec d’importantes quantités de carbone, probablement sous forme de carbure de fer. Le fer est probablement sous la forme alpha avec un empilement cubique faces centrées, puisque les échantillons sont magnétiques. La dureté de ce cœur est très élevée, au voisinage de celle d’aciers à haute teneur en carbone.
Implant en forme de « pépin de cantaloup » (Tim Cullen) Source: Dr leir
Implant en forme de » T » (Patricia) source photo Dr leir
L’échantillon T3-A est un mélange très complexe de matériaux. Alors que le cœur interne est supposé semblable à celui de T1,2, la partie externe est constituée d’une combinaison de nombreux éléments et phases différents, selon l’emplacement, dans l’échantillon, du prélèvement. En majorité, le revêtement est le même que celui de T1,2. Cependant, on observe parfois une substance qui a l’apparence d’écailles et qui est composée de Fe, Cu, Ni, Al, & Sn. L’alliage constituant le revêtement pourrait donc avoir été oxydé du fait de l’absence de peinture protectrice. L’échantillon T3-B était apparemment une sorte de tronçon du matériau constituant le revêtement amorphe/minéral avec un cœur non métallique, comme en témoigne sa très faible densité et l’absence de magnétisme.
Lorsque vous aurez pris connaissance des articles de J. Costagliola et G. Bourdais, n’hésitez pas à nous faire part de votre opinion. A condition qu’elle soit écrite dans un français correct, et avec votre autorisation, nous publierons votre réponse (en conservant votre anonymat si vous le souhaitez). Nous envisageons d’ouvrir une rubrique « Débats » pour permettre de conserver une trace des discussions constructives. C’est grâce à cette diversité d’opinions que nous progresserons dans nos recherches. Cependant, avant de formuler des critiques, je ne peux que vous encourager à lire le livre « The Aliens and the Scalpel », afin de vous forger par vous-mêmes une opinion objective.
Source: touraine-insolite.clicforum.fr/article de Gildas Bourdais
Sylvain Matisse Enquêteur Crédit Photo : Investigation Océanographique et Oanis
« Les images ont été ajoutés ( vraies photos ) afin d’agrémenter l’article proposé par Area 51 blog.
Voici les principaux articles qu’on peut trouver facilement dans la littérature sur les ovnis.