Abduction de l’agent de Police Alan Godfrey à l’ouest du Yorkshire, Angleterre

22/10/2014
Alan Godfrey, with a drawing of the craft. (credit: Evans and Stacy)

Alan Godfrey, with a drawing of the craft. (credit: Evans and Stacy)

Article sourceufoevidence.org/

« Cet article nous a été envoyé par notre amie Chantal D (des repas ufologiques) , nous la remercions .« 

Traduction de ERA pour Area 51 Blog.area51blog

L’officier de police Alan Godfrey effectuait une patrouille de routine lorqu’il a rencontré un disque métallique avec un dôme et une rangée de hublots. Soudainement il y eut une explosion de lumière et il se retrouva 100 yards ( 91.44 m) plus bas sur la route et l’Ovni avait disparu.  Plus tard, sous hypnose, Godfrey se rappela avoir été frappé par un rayon de lumière qui le souleva jusqu’au vaisseau, et avoir rencontré un être humanoïde nommé Joseph, vêtu comme un personnage biblique. A bord du vaisseau il fut examiné et on lui posa des questions.

Classification et caractéristiques

Type de cas / Rapport: Cas Standard
Classification Hynek: RR4
Forme de l’objet (s): disque
Particularités / Caractéristiques: enlèvement, Missing Time, police, effets électromagnétiques, Hublots /fenêtres, dessin du témoin, photos du témoin

Rapport entier  / article

Source: Jenny Randles

En Novembre et Décembre 1980, le côté est de la Grande-Bretagne connaissait une importante vague d’observations d’OVNI. Il y eut des poursuites d’OVNIS par des voitures de police près de la côte, un OVNI qui  survola une plate-forme pétrolière en mer du Nord,  et  la vague culmina avec les événements célèbres sur la côte est de l’Anglia à la forêt de Rendlesham. Juste un mois avant ces atterrissages à côté des bases aériennes de l’OTAN, une des plus impressionnants affaires d’ enlèvements extraterrestres eut lieu dans la petite ville de Penninemill de Todmorden à l’ouest du Yorkshire, en plein au centre de la zone la plus active, connue localement comme « OVNI Alley »

L’agent de police Alan Godfrey était en patrouille dans la nuit du 28 Novembre 1980, juste avant l’aube, il  conduisait le long la route de Burnley sur le bord de Todmorden à la recherche de quelques vaches qui avaient été portées disparues. On ne les retrouva qu’après le lever du soleil, mystérieusement déplacées dans un champ détrempé sans traces de sabots  pour indiquer leur passage.

Abandonnant sa chasse nocturne, Godfrey était sur ​​le point de retourner à la base pour signer son rapport quand il a vit une grande masse quelques centaines de mètres plus loin. Au début, il pensa qu’il s’agissait d’ un autobus venant vers lui qui avait  pris les travailleurs vers leur emploi en ville et qu’il savait passer vers 05:00 Mais à mesure qu’il approchait, il se rendit compte que c’était quelque chose de très étrange.

 C’était un ovale flou qui tournait à une telle vitesse et qui planait si bas sur la route déserte qu’il faisait trembler les buissons sur le côté. Le policier s’arrêta, appuya sur son pare-brise un bloc qui était dans la voiture de patrouille pour faire des croquis d’éventuels accidents de la route, et dessina l’OVNI. Puis il y eut un éclat de lumière, et la prochaine chose qu’il sut fut qu’il était de nouveau au volant de sa voiture, plus loin sur la route de Burnley, sans aucun signe de l’OVNI.

Godfrey fit demi tour et examina l’endroit où l’OVNI avait plané. La route était très humide et il avait plu à verse en début de nuit. Mais juste à cet endroit ce trouvait une tache circulaire où la route avait été séchée en motif tourbillonnant. Ce n’est que de retour au poste de police qu’il se rendit compte qu’il était un peu plus tard qu’il ne l’avait prévu – bien que tout le temps manquant ne faisait probablement pas plus de 15 minutes par rapport aux estimations prises plus tard sur le site.

 Inquiet du ridicule possible, Godfrey choisit tout d’abord de ne pas faire de rapport officiel,  mais il changea d’avis plus tard ce jour là lorsqu’il réalisa qu’il n’était pas seul. Après le petit déjeuner ce matin là, un conducteur qui se trouvait sur la route de Burnley trois miles plus loin à Cliviger rapporta avoir vu un objet blanc brillant et  contacta la police de Todmorden. L’heure correspondait à celle d’Alan Godfrey. En outre, une patrouille de police d’une force adjacente (Halifax) avait été engagée dans une surveillance concernant des  motos volées sur les landes de la vallée de Calder et avait vu une lueur bleu-blanc brillant descendant dans la vallée vers Todmorden peu avant que Godfrey ne fit sa rencontre rapprochée . Leur histoire, quand elle parvint à la station de police de Todmorden, forma un deuxième recoupement.

Encouragé par ces nouvelles, Godfrey établit un rapport officiel , mais fut surpris lorsque la police décida de publier l’histoire dans le journal local la semaine suivante. A partir de là les ufologues découvrirent le cas et une enquête de longue haleine fut  montée par un groupe de recherche ufologique basé à Manchester.

Bien que Alan Godfrey n’ait plus de souvenir conscient du temps manquant, il avait un souvenir grandissant  mais confus de la séquence des événements entourant l’observation (avec une image inexpliquée de se voir en dehors de la voiture pendant l’observation). Il y avait aussi des preuves matérielles énigmatiques. Ses bottes fournies par la police  avaient la semelle fendue, comme s’il avait été traîné sur le sol et qu’elles avaient heurté quelque chose. Il a également signalé avoir vu  d’autres choses étranges  et avoir vécu au moins un laps de temps manquant auparavant,  facteur que les ufologues sont venus à reconnaître comme commun aux cas d’enlèvement.

Une fois certain que tout le témoignage conscient fut enregistré, Godfrey accepta  de faire une régression hypnotique avec un psychiatre de Manchester huit mois après l’incident.  Il eut  finalement plusieurs autres sessions avec différents thérapeutes, et sa participation dans les sessions suivantes fut  enregistrée sur bande vidéo. Le médecin  refusa au  groupe d’ufologistes d’enregistrer  la première session.

Le témoignage sous hypnose est très étrange, et Godfrey ne sera jamais certain de ce qui s’est réellement passé. Sous régression il parla d’une lumière éclatante qui arrêta le moteur de la voiture,  qui emplit sa radio et son combiné de parasites, puis d’être inondé d’une lumière aveuglante tandis qu’il perdait conscience. Son prochain souvenir fut d’être dans une pièce étrange plus semblable à une maison qu’à un vaisseau spatial, avec un gros chien noir inattendu. Il fut examiné par un homme très barbu qui lui transmit par télépathie qu’il se nommait « yosef » et dont les vêtements étaient de nature très « Biblique ». Assistant Yosef, il y avait plusieurs petites créatures qui ressemblaient à des robots « de la taille d’un enfant de cinq ans »  avec « une tête en forme d’ampoule ». Ils rappelaient un peu les « gris » du folklore ufologique ; bien qu’avec de grandes différences.

On posa peut-être des questions à Godfrey, on lui dit qu’il « connaissait » Yosef, et on lui promit une rencontre ultérieure.  Mais apparemment, il n’a pas été soumis aux indignités plus familières des histoires d’enlèvement (en particulier des États-Unis), tels que les échantillons de fluides corporels et sondes rectales.  Bien qu’il y ait eu des périodes de perte de mémoire, le souvenir qui émergea sous hypnose était un curieux hybride d’images mythiques, d’éléments de cas ufologiques et de séquences comme des rêves.

Lorsqu’on lui demanda son opinion sur la réalité de ce témoignage hypnotique, Alan Godfrey fut  d’une honnêteté rafraîchissante. Il me dit être certain que la rencontre avec un OVNI était réelle, mais il ne pouvait pas déterminer si l’histoire offerte par l’hypnose était un rêve, un fantasme, la réalité, ou un mélange des trois.

Malheureusement, Alan Godrey souffrit terriblement après cette rencontre. Lorsque j’ai d’abord rédigé l’enquête (juste avant que ne commence la régression sous hypnose) pour le magazine Flying Saucer Review en 1981, j’ai délibérément changé son identité pour aider à le protéger; bien que ce soit probablement futile car l’histoire avait déjà paru dans le journal local avec le vrai nom de Godfrey.

De même, malgré mon refus de les aider, le reporter d’un tabloid a suivi le témoin et a consacré un  article en première page à l’histoire – lue par des millions de personnes lors du déjeuner du dimanche – ce qui amena l’officier à être convoqué pour s’expliquer devant ses supérieurs. On l’obligea à subir des examens médicaux pour déterminer son « état », mais on le déclara en bonne santé psychologique.  Pourtant, après quelques années, ressentant qu’on ne lui permettrait jamais d’oublier son observation, il suivit le  conseil de démissionner honorablement sur ​​une blessure physique sans rapport,  encourue lors d’un incident dans lequel il était  courageusement intervenu pour éviter un crime.

Todmorden, avant 1980 et dans les années qui suivirent, fut un foyer d’activités de contact extraterrestre avec plusieurs autres rencontres majeures qui firent l’objet d’enquêtes, y compris un autre enlèvement d’un chauffeur de camion sur  la route de Burnley juste un peu plus loin de Todmorden et sur ​​la même route .

 

 

Case ID: 722 edit: 722

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Source

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Mise à jour Area 51 blog, le : 22/10/2014 à : 16h40.

area51blog


Dossier :Les  » Triangles Volants « 

21/10/2014

 

source croquis: Mikerynos touraine-insolite.clicforum.fr/

source croquis:
Mikerynos
touraine-insolite.clicforum.fr/

Article source: Mikerynos  touraine-insolite.clicforum.fr/

Les observations d’ovnis réalisées dans le monde entier font état d’engins de toutes formes et de toutes dimensions. Mais, par endroits, il arrive que les témoignages s’accordent sur une forme particulière. Ainsi, des objets volants évoquant un disque ou un cigare ont maintes fois été cités. La  » tendance «  actuelle est aux engins triangulaires, plus communément appelés « triangles volants ». Si, comme toujours, les descriptions varient sur le détail, le recoupement des multiples témoignages indique qu’il s’agit bien du même type d’appareil.

Le  » triangle volant «  possède généralement une envergure de l’ordre de 100 mètres, et il est de couleur noire ou grise. Sa forme triangulaire est surtout apparente vue du dessous car il s’agit d’un engin relativement plat, ressemblant un peu à une grosse part de pizza. Un nombre significatif de témoins signale une forme « en accent circonflexe » ou une sorte de boomerang. De nombreuses observations d’ovnis intervenant de nuit, l’attention des observateurs, dans le cas du  » triangle volant « , est d’abord attirée par trois lumières qui se déplacent dans le ciel en une impeccable formation triangulaire. On mentionne effectivement très souvent trois feux situés sur la face inférieure de l’appareil, un à chaque angle. D’autres témoins parlent d’un quatrième feu central, mais nettement moins luminescent. Si les feux extérieurs sont généralement blancs, le feu central est rouge. Ce descriptif fait immédiatement penser aux feux de navigation d’un avion conventionnel. Mais il se trouve qu’à la différence des feux d’avions, ceux des « triangles » ne clignotent pas …
Des Témoins par centaines.

croquis source: Mikerynos touraine-insolite

croquis source:
Mikerynos
touraine-insolite

 

La première grande vague d’observations de  » triangles volants «  remonte à mars 1983, aux abords de la vallée de l’Hudson (Etat de NewYork). Des témoins signalent la présence dans le ciel  » d’ailes volantes «  ou d’ovnis en forme de V. L’un d’entre eux décrira un appareil  » tellement immense qu’il masquait entièrement le ciel » «  Au cours des quatre années qui suivront, des centaines de personnes résidant dans cette région des Etats-Unis prétendront elles aussi avoir vu cet engin. Puis plus rien jusqu’à la vague d’observation belge. Les événements qui vont se dérouler en Belgique au début de cette décennie vont à nouveau placer les  » triangles volants «  sous les feux de l’actualité. Car il s’agit sans doute là d’une des plus spectaculaires et des mieux documentées de toutes les observations d’ovnis jamais rapportées au monde. En effet, l’espace aérien belge fut le théâtre d’une intense activité ovni tant les comptes rendus de bonne qualité, issus de témoins fiables, ont afflué depuis une première série d’observations effectuées en date du 29 novembre 1989.
La crédibilité des témoignages est souvent sujette à caution dans ce genre d’affaire. Or, elle est cette fois renforcée par la nature des sources citées : des militaires et des policiers belges, c’est à dire des personnes rompues à des descriptifs précis et peu enclinés à une mauvaise identification d’un objet ou d’un phénomène classique. Nombre de ces témoignages, recueillis par centaines, font ainsi état d’objets triangulaires de grande dimension. Etant donné son ampleur, l’affaire fut prise au sérieux par l’armée de l’air belge qui tiendra ses avions prêts à décoller afin de « reconnaître » tout phénomène rapporté.
Echaudées par une première fausse alerte -une observation d’ « ovnis » qui s’avéreront n’être que le reflet d’un spectacle laser sur les nuages !-, les forces aériennes belges décideront de faire décoller leurs chasseurs uniquement lorsque les observations visuelles seront confirmées par une image radar. Or c’est exactement ce qui se produisit dans la nuit du 30 au 31 mars 1990.

croquis source: Mikerynos touraine-insolite.clicforum.fr/

croquis source:
Mikerynos
touraine-insolite.clicforum.fr/

 

Signature radar.
Au cours de cette soirée, les observations vont se multiplier, surtout dans la région de Wavre (au sud-est de Bruxelles), et dans de nombreux cas on signalera trois lumières volant en une formation triangulaire parfaite. Plusieurs témoins affirment avoir très nettement vu que ces feux étaient situés sur la face inférieure d’un immense appareil en forme de triangle. Or l’objet en question est repéré par deux stations radar, l’une relevant des forces aériennes belges, l’autre de l’OTAN. L’ordre fut par conséquent donne de faire décoller en toute hâte deux chasseurs F-16, appareils qui seront par la suite maintenus en procédure d’ « Alerte Reaction Rapide ».

Très vite, les chasseurs réussissent à repérer l’ovni sur leurs propre radars et à  » verrouiller «  le repérage de la cible. A plusieurs reprises, l’appareil parvient pourtant à s’échapper de l’emprise du radar. Ses capacités sont déroutantes: il semble pouvoir passer presque instantanément du vol stationnaire à une vitesse supérieure a 1000 km/h! Ses déplacements laissent supposer que l’engin répond à une conduite intelligente, mais l’ accélération produite par de telles manoeuvres (près de 40 g, plus de dix fois celle supportée par les astronautes d’une navette spatiale) aurait tué n’importe quel équipage humain !
Pressée de questions relatives à cette affaire, l’aviation belge accepte de coopérer avec un groupe d’ufologues belges dans le cadre d’une enquête détaillée. Le directeur des opérations de l’état major des forces aériennes belges, le colonel Wilfred de Brouwer, admit notamment que, selon ses services, l’ovni est un engin solide, structuré, ayant pénétré de façon illicite l’espace aérien belge. Cet officiel conclura par le terme « phénomènes anormaux ». Etant donné que les militaires et les milieux officiels réfutent traditionnellement l’existence même des ovnis, cette déclaration revêt une importance toute particulière.
Au tour de la RAF.

Trois ans plus tard, le  » triangle volant «  se manifeste à nouveau, cette fois dans le ciel de Grande-Bretagne. La plupart des observations seront faites aux premières heures du 31 mars 1993 et, peut-être en raison de l’heure, plusieurs témoins seront cette fois également des policiers en patrouille ou des militaires en faction.

Les descriptions ressemblent étrangement aux observations belges : trois lumières se déplaçant en formation parfaite ou, à l’occasion de témoignages plus précis, un immense ovni triangulaire illuminé à chacun de ses angles. De nombreux observateurs signalent fréquemment une caractéristique supplémentaire des  » triangles volants «  : un bourdonnement sourd semble émaner de l’appareil. Deux témoignages sont particulièrement dignes d’intérêt. D’une part, une observation effectuée par la Royal Air Force (RAF), sur la base de Cosford, dans le Shropshire. Un peloton de garde entier verra passer l’ovni exactement à l’aplomb de la base ! Rapidement une vérification des mouvements d’aeronefs sera demandée auprès des contrôleurs du trafic aérien : aucun avion, tant civil que militaire, à signaler dans la zone concernée.

L’observation la plus spectaculaire recensée au cours de la même nuit est celle de l’officier chargé de la météo à la base de la RAF située à Shawbury, à quelques kilomètres seulement de celle de Cosford. Ayant appris qu’un ovni avait été signalé au dessus de la base voisine, l’homme sortit du bâtiment afin de se rendre compte de visu.

Selon son estimation, l’appareil a pratiquement la taille d’un Boeing 747. Cet officier rapporte que l’appareil projetait un faisceau lumineux vers le bas, balayant le sol de droite et de gauche comme s’il cherchait quelque chose. Puis le faisceau s’éteignit et l’appareil poursuivit sa route, en survolant la base à faible allure. Le ministère de la Défense déclenche une enquête pour tenter d’expliquer ces observations qu’il juge crédibles. La position des autorités est délicate : officiellement, il a toujours été acquis que les phénomènes ovni étaient pas du ressort de la Défense. Or, il se trouve que ce sont précisément des militaires qui ont signalé la présence d’un  » triangle «  non identifié, qui plus est survolant deux zones militaires sensibles. Aussi le ministère de la Défense britannique s’efforcera-til de banaliser le phénomène par des explications « naturelles ». Tablant sur le fait qu’au moins 90 % des observations d’ovnis s’explique de manière classique, les autorités procèdent par élimination, à commencer par l’analyse de toute activité aérienne dans le Shropshiren du vol de dirigeable au lancement de ballon-sonde météorologique. On consulte également l’Observatoire royal de Greennvich dans l’espoir d’une activité météoritique inhabituelle. Mais on ne trouve rien. En dernier ressort, on avancera l’hypothèse de la rentrée atmosphérique d’une fusée russe, détectée à 1h10 du matin. Ceci aurait certes pu expliquer une concentration ponctuelle de phénomènes lumineux à haute altitude, mais les observations s’étant étalées sur plusieurs heures, la thèse d’une fusée ne peut s’appliquer à ce cas.

Prototype Ultra-Secret.
Dernière piste : le  » triangle volant «  pourrait être une sorte de prototype ultra-secret. On évoquera à ce propos un nouveau modèle hypersonique du Lockheed SR-71 Blackbird, développe sous le nom de code d’ « Aurora ». Des les premiers échos de cette rumeur, les forces aériennes belges rejettent la possibilité que le triangle aperçu en 1990 puisse être un avion furtif F-117 américain; d’ailleurs les autorités américaines ont apporté un démenti catégorique : aucun appareil de l’US Air Force n’était en cause.
Quoi qu’il en soit, l’hypothèse du vol d’essai est peu vraisemblable : les prototypes sont testés dans des périmètres bien délimités et bien protégés, et de tels avions ne s’aventurent pas sans autorisation dans un espace aérien étranger particulièrement bien défendu : risques d’incident diplomatique, risques d’ interception et de destruction, secret éventé… le jeu n’en vaut pas la chandelle. Pour ces mêmes raisons, le ministère de la Défense britannique exclut toute implication d’un prototype américain dans ces observations.

Classé «  sans suite « .
Manque de coordination européenne ? Mi-mai 1997, le ministre belge de la Défense, Jean-Pol Poncelet, annonçait officiellement le classement du dossier ouvert suite à la vague d’observations. Motif : la signature captée par les radars des F-16 serait finalement celle d’un phénomène naturel lié à des écarts de température… par conséquent les centaines de témoignages doivent « probablement » se rapporter à l’observation du prototype LoFlyte. Déclaration surprenante : les responsables américains du projet LoFlyte certifient que le prototype n’est jamais sorti du territoire des Etats-Unis.

Etude de 11 observations d’Objets triangulaires.
Cas No 01 : Derby, d’Allestree (GB) le 19 avril 1956.
Cas No 02 : Lac Uppramen (Suède) le 1er avril 1968.
Cas No 03: Ulceby Cross Lincolnshire (GB) en mars 1978.
Cas No 04: Woodbridge, Suffolk (GB) le 27/28 décembre 1980.
Cas No 05: Brierley Hill, West Midlands (GB) Le 19 novembre 1987.
Cas No 06: Petit Rechain, Belgique le 30/31 mars 1990.
Cas No 07: Samara, Kuybyshev (Russie) Le 13 décembre 1990.
Cas No 08: Grand-Rechain-Stockis (Belgique) le 3 novembre 1993.
Cas No 09: Mablethorpe, Lincolnshire (GB) le 12 février 1997.
Cas No 10: Arizona, (USA) Observations du 13 mars 1997.
Cas No 11: Monks Kirby, West Midlands (GB) Le 31 mars 1999.

NB.
Pour mieux aprécier la taille des  » triangles «  observés, un modèle de voiture à été mis à la
même échelle.

Derby, d’Allestree (GB)
(Triangle de 6 m de large, peu ou pas de bruit, très grande vitesse)

Le 19 avril 1959 à 11h00, M. Gibbard (un menuisier) qui travaille sur le toit d’une maison dans le bourg d’Allestree, près de Derby, quand il a entendu le bruit d’un avion en approche. Celui-ci a été profondément impressionné par le modèle observé, son passe-temps est en effet l’identification des avions, et connaît de nombreux types d’appareils aériens.M. Gibbard a raconté l’événement :
«  Le jour était très clair, avec quelques petits nuages. J’ai entendu un avion s’approcher, j’ai alors regardé l’avion qui s’approchait à environ plus ou moins 2000 pieds d’altitude. C’était un avion assez rare de type Avro Anson (envergure d’ environ 17m), un avion lent utilisé pour la reconnaissance. J’ai alors était stupéfait de voir un avion avec des ailes delta assez près de l’Avro Anson, cerclant réellement autour de l’avion au moins deux fois, à une vitesse pas beaucoup plus élevée que la vitesse de l’avion, mais ne faisant aucun bruit audible, le seul bruit perceptible est venu de l’Anson. Ensuite il à disparus vers le haut sur une longue courbe en qui dura environ 5-10 secondes.  » «  Mon associé a également vu cette scène, mais malheureusement il est depuis longtemps décédé et ne peut plus corroborer cette observation. Ce ne pouvait pas être un planeur, en raison de sa vitesse réduite et de sa forme  » delta « , de plus ceux-ci font énormément de bruit.  »

Lac Uppramen en Suède.(Triangle de 31 m de côté)
Le 1er avril 1968 un trou 500m2 a été découvert dans de la glace épaisse de 90cm sur le lac Uppramen en Suède. Le trou était parfaitement triangulaire et des blocs de glace plus de 1m de diamètre ont été dispersés au-dessus de la glace. Il y avait plusieurs trous, et d’autres semblables dans un lac voisin, un de la même taille et un autre plus petit. Une recherche officielle n’a trouvé rien sur le lit de lac excepté une croûte rougeâtre du matériel indéterminé.

Ulceby Cross Lincolnshire, (GB)
(Triangle de 34 m de côté, vitesse 25/65 Km/h, pas de bruit)

Observation par un seul témoin un soir vers 23h00, en mars 1978 près de Ulceby Cross qui est situé à environ 10 Km de la côte.
«  L’objet était parfaitement triangulaire et de profondeur égale, sans des protubérances pointues ou d’autres dispositifs. Son aspect, apparemment constitué d’une feuille de métal, sans joints évidents entre les panneaux. Deux lumières très lumineuses à l’avant du triangle ont rayonné vers le bas avec un angle de 90 degrés vers le sol. Une lueur bleuâtre a émané du dessous du triangle.  » On a estimé sa taille était plus grande qu’un bombardier de type  » Vulcan «  (envergure de 34m). Le triangle est passé au-dessus du témoin à environ 15m, et s’est écarté lentement à une vitesse entre 25 et 65 km/h. La nuit était claire.
Comparaison des différentes tailles des 11 cas de « Triangles » avec un Boeing 747.

Woodbridge, Suffolk (GB)
(Entre 2m et 3m de large et approximativement 2m de haut, sans bords
tranchants. pieds approximativement de 18cm large, lumière éclatante rouge
sur le haut.)

Le 27 décembre 1980, vers 03 h 00, deux policiers de sécurité USAF en patrouille, virent une lumière inhabituelle à la sortie arrière de la RAF Woodbridge. Il leur fut donné la permission d’aller voir, car ils crurent au crash d’un avion. Trois hommes furent envoyés, à pied. Ils rapportèrent avoir vu un objet lumineux, d’apparence métallique et de forme triangulaire, à 2/3 mètres de la base, et à 2 m d’altitude. Cet objet illuminait toute la forêt d’une lumière blanche. L’objet lui-même avait une lumière pulsant rouge à son sommet et une (des) bande (s) de lumière bleu sur le dessous. L’objet planait de manière stationnaire, ou se trouvait sur des pieds. Quand la patrouille s’approchait, l’objet manoeuvrait entre les arbres et disparut. Pendant ce temps, les animaux de la ferme voisine étaient en « délire ». L’objet fut brièvement revu une heure plus tard, à nouveau près de la sortie arrière du camp. Le lendemain, trois dépressions de 1 1/2 » de profondeur et de 7″ en diamètre, furent trouvées à l’endroit où était aperçu cet objet. Le lendemain (29 décembre 80) la zone fut passée au crible pour détecter d’éventuelles radiations. Des lectures de Beta/Gamma de l’ordre de 0.1 milliroentgens étaient enregistrées, avec un maximum dans les 3 dépressions et au centre de celles-ci. Un arbre proche montrait une lecture modérée (.05-.07) sur le flanc tourné vers les dépressions. (document FOIA)
Dans la nuit du 27 au 28 décembre, plus de 50 personnes, tant civiles que militaires, font leurs commentaires après l’observation d’un ovni. Cela va du vaisseau extra-terrestre, au largage de drogues dures, en passant par des expériences militaires secrètes. Mais je propose les faits: Big Bird 16, satellite d’espionnage USAF de basse altitude, est lancé de la base Vandenberg en Californie, le 18 juin 1980 et est placé en une orbite polaire très large. Ce satellite est porteur de six capsules, à récupérer. La 67ème Aerospace Rescue and Recovery Squadron (ARRS), basée à Woodbridge, est l’une des unités désignées à récolter les capsules quand elles entrent dans l’atmosphère. Le satellite vole au-dessus de l’Arctique à 27,000 km/h, et au nord de la Norvège, dans la nuit du 27/28 décembre 1980 et largue une de ses capsules. Tandis que la satellite mère continue à tourner sur son orbite, la capsule entre au-dessus de la mer du Nord, allant vers le SSW. Quelques avions Lockheed HC-130 Hercules et un groupe d’hélicoptères HH-53C du 67èmeARRS attendent au-dessus de la Dogger Bank, les avions en altitude, les hélicoptères près de l’eau. Mais les parachutes de la capsule ne s’ouvrent pas. La capsule continue à descendre sans être freinée, sur sa trajectoire première, volant trop haut et trop vite pour les avions qui l’attendent. Cette trajectoire de la capsule l’amène directement à la base de la RAF à Woodbridge. Dès que l’alerte fut donnée au sujet des parachutes défaillants, on voit la capsule en feu au-dessus de Lowestoft, et le crash s’effectue dans les bois de Rendlesham. Toute la base participe à la recherche. (…) (Richard Kidd et Michael Akeroyd,août 1996)

Brierley Hill, West Midlands (GB) Le 19 novembre 1987. (Triangle de 30 m de long sur 15 m de large, huit ou neuf lumières claires, rectangulaires, convexes sur le dessous, vitesse lente sans bruit)
La Colline de Brierley est située dans l’Ouest des Midlands en Grande Bretagne, le soir du 19 novembre un triangle a été vu dans le noir, par une mère et son fils adulte :  » Il y avait quelques mailles visibles, c’était des bords aériens en dents de scie noirs comme si elles étaient des grilles. La partie intérieure avait une couleur grise ou argentée. Il y avait des raies en dessous. Les lumières étaient très fluorescentes d’un
blanc clair. Il y avait 21 rainures longitudinales sous la surface du triangle, séparés par leurs propres largeurs de couleur noire, bronze et argent. «  Bien qu’il y ait des ambiguïtés dans la description des deux témoins, c’était une observation assez proche et il y a un bon croquis fait par un témoin (le fils).
Petit Rechain, Belgique le 30/31 mars 1990.

(Triangle de 15 m de long sur 3 m de large, de couleur noire avec 3 phares
lumineux de couleur blanche et un point central de couleur rouge.)

Peut de renseignement sur cette observation. Entre 1989 et 1991, la Belgique a été le théâtre d’une véritable invasion d’ovnis. Suivie et amplifiée par les médias, cette affaire a été prise à ce point au sérieux que l’armée belge a cru nécessaire d’apporter son soutien. Fin mars, début avril 1990 un jeune homme habitant le village de Petit-Rechain réussit l’exploit de photographier l’ovni qui le survol. Il a fallu attendre quatre mois avant que l’auteur de ce document (c’est la seule photo de l’ovni belge) le fasse connaître, deux clichés ont été pris, le deuxième cliché a été éliminé ou  » perdu « .
Mlle S. laissa sortir son chien, un berger allemand. Elle sortit elle-même dans la cour, derrière la maison. Après 5 ou 6 secondes, elle regarda machinalement vers le ciel, où son attention fut attirée par des lumières.  » J’ai d’abord pensé qu’il s’agissait d’étoiles, mais je me suis rendue compte qu’il n’y avait pas d’autres étoiles visibles dans le ciel « . Mlle S. avait 18 ans et était étudiante à cette époque. Elle pensait d’abord à ce qui serait normal, puisque ces lumières étaient immobiles, mais le ciel était couvert. Intriguée par ces lumières qui percent l’obscurité de la nuit, elle commença à remarquer de plus en plus de détails. «  J’ai vu trois points lumineux blancs-jaunes, ronds, disposés en triangle et par la suite, j’ai distingué une autre lumière au centre. Pour moi, cette lumière était fixe (non clignotante) et semblait de même couleur que les autres. Je n’ai pas vraiment remarqué la forme d’un triangle. Je l’ai plutôt devinée « . Cela lui parût étrange et elle appela son ami. Lorsque monsieur P. M. est sorti, il a vu « trois feux blancs, ronds, disposés sur une surface triangulaire à peine perceptible« . Cet objet bizarre semblait être immobile. «  Au centre, il y avait un point clignotant de même couleur, ou peut-être un peu plus rouge que les autres feux « .
P. M. est un ouvrier qualifié, tourneur-ajusteur dans une usine locale. Il est habitué au travail de précision et aime relever des défis techniques. Ce n’était pas l’objet qui l’intéressait, mais il se demanda s’il parviendrait à le photographier. Depuis quelques mois, il possédait en effet un appareil photographique. Sachant qu’il était chargé d’un film DIA et voyant que ce phénomène ne bougeait pas, il est allé chercher son appareil. «  Je suis ressorti et aussitôt, j’ai pris deux photos dont une seule a donné un résultat « . Le résultat est là, absolument extraordinaire. D’après ces témoins, l’ovni devait avoir une dimension approximative de 10 mètres. Mr P.M. a déclaré aux enquêteurs: «  ce qui m’a le plus impressionné, c’était l’immobilité apparente de ce phénomène « , confirmant qu’il pensait à un « truc de l’armée ». Mr P.M. poursuit : « je n’ai pas réfléchi, mais j’ai trouvé cela quand même bizarre, parce qu’un avion n’est pas immobile ». Il voulait en prendre une troisième, mais l’objet partait, pointe en avant. Sa vitesse n’était pas grande, peut-être 40 ou 50 km/h. Les deux témoins signalent que pendant l’observation, ils ont entendu un « léger sifflement« . Mlle S. a ajouté:  » Pour moi, l’élément le plus impressionnant de cette affaire est le bruit émis par cet objet « . Pourquoi? Parce qu’il «  ne ressemblait pas à celui d’un avion « . Tout cela s’est déroulé pendant environ 5 minutes.

Une augmentation des contrastes dans la couche sensible au bleu montre que le contour du triangle est plus net près du coin supérieur droit du triangle qu’en d’autres endroits.On constate aussi que la diffusion de la lumière bleuâtre, émise derrière l’objet, était plus forte et plus étendue près de la base du triangle. Pendant la prise de vue, l’objet a effectué une rotation, corrélée avec les structures des feux. Ce n’est pas la caméra, mais le triangle qui a bougé.
Ce Photographe amateur, a opéré avec un 24×36, et une pellicule 200 asa avec un temps de pose assez long. Le jeune homme (qui à garder l’anonymat) a toujours expliqué qu’il a fait la photo en coinçant l’appareil photo contre l’arête d’un mur. Et qu’il avait utilisé une pose de 1 a 2 secondes. Il a quand même fait l’effort de bien coincer l’appareil, de ne pas respirer au moment de la prise de vue, donc il a réussit cette prise de vue et cela n’est pas
tellement extraordinaire et la photo démontre donc que le bougé qu’on observe n’est pas dû à une mauvaise manipulation de l’appareil, mais a un bougé du sujet lui-même. Digitalisée analysée et recomposée dans différentes couleurs grâce à un ordinateur très puissant ce cliché révéla les formes de l’engin et montra qu’il était en mouvement lors de la prise de vue.

source croquis: Mikerynos touraine-insolite.clicforum.fr/

source croquis:
Mikerynos
touraine-insolite.clicforum.fr/

Samara, Russie, 13 décembre 1990 (Triangle de 14 m de long, epaisseur de 3 m)
A 0h07, les contrôleurs du radar à longue portée de la station de dépistage de Kuybyshev (Samara) virent un spot apparaître sur leurs écrans, estimé à environ 100 km. Le système automatique et électronique d’identification des amis ou ennemis (IFF) cessa de fonctionner, empêchant les contrôleurs de savoir si l’engin était hostile ou non. Deux minutes et demie après sa première apparition, le gros spot s’éparpilla en une multitude de petits retours. Ils étaient alors à moins de 40 km de la station et le plus imposant avait commencé à prendre la forme d’un objet de forme triangulaire, et se dirigeait maintenant droit sur le poste radar. Comme il approchait, une équipe de soldats voulut sortir pour voir ce qu’il en était : la chose passa en trombe au-dessus de leurs têtes, à moins de 9 mètres. Puis elle s’arrêta et entama un vol stationnaire à moins de 45 mètres d’une rangée mobile de radars à courte portée, connue sous le nom de poste numéro 12. Il y eut un éclair et les antennes jumelées prirent feu ; peu après, l’antenne supérieure s’effondra. Un examen ultérieur révéla que toutes les parties métalliques des antennes du poste numéro 12 avaient fondu, sans doute sous l’effet de l’éclair. Les témoins décrivirent le mystérieux triangle comme noir et « lisse…pas comme un miroir ; c’était comme une épaisse couche de suie ». D’après leurs récits, les flancs de l’objet faisaient environ 14 mètres de long et il avait environ près de 3 mètres d’épaisseur. L’engin ne présentait ni ouvertures ni hublots. Il continua à stationner environ 90 minutes après avoir détruit le radar.
Puis il se remit en route et disparut complètement dans la nuit. Il semblerait que les Russes soient confrontés et subissent le même phénomène que leurs interlocuteurs américains. On se rappellera qu’à la fin de la deuxième guerre mondiale, les observations d’OVNIs « Foo Fighters » qui poursuivaient les avions de chasse alliés et nazis étaient pris par les premiers pour des engins nazis ou japonais et pour les seconds pour des aéronefs de l’alliance. Finalement, les forces en présence s’aperçurent que ces engins appartenaient ni à l’un, ni à l’autre.A noter également que ces triangles volants sont régulièrement observés près des bases militaires, des autoroutes ou des sources d’approvisionnement en énergie. La même constatation est valable pour les observations d’OVNIs classiques. Les observations répétées d’OVNIs au-dessus des installations atomiques de Oak Ridge en 1950, de Loring AFB, Maine en octobre 1975 ou encore de Bentwaters, RAF en décembre 1980 ne sont que quelques exemples parmi des centaines.
Grand-Rechain-Stockis, Belgique.(Triangle de 20 m de long, vitesse de 20km/h, petite lumière bleue en haut, une grande lumière blanche au centre et trois lumières rouges dans les coins)

Le 3 novembre 1993. Nicolas T., 12 ans, se trouve seul chez lui vers 18 heures. « J’étais assis dans le fauteuil du salon. J’étais fâché car mon frère était parti chez les voisins, il ne voulait pas jouer avec moi. Soudain, j’ai eu le regard attiré par une lumière à travers la tenture de la première fenêtre du salon. Alors j’ai regardé par la vitre de la deuxième fenêtre et j’ai vu un énorme engin de forme triangulaire passer devant la maison, de gauche à droite, très lentement. Il semblait suivre la route vers Xhendelesse (ouest). J’ai nettement vu sa forme triangulaire qui se détachait sur le fond du ciel et il m’a semblé que les coins étaient arrondis. La surface du triangle n’était pas lisse, mais comme quadrillée par des sortes de reliefs ou de lattes, dont je n’ai pas pu voir la forme exacte. Au centre il y avait une grosse lumière ronde de couleur blanche qui éclairait fort. Il y avait aussi trois feux rouges, plus petits, un dans chaque angle. A l’avant, presque à la pointe, il y avait une lumière bleue. J’étais effrayé car cet objet était grand, plus grand qu’une maison et il volait très bas, une fois et demi la hauteur du réverbère qui se trouve devant la maison. Il émettait un bruit que je compare à un léger ronronnement, un peu comme le lave-vaisselle tournant au ralenti. La télévision était éteinte. Si elle avait été allumée je n’aurais pas entendu le bruit de cet objet. Il se déplaçait lentement, je crois que j’aurais pu le suivre à vélo, mais soudain il a accéléré d’un coup sec, si rapidement qu’en trois secondes peut-être, il a disparu caché par un arbre. Si je me souviens bien, au moment de l’accélération, la lumière blanche au milieu s’est éteinte. Le passage de cet engin a duré peut-être une quinzaine de secondes. Je suis certain qu’il ne s’agissait pas d’un avion. C’était énorme et très près de la maison. J’ai eu très peur.«  (Inforespace n° 89 p. 19 et 20)
Mablethorpe, Lincolnshire (GB)(Triangle de 12 m de long, de 9 à 12 m de large de couleur sombre avec unelumière centrale rouge en dessous, feux blanc et vert en plus des lumièressitués dans les coins son comme un bourdonnement ou silencieux)

Observation faite par un témoin expérimenté de l’aviation le 12 février 1997, l’objet avait une dimension de 2/3 des avions  » Tornado «  de la RAF. Il y avait un exercice militaire avec une activité aérienne dans la mer du nord à la même date, et le témoin pense qu’il a observé un appareil militaire. Le triangle est resté immobile plusieurs minutes au-dessus des maisons avant de s’éloigné et a perturbé la réception des TV.
Arizona (USA)Les importantes observations du 13 mars 1997 en Arizona Paulden La soirée du jeudi s’annonçait plutôt ordinaire quand un premier appel fut reçu par le National UFO Reporting Center (NUFORC aux USA). En effet un premier témoin et sa famille, de la région de Paulden (dans le coin supérieur gauche de la carte), ont observé un étrange groupe de lumières rouges traverser rapidement le ciel nocture vers 20:16. L’homme qui a téléphoné est officier de police à la retraite. Il a expliqué qu’ils ont vu 4 ou 5 lumières rouges suivient par une autre. Le groupe de lumières était en formation en V.
Prescott

Les appels suivants provenaient de la région de Prescott, 50 km au sud de Paulden, et racontaient que, vers 20:17, 4 ou 5 brillantes lumières blanches sont passé au-dessus de leur tête. Plusieurs témoins on raconté que l’objet semblait triangulaire avec un complexe groupe de lumières le long des bords. Dewey Un groupe de cinq personnes en voiture sur la route 69 en direction de Prescott ont observé l’objet triangulaire qui venait vers eux. Le conducteur a immobilisé le véhicule près de Deweyet les occupants sont descendu pour mieux observer l’OVNI. À ce moment-là, l’objet se trouvait directement au-dessus d’eux où il a semblé s’immobiliser pendant quelques minutes. L’objet était si gros qu’un point fermé à bout de bras n’arrivait pas à cacher l’OVNI.
Celui du groupe qui rapporta l’observation ajouta que selon son expérience de pilote, l’objet était à moins de 300 mètres d’altitude. L’objet n’émettait aucun son et se déplaçait environ à la vitesse d’un ultra-léger. Pendant cette observation, le témoin affirme qu’il a aperçu un petit avion, pas très loin, qui se dirigeait vers Prescott.

Finalement le témoin avait téléphoné à l’aéroport de Prescott et à la Base Aérienne (AFB) de Luke avant de téléphoner au NUFORC. La téléphoniste de la base lui aurait confié qu’ilsétaient submergé d’appel à ce sujet. Étrange puisque les communiqué de la AFB Luke ont prétendu qu’aucun appel n’a été reçu à ce sujet.
Monks Kirby, West Midlands (GB) (Triangle de 45 m de long pour une largeur de 11 m, quatre lumières rougesclignotantes à arrière, un feu rouge central émoussé en dessous. Vitesse très lente)

Observation faite par une multitude de témoins dans la nuit du 31 mars 1999, proche de Kirby (Coventry).
«  L’objet était un diamant façonné de l’arrière, avec une bande de lumières rouges brillantes, pulsantes du haut vers le bas. Il y avait aussi une lumière en fond et hors des séquences. Une lumières blanches et stables aux coins arrières du triangle. La section avant de l’objet est pointu. «  La texture de l’objet paraissait comme vivante avec une distorsion de l’image comme à travers une brume de chaleur. Un modèle de labyrinthe à angles droits sur les surfaces inférieures en haut paraissent avoir été présent, semblable à l’observation de Stockis (Belgique) en 1993. Le triangle a plané à une hauteur d’environ 30 à 60 mètres, avec une inclinaison de 20 à 30 degrés sans aucun bruit pendant une durée de 15 à 20 secondes. Une distorsion horizontale de l’objet est apparue lorsque celui ci s’est éloigné.

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Note sylv1 adm Area 51 Blog:area51blog

cr̩dit photo :sylvain MatisseMardi 21 Octobre 2014 ʈ 18h20:

« *La photo du petit  Rechain a été depuis cet article signalée comme un fake. L’ennui c’est que son prétendu auteur n’ a jamais su refaire en direct et en public son oeuvre! (un comble!). Néanmoins même si nous acceptions que cette photo est un fake, alors comment expliquer  que des F 16 ont décollé de Belgique ( l’une des bases de l’OTAN) suivre un morceau de carton et de frigolite, au prix que coûte le kérosène. C’est vraiment nous prendre pour des vessies, restons polis (sic!). Les médias ont bien pris soin ne ne pas l’expliquer ni même de poser la question aux autorités ( in -compétentes) bottant en touche,  comme les organismes réputés sérieux, car officiels!

La vérité attends son heure, tôt ou tard tout se sait!

Pour l’heure admettons que  n’avons pas  les réponses mais des indicateurs.« 

Bonus

 2 Videos « archives » youtube

Si cettevidéo ne fonctionne pas cliquez ici

Vague belge 1990,vidéo de Michel ( un de nos contacts en Belgique)

Ajoutée le 22 déc. 2012

« Extrait du film de michel ,témoin de la vague belge vague belge 1990 .
Cet extrait est la propriété de Michel Delval et du forum : http://ovni-belgique.xooit.be/portal.php
Toute diffusion est soumise à autorisation de son propriétaire et ou administrateur du forum.
Venez nous rejoindre sur notre tchat pour toutes questions au sujet de la vague belge. »

Si cette vidéo ne fonctionne pas cliquez ici

Le : 25/10/2014 à : 10h25 : Ajout ( envoyé par un de nos lecteurs Polyedre), pièce complémentaire à ce dossier.

cliquez

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Mise à jour Area 51 Blog, le : 21/10/2014 à : 18h20.

area51blog

 


Le SR71 et la retro-ingenierie

20/08/2013
image source: Ovni-Direct

image source:Ovni-Direct

 

Artilce repris sur le site Ovni-Direct très instructif.

Un article de Monsieur Thierry Gay.

(relecture et mise en forme du texte, Daniel Robin. www.lesconfins.com )

Publié sur Ovnis-Direct le 20/08/2013

Ci-dessus : le gracieux SR71 « Blackbird » en vol. Aux Etats-Unis, la firme LOCKHEED MARTIN a lancé vers la fin des années cinquante un programme ambitieux et novateur, qui, lorsqu’il fut révélé  au  monde,  a  démontré  de  façon  éclatante que  les  américains  possédaient  déjà  dans  le domaine des technologies aéronautiques plus qu’« une longueur d’avance » sur leur concurrent direct  (l’URSS).  Ce  programme  avait  pour objectif de  construire  un  avion  révolutionnaire, le SR71 « Blackbird », qui surpasserait tout ce qui avait été fait avant lui. Jusqu’à ce jour, les USA ont  admis  de  façon  officielle  que  les  performances  de  cet  avion  espion  n’ont  jamais  été approchées par d’autres appareils de ce type. La question qui se pose est celle de savoir si une avancée technologique de cette ampleur est possible sans un « apport exotique » ont  admis  de  façon  officielle  que  les  performances  de  cet  avion  espion  n’ont  jamais  été approchées par d’autres appareils de ce type. La question qui se pose est celle de savoir si une avancée technologique de cette ampleur est possible sans un « apport exotique ».

1) L’innovation à toutes les étapes de sa conception

 L’origine réelle du SR71, comme d’ailleurs tout ce qui touche de près cet avion de légende, reste mystérieuse.  Le  bond  en  avant  technologique  nécessaire  pour  faire  voler  le  SR71  était  si spectaculaire qu’il a étonné et bluffé les soviétiques. Rappelons que la firme LOCKHEED MARTIN est l’une des principales entreprises américaines de défense et de sécurité. Elle conçoit et réalise différents produits dans lesquels l’électronique de haut niveau et la technologie de pointe jouent un rôle déterminant. En 2008, 84 % des ventes de l’entreprise avaient été faites directement à l’état américain. En 2010, sur ses 45,80 milliards de dollars de chiffre d’affaires, 17,30 milliards provenaient de contrats signés avec l’administration américaine. La firme est sans conteste l’un des fleurons du complexe militaro-industriel américain et travaille en étroite collaboration avec le pouvoir politique en place (ci-dessous : l’article « Lockheed Martin, le Big Brother du complexe militaro-industriel américain »). L’ingénieur en chef, Kelly Johnson de LOCKHEED MARTIN, l’un des plus grands ingénieurs au niveau mondial dans le domaine de l’aviation, fut le concepteur designer du SR71. Kelly Johnson travailla également sur les projets du Lookheed P38 Lightning, du Constellation, et du fameux U2, l’avion espion utilisé par la C.I.A pendant la guerre froide.

Entouré  de  nombreux  ingénieurs,  il  va  partir  de  zéro  et  pratiquement  tout  inventer  pour  la conception du SR71. Chez Lockheed la devise était « Be quick, be quiet, and be on time » (c’est- à-dire : « Soyez rapide, soyez calme, soyez à l’heure »). La conception des machines outils (c’est l’époque  des  premiers  robots  à  bandes  perforées,  les  ancêtres  des  commandes  numériques modernes), ainsi que l’alliage de titane utilisé à 93% pour la conception de la structure de l’avion, sont  des  premières  industrielles  mondiales.  Pour  l’époque  (nous sommes  à  la  fin  des  années cinquante),  il  s’agit  d’une  véritable  prouesse  industrielle  en  raison  des difficultés rencontrées pour la mise au point des presses hydrauliques et des machines pour usiner les pièces en titane qui pendant la fabrication pouvaient atteindre la température de 800 degrés. Avant le SR71, il n’existait aucune machine de ce genre. Même les huiles d’usinages étaient nouvelles. A chaque étape de sa construction, il était nécessaire d’inventer quelque chose de radicalement nouveau pour  résoudre  les  difficultés  qui  se  présentaient.  Le  fuselage  de  l’appareil  était  capable  de supporter  des  températures  inhabituelles  en  aéronautique.  Au  cours  de  vols  supersoniques, certaines parties de sa structure enregistraient des températures comprises entre 400 à 600 degrés. Après ces vols, une fois que l’avion était posé, il fallait parfois attendre des heures avant que les équipes de techniciens puissent toucher à main nue son fuselage sans subir de brûlures. En ce qui concerne les câblages, ils ont été conçus pour résister aux contraintes de très hautes températuresà l’intérieur de la structure. Un nouveau type de peinture a été spécialement mise au point. Même le carburant utilisé, le « JP-7 », était lui aussi complètement nouveau. Il avait été élaboré après de très longs essais dans des conditions extrêmes. Quand il devait effectuer de longues missions, le SR71  n’emportait que  le  strict minimum de carburant nécessaire au décollage. Ensuite il était ravitaillé  en  vol.  Cette  man°uvre  contraignante  était  imposée  par  le  fait  que  les  réservoirs n’offraient pas une étanchéité totale. Ils fuyaient à température ambiante. En effet, le carburant « JP-7 »,  était  si  peu  « visqueux »  (« slipperiness »),  ou  tellement  fluide,  que  les  réservoirs n’étaient pas assez étanches pour le retenir. Dès qu’il avait atteint Mach3, la température était assez  élevée  pour déformer les  réservoirs  et assurer leur étanchéité. Le  carburant faisait  aussi office de lubrifiant, de liquide de refroidissement, et de fluide pour les systèmes hydrauliques. Les  amateurs  d’avions  hors  normes  prétendent  que  dans  sa  formule  chimique  le  « JP-7 » comportait du  césium, ce  qui permettait, selon  eux, un  « déguisement » de  la trace  thermique dans la phase de combustion. En raison de ces contraintes structurelles, les opérations du SR71 nécessitaient une importante logistique, notamment une flotte d’avions ravitailleurs spécialisés, les KC-135Q, capables de fournir le carburant spécial pour les longues missions.

image source: Ovni-Direct

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Ovni-Direct

Ci-dessus :  le  SR71  en  phase  de  ravitaillement  en  vol.  Pour  les  longues  missions,  l’appareil n’emportait que le strict minimum nécessaire au décollage. Ensuite, il était ravitaillé en vol. Cette man°uvre était imposée par le fait que les réservoirs de l’avion n’offraient pas une étanchéité
totale. Ils fuyaient à température ambiante. Le carburant utilisé par le SR71 était le « JP-7 ». Il était tellement fluide, que les réservoirs n’étaient pas assez étanches pour le retenir. Dès qu’il avait atteint Mach3, la température était assez élevée pour déformer les réservoirs et assurer leur étanchéité.

2) Le mystère des performances

L’un des plus grands mystères du SR71, se sont ses performances réelles. Le premier constat qui s’impose, c’est quelles sont hors normes pour l’époque. Lors de ses sorties publiques qui étaient très  rares,  l’avion  va  systématiquement  battre  des  records  du  monde,  tant  en  vitesse  qu’en altitude.  Ses  performances  étaient  tellement  exceptionnelles  qu’il  se  contentait  de  battre  les records du monde du moment, « sans forcer » si je puis dire, comme s’il était toujours en-dessous de ses possibilités réelles. Une fois que ses sorties publique étaient terminées, il retournait dans l’ombre sans plus faire parler de lui. Les chiffres publiés sur ses capacités représentent seulement des indications. Nous savons qu’il pouvait voler à Mach 3.2 (plus de 3500 Km/h environ, soit environ 60 km a la minute). Son altitude maximale de vol était de 26 000 mètres. Ces chiffres sont à prendre avec prudence parce qu’ils ne sont pas forcément le fidèle reflet de la réalité. En comparaison,  le  Mirage  III  français  (1964)  avait  une  vitesse  maximale  de  Mach  2,5,  et  était capable d’atteindre l’altitude de 16500 mètres. Le F-4 Phantom II de McDonnell Douglas, l’un des plus célèbres avions de combat américain de cette époque, dont le premier vol avait eu lieu le 27 mai 1958, avait une vitesse maximale de Mach 2,23, et son plafond était de 18000 mètres. Un autre  mystère  demeure,  c’est  le  nombre  d’appareils  construits.  Le  nombre  officiel  est  de  32 exemplaires, mais il est tout à fait possible que des versions modifiées et réservées à des usages secrets, soient restées inconnues du grand public. Quoi qu’il en soit, les performances réelles du SR71  sont  encore  classées  « Secrets  défense »  à  ce  jour, soit  22  ans  (2012) après  son  retrait officielle en 1990 (il fut utilisé pour des missions ponctuelles jusqu’en 1998). Ce fait est peut-être l’indice  que  la  firme  LOCKHEED  MARTIN  avait,  à  la  fin  des  années  cinquante,  une  avance technologique dont il est difficile de mesurer la portée exacte aujourd’hui.

3) Le SR71 a-t-il bénéficié de la rétro-ingénierie ?

​Toutes  ces  indications  sur  le  fossé  technologique  entre  la  firme  Lockheed  (et  par  voie  de conséquence tout le complexe militaro industriel Américain), et le reste du monde, nous pousse à nous  interroger  sur  la  possibilité  de  l’utilisation  de  la  rétro-ingénierie  dans  le  cadre  de  la conception  du  SR71.  Cet  avion  a  tellement  bénéficié  de  « premières  industrielles »,  et d’innovations  exceptionnelles,  que  nous  devons  remettre en  question la logique  d’un  progrès aéronautique normal qui veut qu’à chaque construction d’un nouveau type d’avion, l’industrie aéronautique réalise un petit bond technologique. Cependant, force est de constater que le SR71 n’est  pas  un  avion  qui  s’inscrit  dans  le  cheminement  normal  des  progrès  de  l’industrie aéronautique. Il existe bien un avant, et un après « Blackbird ». A titre de comparaison, l’écart est le même entre la télévision noir et blanc à tube cathodique et la télévision HD haute résolution avec écran LCD, ou encore entre de la Renault 8 « Gordini », et l’Audi R8. Les comparaisons que nous donnons sont tout à fait significatives du bond technologique réalisé avec le SR71.
image source: Ovni-Direct

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Ovni-Direct

Ci-dessus : à gauche, un téléviseur Bush TV 22 de 1950, fabriqué en Angleterre avec un tube cathodique rond et un encadrement en bois. A droite, un écran LCD 24 pouces. Imaginons un instant qu’en 1950  des ingénieurs aient été capables de fabriquer un écran LCD (LCD : liquid crystal display), et nous aurons une idée de l’avance technologique des ingénieurs de Lockheed. Les premiers écrans LCD sont apparus en 1985.

4) Le SR71 servait-il à espionner les ovnis ?

Lors de la conférence du « Disclosure Project » qui s’était tenue le 9 mai 2001 au National Press Club  à  Washington  DC,  Mr  Don  Phillips  a  révélé  l’existence  d’un  SR71  spécial  utilisé secrètement  par  la  C.I.A.  En  plus  des  missions  d’espionnage  conventionnel,  ce  SR71  était programmé pour effectuer des missions plus confidentielles qui consistaient dans la surveillance du trafic « venant sur terre et inversement (sic) ». Cette révélation venant de Mr Don Philips qui rappelons-le avait été un proche collaborateur de Kelly Johnson lors de la conception du SR71, aurait dû interpeller les ufologues et les journalistes qui s’intéressent de près au phénomène ovni. Curieusement, cette information est passée totalement inaperçu, ou a été mal comprise. Pourtant, Don Philips expliqua le plus simplement du monde devant la presse Américaine que « la C.I.A avait  un  SR71  spécial  qui,  en  plus  de  ses  missions  classiques  de  renseignement,  avait  une utilisation  méconnue  dans  le  cadre  de  missions  commanditées  par la  C.I.A, (cette  version  du SR71 devait avoir des performances sans doute supérieures à mach 4), qui consistaient en des vols à très haute altitude pour surveiller la présence éventuelle d’ovnis qui se dirigeraient vers la Terre, ou  s’en  éloigneraient ». Nous ne  bénéficions  pas  tous  les  jours  de  révélations  de  cette
importance  qui  ont  été  délivrées  par  un  homme  qui  avait  eu  des  responsabilités  dans  le programme aéronautique le plus avant-gardiste de la planète. Don Philips révéla à Steven Greer lors d’un entretien avec lui pour la rédaction des ouvrages « Révélations » (tomes 1 et 2, « Les témoignages  de  militaires  et  de  fonctionnaires  américains sur  les  secrets  les  mieux gardés de notre  histoire »),  que  lors  de  ses  activités  chez  Lockheed  il  y  avait  des  rumeurs  persistantes concernant des projets cloisonnés appelés « Ateliers-Interdits ». Ces projets consistaient dans des études sur l’anti-gravité, les crashs d’ovnis, et la rétro-ingénierie. Si nous tenons compte de ces étonnantes révélations, tout porte à croire que le bond technologique que représente le SR71 à la la fin des années cinquante, est la conséquence de la rétro-ingénierie issue des ovnis. Pour ne pas éveiller les soupçons, les innovations dérivées de cette rétro-ingénierie étaient distillés à « dose homéopathique » dans les éléments clefs du projet. Voici quelques informations supplémentaires concernant  M.  Don  Phillips  qui  proviennent  de  la  version  française  du  site  Internet  « Projet Révélation » : «  Entrepreneur chez Lockheed Skunkworks, à l’USAF et la CIA, décembre 2000. Don Phillips travaillait à la base de l’Air Force de Las Vegas pendant l’évènement durant lequel des ovnis ont été observés à des vitesses fabuleuses à proximité du mont Charleston, au nord- ouest  de  Las  Vegas.  Il  travailla  aussi  à  la  Lockheed  Skunkworks  avec  Kelly  Johnson  sur  la conception et la fabrication des Blackbird U-2 et SR-71. Il atteste que nous ne possédons non seulement des dispositifs extraterrestres, mais aussi le résultat de projets technologiques énormes depuis leur étude. Il témoigne  qu’en  1950  et 1960, l’OTAN a effectué des recherches sur les origines des races E.T et distribué des rapports aux leaders de différents pays. Mr Phillips atteste aussi qu’il existe des enregistrements audio et vidéo de rencontres en Californie en 1954 entre des extraterrestres et  des dirigeants des USA. Il donna une courte liste des technologies que nous avons développé grâce aux extraterrestres : microprocesseurs, lasers, visions de nuit, gilets pare-balles. Ces E.T sont-ils hostiles ? S’ils le sont effectivement, avec leur armement, ils auraient pu nous  détruire  depuis  déjà  bien  longtemps  ou  nous  causer  de  sérieux   hommages. Mr Phillips développe aujourd’hui des technologies visant à supprimer les polluants et à réduire notre besoin d’énergie fossile, comme des systèmes de génération d’énergie utilisant les énergies naturelles de notre planète ».
image source: Ovni-Direct

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Ovni-Direct

Ci-dessus : le  Pratt & Whitney J-58  (ou JT11), le  réacteur qui équipait le SR71, fut parmi les premiers à disposer d’un calculateur analogique pour sa régulation. Dans les années 80, il reçut même des commandes numériques. Source : aerostories.free.fr

5) Le SR71 et les « projets noirs » (« Black-Program ») ultérieurs

Quand  en  1990,  le  gouvernement  américain  décide  de  retirer le  SR71  du  service, les  raisons invoquées mettaient en avant les restrictions  budgétaires. Le coût d’exploitation de l’avion était jugé trop élevé. Du moins, c’était la version officielle. A l’époque, c’était le S.A.C (Stratégic AirCommand) qui avait la charge des SR71. Il semble évident que si les USA ont décidé de se passer de  cette  merveille  de  technologie,  c’est  qu’ils  possédaient  un  nouvel  avion  ayant  des performances  supérieures  au  « Blackbird ».  Nous  avons  tous  entendu  parlés  des  « Black-Program » américains comme les projets « Aurora », le « TR3A », et « TR3B ». Si nous restons dans cette logique de rétro-ingénierie et que nous en tirions toutes les conséquences, il faut bien admettre que si dans les années cinquante les américains étaient capables de créer un avion qui avait une avance d’au moins trente ans sur ses concurrents, pouvons-nous imaginer ce qu’ils sont capables de faire aujourd’hui ? La réponse est qu’ils ont des projets secrets dont nous n’avons pas la moindre idée. Ces projets mettent sûrement en jeu une technologie qui est la concrétisation des recherches sur les disques volants qui se sont écrasés sur notre planète à la fin dans les années quarante. Cette technologie pourrait avoir au moins 50 ans d’avance sur le reste du globe. Certes, ce ne sont que des hypothèses qui sont basées sur des déductions logiques. Mais les témoignages que nous possédons et qui émanent de personnes hautement crédibles, vont tous dans ce sens. Les témoins  privilégiés  qui  ont  eu  le  courage  de  braver l’interdit  imposé par leur profession  sont toutes des personnes qui dans l’exercice de leur métier ont côtoyé, soit directement, soit en ayant eu accès à des documents classifiés, le  phénomène ovni. A n’en pas douter, cette « rencontre » avec une réalité qui dépassait et bousculait tous leurs repères habituels, a eu un impact fort sur
leur vision du monde. Dans ces conditions, nous pouvons admettre que pour beaucoup d’entre eux,  le  fait  de  pouvoir  parler  de  cette  « rencontre »  devant  un  public  attentif  et  réceptif,  fut l’occasion  de  soulager leur conscience. Ce que nous pouvons espérer en tout cas, c’est qu’ils servent d’exemples à d’autres témoins privilégiés, et nous pensons surtout aux témoins français qui  restent  trop  souvent  dans  l’ombre,  et  que  la  convergence  de  tous  ces  récits  contribue  à l’internationalisation du Projet Révélation.Thierry Gay, Octobre 2012.

6) Le Falcon HTV-2, un exemple de l’avance technologique de la firme Lockheed-Martin

Pour montrer que la firme Lockheed-Martin possède encore une avance technologique sur le reste du globe, nous reproduisons ci-dessous un article qui a été publié sur le site Internet du magazine Le Point (Le Point.fr – Publié le 12/08/2011 à 12:36 – Modifié le 12/08/2011 à 21:11. Source AFP), et intitulé :  « Pentagone  :  l’armée  américaine  perd  le  contact  avec  son  planeur  hypersonique ».
Source :
lepoint.fr
l’avion hypersonique Falcon HTV-2 peut voler à Mach 22 (© - / Darpa). Cet appareil sans pilote (un drone) est conçu pour voler dans les hautes couches de l’atmosphère terrestre. source image: Ovni-Direct

l’avion hypersonique Falcon HTV-2 peut voler à Mach 22 (© – / Darpa). Cet appareil sans pilote (un drone) est conçu pour voler dans les hautes couches de l’atmosphère terrestre.
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Ovni-Direct

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Ci-dessus : la  forme  très  sobre  et  triangulaire  de  ce  drone  hypersonique  lui  donne  un  aspect inhabituel. Il ne ressemble pas aux formes connues d’un avion classique. Sa conception relève manifestement d’une technologie très novatrice. Entre cet appareil et le SR71, il y a peut-être plus d’écart technologique qu’entre le SR71 (Premier vol, le 22 décembre 1964), et un Mirage III de chez Dassault (France) par exemple, dont la conception remonte à la fin des années cinquante (premier vol, le 12 juin 1956).

Les chercheurs du Pentagone ont perdu le contact avec un planeur hypersonique capable de voler à 27 000 km/h, jeudi lors du second vol d’essai de cet appareil expérimental, a annoncé l’agence de recherche du  Pentagone (Darpa). Ils  « ont perdu  la télémétrie », c’est-à-dire la transmission des données collectées pendant le vol, a annoncé sur Twitter l’Agence de recherche avancée sur les projets de défense (Darpa), l’organe qui a donné vie aux inventions les plus révolutionnaires du  Pentagone.  Construit  par  Lockheed-Martin,  cet  appareil  sans  pilote,  baptisé  Hypersonic Technology Vehicle 2 (HTV-2), est conçu pour voler dans les hautes couches de l’atmosphère terrestre à une vitesse pouvant atteindre 22 fois le mur du son (Mach 22). Il est destiné à fournir, à terme, à l’armée une plate-forme pour atteindre des cibles situées à n’importe quel endroit de la planète avec des armes conventionnelles. Le temps de vol entre New York et Los Angeles serait ainsi de « moins de 12 minutes », selon la Darpa. Il répond au projet des militaires américains d’avoir  les   moyens   de   frapper   des   cibles   à   l’autre   bout  du   monde   avec   des  armes conventionnelles dans l’heure, un projet baptisé « frappe mondiale rapide ». A la différence d’un missile balistique, l’engin est manoeuvrable et suit donc une trajectoire moins prévisible. Il ne
risque  pas  ainsi  d’être  pris  pour un  missile  nucléaire, a  expliqué  à  l’AFP, Loren Thompson, expert au Lexington Institute, un centre de réflexion spécialisé dans l’aéronautique. Mais selon lui, « les militaires ont beaucoup de chemin à faire avant d’être en mesure de déployer des engins hypersoniques ». L’essai partiellement raté jeudi semble lui donner raison. Le lancement par une fusée Minautor IV sur la base aérienne de Vandenberg en Californie s’est bien déroulé, selon la Darpa. La  séparation  du  planeur et  du  lanceur dans  les  hautes  couches  de  l’atmosphère  s’est également bien passée. L’appareil a effectué quelques manoeuvres avant que le contact ne soit perdu alors qu’il volait vers l’atoll de Kwajalein où il devait plonger dans le Pacifique.

image source: Ovni-Direct

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Ovni-Direct

​7) Lockheed Martin, le « Big Brother » du complexe militaro-industriel américain

Nous  reproduisons,  ci-dessous,  l’intégralité  d’un  article  publié  sur  le  site  Internet, Theatrum Belli. (theatrum-belli.com)
Source  :  TomDispatch.Com  (Traduction  : POLEMIA).  L’article  est signé  William  D.  Hartung,  qui  est  directeur  de  «  The  Arms  and  Security  Initiative  »  (New America Foundation), et l’auteur d’un ouvrage intitulé, « Prophets of War » : Lockheed Martin and the Making of the Military-Industrial Complex ». Le contenu de l’article est édifiant car il montre l’ampleur et l’étonnante diversité des activités de cette firme aux ambitions démesurées. Lockheed Martin pourrait être comparée à une « pieuvre » qui déploierait ses « tentacules » sur le monde  entier avec  pour  objectif  de  mieux  le  contrôler et donc, à  terme, de  mieux l’asservir. Véritable « état dans l’état », la puissance de Lockheed Martin est telle, que nous pouvons nous poser la question de savoir qui possède vraiment le pouvoir aux Etats-Unis ? Officiellement, le pouvoir est sensé être entre les mains des politiques, mais dans les faits, il est facile de vérifier qu’il appartient au complexe militaro-industriel dont le chef de fil est sans conteste Lockheed Martin.  Dans  ces  conditions,  que  faut-il  penser  de  la  démocratie  américaine ?  N’est-elle  pas qu’une  illusion  et  un  leurre ?  Le  complexe  militaro-industriel  est  tellement  riche,  qu’il  peut « acheter » l’ensemble des tendances du pouvoir politique. Quelque soit la tendance qui prendra le pouvoir, il sera toujours gagnant. Cette puissance trouverait-elle aussi en partie sa source dans le  fait  que  Lockheed  Martin  aurait  bénéficié  de  la rétro-ingénierie issue  des  ovnis  comme  le montre l’exemple du SR71 ? L’article ne le dit pas, mais c’est une hypothèse qui paraît crédible. Monsieur Boyd  Bushman, un  scientifique  retraité  de  la  compagnie  Lockheed  Martin  et qui a travaillé pendant 23 ans dans ses installations de White Settlement au Texas, prétend que la firme a mené des recherches sur l’antigravité, et confirme les déclarations de Ben Rich sur l’utilisation de la rétro-ingénierie dans ses « projets noirs ». Bushman, qui est né en 1928, a également été employé  par Hughes Aircrafts, Texas Instruments, ou General Dynamics. Il détient 26 brevets d’invention, dont une partie est classifiée, et en parlant de ses anciens employeurs confirme que, « Nous n’avons jamais cessé de travailler sur la rétro-ingénierie grâce aux ovnis récupérés ». La branche « Recherches Avancées » est la principale structure de développement et d’assemblage d’engins volants de haute technologie chez Lockheed Martin. C’est de là, ou de son ancienne base (maintenant fermée) à l’aéroport de Burbank, que sont sortis les avions espions U2 et SR-71,
le bombardier furtif F-117, ainsi que d’autres engins militaires de pointe. « Nous avons déjà les moyens de  voyager parmi les étoiles, mais ces  technologies sont verrouillées dans des projets classifiés  et  seule  une  action  divine  pourrait  faire  qu’elles  soient  utilisées  au  bénéfice  de
l’Humanité. Tout ce que  vous  pouvez imaginer, nous sommes en mesure de le réaliser. Nous avons  ce  qu’il  faut  pour  ramener  E.T.  à  la  maison ».  La  phrase  précédente  est de Ben  Rich, ancien patron de la branche « Recherches Avancées » chez Lockheed, et elle est extraite de sa conférence faite à l’UCLA (l’Université de Californie à Los Angeles, communément désignée par le sigle UCLA, pour University of California, Los Angeles), le 23 mars 1993, soit deux ans avant sa mort.
S’il est vrai que légalement, Lockheed Martin ne gouverne pas vraiment les Etats-Unis, dans les faits,  c’est  parfois  tout  comme.  La  société  a  reçu  36  milliards  de  dollars  de  contrats  du gouvernement américain pour la seule année 2008, soit plus que n’importe quelle autre société dans  toute  l’histoire  des  Etats-Unis.  Elle  travaille  à  présent  pour  plus  d’une  vingtaine d’organismes gouvernementaux, depuis le ministère de la Défense et le ministère de l’Energie jusqu’au ministère de l’Agriculture et l’Agence de Protection de l’Environnement. Elle participe à la collecte et à l’analyse de renseignements pour le compte de la CIA, du FBI, du fisc (Internal Revenue Service, IRS), de l’Agence de sécurité nationale (NSA), du Pentagone, du Bureau du recensement, et même de la Poste.
Lockheed  Martin  a  aussi  participé  à  la  formation  des  « gentils  agents »  de  sécurité  qui  vous palpent  à  l’aéroport.  L’entreprise  produit  des  bombes  à  fragmentation,  conçoit  des  armes nucléaires, et fabrique le  F-35  Lightning, un  avion de combat cher et peu performant, dont la production connaît des retards importants et qui doit pourtant être acheté dans plus d’une dizaine de pays. La liste est longue en matière de production  l’armements. Mais depuis quelque temps, l’entreprise  ne  se  contente  plus  d’être  un  marchand  d’armes  classique  : elle  mène  sa  propre
politique étrangère. Cela passe par le recrutement d’interrogateurs pour les prisons américaines à l’étranger  (dont  Guantanamo  à  Cuba  et  Abou  Ghraib  en  Irak),  l’organisation  d’un  réseau  de renseignement privé au  Pakistan, ou encore  une  participation  à la rédaction de la constitution afghane.

Un futur gouvernement à but lucratif ?

Si cela ne vous suffit pas, pensez simplement à la taille de Lockheed Martin. L’entreprise reçoit un dollar sur 14 distribués par le Pentagone. Ses contrats avec le gouvernement, si l’on y pense, reviennent à un « impôt Lockheed Martin » de 260 dollars par foyer fiscal américain, aucun autre marchand d’armes ne dispose d’autant d’argent pour défendre ses intérêts. Pour la seule année 2009, l’entreprise a dépensé 12 millions de dollars en opérations de lobbying à destination du Congrès et en donations à des partis politiques. Il ne faut pas s’étonner si Lockheed Martin est le principal contributeur de la campagne du nouveau président de la commission de la défense de la Chambre des Représentants, le Républicain californien Howard P. McKeon (surnommé Buck), à qui elle a donné plus de 50.000 dollars lors de la dernière élection. Elle figure aussi parmi les principaux  donateurs  en  faveur  du  sénateur  démocrate  de  Hawai,  Daniel  Inouye,  puissant président  de  la  commission  d’affectation  des  finances  du  Sénat,  qui  se  qualifie  lui-même  de « gars le plus sympa du Congrès américain ».
Si l’on ajoute à cela que Lockheed Martin a 140.000 employés et se dit implanté dans 46 Etats des Etats-Unis, la puissance de cette entreprise commence à apparaître plus clairement. Même si ses activités de lobbying restent le plus souvent cantonnées dans les bornes de la légalité la plus stricte, l’entreprise a tout de même un beau palmarès en matière d’infractions à la loi : elle est en tête de la base de données des « entreprises fautives » constituée par la « Project on Government Oversight »,  association  de  surveillance  basée  à  Washington  qui  suit  de  près  les  dérives  des entreprises ayant des marchés avec l’Etat.

Si vous avez une vie, il y a des chances que Lockheed Martin en fasse partie

Comment  se  fait-il  que  Lockheed  Martin  soit devenu  davantage  qu’un  simple  fournisseur de l’Armée ? La société a commencé à se diversifier hors du secteur de l’armement au début des années  1990.  A  cette  époque,  le  bon  vieux  Lockheed  (qui  n’avait  pas  encore  fusionné  avec Martin   Marietta)   a   acheté   Datacom   Inc.,   un   prestataire   de   services   aux   collectivités gouvernementales et locales, et en a fait le noyau d’une nouvelle entité, Lockheed Information Management Services (IMS). A son tour, l’IMS a réussi à obtenir des contrats dans 44 Etats et dans  plusieurs  pays  étrangers,  pour  des  tâches  allant  du  recouvrement  des  amendes  de stationnement et des péages, à la gestion de stages destinés à remettre les bénéficiaires d’aides sociales au travail, en passant par la chasse aux « papas mauvais payeurs », c’est-à-dire ceux qui ne payent pas la pension alimentaire de leur enfant. Il en a résulté un certain nombre d’échecs qui ont fait du bruit, mais bon, on peut se tromper, non ?
Sous la pression de Wall Street qui l’enjoignait de se recentrer sur son métier fondamental (armes et instruments de destruction) Lockheed Martin a revendu IMS en 2001. Cependant, le goût pour les activités non liées à l’armement (surtout le recueil et l’analyse de données) lui était resté, et
l’entreprise se tourna donc vers le gouvernement fédéral, qui lui accorda rapidement des marchés avec, entre autres, le fisc, le Bureau du recensement et la Poste.
Bilan : Lockheed Martin a quelque chose à voir avec presque tous les contacts que vous pouvez avoir avec l’Etat (l’Etat américain). Vous payez vos impôts ? Lockheed Martin est là. La société est même en train de mettre au point un système qui centralise les données relatives à tous les contacts que le contribuable peut avoir avec le fisc, depuis les coups de fil jusqu’aux rendez-vous. Voulez-vous  être  compté  dans  le  cadre  du  recensement  ?  Lockheed  Martin  s’en  occupe.  
L’entreprise est responsable de trois centres (Baltimore, Phoenix et Jeffersonville) qui recevaient jusqu’à 18 semi-remorques par jour remplis de courriers au plus fort du recensement de 2010.
Pour la somme de 500 millions de dollars, Lockheed Martin est en train de mettre en place le DRIS (Decennial Response Information Service) qui sera chargé de la collecte et de l’analyse de données, d’où qu’elles viennent, depuis les appels téléphoniques ou l’Internet jusqu’aux visites personnelles.  Le  DRIS  constituera  « un  gigantesque  filet  destiné  à  ne  laisser  passer  aucune donnée,  d’où  qu’elle  vienne  »,  explique  Preston  Waite,  directeur  associé  du  Bureau  du recensement. Vous devez expédier un colis à l’autre bout du pays ? Les caméras de Lockhhed Martin scanneront les codes barres et reconnaîtront les adresses, de telle sorte que votre colis sera trié « sans intervention humaine », comme le proclame le site Internet de l’entreprise. Vous avez l’intention de commettre un crime ? Réfléchissez-y à deux fois. Lockheed Martin s’occupe du Système intégré d’identification automatique des empreintes digitales (IAFIS) du FBI, une base de données contenant 55 millions de paires d’empreintes digitales. L’entreprise fabrique aussi des
appareils  d’identification  biométrique,  qui  sauront  qui  vous  êtes  en  scannant  votre  iris,  en reconnaissant votre visage ou en inventant de nouvelles méthodes de recueil de vos empreintes digitales ou de votre ADN. Comme l’entreprise aime à le dire, son but est de faire de la vie (et de vos données personnelles) de tout un chacun, un vrai « livre ouvert », ce qui, bien sûr, est d’une grande utilité pour nous tous. « Grâce à la technologie biométrique, les gens n’ont plus besoin de se préoccuper de retenir un mot de passe ou d’amener des pièces d’identité multiples. La vie est devenue  un  peu  plus  facile »,  proclame  encore  Lockheed  Martin. Etes-vous  un  New-Yorkais inquiet devant un « colis suspect » sur un quai de métro ? Lockheed Martin s’en est occupé aussi, grâce à un contrat avec l’autorité en charge des transports new-yorkais (la MTA), qui prévoyait l’installation  de  trois mille  caméras de sécurité et senseurs de mouvement visant à repérer les colis suspects, ainsi que  les gens qui les transportent, et à alerter les autorités. Le bémol : les
caméras n’ont pas fonctionné comme annoncé, et la MTA a congédié Lockheed Martin et annulé le contrat, d’une valeur de 212 millions de dollars.

Recueil d’informations vous concernant

Si vous trouvez  inquiétant que  la même entreprise qui fabrique des missiles balistiques, traite également vos impôts, classe vos empreintes digitales, scanne vos colis, fasse en sorte que ce soit plus  facile  que  jamais  de  recueillir  votre  ADN,  et  vous  compte  pour  le  recensement,  soyez tranquille : au XXIème siècle, Lockheed Martin a plus que jamais envie de s’immiscer dans votre vie privée par le biais du recueil de renseignements et de la surveillance.
Tim Shorrock, auteur d’un  livre qui a fait date, Spies for Hire (« Espions à louer »), a dépeint Lockheed Martin comme « le fournisseur militaire et le réseau privé de renseignement le plus important  du  monde ».  En  2002  déjà,  la  société  s’est  lancée  dans  le  programme  « Total Information Awareness » (TIA), cher au c°ur de l’Amiral John Poindexter, ancien conseiller à la Sécurité nationale du président Reagan. Cette base de données géante, destinée à recueillir, au nom  de  la  lutte  contre  le  terrorisme,  les  numéros  de  téléphone,  de  cartes  de  crédit  et  un  tas d’autres  données  personnelles  des  citoyens  américains,  s’est  finalement  vue  retirer  son financement par le  Congrès l’année  suivante, mais le doute subsiste selon lequel l’Agence de
sécurité nationale conduirait secrètement un programme du même type.
En attendant, depuis 2004 au moins, Lockheed Martin travaille avec le Pentagone dans le cadre du CIFA (Counterintelligence Field Activity) qui collecte et stocke des données personnelles de citoyens américains dans une base de données connue sous l’appellation de « Threat and Local Observation  Notice »  (Menaces  et  observations  locales),  et  surtout  sous  son  acronyme  plus spectaculaire TALON. Même si le Congrès a mis fin en 2007 à l’aspect renseignement intérieur de  ce  programme  (et  à  supposer  que  le  Pentagone  ait  obéi  aux  ordres  du  Congrès),  le  CIFA continue  de fonctionner. En 2005, le spécialiste des affaires militaires et du renseignement au Washington Post, William Arkin, a révélé que, même si la base de données n’était destinée qu’à surveiller les suspects d’actes de terrorisme, de trafic de drogue ou d’espionnage, il suffisait en fait que n’importe quel détective militaire ou commandant zélé décide qu’une personne présente une menace pour l’Armée, pour pouvoir l’inclure dans la base de données. Parmi ces citoyens
représentant une « menace », espionnées par le CIFA, on trouvait des militants pacifistes. Dans le cadre  du  CIFA,  Lockheed  Martin  ne  se  contentait  pas  de  surveiller  les  renseignements  : l’entreprise était amenée à « estimer les menaces de demain » (pas vraiment gênant pour un géant de l’armement pour qui l’opposition à la guerre est une menace !).
Lockheed Martin est aussi intimement lié au fonctionnement de l’Agence de sécurité nationale (NSA),  qui  est  le  premier  réseau  d’espionnage  américain.  En  plus  de  fabriquer  des  satellites espions pour la NSA, la société est en charge du « Project Groundbreaker » (Projet Pionnier), une
modernisation du réseau informatique et téléphonique interne de l’Agence, programmée sur 10 ans, pour un montant de 5 milliards de dollars.
Pendant  que  Lockheed  Martin  est  peut-être  en  train  de  vous  surveiller chez  vous  (c’est mon candidat  personnel  au  titre  de  « Big  Brother »  du  XXIème  siècle),  à  l’étranger  la  société  est impliquée dans des activités douteuses qui vont bien au-delà du simple fait de fournir des armes à
des régions en conflit. Outre les interrogateurs recrutés, on le sait, pour les prisons américaines à l’étranger, de  Guantanamo à l’Afghanistan  (et les  accusations d’abus qui allaient avec), le vrai scandale qui entoure l’entreprise est qu’elle a supervisé un programme d’assassinats au Pakistan.
A l’origine, cela ne devait être qu’une opération de recueil d’informations à l’aide d’entreprises privées chargées de récupérer des données que la CIA et les autres services de l’intelligence US ne pouvaient censément pas obtenir seuls. En fait, il s’avéra que les informations fournies par ces
entreprises servaient aux Forces spéciales de l’Armée US pour leurs opérations de chasse et de liquidation des chefs talibans ou présumés tels. Les entreprises privées impliquées étaient sous la responsabilité de Lockheed Martin, suite à un contrat de 22 millions de dollars avec l’Armée US.
Deux  petits  problèmes,  soulignés  par  le  journaliste  du  New  York  Times,  Mark  Mazetti  :
« l’armée  américaine  n’est  pas  autorisée  à  opérer  au  Pakistan,  et  les  règles  du  Pentagone interdisent  à  l’armée  de  sous-traiter  des  missions  d’espionnage  à  des  entreprises  privées ».
Comme dans le scandale Iran/Contras au cours des années 1980, qui a vu Oliver North établir un réseau de sociétés-écrans afin de contourner la loi interdisant la livraison d’armes à des groupes paramilitaires au Nicaragua, l’armée a utilisé Lockheed Martin pour échapper aux règles limitant les activités militaires et de renseignement américaines au Pakistan. Il n’y a donc rien d’étonnant à ce que l’un des responsables de réseau chapeauté par Lockheed Martin soit Duane « Dewey » Claridge, un ancien de la CIA mouillé jusqu’au cou dans l’affaire des Contras.

Un Big Brother du XXIème siècle

Les  interventions  de  Lockheed  Martin  en  politique  étrangère  ont  un  côté  plus  avenant  :
recrutement d’observateurs pour les élections en Bosnie et en Ukraine, tentative de réforme du système judiciaire au Libéria, participation à l’élaboration de la constitution afghane. Ces projets ont pour l’essentiel été réalisés sous l’égide de la division PAE de l’entreprise (Pacific Architects
and  Engineers),  une  société  qui,  avant  qu’elle  ne  soit  absorbée  par  Lockheed  Martin,  s’est enrichie grâce à la construction et à l’entretien de bases militaires pendant la guerre du Vietnam.
Toutefois, le  côté  « soft power » des activités de  Lockheed  Martin (tel que décrit sur son  site web) risque de perdre beaucoup d’importance, l’entreprise ayant mis PAE en vente. Mais n’ayons aucune crainte : la perte des revenus générés par ces activités sera plus que compensée par un
nouveau  marché  pluriannuel  de  5  milliards de  dollars passé  avec  l’armée  US pour fournir un soutien logistique aux Forces spéciales américaines dans des dizaines de pays.
Tout  ce  qui  précède  n’est  qu’un  petit  résumé  des  activités  de  Lockheed  Martin.  Il  faudrait plusieurs  volumes  pour  rendre  compte  de  toute  l’étendue  de  ce  véritable  « gouvernement  de l’ombre ». Lockheed Martin n’est-il pas le premier fournisseur non seulement du Pentagone, mais
aussi du ministère de l’Energie, le deuxième du Département d’Etat, le troisième de la NASA, le quatrième du ministère de la Justice et de celui du Logement et Développement urbain ? Rien que de dresser la liste des organismes gouvernementaux et quasi-gouvernementaux avec lesquels la
société  a  passé  des  marchés  relève  de  la  gageure  mais  voici  néanmoins  une  liste  partielle  :
ministère  de  l’Agriculture,  Bureau  de  l’Aménagement  du  territoire,  Bureau  du  Recensement, Garde-côtes,  ministère  de  la  Défense  (comprenant  l’Armée  de  terre,  la  Marine,  les  Marines, l’Armée  de  l’air,  l’Agence  de  défense  antimissile),  ministère  de  l’Education,  ministère  de l’Energie, Agence de protection de l’environnement, Administration fédérale de l’aviation, FBI, Département fédéral de technologie, Food and Drug administration, Administration des services généraux, Service géologique, ministère de la Sécurité intérieure, Bureau des Affaires indiennes,
Fisc,  NASA,  Institut  national  de  la  santé,  Département  d’Etat,  Administration  de  la  sécurité sociale, Douanes, Poste, ministère des Transports, Agence de sécurité des transports, ministère des Anciens Combattants.
Quand  le  président  Eisenhower,  il  y  a  cinquante  ans,  a  mis  en  garde  contre  les  dangers  de « l’influence illégitime, voulue ou non, exercée par le complexe militaro-industriel », il était loin de se douter qu’un seul marchand d’armes s’immiscerait à ce point dans tant d’aspects de la vie des américains. Lockheed Martin a fait de l’inquiétante prophétie d’Eisenhower lancée au milieu du siècle dernier une réalité au XXIème siècle : rien de ce que fait le gouvernement n’échappe plus au « Big Brother » militaro-industriel.   William D. Hartung.

l’hypothétique « projet noir », le SR-91 Aurora (vue d’artiste). image source :Ovni-Direct

l’hypothétique « projet noir », le SR-91 Aurora (vue d’artiste).
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Mise à jour sylv1 pour Area 51Blog, le : 20/08/2013 à : 12h15.

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