La Terre sur écoute ?

25/02/2021

Surveillance extraterrestre ? Un physicien dit que des formes de vie extraterrestres peuvent observer la Terre à l’aide d’objets spatiaux sur écoute.

Un article Ufonews

Par Michael Alexander 27/01/2021
Traduction Era pour Area51blog

Selon un physicien, les extraterrestres espionnent peut-être déjà la Terre en utilisant des roches spatiales sur écoute.

James Benford, physicien et chercheur indépendant en recherche sur l’intelligence extraterrestre (SETI), a proposé l’idée dans un article publié dans l’Astronomical Journal. Dans son rapport, il a déclaré que l’homme devrait au moins jeter un coup d’œil aux co-orbitales de la Terre, juste pour voir si l’intelligence extraterrestre (ETI) a implanté une technologie de pointe sur les roches spatiales pour surveiller la Terre. Les co-orbitales sont des objets spatiaux qui gravitent autour du soleil à peu près à la même distance que la Terre.

«Ils tournent essentiellement autour du soleil à la même vitesse que la Terre, et ils sont très proches», a déclaré Benford, ajoutant que les co-orbitales pourraient être un moyen de détecter une activité extraterrestre qui s’est produite avant même que les humains n’évoluent.

Parce que des co-orbitales telles que le compagnon le plus proche de la Terre – un astéroïde environ 38 fois plus éloigné de la Terre que la lune – restent près de notre planète pendant des siècles, cela en fait l’endroit idéal pour les dispositifs de surveillance extraterrestres.

«Ces objets proches de la Terre constituent un moyen idéal de regarder notre monde à partir d’un objet naturel sécurisé. Cela fournit les ressources dont une intelligence extraterrestre pourrait avoir besoin: des matériaux, un ancrage solide, une dissimulation. Celles-ci ont été peu étudiées par l’astronomie et pas du tout par le SETI ou les observations de radar planétaire », a déclaré Benford dans son article.

Des sondes robotiques ou «lurkers» auraient pu être envoyées pour observer la Terre depuis longtemps. Benford a noté que de tels rôdeurs, s’ils avaient existé, auraient pu rester cachés, attendant le moment où leurs sujets – notre civilisation – ont développé une technologie qui pourrait les trouver et, espérons-le, converser avec eux en temps réel. Parce que de telles sondes et cachettes seraient probablement restées à leur emplacement longtemps après que leur approvisionnement en énergie soit épuisé, rechercher la preuve de leur existence serait plus proche de l’archéologie extraterrestre qu’autre chose.

La proposition de Benford est basée sur une idée présentée pour la première fois par le radiophysicien de Stanford Ronald Bracewell qui, en 1960, suggéra que des «communautés galactiques supérieures» auraient pu disperser des sondes autonomes en tant que «palpeurs hypothétiques» à travers l’espace afin d’observer, de surveiller et peut-être même de communiquer avec d’autres formes de vie – y compris celles sur Terre.

Dans son article, Benford a déclaré que les scientifiques peuvent commencer par observer les co-orbitales de la Terre avec des télescopes optiques et radio, ainsi qu’en envoyer un signal par radar à toutes les civilisations extraterrestres qui pourraient encore garder un œil sur notre planète.

En outre, la Terre peut également envoyer de petits vaisseaux spatiaux pour vérifier ses co-orbitales, notant que ce serait relativement bon marché et facile à faire.

D’autres physiciens, cependant, pensent que si l’objectif de Benford est intéressant, il est encore hautement improbable que l’homme trouve des signes de vie extraterrestre intelligente sur ces mystérieuses co-orbitales.

«Quelle est la probabilité qu’une sonde extraterrestre se trouve sur l’une de ces co-orbitales? De toute évidence, extrêmement improbable », a déclaré Paul Davies, physicien théoricien et astrobiologiste de l’Arizona State University.

Davies, qui n’était pas impliqué dans les recherches de Benford, a toutefois noté que, comme il est relativement bon marché d’envoyer de petits vaisseaux spatiaux, il pourrait être toujours gratifiant d’en envoyer un dans le cosmos.

«Mais si ça coûte très peu d’aller jeter un œil, pourquoi pas? Même si nous ne trouvons pas E.T., nous pourrions trouver quelque chose d’intéressant », a noté Davies.

Pour des histoires plus intéressantes sur la vie extraterrestre, rendez-vous sur UFOs.news.

Source Ufonews

Les sources comprennent:

LiveScience.com

EarthSky.org

ScienceAlert.com


(Pérou) – L’armée traque les ovnis

19/11/2013

photo-1350619-MDes sphères lumineuses qui apparaissent de manière inexpliquée et se promènent dans le ciel. Voilà qui n’a rien d’exceptionnel pour les habitants de Huanuco, au centre du Pérou, qui ont accumulé les témoignages vidéo, notamment à proximité du site archéologique précolombien de Kotosh. « Les gens voient des choses et s’inquiètent, ils veulent des réponses », insiste le président de l’Institut péruvien d’astronomie, Barthélémy D’Ans. Afin d’en apprendre davantage sur ces phénomènes aériens « anormaux », la Force aérienne du Pérou (FAP) a relancé, début novembre, son Département d’investigation (Difaa) qu’elle avait désactivé en 2005. « Cette entité est chargée de centraliser au niveau national les informations sur ces phénomènes détectés », souligne le colonel Julio Vucetich, directeur du Difaa, qui rappelle le devoir des forces armées de « veiller à la souveraineté et à la défense de l’espace aérien péruvien ».

L’armée a également décidé de s’adjoindre un comité consultatif, constitué de huit civils spécialisés dans différents domaines : un mathématicien, un sociologue, un philosophe, un archéologue… « La force du comité est qu’il est multidisciplinaire »,estime Barthélémy D’Ans, chargé de déterminer l’origine – astronomique, aéronautique ou satellitaire – de chaque phénomène étudié. « L’objet en question peut avoir une origine atmosphérique, être une station spatiale ou une météorite… Parfois, c’est juste un défaut optique de l’appareil photo », sourit Enrique Alvarez, le président du Centre d’études aérospatiales et des sciences de l’espace et membre du comité consultatif. Selon les experts, quelque 5 % des cas ne trouveraient pas d’explication concluante. « Cela ne signifie pas forcément qu’ils ont une origine extraterrestre, même si certains ufologues l’interprètent ainsi »,considère Enrique Alvarez.

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QUESTION DE SÉCURITÉ NATIONALE

Le commandant Julio Chamorro, à l’origine du premier bureau d’investigation de la FAP dans les années 2000 et actuel membre du comité consultatif, se dit néanmoins persuadé que la majorité de la population a un jour eu affaire à un phénomène « anormal ». « Le problème est qu’il y a beaucoup de gens qui, lorsqu’ils sont confrontés à ce type de « choses », préfèrent les taire par peur d’être traités de fous », regrette cet ancien militaire à la retraite.

A vrai dire, la question des ovnis semble surtout susciter de l’intérêt à l’étranger. « Il existe toute une culture new age dans le monde, dans laquelle les noms les plus cités sont les anciennes civilisations de l’île de Pâques, d’Egypte et, bien sûr, du Pérou », fait valoir Barthélémy D’Ans. Le Pérou, rappelle-t-il, concentre l’attention des ufologues, mais aussi des amateurs de mysticisme du monde entier.

Source   Le Monde 

Via
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L’étrange signal « Wow! » : extraterrestre ou phénomène astronomique ?

28/05/2013

 

 

Source :   logoLaLibrepict_493879

 

Dans le monde scientifique, pas de confirmation sans vérification.

Depuis plus de quarante ans, des radiotélescopes sont braqués en permanence vers l’espace à la recherche de signaux extraterrestres. C’était le cas de « The Big Ear », comprenez « la Grande oreille », un appareil de l’Université de l’Ohio rattaché au projet SETI.

Aujourd’hui, nous n’avons aucune preuve de l’existence ou l’inexistence d’une intelligence extraterrestre pourtant, le 15 août 1977, le radiotélescope américain détecta un signal bien curieux que les scientifiques n’ont toujours pas pu déchiffrer.

Noté sous le nom « 6EQUJ5 », le signal a duré 72 secondes et était trente fois plus fort que le bruit environnant. L’astrophysicien Jerry R. Ehman, présent au moment de la détection de l’onde radio, fut si surpris qu’il inscrivit « Wow! » sur le document. Il donna par la même occasion un nom plutôt sympathique au signal.

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En 1995, le programme SETI se développe avec SETI@Home qui permet aux particuliers de participer à la recherche en mettant leurs ordinateurs en réseaux. Le programme bénéficie ainsi d’une plus grande puissance de calcul. Pourtant les scientifiques ne sont par parvenus à détecter un autre signal significatif et n’en connaissent toujours pas la source.

Dès sa détection, les astrophysiciens ont travaillé sur les données dont ils disposaient afin de trouver une explication plausible. Il a été rapidement exclu que l’onde provienne d’une planète voisine à la Terre, d’un astéroïde ou de la Terre elle-même. Le signal a en effet une fréquence proche de 1420 MHz, or celle-ci est interdite sur notre planète car réservée aux radiotélescopes. Il pourrait donc s’agir, comme ils l’espèrent, de la trace d’une vie extraterrestre mais aussi d’un phénomène astrophysique, et donc tout à fait naturel mais inconnu.

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Quant à aller vérifier d’où vient exactement le signal, ce serait un travail fastidieux voire impossible. Les astrophysiciens ont localisé sa source dans la constellation du Sagittaire sans avoir plus de précision. Il leur faudrait donc entendre un nouveau signal provenant de la même zone ce qui ne s’est malheureusement jamais reproduit. Le mystère reste donc entier mais tous les espoirs sont permis.

Source 

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Mise à jour Area51blog le 28-5-2013 à 18 heures

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Extraterrestres : à quoi peuvent-ils bien ressembler ?

17/04/2013

Le 15/04/2013 à 15:12 – Mélanie Prévost – Source : Planet.fr

Alors que beaucoup tentent de trouver une quelconque forme de vie dans l’univers, seraient-ils capable de la reconnaître ?

A quoi peut bien ressembler un extraterrestre ? Les détails avec Planet.fr.

Des scientifiques très sérieux aux illuminés les plus déjantés, énormément d’habitants de notre planète cherchent à savoir si d’autres formes de vie existent dans notre univers. Certains sont parfois même sûres que les aliens sont déjà parmi nous alors que d’autres croient savoir qu’ils ont créé notre ADN.

D’après le site internet Gentside, il se pourrait que l’humain ne soit pas capable de reconnaitre un extraterrestre s’il en croisait un. L’humain est prédisposé à penser la vie en tant qu’humain, ainsi dans notre imaginaire l’extraterrestre respire, boit et mange pour vivre.

« Notre vision est fortement influencée par notre connaissance de la vie sur Terre »
D’après Charles Cockell, directeur du centre d’Astrobiologie de l’Université d’Édimbourg : « notre vision est fortement influencée par notre connaissance de la vie sur Terre ». Seulement, tout ce qui existe sur Terre est lié à un enchainement de circonstances et d’évènements qui se sont succédés sur notre planète, comme l’explique Darwin dans sa théorie de l’évolution. Il est donc probable que si nous rencontrions un extraterrestre, qui ne ressemble pas à un petit homme vert, nous ne nous en rendrions pas compte.

L’homme est constamment effrayé par l’inconnu, c’est pourquoi il tente de donner une image familière aux extraterrestres. Il peut très bien inventer un alien à l’apparence du personnage d’E.T. qui bien qu’étrange possède de nombreuses caractéristiques humaines. En revanche, il est trop difficile pour lui de penser que quelque chose d’inimaginable, d’impossible à représenter ou même imaginer puisse exister. Charles Cockell explique qu' »il est dangereux de supposer que la vie est commune à tout l’Univers. Cela conforte les gens à penser que l’absence de vie est une erreur alors qu’en réalité ceci serait normal et, justement, à l’origine de la vie. »

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Mise à Jour par Erapour area51blog le 17-4-2013 à 12:30

area51blog

 


Les gouvernements mentent au peuple concernant les vaisseaux extraterrestres

23/02/2013

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Un article de Ken Pfeifer – World Ufo Photos

Traduction Era pour Area51blog

Merci à Ken pour son aimable autorisation

Un rapport de l’ONU affirme qu’il y a eu plus de 150 millions d’observations d’OVNI depuis 1947 et plus de 20 mille atterrissages documentés. Pourquoi les gouvernements ont-ils caché les faits jusqu’à présent ? Que peuvent-ils gagner à le faire et quel est leur secret?

Il faut jeter un coup d’oeil en arrière sur notre illustre histoire pour commencer à trouver une explication. Lorsque l’homme occidental a découvert l’invention de la poudre des  chinois il a rapidement construit une bombe.

Quand il a inventé la TNT il a construit une bombe plus grande, nouvelle et améliorée. Quand il a découvert la puissance de l’atome, il a amélioré l’amélioration précédente par la construction d’une bombe encore plus grande et l’a ponctuellement utilisée.

Ce que l’homme fera quand il découvrira une énergie d’une puissance encore plus grande est très clair. D’ailleurs celui qui la trouvera en premier fera pencher la balance du pouvoir de manière significative.

Imaginez que vous ayez une plate-forme d’armes si puissante qu’elle rend l’utilisateur pratiquement invulnérable aux armes conventionnelles d’une force d’opposition. C’est un avantage qui vaudrait la peine d’investir dedans.

La prémisse est que l’utilisation de ladite source d’énergie pour des moyens pacifiques est considérée comme secondaire par rapport à l’utilité de celle-ci à des fins militaires. Puis il y a les fanatiques religieux qui croient que toute preuve de vie extra-terrestre  invaliderait leurs livres saints.

C’est une question qui a été prise au sérieux par de nombreux chercheurs et plusieurs articles sur ce sujet ont été écrits dans plusieurs publications de renom.

Le  Huffington Post a réalisé plusieurs articles des plus libéraux sur ce sujet où ils ont exprimé le points de vue des chercheurs selon lesquels les  religions organisées survivraient.

Les fondamentalistes, cependant, semblent réticents à recevoir une telle pensée. Sur conservapedia.com la question  prend une signification totalement différente et  l’argument semble être de savoir si ces « créatures » ont droit au salut du Christ chrétien.

Bien qu’ils affirment que la vie extra-terrestre est de la science-fiction, ils   ressentent néanmoins le besoin de laisser une porte de derrière ouverte en se référant à Jean 10:16, cité ici à titre de référence:

J’ai encore d’autres brebis, qui ne sont pas dans cette bergerie; je dois les amener aussi, et elles entendront ma voix, et elles formeront  un seul troupeau avec un seul berger.

Ici, c’est visiblement le discours de Jésus, la divinité principale des chrétiens. Cela, disent-ils, ouvre la voie à la possibilité d’êtres existant par ailleurs.

 Cependant, quand on lit entre les lignes, il est clair que les auteurs de  conservapedia.com sont terrifiés par la notion de  vie extra-terrestre intelligente  et à la place préfèrent se référer à vie extra-terrestre en termes de micro-organismes.

Bien qu’ils présentent la possibilité d’une vie extraterrestre, ils assimilent l’idée que des extraterrestres intelligents existent  à de l’hérésie et la classent dans les idées non  chrétiennes.

Malgré les balbutiements du puissant lobby religieux, la preuve de l’existence extraterrestre aurait des effets profonds sur eux et pourrait très bien constituer une menace pour l’ordre public.

Il est donc raisonnable de supposer que le lobby chrétien serait bien servi si certaines connaissances des extraterrestres leur était cachée , et en passant, toute la population de la planète.

Les plus raisonnables d’entre vous peuvent maintenant demander: bien maintenant, mais ces choses existent réellement?

Si une ou deux personnes affirment avoir vu un objet volant non identifié alors il est facile de les disqualifier. Mais que faire si le même phénomène est perçu, photographié et filmé par milliers ?

 

Source : KEN PFEIFER WORLD UFO PHOTOS

WWW.UFOCASEBOOK.COM

WWW.WORLDUFOPHOTOS.ORG

WWW.WORLDUFOPHOTOSANDEWS.ORG

MISE A JOUR ET TRADUCTION  Era pour AREA51BLOG le 23 février 2013 à 23h30

Note au Webmasters et Réseaux sociaux : vous pouvez reprendre cet article à condition de mentionner les sources, Area51 blog  y compris, merci de respecter le travail d’autrui.

area51blog


À la recherche des extraterrestres

21/11/2012

Photo d’antennes radio du SETI (7 octobre 2007), Hat Creek, Californie | ©AP/PC

À partir des années 1960 et 1970, les Américains et les Soviétiques braquent d’immenses antennes radio vers le ciel pour surveiller d’éventuels signaux radio venus du cosmos. C’est le début du SETI, Search for an extraterrestrial intelligence (Recherche pour une intelligence extraterrestre), programme qui regroupe n’importe quelle activité du genre.

Une organisation subventionnée, l’institut SETI, est fondée le 20 novembre 1984 grâce à l’apport de la NASA. Mais on a beau pointer davantage d’antennes vers le ciel, on ne trouve rien. La NASA retire donc son financement 10 ans plus tard.

Malgré l’absence de fonds publics, les recherches se poursuivent encore aujourd’hui à l’institut SETI. On écoute le ciel, mais on envoie aussi de temps en temps des messages, comme des bouteilles à la mer.

Audio-vidéo

Écoutez la capsule sur les extraterrestres

Source : http://www.radio-canada.ca 

 

 


Sommes-nous préparés à une attaque extraterrestre?

15/08/2011

Il n’y a pas de procédure officielle en cas de contact ou d’invasion.

– Image tirée de «Plan 9 from Outer Space» d’Ed Wood (1959). –

Un objet volant non identifié a il y a peu contraint les responsables de l’aéroport chinois de Xiaoshan à retarder dix-huit atterrissages et décollages; Pékin a alors promis de mener une enquête. Les tabloïds ont aussitôt couvert l’affaire; le Sun britannique a fait une référence — totalement gratuite — à un «vaisseau spatial extraterrestre»; sur YouTube, une vidéo a suscité de nombreux commentaires relatifs à l’existence d’une vie extraterrestre. Alors, que se passerait-il si les petits hommes verts décidaient de nous rendre visite? Existe-t-il un plan d’urgence anti-extraterrestre?

Si l’on veut. Les extraterrestres n’intéressent pas particulièrement le gouvernement américain. L’US Air Force avait certes lancé un projet d’étude des Ovni en 1947, mais elle a mis fin aux recherches en 1969: elle n’avait pas été en mesure de découvrir des preuves de l’existence de véhicules extraterrestres ou de menaces pour la sécurité nationale. En 1992, le gouvernement a financé un projet Seti – Search for Extraterrestrial Intelligence –  mis en place par la NASA: le Microwave Observing Program avait pour mission d’effectuer des analyses ciblées des étoiles proches du système solaire; l’année suivante, le projet n’a pas été jugé suffisamment intéressant pour être reconduit.

Une liste de recommandations émise par le Seti

Il existe en revanche une ONG (fondée par l’Académie internationale d’astronautique) qui a pour fonction de «préparer, de réfléchir, de gérer, de conseiller et de consulter en vue d’un … éventuel signal permettant de prouver l’existence d’une intelligence extraterrestre.» Cette organisation (le Seti: Post-Detection Taskgroup) dirigée par le physicien théoricien Paul Davies a établi une liste de recommandations. Selon ce protocole (adopté en 1989), toute personne ayant détecté un signal radio suspect doit contacter les chercheurs du Seti; ces derniers l’aideront alors à vérifier la source du signal, et à déterminer si ce dernier prouve que nous ne sommes pas seuls dans notre univers.

Le Seti doit ensuite alerter l’Union astronomique internationale, les Nations unies ainsi que tous les organismes de recherche qui lui semblent appropriés. Et selon le principe de «finders keepers» [«qui trouve, garde»], l’annonce de la découverte revient à la personne l’ayant réalisée, les données devant toutefois être communiquées à la communauté scientifique internationale. En revanche, les coordonnées précises de la source ne doivent pas être révélées; sinon  toute personne munie d’un radiotélescope pourrait alors estimer avoir voix au chapitre.

La prochaine étape serait de déterminer si le signal détecté appelle ou non une réponse, et si oui, de son contenu – un processus qui, outre les scientifiques impliquerait plusieurs experts et hauts fonctionnaires. Il faudrait sans doute alors opter pour un message simple; quelques chiffres en binaire, par exemple. (Paul Davies et Ira Glass en discutent dans un épisode récent de This American Life).

Et si la réalité ressemblait à l’un de ces scénarios hollywoodiens tirés par les cheveux, dans lesquels nous détectons la présence d’un vaisseau extraterrestre; où les petits hommes verts nous envoient un message du type «Salutations, Terriens!»? Alors là, mystère et bouche cousue: en cas de contact direct, si le Pentagone et le reste des spécialistes de la question disposent d’une marche à suivre, cette dernière est tenue secrète. Elle dépendrait certainement de la nature du contact: pacifique ou violent; demande («Donnez-nous vos combustibles fossiles!») ou entraide scientifique (fusion froide…).

Planète colonisée

De nombreux scientifiques, comme Stephen Hawking, estiment  qu’une rencontre de ce type finirait mal pour nous – les humains joueraient alors le rôle des Indiens d’Amérique et les extraterrestres celui des colons européens. Hawking a récemment émis une théorie à ce sujet: «J’imagine qu’ils pourraient être condamnés à vivre dans d’immenses vaisseaux spatiaux, après avoir épuisé toutes les ressources naturelles de leur planète d’origine. Ces extraterrestres à la technologie extrêmement développée pourraient devenir des nomades, parcourant l’espace en quête perpétuelle de planètes à conquérir et à coloniser.»

La perspective du premier contact avec les extraterrestres vous inquiète? Si oui, faute de protocole officiel, vous pouvez vous tourner vers la très officieuse «Introduction to Planetary Defense : A Study of Modern Warfare Applied to Extra-Terrestrial Invasion». Tout comme Hawking, ses auteurs pensent que face aux extraterrestres, les humains ressembleraient fort aux Indiens de l’Amérique de 1492. Ils pensent également qu’étant donné la lenteur de la réaction des pays du monde entier au lendemain des catastrophes naturelles, il y a peu de chance pour que l’humanité puisse s’unir assez rapidement pour repousser une invasion. Selon les auteurs, de telles créatures nous surpasseraient vraisemblablement sur le plan technologique. Notre seul espoir? La guérilla urbaine.

Juliet Lapidos

Traduit par Jean-Clément Nau

Source : http://www.slate.fr/story/25183/sommes-nous-prepares-une-attaque-extraterrestre


Les « Messages extraterrestres » de la NSA

28/04/2011

http://mediathequedelufologie.wordpress.com/2011/04/28/les-%c2%ab-messages-extraterrestres-%c2%bb-de-la-nsa/

Reprends l’article du site:http://ovnis-usa.com/

Les « Messages extraterrestres » de la NSA

La NSA (National Security Agency) publie une série de documents au format Pdf, répertoriés en 42 sections, dont certains circulaient en fait depuis plusieurs années.

Divers Blogs et forums ufologiques se sont aussitôt mobilisés pour annoncer sans précaution que l’Agence détenait « 29 messages extraterrestres« , et ils ont mis en ligne leur prétendu décryptage proposé par le Dr Howard Campaigne.

Il s’agit en fait d’articles autrefois publiés par la revue interne de l’Agence, le « NSA Technical Journal », qui sont connus depuis 2004.

L’éditeur du site web de la NSA explique : « Chacun des 4 articles suivants comporte le terme ‘extraterrestre’ ou approchant. Bien qu’ils ne concernent pas directement la recherche d’une intelligence extraterrestre, ils montrent que cette thématique n’était pas complètement étrangère aux équipes de la NSA :


1. Book Review : Lincos, Design of a Language for Cosmic Intercourse, Part 1, Vol. VII, No.1, Winter 1952, NSA Technical Journal.

2. Communications with Extraterrestrial Intelligence, by Lambros D. Callimahos., Vol. XI, No. 1, Winter 1966, NSA Technical Journal.

3. Communications with Extraterrestrial Intelligence, by Howard H, Campaigne, Vol. XI, No. 2, Spring 1966, NSA Technical Journal.

4. Key to the Extraterrestrial Messages, by Howard H Campaigne, Vol. XIV, No. 1, Winter 1969, NSA Technical Journal.

Nous avons décidé de publier ces articles afin de couper court à toute spéculation sur leur contenu, parce que leurs intitulés pourraient être sujets à controverse.

Le Dr Howard Campaigne était un chercheur civil, travaillant pour l’US Navy. Il contribua en 1946 à la rédaction d’un rapport sur les avancées dans le domaine de l’informatique, et notamment les nouvelles possibilités offertes pour le cryptage.

Howard Campaigne, considéré comme un pionnier du traitement des données, fut chargé du Programme « Lightning », approuvé par le Président Eisenhower, afin que la NSA puisse lancer une nouvelle génération d’ordinateurs beaucoup plus performants. –

Source

Dans le bulletin de la NSA publié à l’automne 1966, Lambros D. Callimahos inaugura un exercice de décryptage pour ses collègues de la NSA. Le Dr Campaigne composa ensuite une première série de 29 Messages.

L’exercice consistait à considérer qu’ils avaient été émis par une intelligence extraterrestre. Trois ans plus tard, en 1969, il publia sa clé de décryptage.

La règle du jeu est exposée en annexe du document : « Une série de messages radio a récemment été captée de l’espace. La transmission n’était pas continue, mais les pauses déterminent des séquences, parce qu’elles étaient maintes fois répétées. Les pauses doivent être considérées comme des ponctuations. Les diverses combinaisons ont été transcrites par des lettres de l’alphabet, afin que les messages puissent être rédigés. Chaque message, à l’exception du premier, n’est donné ici qu’une seule fois. Un numéro a été affecté à chaque séquence. » –

Source

Howard Campaigne

Les chercheurs auront cependant de quoi s’occuper en analysant les autres Sections déclassifiées sur le site web de la NSA.
Source du site:http://ovnis-usa.com/

E. T. : du soupçon à l’intime conviction

14/01/2011


L’astronome Frank Drake n’a rien d’un illuminé. Radioastronome, il est le père de Seti, le très populaire programme d’écoute et de recherche d’éventuels signaux d’origine extraterrestre. Interviewé par Ciel & Espace, à l’occasion d’un bilan réalisé autour du cinquantenaire de cette longue quête, il affirme que des signaux « éphémères » ont été captés et, dit-il, « je soupçonne qu’une petite fraction d’entre eux était d’origine extraterrestre ».

Que les choses soient claires : Frank Drake n’affirme pas avoir entendu les conversations d’une autre civilisation que la nôtre, mais « soupçonne » que certains des signaux captés par les radiotélescopes de Seti – des signaux qui ne se sont pas répétés et qui ont été enregistrés, alors que l’antenne du radiotélescope visait plusieurs étoiles dans le « faisceau » – ont une origine extraterrestre.

Ces émissions auraient été entendues par hasard dans le ciel, mais non localisées, et ce, au milieu d’un bruit de fond généré par le tintamarre électromagnétique de la Terre. Frank Drake prend-il ses désirs pour des réalités ? Sans aucun doute, répondront les détracteurs du programme Seti. Ceux-là ne croient pas que cette recherche soit pertinente et pensent qu’elle revient à chercher une aiguille dans une montagne de foin, sans savoir si celle-ci existe réellement. Pour d’autres, au contraire, la position de Drake est lucide et courageuse. Pour les promoteurs de Seti, l’enthousiasme initial a fait place au réalisme et à une organisation remarquable.

Depuis 1999, le réseau Seti@home, avec ses huit millions d’abonnés, est de fait le plus gros ordinateur virtuel du monde. Hors la prouesse d’organisation de ce réseau de calcul partagé, ces scientifiques ont su rebondir en rassemblant des fonds privés. De nouveaux instruments sont en cours de construction et la stratégie de recherche s’élargit à de nouvelles longueurs d’onde et aux transmissions lasers. Depuis quinze ans et la découverte d’un bon demi-millier d’exoplanètes, l’idée s’est imposée chez les astronomes que ces astres sont un sous-produit de la formation des étoiles. Et que, par milliards, nombre de ces planètes aient pu connaître des conditions favorables à l’émergence de la vie telle qu’elle est apparue sur Terre. Les premiers termes de la fameuse équation de Drake trouvent maintenant des valeurs…

Il est logique qu’en invoquant le « soupçon » légitime, son inventeur ait hâte de conclure ! A-t-il pour autant raison ? En s’éloignant du protocole initial qui veut qu’un signal ne soit considéré que s’il est répété, Frank Drake prend le risque de franchir une ligne jaune. Celle qui sépare la preuve scientifique de la conviction intime. Mais il remobilise ainsi ses troupes sans choquer les plus sceptiques. « Le scénario le plus probable est qu’un jour, nous captions un signal par hasard, une fuite », nous confie même l’un d’entre eux.
Critiqué et populaire à souhait, le programme Seti n’a pas fini de faire débat. En livrant ici ses soupçons, Frank Drake a bien l’intention de l’agiter.

Alain Cirou

Directeur de la rédaction

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EXTRAITS DE L’INTERVIEW DE FRANCK DRAKECiel & Espace : Quel bilan tirez-vous des 50 ans de recherches SETI ?

Franck Drake : Je retiens 2 choses : la première, c’est que cette recherche sera très longue. Nous devrons continuer à observer beaucoup, beaucoup d’étoiles et augmenter le nombre de canaux de recherche, que ce soit en radio ou en lumière visible. Cela signifie que nous avons besoin encore de plus de temps de télescope et d’équipements plus performants, donc d’argent pour les construire. La seconde chose, c’est qu’il y a véritablement des signaux, mais qu’ils sont éphémères. Nous les avons observés une fois, jamais deux.  Nous en avons détecté sans pouvoir prouver qu’ils étaient d’origine extraterrestre. Pour les voir à nouveau, il faut regarder la même cible un grand nombre de fois avec des instruments de plus en plus puissants. Car je soupçonne qu’une petite fraction d’entre eux étaient d’origine extraterrestre.

C&E : Voulez-vous dire que parmi les signaux enregistrés, certains pouvaient effectivement avoir été émis par une autre civilisation ?

Franck Drake : Tous les signaux que j’ai captés se sont révélés d’origine terrestre. Mais on m’a parlé de signaux détectés pendant d’autres recherches Seti, dont l’origine n’a pu être déterminée parce qu’ils n’ont pas été observés une seconde fois. Cette idée que certains signaux étaient d’origine extraterrestre est un soupçon d’ordre général.

C&E : Savez-vous quelles étoiles étaient alors pointées par las radiotélescopes ?

Franck Drake : Dans la plupart des cas, peut-être même dans tous les cas, le signal en question a été détecté alors que l’antenne n’était pas tournée vers une étoile en particulier. Très souvent, il y avait plusieurs étoiles dans le faisceau du radiotélescope. Certaines d’entre elles sont optiquement invisibles parce qu’elles sont obscurcies par la poussière interstellaire. Donc nous sommes certains qu’il y avait des étoiles dans le faisceau du télescope, mais nous ne savons rien à leur sujet. Elles ne sont probablement dans aucun catalogue d’étoiles. Pour moi, presque toutes les étoiles, sauf les plus massives, peuvent abriter la vie, dans quelque galaxie que ce soit. Récemment, on a découvert une planète autour d’une étoile en provenance d’une autre galaxie et qui avait été capturée par la nôtre. Bien que cela soit surprenant, cela montre que les planètes existent aussi dans d’autres galaxies.

Source  Ciel et espace

Via Zone Ufo


NASA : Conférence de presse sur l’Astrobiologie

30/11/2010

La NASA tiendra une conférence de presse à 14 heures (heure locale), le jeudi 2 décembre 2010, pour discuter de l’astrobiologie qui aura un impact sur la recherche des preuves de vie extraterrestre.

L’astrobiologie est l’étude de l’origine, l’évolution, la distribution et l’avenir de la vie dans l’univers.

La conférence de presse sera tenue au siège auditorium de la NASA à Washington.

Il sera diffusé en direct sur NASA Television et en streaming sur le site Internet de l’agence http://www.nasa.gov.

 

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