Une super-civilisation existait sur la Terre avant l’humanité (scientifiques)

25/11/2014

Article source: french.ruvr.ru/

Par La Voix de la Russie | Des scientifiques russes ont fait une déclaration sensationnelle : une civilisation surdéveloppée existait sur la Terre avant l’humanité. Cette conclusion a été faite par des chercheurs des régions de Rostov et de Krasnodar après qu’un habitant de Labinsk ait fait une découverte unique.

Pendant la pêche, Viktor Morozov a découvert une pierre inconnue, à l’intérieur de laquelle se trouvait une «puce», a déclaré l’édition Mir Novosteï (Monde de nouvelles). Après une analyse de l’«artefact» trouvé, les experts ont conclu qu’elle appartenait à une civilisation plus avancée que l’humanité, celle qui a vécu sur la Terre avant nous. La découverte unique a été conservée depuis les temps anciens grâce à l’«immersion» dans la pierre, expliquent les chercheurs.

La veille, le laboratoire du Département de géologie de l’Institut polytechnique de Novotcherkassk dans la région de Rostov a établi l’âge de la découverte. Il s’est avéré que la pierre inhabituelle avait environ 250 millions d’années. Ce fait est la preuve de l’existence sur la Terre d’une civilisation surdéveloppée longtemps avant l’apparition de l’homme antique. Probablement, nous pourrons atteindre leur niveau de technologie seulement dans un avenir lointain.
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Mise à jour Area 51 blog, le : 25/11/2014 à 18h00.

area51blog


Un objet de l’espace traverse le temps

24/01/2013

 

Lire l’article Chez Sylvain


Un lac martien qui donne de l’espoir aux chercheurs

23/01/2013
© Photo : NASA/JPL-Caltech/Univ. of Arizona, NASA

© Photo : NASA/JPL-Caltech/Univ. of Arizona, NASA

Il aurait pu se trouver il y a très longtemps dans un grand cratère sur Mars. L’appareil orbital de la NASA a découvert sur les parois de ce cratère des couches d’argile alternant avec des carbonates – des substances qui peuvent se former uniquement au contact de l’eau. Ces découvertes soutiennent l’hypothèse d’un Mars « humide » et adapté à l’existence des formes primitives de la vie.

Le cratère McLaughlin de 92 kilomètres de diamètre et d’une profondeur de 2000 mètres est l’un des plus grands sur la planète Rouge. Il n’y a pas de ravines autour de ce cratère, ce qui montre que l’eau n’y pénétrerait pas de l’extérieur. Ce lac était donc alimenté par les eaux souterraines, ont conclu les chercheurs. Grâce à une force de gravité qui est trois fois moins grande sur Mars par rapport à la Terre, les couches aquifères sur la planète Rouge seraient plus épaisses et donc moins rigides. Un milieu idéal pour les bactéries, estiment les scientifiques, supposant que cet environnement pourrait tout à fait exister sous le fond de ce cratère.

On dirait que les endroits comme McLaughlin auraient été spécialement créés pour la recherche, analyse l’expert de l’espace Evgueny Tcherniak.

« La présence d’un orifice de telle profondeur élimine le problème du forage, nécessitant l’utilisation de l’énergie et des matériaux qu’il aurait été difficile de transporter sur Mars. Un appareil automatique et compact peut observer de près cette crevasse et d’y trouver quelque chose d’intéressant. La coupe de ce cratère serait intéressante à étudier. Nous y trouverons certainement des roches qu’il est impossible de prélever à la surface ».

Sur Terre, les chercheurs trouvaient des micro-organismes dans les échantillons du sol prélevés à 5 kilomètres de profondeur. Si le sol à cette profondeur contient de l’eau, les microorganismes peuvent y vivre. Il n’est pas exclu que la vie sur Terre vient des aquifères souterrains. Elle y était protégée de l’impact des comètes, qui « bombardaient » assez souvent notre planète. Ces bactéries n’avaient pas besoin d’oxygène, d’ailleurs ce gaz était inexistant dans l’atmosphère primitive de la Terre.

Si les chercheurs arrivent à trouver des traces de la matière organique dans les couches similaires de la planète Mars, cela leur permettrait de mieux comprendre le processus de création de la vie sur Terre, explique Eleva Vorobieva, biologiste de l’Université d’Etat de Moscou.

« Au départ, Mars se développait en parallèle avec la Terre. La vie aurait pu y émerger au tout début de l’évolution. Mais ensuite, il y a eu un changement dans les conditions climatiques, une perte de l’atmosphère, et la vie sur la planète a évolué d’une manière totalement différente. Même s’il n’y a pas de vie sur Mars, nous pourrions étudier grâce à la planète Rouge le modèle de la Terre dans ces stades de développement précoces. En comparant ces deux modèles, nous comprendrons comment s’est créée la vie sur Terre ».

Les chercheurs estiment que le lac martien qui se trouve au fond du cratère McLaughlin s’est asséché il y a près de 3,7 milliards d’années. A la même époque se sont formés les minéraux, qui composent actuellement les parois du cratère. Leur âge correspond à l’âge des roches les plus anciennes jamais trouvées sur Terre. Le cratère McLaughlin – c’est une véritable aubaine non seulement pour les biologistes, mais aussi pour les géologues.

Les scientifiques sont persuadés qu’il fait mener des recherches des traces de matières organiques dans d’autres endroits de la planète Rouge. La plupart des experts estiment que le forage n’est pas nécessaire pour mener ces recherches. La simulation en laboratoire a montré que les bactéries terrestres survivent à quelques centimètres de profondeur sous le sol martien. L’observateur à neutrons russe installé sur le rover américain Curiosity a récemment découvert que l’humidité serait également présente à cette profondeur.

 


Les scientifiques ont prouvé l’existence de mondes parallèles

16/10/2012

Image source:http://www.alterinfo.net

Article source:http://french.ruvr.ru/

8.10.2012, 21:20

Une équipe de scientifiques de l’Université d’Oxforda prouve que les mondes parallèles existent.

La théorie de ces mondes est apparue en 1950. Hugh Everett a proposé que chaque nouvel évènement dans l’univers, peut-être, provoque sa séparation. Ainsi, le nombre d’univers alternatifs tend vers l’infini. La théorie avait été reconnue comme tenant du fantastique et oubliée. Cependant, à l‘université d’Oxford l’équipe a conclu que Everett était sur la bonne voie.

Les calculs montrent que les structures arborescentes en formes de buissons, qui se forment au cours de la désagrégation de l’univers en versions parallèles de lui-même, expliquent les résultats de la nature probable de la mécanique quantique. Les scientifiques affirment qu’il est inévitable que nous vivons dans l’un de ces nombreux mondes parallèles, et non pas dans un monde unique. /L

© Photo : CXS.hu


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