Entretien avec Claude Burkel

02/12/2015

odh

Vidéo ODH TV  par Gilles Thomas via youtube

Ajoutée le 1 déc. 2015

La 12ème soirée Vortex vous est présentée par Gilles.T.

L’invité est Claude Burkel.
Il vous parle de ces recherches récentes ufologiques et paranormales notamment dans la forêt d’orient, dans les Pyrénées et la forêt de Fontainebleau.

Si cette vidéo ne fonctionne pas cliquez ici.

Pour celles et ceux qui n’auraient pas vu le premier entretien avec Claude  et Gilles voir ci-dessous:

Ajoutée le 2 mars 2014

Entretien avec Claude Burkel sur son parcours en ufologie.

Si cette vidéo ne fonctionne pas cliquez ici

gif

Mise à jour Area 51 blogue, le: 02/12/2015 à : 13h40.

area51blog


Ces étranges personnages qui ont voyagé dans le temps.

14/01/2014

Source: Claude Burkel via informateur.creerforums.fr

Miss Moberly et Miss Jourdain. crédit: nformateur.creerforums.fr/

Un texte de Claude Burkel.

C’est le rêve de tous les hommes depuis le début de l’humanité : voyager dans le temps, revivre les grands moments qui ont marqué notre histoire dans le passé ou, au contraire, se propulser dans l’avenir pour essayer de savoir ce qui nous arrivera dans cent, deux cents ou deux mille ans. Le célèbre romancier H.G Wells avait déjà imaginé une machine à explorer le temps en 1895 et depuis ce thème a été repris par tous les grands auteurs de science-fiction. Ray Bradbury invente ainsi un héros qui peut se mouvoir à volonté dans le passé et le futur. Celui de Barjavel dans « le voyageur imprudent » entend même agir sur les événements du passé. Et au siège de Toulon, il essaye de tuer la jeune Bonaparte pour changer le cours de l’histoire. Dans la réalité peut-on vraiment se promener dans le temps comme on le fait dans l’espace ? Certains répondent que oui.

Les médiums, tout d’abord, ont parfois la faculté de revivre les événements du passé. Ce sont les psychomètres. Découverte à la fin du siècle dernier, la psychométrie souleva l’enthousiasme de nombreux savants. Ainsi, en « voyageant » dans le passé des médiums ont aidé à des découvertes historiques. Miss Beaumont, une jeune anglaise, plus connue par son surnom de médium Rosemary, revivait ainsi à loisir la vie de la cour du Pharaon Amenhotep III, qui vécut 1500 ans avant notre ère. En décrivant les coutumes de ce temps, elle donna une foule de renseignement précieux à un fameux égyptologue, Howard Hulme. Certaines personnes qui ne sont pas médiums réussissent parfois à dépasser aussi les barrières du temps, sans même le vouloir.
Le cas le plus célèbre de ces voyages extraordinaires est l’aventure arrivée dans le parc de Versailles, le 10 aout 1901, à deux Anglaise, miss Moberly et miss Jourdain. Les deux femmes se promenaient, cet après-midi-là, dans le parc, avec l’intention de visiter le petit Trianon. Elles se trouvèrent alors en présence de deux hommes portant de longs manteaux et de curieux tricornes. Devant le petit Trianon une jeune femme dessinait. Elle portait un grand chapeau gris clair posé sur de longues boucles. Yb homme leur dit alors de ne pas rester là, il leur indiqua un chemin et, soudain, les deux femmes se retrouvèrent dans leur univers quotidien. La sensation d’oppression disparut et elles croisèrent de nouveaux les visiteurs de XX siècle. On sut, après enquêtes, que la vision des deux femmes correspondait parfaitement à l’état ou se trouvait le Petit Trianon en 1770. Et la jeune femme qui peignait était certainement la reine Marie-Antoinette. Ce jour d’aout 1901 miss Moberly et miss Jourdain avaient fait un curieux bond dans le passé. 

M.P Schiel Crédit: informateur.creerforums.fr/

M.P Schiel
Crédit: informateur.creerforums.fr/

D’autres individus, eux, ont tout aussi fortuitement fait une incursion dans le futur. Un anglais nommé M.P Schiel a publié, en 1896, une nouvelle qui racontait la terreur répandue dans toute l’Europe par une bande de monstrueux criminels qui saccageaient, tuaient et brulaient les cadavres : « Les SS ».

L’écrivain américain Morgan Robertson, en 1898, quatorze ans avant le naufrage du Titanic, racontait la catastrophe survenue à un super transatlantique nommé le Titan. Tout concordait dans le récit avec ce qui serait la véritable tragédie. Le 7 décembre 1939, un habitant de l’Indiana fut amené au poste de police parce qu’il s’amusait écrire, sur tous les trottoirs, c’est inexplicable inscription : « Remeber Pearl Harbor » « Souvenez-vous de Pearl Harbor ». Deux ans donc, avant l’attaque japonaise sur la base du Pacifique. Et que dire de cet incroyable livre n°88 de la collection le Masque intitulé « Le Docteur Fregalle ». La particularité de l’ouvrage repose dans un passage de 2 pages qui raconte avec force détail l’assassinat d’un président des États-Unis dans un cortège alors que celui-ci se trouve à bord d’une voiture décapotable. Ce livre a été publié une première fois en 1931 par la « Librairie des Champs Elysées », 23, rue Marbeuf à Paris. Le titre anglais, « The strange case of vintrix polbarton », a été traduit en français par un certain Louis Labat et n’était pas numéroté bien que faisant déjà partie de la collection « Le masque » .

Il a été publié une seconde fois en 1936, toujours dans la collection « Le Masque », par les Editions Gérard, à Verviers (Belgique), laquelle publiait également la fameuse collection « Marabout ». C’est cette édition, portant le numéro 88, qui comportait justement les deux fameuses pages. Le livre avait des dimensions légèrement supérieures à la première édition (0.5). Il a enfin été publié une troisième fois, toujours par Gerard, avec le même numéro dans la même collection, mais avec les dimensions habituelles et sans les pages en question. Ah, oui, vous voulez peut-être connaitre le nom de l’auteur. Il s’appelait Oswald Dallas.

"Le Docteur Fregalle" crédit: informateur.creerforums.fr/

« Le Docteur Fregalle »
crédit:
informateur.creerforums.fr/

Certains savants n’excluent plus l’hypothèse, chère aux romanciers, d’une machine à remonter le temps. « La technique actuelle nous permettra bientôt de manipuler le temps », a déclaré le cosmonaute soviétique Kosirev. « Les progrès de la connaissance de l’univers nous donneront les moyens d’explorer à la fois le cosmos et le temps à travers d’autres dimensions ». Déjà en 1946, un ingénieur astronome, Emile Drouet, avait réalisé une maquette de machine à explorer le temps. Faute d’argent, il n’a pas pu réaliser son projet grandeur nature. 

Mais des savants reprennent ses idées actuellement en Angleterre, en Suisse et même en France. En 2006 les services secrets de l’armée travaillaient sur ce projet. Si ces voyages sont possibles dans un avenir plus ou moins lointain, cela signifie que nos petits-enfants ou arrière-arrière – petits – enfants pourront voyager dans le passé, revenir au xx siècle ou remonter encore au-delà. Et cela veut donc dire que dans le passé on doit déjà retrouver la trace de ces visiteurs venus du futur.
Cette trace selon les disciples du voyage dans le temps, elle existe. Et c’est l’explication de nombreux mystères qui planent encore dans notre univers. On a trouvé un appareil astronomique sophistiqué dans un navire dans les îles grecques il y’a 2000 ans. L’empereur Néron s’était vu offrir par un visiteur inconnu un gobelet en plastique ! On a retrouvé dans les ruines de Ninive une lentille astronomique comme taillée par une machine de notre époque, et à Bagdad au millieu de vestiges datant de 226 après J.C une série de piles électriques. En exposition dans différents musée du monde, tous ces objets d’un autre siècle auraient-ils fait un voyage dans le passé en compagnie de voyageurs venus du futur ? Il ne manque pas dans notre histoire de ces personnages connus ou anonymes, dont le savoir parait extraordinaire et largement en avance sur leur temps.

Le curieux Michel Scott qui vécut à la cour de Fréderic II de Hohenstaufen était un de ceux là, tout comme le roi Arthur, et le curieux empereur chinois Fo Hi, qui semblait immortel. Je pense aussi au mystérieux John Dee qui vécut à la cour d’Elizabeth 1 ere, et à notre immortel comte de Saint –Germain. Parmi les voyageurs du temps il y aurait encore le célèbre écrivain italien Dante. Dans la « divine Comédie » il fait en effet allusion à l’électricité non encore découverte et fait une description de la Croix du Sud, une constellation totalement inconnue de l’Italie du Moyen-Âge. Le Pape Sylvestre II qui vivait à la fin du X siècle avait inventé l’orgue à vapeur, l’horloge à pendule, une tête de robot, un appareil qui décrivait le cours des planètes et le paratonnerre bien avant Benjamin Franklin. Sous Saint Louis vivait un curieux juif, nommé Jekiel, lequel semblait lui aussi bien connaître aussi l’électricité. Quand il touchait un clou planté dans un mur de son laboratoire, une flamme bleuâtre s’en dégageait un crépitant. Dans les tableaux du peintre flamant Jérome Bosch on trouve de curieux oiseaux qui ressemblent tout à fait à des avions. « Mais l’extraordinaire, commente Robert Charroux, commence lorsqu’on s’aperçoit que, sans l’ombre d’un doute, la nef oiseau porte une antenne munie d’un instrument pour mesurer les angles qui n’est autre que la goniomètre qu’inventa, trois siècles plus tard, le Français Carangeot. »
Swift, l’auteur des « Voyages de Gulliver » publiés en 1726, nomme les deux satellites de Mars et donne les distance et leur période de rotation avec une précision déconcertante, alors qu’au moins une des deux n’avait pas encore été découverte. En 1729, dans un livre, un écrivain français Tiphaine de la Roche, explique avec force détails le principe de la photo en couleur ! On connait aussi les découvertes « embarrassantes » de Léonard de Vinci, l’aéroplane, le sous-marin, le scaphandre, etc …

Mais le plus extraordinaire de tous ces voyageurs du temps, c’est sans doute le mathématicien italien Roger Boscovich.Il vivait en Dalmatie, au XVIII siècle, et dans ses ouvrages, parlait déjà de la théorie des quanta, de la mécanique ondulatoire, de la théorie de la relativité. Il fit même une description de la véritable nature de l’atome, se référant à la constante de Planck… une règle mathématique qui ne sera énoncée que deux siècles plus tard. Comment expliquer de tels prodiges ? Ces hommes avaient ils accès à des connaissances héritées de civilisations disparues, ou étaient-ils en contact d’une façon ou d’une autre, avec des visiteurs du futur ? 

Il se pourrait bien que ce soit eux, ces visiteurs, les mystérieux initiateurs « venus d’au-delà des mers » dont on trouve la trace chez tant de populations primitives. Ce pourrait bien être eux, également, ces curieux pilotes d’ovnis venus d’on ne sait où mais dont le savoir est indéniablement beaucoup plus avancé que le nôtre. Les ovnis ne seraient alors pas l’œuvre d’extraterrestre mais d’extratemporels. Des êtres du futur qui auraient découvert la machine à explorer le temps et viendraient nous visiter, ayant dominé le temps comme nous dominerons un jour l’espace.

Claude Burkel TOP SECRET N°31

Source

gif

Mise  à jour Area 51 Blog, le: 14/01/2014 à : 11h50.

area51blog


LA FORET DE CRISTAL ET LE CHAMP D’INVISIBILITE ET BARRIERE DE PROTECTION

22/02/2013
image illustration:ovniparanormal.over-blog.com

image illustration:
ovniparanormal.over-blog.com

Article source: ovniparanormal.over-blog.com

A-christ-logo-1

Note de C.Macé:

Vendredi 22 février 2013

Grand Merci à l’Ami Claude Burkel qui vient de m’adresser son nouvel article ci-après… :

Nous avons déjà parlé du cas de l’automobile rendue transparente par un faisceau lumineux, le 22 mai 1973 ? Au Brésil. Or, le mardi 19 mars 1974, M. Henri Broussouloux, cultivateur, observe à Meuzac, près de Limoges, dans la Haute Vienne, vers 20 h 30, par temps couvert, un faisceau d’un jaune éclatant qui balaie les environs, tournant en sens inverse des aiguilles d’une montre. Ce ruban plat, de 3 m de large, semble jaillir de derrière un petit bois à 80 m. Le balayage se poursuit plusieurs minutes durant, la ferme du témoin est éclairée une seconde chaque fois. A chaque balayage un petit bois les arbres deviennent transparents et l’o peut voir la ferme voisine, normalement invisible. Durant encore plusieurs minutes M. Broussouloux observe le phénomène, qui prend l’aspect d’une « marguerite lumineuse » constituée d’un objet central sombre – à 200 m d’altitude – entouré de faisceaux tournants d’un jaune intense, De 150 m de long et 3 m de large, qui se détachent sur le fond nuageux d’un noir d’encre. Puis, tout disparaît brusquement. Les gendarmes de Saint-Germain-les-Belles recueillent la déposition de M. Blanchet, cultivateur à Meuzac, qui dit avoir vu à la même heure un faisceau lumineux. (OURANOS – nouvelle série, n° 11, p. 3). Le jeudi 19 août 1976, vers 6 h 30 du matin, près de Chateauneuf-sur-Charente, en Charente, M. et Mme Sardin, réveillés par un bruit mystérieux, observent un objet elliptique rouge de plusieurs mètres volant à un mètre au-dessus de leurs vignes. Des arbres et des lauriers qui auraient d’ordinaire empêché toute observation sont devenus invisibles, « tout avait disparu comme s’il n’y avait rien devant nous : on avait l’impression d’être au bord d’une falaise, avec absolument rien, avec le vide autour, et puis cet objet-là », selon le couple, disparait, et tout revient normal ? REFERENCE : U.F.O. –Magazine n°2 . 1977, LDLN. n° 159, p. 26 Courrier de l’Ouest 3 août 1976. En Roumanie, vers le milieu de l’été 1953, Alexandre Sift, élève dans une école secondaire, vit une terrifiante aventure lors d’une excursion dominicale. Arrivant à l’orée d’un d’un bosquet près de Cluj, vers midi il aperçoit une sphère entourée de brume, d’un blanc laiteux, presque translucide, qui vole à 30 m du sol en face de lui, en direction du S.O…pour ensuite s’immobiliser puis descendre à terre dans la forêt lentement : « je gardais présent à l’esprit l’endroit supposé de l’atterrissage, et, armé d’un bâton, je commençais à me diriger vers le site. Tandis que je m’en approchais, je n’apercevais rien du tout. L’étrange objet volant semblait avoir disparu dans le néant. Je continuais à avancer avec précaution vers un buisson précis, où devait selon moi se trouver l’objet, et avançait le bâton pour sonder le terrain alentour. Alors soudain, je fus abasourdi, en constatant que le bâton et mon bras droit étaient devenus complètement invisibles. Immédiatement après, une douce brise humide, un souffle froid, quelque chose d’invisible et d’inexplicable commença à exercer une forte pression sur toute la surface de mon corps, m’incitant ou me forçant à reculer de quelques pas. Je ressentis une chaleur intense dans mes jambes, et j’eus alors immédiatement la nausée, me mettant à vomir. Je commençai à courir vers ma maison aussi vite que mes jambes flageolantes pouvaient me porter Or, le lundi 27 septembre 1954, de 20 h 30 à 21 h, à prémanon, dans le jura, les enfants de la famille Romand : Raymond , 12 ans, Janine, 9 ans, Ghislaine, 8 ans, Claude, 4 ans, voient une sphère rouge de 4 m de diamètre, posée sur quatre pieds, et un objet d’environ 2 m de haut, semblable à un gigantesque « morceau de sucre fendu en bas », à la surface d’aluminium poli. Raymond, de son pistolet à ressort, lance contre le « morceau de sucre » des pierres et une fléchette à embout de caoutchouc qui rebondissent dessus dans un bruit métallique. Alors qu’il approche de l’objet qui se déplace en se dandinant, il est comme repoussé par une pression glaciale. Tous fuient en criant. Tout ceci tendrait à rendre plus crédible l’incroyable aventure – citée – du caporal chilien Armando Valdès qui, le lundi 25 avril 1977, disparaît sous les yeux de sept hommes – Julio Rpjas, German Riquelme, Ivan Robles, Pedro Rosales, Humberto Rojas, Raul Salinas et Juan Reyes – de 4h 15 à 4 h 30 du matin, alors qu’il approche d’un objet éblouissant violet, situé à 500 m d’un autre objet semblable. Or, en raconte encore en Vendée l’histoire d’un paysan qui voulut empêcher son cheval de «  courir le lutin ». Il avait en effet trouvé, deux nuits successives, l’animal couvert d’écume, crinière et queue tressées, alors qu’il venait s’en occuper vers 4 h du matin. La troisième nuit, il eut le courage d’aller dormir dans l’écurie. Ayant le sommeil lourd, il ne se réveilla hélas que vers minuit, pour constater la disparition de son cheval. Fort mécontent, il guetta alors son retour. L’animal finit par revenir, et le paysan put voir qu’il était monté par un être nain d’apparence humaine, tandis qu’un souffle chaud le frappait au visage. Pris d’une folle colère en dépit de sa peur, il se précipita vers le cavalier, mais, avant d’avoir pu le toucher, il fut comme violemment repoussé par une force invisible et retomba sur la paille, il voulut recommencer et subit le même sort, se heurtant derechef à la dite barrière. Il saisit alors sa fourche, mais elle lui fut arrachée des mains inexplicablement. Il renonça à lutter, et au bout d’un moment l’être s’en alla, tandis que la sensation de paralysie qui l’oppressait disparut. Ramenant une lanterne, il constata que crinière et queue de son cheval étaient encore tressées. REFERENCE : Phénomènes spatiaux n° 8 juin 1966. P. 14-15 et n° 25, septembre1970. P.26.

Claude BURKEL le 21 février 2013

separation

Mise  à jour Aréa 51 Blog, le : 22/02/2013, 23h00.

area51blog

 


La Forêt d’Orient / Le Grand Secret par Claude Burkel

21/05/2011

Source : La taverne de l’étrange

Taverne Etrange TV – La forêt d’orient

« Bienvenue dans le Parc naturel régional de la Forêt d’Orient. L’ordre du Temple hérita, en 1220, de cette forêt, suite à une donation d’un frère (A. de Rosson). Depuis la loge aux chêvres suivont la route forestière du Temple; quittons celle-ci pour suivre celle de « la fontaine aux oiseaux »; elle mène à l’étang de Frouasse. A mi-chemin se trouve une petite construction à l’état de ruine, apparemment sans importance: c’est la fontaine aux oiseaux, en fait une authentique porte… »

Taverne Etrange TV- Le grand secret…

« Retour à la forêt d’Orient en compagnie de Claude Burkel ( enquêteur et ufologue ). Il nous fait part de ses recherches sur ce lieu ancestral et terre, jadis, de l’ordre du Temple. Claude nous révèle dans cette interview ses recherches depuis plus de 30 années sur cet endroit et nous ne sommes pas au bout de nos surprises… »


%d blogueurs aiment cette page :