REF : Enquête de Daniel Récolet de l’A.R.E.P.S. Rapport de J.P. D’Hondt
L’OBSERVATION :
Le vendredi 25 mars 2016 à Fontenoille petit village de 276 habitants, hameau de Flore ville, province de Luxembourg. Une habitante prénommée Josépha revenant chez elle par le chemin habituel, se gare et constate une étrange lueur sur le pare-brise de son véhicule. Elle descend et aperçoit à environ 30 ° d’élévation dans le ciel à plus ou moins une centaine de mètres d’altitude, un long cylindre d’apparence métallique, de couleur grise, d’une longueur estimée à environ 15 à 20 mètres et qui brillait.
Intriguée, elle saisit sa lampe de poche et dirige le faisceau en direction de l’objet. Aussitôt la luminosité du cylindre devient éblouissante et Josépha se protège les yeux en portant son bras gauche à hauteur de son front. C’est alors que jailli de l’objet un flash fortement lumineux.
Sans demander son reste, la femme rentre chez elle.
Quelques instants plus tard, racontant son observation à son fils, elle ressent une chaleur sur le bras avec lequel elle a protégé sa vue et elle constate que celui-ci porte une trace rougeâtre en forme de triangle !
C’est alors qu’elle sort de chez elle pour revoir le cylindre, mais celui-ci n’est plus là !
Des photos ont été prisent de cette marque sur le bras qui a persistée près de 2 semaines, puis a totalement disparu.
Cette histoire n’est pas sans rappeler celle du docteur X ( Dr Gueymard des environs de Manosque) qui dans le sud de la France a subit la même aventure en novembre 1968. Après avoir assisté à un spectacle insolite de deux engins non identifiés, il constata l’apparition d’une tache formant un triangle rouge sur la région ombilicale.
LA DEUXIEME OBSERVATION :
DATE : Juillet où Août 2010
LIEU : Frontière entre le Bénin et le Niger (Afrique de l’Ouest)
TYPE : DN – PAN : C
REF : Couriel du témoin en avril 2016 avec rapport adressé au GEIPAN
L’OBSERVATION :
« Je dois vous signaler que ce que j’ai vu, se passe au Bénin. Nous sommes en juillet ou en aout 2010, nous avons, ma femme et moi, ansi que 10 autres passagers africains, quittés Kandi qui se trouve au Bénin, dans un taxi brousse pour rejoindre Malanville, ville frontière avec le Niger. Nous devons nous rendre à Niamey (Niger), pour un mariage.
A Kandi, le chauffeur est nerveux car nous avons du retard sur le départ et que nous devons être sur le lieu dit le « pont » avant 18h. Nous sommes à une période de l’année ou il y a de fortes pluies, et sur ce lieu-dit les pluies ont emportées un morceau de la route. À cet endroit, des personnes du coin se proposent de guider les voitures à travers un chemin qu’ils ont eux même aménagé et qu’il faut connaître pour ne pas s’embourber ; mais ils s’en vont vers 18h, quand la nuit commence par tomber. Ce lieu se trouve à environ entre 10 ou 20 km de Malanville. Nous partons et effectivement, nous arrivons vers 18 h 30, trop tard pour passer. Nous sommes bloqués pour la nuit. Nous décidons de rester sur place et d’attendre le matin.
Donc, une heure environ après notre arrivé, nous étions arrêtés sur la route, prêt à attendre toute la nuit l’arrivée des passeurs au petit matin. Nous sommes tous descendu de la voiture. Tout d’un coup deux des passagers commencent à être inquiets et demandent aux autres de remonter en voiture (ils parlent une langue du nord que je ne comprends pas ; ma femme comprend un peu). Ils ont apparemment vus quelque chose mais j’ignore de quoi il s’agit ? je m’attarde un peu et on me demande expressément de rentrer dans la voiture comme tout le monde.
Quelques minutes passent puis les autres passagers commencent à beaucoup parler (dans leur langue) et on me dit en français de ne pas regarder. Mais regarder quoi ?
Et soudain, sur ma gauche, j’étais assis du coté arrière gauche de la voiture, je vois une boule très lumineuse passer à environ 10 m au-dessus de nous, venant de l’Est et se dirigeant vers l’Ouest. Elle était ronde avec un gros noyau très lumineux mais pas aveuglant et un halo autour moins lumineux, moins dense. Concernant la taille apparente, je dirais, à bout de bras, comme un ballon de basket pour l’ensemble noyau et halo compris.
Cette boule s’est déplacée sans aucun bruit, de manière parfaitement rectiligne et a rejoint deux autres boules à environ 300 m plus loin, à une vitesse que j’estimerai d’environ 70 km/h. Les trois boules sont remontées vers le Nord puis se dirigent vers l’Est. Elles ont effectuées ensembles des mouvements rectilignes horizontalement et verticalement en s’approchant, en s’éloignant, elles se rapprochaient et s’éloignaient entre elle entre 1 m et 10 m environ durant environ 1 minute. J’avais l’impression que parfois, elles fusionnaient puis se détachaient. Ensuite elles sont parties ensembles vers la forèt en prenant de la vitesse en suivant le trajet que j’ai dessiné.
Au loin nous avons pu les observer à travers les trouées d’arbres jusqu’à ce que la visibilité ne nous le permette plus. Vers la fin, elles allaient très vite. Nous les avons bien vus pendant trois minutes environ, il y avait une bonne visibilité et la nuit n’était pas complètement tombée. Elles avaient des couleurs différentes, je ne pourrais plus dire avec certitude les couleurs précises de chaque boule. mais je dirais quand même les couleurs suivantes : pour celle qui est passée au-dessus de nous plutôt rouge. Pour les deux autres, l’une verte et l’autre orange.
Bonne visibilité. Ciel dégagé sans aucun nuage. Même quand il a fait nuit on voyait comme en plein jour avec une magnifique pleine lune.
Tous les passagers ont vu la même chose que moi.
Après cette observation, j’étais assez troublé. Le Bénin est le pays du vaudou et beaucoup d’histoires incroyables sont racontées. J’ai eu une éducation très rationaliste et lorsqu’on voit ça, c’est assez déroutant.
Lorsque nous sommes arrivés à Niamey, puis au retour au Bénin, nous avons parlé de ce que nous avions vu. Les gens nous ont cru et chacun avait une explication. Je le répéte le Bénin est le pays du vaudou, et le phénomène que l’on a observé est expliqué comme étant de la sorcellerie.
Par contre en France, la réaction a été très différente. Ma famille et les quelques collègues à qui j’ai raconté ce que j’avais vu, n’ont pas compris…
j’ai fait des recherches pour essayer de comprendre, notamment les phénomènes de feux follet ou de foudre en boule (puisque un orage et venu un peu plus tard) mais rien qui puisse, pour moi, se rapprocher de ce que j’ai vu. Je suis tombé il y a peu sur des vidéos dit d’OVNI. Et bien là, j’y vois certaines similitudes. Pas sur toutes les vidéos, mais celles où il y a un phénomène avec un trio de lumières qui peuvent se déplacer à grande vitesse.
Je garde la tête froide et reste ouvert à toute explication. C’est en commençant à faire des recherches que j’ai connu le GEIPAN et c’est comme ça que j’ai remplis le questionnaire même s’il est précisé que cela doit se passer en France.
J’aimerai comprendre ce que j’ai vu. Je ne donne aucune interprétation. Je ne vois dans mon observation aucun phénomène que je connaisse. Mais je ne renonce pas à comprendre un jour ».
LES RENCONTRES UFOLOGIQUES DU NORD
Les Rencontres Ufologiques du Nord se déroulent régulièrement de 10 H 00 à 12 H 00 à la brasserie – café – restaurant « Le Broutteux » située 34 place de la Liberté à Roubaix. C’est à côté de la station de métro « eurotéléport ».
Dates, invitations et informations complémentaires en contactant : Jean Pierre D’Hondt – Email : jpdhondt@free.fr – Téléphone : 03 20 06 32 93
« UFO-meldpunt », le point de contact des ovnis en Flandre, recherche activement des images et/ou des témoins pour expliquer ce curieux phénomène. Il s’est déroulé à De Pinte (Flandre-Orientale) le 19 août 2015. Source
Le 19 août 2015, le point de contact des ovnis en Flandre (UFO-meldpunt) a reçu une vidéo étonnante. La scène se déroule à De Pinte (près de Gand, Flandre-Orientale) à 9h28. Grâce à la dashcam d’un conducteur, on aperçoit un curieux objet volant non identifié dans le ciel. Il se déplace du sud-ouest vers le nord-est, comme le note Het Laatste Nieuws.
Si vous avez aperçu cet objet volant non identifié et/ou si vous possédez d’autres images, vous pouvez toujours le faire savoir en remplissant ceformulaire.
Les observations d’ovnis réalisées dans le monde entier font état d’engins de toutes formes et de toutes dimensions. Mais, par endroits, il arrive que les témoignages s’accordent sur une forme particulière. Ainsi, des objets volants évoquant un disque ou un cigare ont maintes fois été cités. La » tendance « actuelle est aux engins triangulaires, plus communément appelés « triangles volants ». Si, comme toujours, les descriptions varient sur le détail, le recoupement des multiples témoignages indique qu’il s’agit bien du même type d’appareil.
Le » triangle volant « possède généralement une envergure de l’ordre de 100 mètres, et il est de couleur noire ou grise. Sa forme triangulaire est surtout apparente vue du dessous car il s’agit d’un engin relativement plat, ressemblant un peu à une grosse part de pizza. Un nombre significatif de témoins signale une forme « en accent circonflexe » ou une sorte de boomerang. De nombreuses observations d’ovnis intervenant de nuit, l’attention des observateurs, dans le cas du » triangle volant « , est d’abord attirée par trois lumières qui se déplacent dans le ciel en une impeccable formation triangulaire. On mentionne effectivement très souvent trois feux situés sur la face inférieure de l’appareil, un à chaque angle. D’autres témoins parlent d’un quatrième feu central, mais nettement moins luminescent. Si les feux extérieurs sont généralement blancs, le feu central est rouge. Ce descriptif fait immédiatement penser aux feux de navigation d’un avion conventionnel. Mais il se trouve qu’à la différence des feux d’avions, ceux des « triangles » ne clignotent pas … Des Témoins par centaines.
croquis source: Mikerynos touraine-insolite
La première grande vague d’observations de » triangles volants « remonte à mars 1983, aux abords de la vallée de l’Hudson (Etat de NewYork). Des témoins signalent la présence dans le ciel » d’ailes volantes « ou d’ovnis en forme de V. L’un d’entre eux décrira un appareil » tellement immense qu’il masquait entièrement le ciel »« Au cours des quatre années qui suivront, des centaines de personnes résidant dans cette région des Etats-Unis prétendront elles aussi avoir vu cet engin. Puis plus rien jusqu’à la vague d’observation belge. Les événements qui vont se dérouler en Belgique au début de cette décennie vont à nouveau placer les » triangles volants « sous les feux de l’actualité. Car il s’agit sans doute là d’une des plus spectaculaires et des mieux documentées de toutes les observations d’ovnis jamais rapportées au monde. En effet, l’espace aérien belge fut le théâtre d’une intense activité ovni tant les comptes rendus de bonne qualité, issus de témoins fiables, ont afflué depuis une première série d’observations effectuées en date du 29 novembre 1989. La crédibilité des témoignages est souvent sujette à caution dans ce genre d’affaire. Or, elle est cette fois renforcée par la nature des sources citées : des militaires et des policiers belges, c’est à dire des personnes rompues à des descriptifs précis et peu enclinés à une mauvaise identification d’un objet ou d’un phénomène classique. Nombre de ces témoignages, recueillis par centaines, font ainsi état d’objets triangulaires de grande dimension. Etant donné son ampleur, l’affaire fut prise au sérieux par l’armée de l’air belge qui tiendra ses avions prêts à décoller afin de « reconnaître » tout phénomène rapporté. Echaudées par une première fausse alerte -une observation d’ « ovnis » qui s’avéreront n’être que le reflet d’un spectacle laser sur les nuages !-, les forces aériennes belges décideront de faire décoller leurs chasseurs uniquement lorsque les observations visuelles seront confirmées par une image radar. Or c’est exactement ce qui se produisit dans la nuit du 30 au 31 mars 1990.
Signature radar. Au cours de cette soirée, les observations vont se multiplier, surtout dans la région de Wavre (au sud-est de Bruxelles), et dans de nombreux cas on signalera trois lumières volant en une formation triangulaire parfaite. Plusieurs témoins affirment avoir très nettement vu que ces feux étaient situés sur la face inférieure d’un immense appareil en forme de triangle. Or l’objet en question est repéré par deux stations radar, l’une relevant des forces aériennes belges, l’autre de l’OTAN. L’ordre fut par conséquent donne de faire décoller en toute hâte deux chasseurs F-16, appareils qui seront par la suite maintenus en procédure d’ « Alerte Reaction Rapide ».
Très vite, les chasseurs réussissent à repérer l’ovni sur leurs propre radars et à » verrouiller « le repérage de la cible. A plusieurs reprises, l’appareil parvient pourtant à s’échapper de l’emprise du radar. Ses capacités sont déroutantes: il semble pouvoir passer presque instantanément du vol stationnaire à une vitesse supérieure a 1000 km/h! Ses déplacements laissent supposer que l’engin répond à une conduite intelligente, mais l’ accélération produite par de telles manoeuvres (près de 40 g, plus de dix fois celle supportée par les astronautes d’une navette spatiale) aurait tué n’importe quel équipage humain ! Pressée de questions relatives à cette affaire, l’aviation belge accepte de coopérer avec un groupe d’ufologues belges dans le cadre d’une enquête détaillée. Le directeur des opérations de l’état major des forces aériennes belges, le colonel Wilfred de Brouwer, admit notamment que, selon ses services, l’ovni est un engin solide, structuré, ayant pénétré de façon illicite l’espace aérien belge. Cet officiel conclura par le terme « phénomènes anormaux ». Etant donné que les militaires et les milieux officiels réfutent traditionnellement l’existence même des ovnis, cette déclaration revêt une importance toute particulière. Au tour de la RAF.
Trois ans plus tard, le » triangle volant « se manifeste à nouveau, cette fois dans le ciel de Grande-Bretagne. La plupart des observations seront faites aux premières heures du 31 mars 1993 et, peut-être en raison de l’heure, plusieurs témoins seront cette fois également des policiers en patrouille ou des militaires en faction.
Les descriptions ressemblent étrangement aux observations belges : trois lumières se déplaçant en formation parfaite ou, à l’occasion de témoignages plus précis, un immense ovni triangulaire illuminé à chacun de ses angles. De nombreux observateurs signalent fréquemment une caractéristique supplémentaire des » triangles volants « : un bourdonnement sourd semble émaner de l’appareil. Deux témoignages sont particulièrement dignes d’intérêt. D’une part, une observation effectuée par la Royal Air Force (RAF), sur la base de Cosford, dans le Shropshire. Un peloton de garde entier verra passer l’ovni exactement à l’aplomb de la base ! Rapidement une vérification des mouvements d’aeronefs sera demandée auprès des contrôleurs du trafic aérien : aucun avion, tant civil que militaire, à signaler dans la zone concernée.
L’observation la plus spectaculaire recensée au cours de la même nuit est celle de l’officier chargé de la météo à la base de la RAF située à Shawbury, à quelques kilomètres seulement de celle de Cosford. Ayant appris qu’un ovni avait été signalé au dessus de la base voisine, l’homme sortit du bâtiment afin de se rendre compte de visu.
Selon son estimation, l’appareil a pratiquement la taille d’un Boeing 747. Cet officier rapporte que l’appareil projetait un faisceau lumineux vers le bas, balayant le sol de droite et de gauche comme s’il cherchait quelque chose. Puis le faisceau s’éteignit et l’appareil poursuivit sa route, en survolant la base à faible allure. Le ministère de la Défense déclenche une enquête pour tenter d’expliquer ces observations qu’il juge crédibles. La position des autorités est délicate : officiellement, il a toujours été acquis que les phénomènes ovni étaient pas du ressort de la Défense. Or, il se trouve que ce sont précisément des militaires qui ont signalé la présence d’un » triangle « non identifié, qui plus est survolant deux zones militaires sensibles. Aussi le ministère de la Défense britannique s’efforcera-til de banaliser le phénomène par des explications « naturelles ». Tablant sur le fait qu’au moins 90 % des observations d’ovnis s’explique de manière classique, les autorités procèdent par élimination, à commencer par l’analyse de toute activité aérienne dans le Shropshiren du vol de dirigeable au lancement de ballon-sonde météorologique. On consulte également l’Observatoire royal de Greennvich dans l’espoir d’une activité météoritique inhabituelle. Mais on ne trouve rien. En dernier ressort, on avancera l’hypothèse de la rentrée atmosphérique d’une fusée russe, détectée à 1h10 du matin. Ceci aurait certes pu expliquer une concentration ponctuelle de phénomènes lumineux à haute altitude, mais les observations s’étant étalées sur plusieurs heures, la thèse d’une fusée ne peut s’appliquer à ce cas.
Prototype Ultra-Secret. Dernière piste : le » triangle volant « pourrait être une sorte de prototype ultra-secret. On évoquera à ce propos un nouveau modèle hypersonique du Lockheed SR-71 Blackbird, développe sous le nom de code d’ « Aurora ». Des les premiers échos de cette rumeur, les forces aériennes belges rejettent la possibilité que le triangle aperçu en 1990 puisse être un avion furtif F-117 américain; d’ailleurs les autorités américaines ont apporté un démenti catégorique : aucun appareil de l’US Air Force n’était en cause. Quoi qu’il en soit, l’hypothèse du vol d’essai est peu vraisemblable : les prototypes sont testés dans des périmètres bien délimités et bien protégés, et de tels avions ne s’aventurent pas sans autorisation dans un espace aérien étranger particulièrement bien défendu : risques d’incident diplomatique, risques d’ interception et de destruction, secret éventé… le jeu n’en vaut pas la chandelle. Pour ces mêmes raisons, le ministère de la Défense britannique exclut toute implication d’un prototype américain dans ces observations.
Classé« sans suite« . Manque de coordination européenne ? Mi-mai 1997, le ministre belge de la Défense, Jean-Pol Poncelet, annonçait officiellement le classement du dossier ouvert suite à la vague d’observations. Motif : la signature captée par les radars des F-16 serait finalement celle d’un phénomène naturel lié à des écarts de température… par conséquent les centaines de témoignages doivent « probablement » se rapporter à l’observation du prototype LoFlyte. Déclaration surprenante : les responsables américains du projet LoFlyte certifient que le prototype n’est jamais sorti du territoire des Etats-Unis.
Etude de 11 observations d’Objets triangulaires. Cas No 01 : Derby, d’Allestree (GB) le 19 avril 1956. Cas No 02 : Lac Uppramen (Suède) le 1er avril 1968. Cas No 03: Ulceby Cross Lincolnshire (GB) en mars 1978. Cas No 04: Woodbridge, Suffolk (GB) le 27/28 décembre 1980. Cas No 05: Brierley Hill, West Midlands (GB) Le 19 novembre 1987. Cas No 06: Petit Rechain, Belgique le 30/31 mars 1990. Cas No 07: Samara, Kuybyshev (Russie) Le 13 décembre 1990. Cas No 08: Grand-Rechain-Stockis (Belgique) le 3 novembre 1993. Cas No 09: Mablethorpe, Lincolnshire (GB) le 12 février 1997. Cas No 10: Arizona, (USA) Observations du 13 mars 1997. Cas No 11: Monks Kirby, West Midlands (GB) Le 31 mars 1999.
NB. Pour mieux aprécier la taille des » triangles « observés, un modèle de voiture à été mis à la même échelle.
Derby, d’Allestree (GB) (Triangle de 6 m de large, peu ou pas de bruit, très grande vitesse)
Le 19 avril 1959 à 11h00, M. Gibbard (un menuisier) qui travaille sur le toit d’une maison dans le bourg d’Allestree, près de Derby, quand il a entendu le bruit d’un avion en approche. Celui-ci a été profondément impressionné par le modèle observé, son passe-temps est en effet l’identification des avions, et connaît de nombreux types d’appareils aériens.M. Gibbard a raconté l’événement : « Le jour était très clair, avec quelques petits nuages. J’ai entendu un avion s’approcher, j’ai alors regardé l’avion qui s’approchait à environ plus ou moins 2000 pieds d’altitude. C’était un avion assez rare de type Avro Anson (envergure d’ environ 17m), un avion lent utilisé pour la reconnaissance. J’ai alors était stupéfait de voir un avion avec des ailes delta assez près de l’Avro Anson, cerclant réellement autour de l’avion au moins deux fois, à une vitesse pas beaucoup plus élevée que la vitesse de l’avion, mais ne faisant aucun bruit audible, le seul bruit perceptible est venu de l’Anson. Ensuite il à disparus vers le haut sur une longue courbe en qui dura environ 5-10 secondes. » « Mon associé a également vu cette scène, mais malheureusement il est depuis longtemps décédé et ne peut plus corroborer cette observation. Ce ne pouvait pas être un planeur, en raison de sa vitesse réduite et de sa forme » delta « , de plus ceux-ci font énormément de bruit. »
Lac Uppramen en Suède.(Triangle de 31 m de côté) Le 1er avril 1968 un trou 500m2 a été découvert dans de la glace épaisse de 90cm sur le lac Uppramen en Suède. Le trou était parfaitement triangulaire et des blocs de glace plus de 1m de diamètre ont été dispersés au-dessus de la glace. Il y avait plusieurs trous, et d’autres semblables dans un lac voisin, un de la même taille et un autre plus petit. Une recherche officielle n’a trouvé rien sur le lit de lac excepté une croûte rougeâtre du matériel indéterminé.
Ulceby Cross Lincolnshire, (GB) (Triangle de 34 m de côté, vitesse 25/65 Km/h, pas de bruit)
Observation par un seul témoin un soir vers 23h00, en mars 1978 près de Ulceby Cross qui est situé à environ 10 Km de la côte. « L’objet était parfaitement triangulaire et de profondeur égale, sans des protubérances pointues ou d’autres dispositifs. Son aspect, apparemment constitué d’une feuille de métal, sans joints évidents entre les panneaux. Deux lumières très lumineuses à l’avant du triangle ont rayonné vers le bas avec un angle de 90 degrés vers le sol. Une lueur bleuâtre a émané du dessous du triangle. » On a estimé sa taille était plus grande qu’un bombardier de type » Vulcan « (envergure de 34m). Le triangle est passé au-dessus du témoin à environ 15m, et s’est écarté lentement à une vitesse entre 25 et 65 km/h. La nuit était claire. Comparaison des différentes tailles des 11 cas de « Triangles » avec un Boeing 747.
Woodbridge, Suffolk (GB) (Entre 2m et 3m de large et approximativement 2m de haut, sans bords tranchants. pieds approximativement de 18cm large, lumière éclatante rouge sur le haut.)
Le 27 décembre 1980, vers 03 h 00, deux policiers de sécurité USAF en patrouille, virent une lumière inhabituelle à la sortie arrière de la RAF Woodbridge. Il leur fut donné la permission d’aller voir, car ils crurent au crash d’un avion. Trois hommes furent envoyés, à pied. Ils rapportèrent avoir vu un objet lumineux, d’apparence métallique et de forme triangulaire, à 2/3 mètres de la base, et à 2 m d’altitude. Cet objet illuminait toute la forêt d’une lumière blanche. L’objet lui-même avait une lumière pulsant rouge à son sommet et une (des) bande (s) de lumière bleu sur le dessous. L’objet planait de manière stationnaire, ou se trouvait sur des pieds. Quand la patrouille s’approchait, l’objet manoeuvrait entre les arbres et disparut. Pendant ce temps, les animaux de la ferme voisine étaient en « délire ». L’objet fut brièvement revu une heure plus tard, à nouveau près de la sortie arrière du camp. Le lendemain, trois dépressions de 1 1/2 » de profondeur et de 7″ en diamètre, furent trouvées à l’endroit où était aperçu cet objet. Le lendemain (29 décembre 80) la zone fut passée au crible pour détecter d’éventuelles radiations. Des lectures de Beta/Gamma de l’ordre de 0.1 milliroentgens étaient enregistrées, avec un maximum dans les 3 dépressions et au centre de celles-ci. Un arbre proche montrait une lecture modérée (.05-.07) sur le flanc tourné vers les dépressions. (document FOIA) Dans la nuit du 27 au 28 décembre, plus de 50 personnes, tant civiles que militaires, font leurs commentaires après l’observation d’un ovni. Cela va du vaisseau extra-terrestre, au largage de drogues dures, en passant par des expériences militaires secrètes. Mais je propose les faits: Big Bird 16, satellite d’espionnage USAF de basse altitude, est lancé de la base Vandenberg en Californie, le 18 juin 1980 et est placé en une orbite polaire très large. Ce satellite est porteur de six capsules, à récupérer. La 67ème Aerospace Rescue and Recovery Squadron (ARRS), basée à Woodbridge, est l’une des unités désignées à récolter les capsules quand elles entrent dans l’atmosphère. Le satellite vole au-dessus de l’Arctique à 27,000 km/h, et au nord de la Norvège, dans la nuit du 27/28 décembre 1980 et largue une de ses capsules. Tandis que la satellite mère continue à tourner sur son orbite, la capsule entre au-dessus de la mer du Nord, allant vers le SSW. Quelques avions Lockheed HC-130 Hercules et un groupe d’hélicoptères HH-53C du 67èmeARRS attendent au-dessus de la Dogger Bank, les avions en altitude, les hélicoptères près de l’eau. Mais les parachutes de la capsule ne s’ouvrent pas. La capsule continue à descendre sans être freinée, sur sa trajectoire première, volant trop haut et trop vite pour les avions qui l’attendent. Cette trajectoire de la capsule l’amène directement à la base de la RAF à Woodbridge. Dès que l’alerte fut donnée au sujet des parachutes défaillants, on voit la capsule en feu au-dessus de Lowestoft, et le crash s’effectue dans les bois de Rendlesham. Toute la base participe à la recherche. (…) (Richard Kidd et Michael Akeroyd,août 1996)
Brierley Hill, West Midlands (GB) Le 19 novembre 1987. (Triangle de 30 m de long sur 15 m de large, huit ou neuf lumières claires, rectangulaires, convexes sur le dessous, vitesse lente sans bruit) La Colline de Brierley est située dans l’Ouest des Midlands en Grande Bretagne, le soir du 19 novembre un triangle a été vu dans le noir, par une mère et son fils adulte : » Il y avait quelques mailles visibles, c’était des bords aériens en dents de scie noirs comme si elles étaient des grilles. La partie intérieure avait une couleur grise ou argentée. Il y avait des raies en dessous. Les lumières étaient très fluorescentes d’un blanc clair. Il y avait 21 rainures longitudinales sous la surface du triangle, séparés par leurs propres largeurs de couleur noire, bronze et argent. « Bien qu’il y ait des ambiguïtés dans la description des deux témoins, c’était une observation assez proche et il y a un bon croquis fait par un témoin (le fils). Petit Rechain, Belgique le 30/31 mars 1990.
(Triangle de 15 m de long sur 3 m de large, de couleur noire avec 3 phares lumineux de couleur blanche et un point central de couleur rouge.)
Peut de renseignement sur cette observation. Entre 1989 et 1991, la Belgique a été le théâtre d’une véritable invasion d’ovnis. Suivie et amplifiée par les médias, cette affaire a été prise à ce point au sérieux que l’armée belge a cru nécessaire d’apporter son soutien. Fin mars, début avril 1990 un jeune homme habitant le village de Petit-Rechain réussit l’exploit de photographier l’ovni qui le survol. Il a fallu attendre quatre mois avant que l’auteur de ce document (c’est la seule photo de l’ovni belge) le fasse connaître, deux clichés ont été pris, le deuxième cliché a été éliminé ou » perdu « . Mlle S. laissa sortir son chien, un berger allemand. Elle sortit elle-même dans la cour, derrière la maison. Après 5 ou 6 secondes, elle regarda machinalement vers le ciel, où son attention fut attirée par des lumières. » J’ai d’abord pensé qu’il s’agissait d’étoiles, mais je me suis rendue compte qu’il n’y avait pas d’autres étoiles visibles dans le ciel « . Mlle S. avait 18 ans et était étudiante à cette époque. Elle pensait d’abord à ce qui serait normal, puisque ces lumières étaient immobiles, mais le ciel était couvert. Intriguée par ces lumières qui percent l’obscurité de la nuit, elle commença à remarquer de plus en plus de détails. « J’ai vu trois points lumineux blancs-jaunes, ronds, disposés en triangle et par la suite, j’ai distingué une autre lumière au centre. Pour moi, cette lumière était fixe (non clignotante) et semblait de même couleur que les autres. Je n’ai pas vraiment remarqué la forme d’un triangle. Je l’ai plutôt devinée « . Cela lui parût étrange et elle appela son ami. Lorsque monsieur P. M. est sorti, il a vu « trois feux blancs, ronds, disposés sur une surface triangulaire à peine perceptible« . Cet objet bizarre semblait être immobile. « Au centre, il y avait un point clignotant de même couleur, ou peut-être un peu plus rouge que les autres feux « . P. M. est un ouvrier qualifié, tourneur-ajusteur dans une usine locale. Il est habitué au travail de précision et aime relever des défis techniques. Ce n’était pas l’objet qui l’intéressait, mais il se demanda s’il parviendrait à le photographier. Depuis quelques mois, il possédait en effet un appareil photographique. Sachant qu’il était chargé d’un film DIA et voyant que ce phénomène ne bougeait pas, il est allé chercher son appareil. « Je suis ressorti et aussitôt, j’ai pris deux photos dont une seule a donné un résultat « . Le résultat est là, absolument extraordinaire. D’après ces témoins, l’ovni devait avoir une dimension approximative de 10 mètres. Mr P.M. a déclaré aux enquêteurs: « ce qui m’a le plus impressionné, c’était l’immobilité apparente de ce phénomène « , confirmant qu’il pensait à un « truc de l’armée ». Mr P.M. poursuit : « je n’ai pas réfléchi, mais j’ai trouvé cela quand même bizarre, parce qu’un avion n’est pas immobile ». Il voulait en prendre une troisième, mais l’objet partait, pointe en avant. Sa vitesse n’était pas grande, peut-être 40 ou 50 km/h. Les deux témoins signalent que pendant l’observation, ils ont entendu un « léger sifflement« . Mlle S. a ajouté: » Pour moi, l’élément le plus impressionnant de cette affaire est le bruit émis par cet objet « . Pourquoi? Parce qu’il « ne ressemblait pas à celui d’un avion « . Tout cela s’est déroulé pendant environ 5 minutes.
Une augmentation des contrastes dans la couche sensible au bleu montre que le contour du triangle est plus net près du coin supérieur droit du triangle qu’en d’autres endroits.On constate aussi que la diffusion de la lumière bleuâtre, émise derrière l’objet, était plus forte et plus étendue près de la base du triangle. Pendant la prise de vue, l’objet a effectué une rotation, corrélée avec les structures des feux. Ce n’est pas la caméra, mais le triangle qui a bougé. Ce Photographe amateur, a opéré avec un 24×36, et une pellicule 200 asa avec un temps de pose assez long. Le jeune homme (qui à garder l’anonymat) a toujours expliqué qu’il a fait la photo en coinçant l’appareil photo contre l’arête d’un mur. Et qu’il avait utilisé une pose de 1 a 2 secondes. Il a quand même fait l’effort de bien coincer l’appareil, de ne pas respirer au moment de la prise de vue, donc il a réussit cette prise de vue et cela n’est pas tellement extraordinaire et la photo démontre donc que le bougé qu’on observe n’est pas dû à une mauvaise manipulation de l’appareil, mais a un bougé du sujet lui-même. Digitalisée analysée et recomposée dans différentes couleurs grâce à un ordinateur très puissant ce cliché révéla les formes de l’engin et montra qu’il était en mouvement lors de la prise de vue.
Samara, Russie, 13 décembre 1990 (Triangle de 14 m de long, epaisseur de 3 m) A 0h07, les contrôleurs du radar à longue portée de la station de dépistage de Kuybyshev (Samara) virent un spot apparaître sur leurs écrans, estimé à environ 100 km. Le système automatique et électronique d’identification des amis ou ennemis (IFF) cessa de fonctionner, empêchant les contrôleurs de savoir si l’engin était hostile ou non. Deux minutes et demie après sa première apparition, le gros spot s’éparpilla en une multitude de petits retours. Ils étaient alors à moins de 40 km de la station et le plus imposant avait commencé à prendre la forme d’un objet de forme triangulaire, et se dirigeait maintenant droit sur le poste radar. Comme il approchait, une équipe de soldats voulut sortir pour voir ce qu’il en était : la chose passa en trombe au-dessus de leurs têtes, à moins de 9 mètres. Puis elle s’arrêta et entama un vol stationnaire à moins de 45 mètres d’une rangée mobile de radars à courte portée, connue sous le nom de poste numéro 12. Il y eut un éclair et les antennes jumelées prirent feu ; peu après, l’antenne supérieure s’effondra. Un examen ultérieur révéla que toutes les parties métalliques des antennes du poste numéro 12 avaient fondu, sans doute sous l’effet de l’éclair. Les témoins décrivirent le mystérieux triangle comme noir et « lisse…pas comme un miroir ; c’était comme une épaisse couche de suie ». D’après leurs récits, les flancs de l’objet faisaient environ 14 mètres de long et il avait environ près de 3 mètres d’épaisseur. L’engin ne présentait ni ouvertures ni hublots. Il continua à stationner environ 90 minutes après avoir détruit le radar. Puis il se remit en route et disparut complètement dans la nuit. Il semblerait que les Russes soient confrontés et subissent le même phénomène que leurs interlocuteurs américains. On se rappellera qu’à la fin de la deuxième guerre mondiale, les observations d’OVNIs « Foo Fighters » qui poursuivaient les avions de chasse alliés et nazis étaient pris par les premiers pour des engins nazis ou japonais et pour les seconds pour des aéronefs de l’alliance. Finalement, les forces en présence s’aperçurent que ces engins appartenaient ni à l’un, ni à l’autre.A noter également que ces triangles volants sont régulièrement observés près des bases militaires, des autoroutes ou des sources d’approvisionnement en énergie. La même constatation est valable pour les observations d’OVNIs classiques. Les observations répétées d’OVNIs au-dessus des installations atomiques de Oak Ridge en 1950, de Loring AFB, Maine en octobre 1975 ou encore de Bentwaters, RAF en décembre 1980 ne sont que quelques exemples parmi des centaines. Grand-Rechain-Stockis, Belgique.(Triangle de 20 m de long, vitesse de 20km/h, petite lumière bleue en haut, une grande lumière blanche au centre et trois lumières rouges dans les coins)
Le 3 novembre 1993. Nicolas T., 12 ans, se trouve seul chez lui vers 18 heures. « J’étais assis dans le fauteuil du salon. J’étais fâché car mon frère était parti chez les voisins, il ne voulait pas jouer avec moi. Soudain, j’ai eu le regard attiré par une lumière à travers la tenture de la première fenêtre du salon. Alors j’ai regardé par la vitre de la deuxième fenêtre et j’ai vu un énorme engin de forme triangulaire passer devant la maison, de gauche à droite, très lentement. Il semblait suivre la route vers Xhendelesse (ouest). J’ai nettement vu sa forme triangulaire qui se détachait sur le fond du ciel et il m’a semblé que les coins étaient arrondis. La surface du triangle n’était pas lisse, mais comme quadrillée par des sortes de reliefs ou de lattes, dont je n’ai pas pu voir la forme exacte. Au centre il y avait une grosse lumière ronde de couleur blanche qui éclairait fort. Il y avait aussi trois feux rouges, plus petits, un dans chaque angle. A l’avant, presque à la pointe, il y avait une lumière bleue. J’étais effrayé car cet objet était grand, plus grand qu’une maison et il volait très bas, une fois et demi la hauteur du réverbère qui se trouve devant la maison. Il émettait un bruit que je compare à un léger ronronnement, un peu comme le lave-vaisselle tournant au ralenti. La télévision était éteinte. Si elle avait été allumée je n’aurais pas entendu le bruit de cet objet. Il se déplaçait lentement, je crois que j’aurais pu le suivre à vélo, mais soudain il a accéléré d’un coup sec, si rapidement qu’en trois secondes peut-être, il a disparu caché par un arbre. Si je me souviens bien, au moment de l’accélération, la lumière blanche au milieu s’est éteinte. Le passage de cet engin a duré peut-être une quinzaine de secondes. Je suis certain qu’il ne s’agissait pas d’un avion. C’était énorme et très près de la maison. J’ai eu très peur.« (Inforespace n° 89 p. 19 et 20) Mablethorpe, Lincolnshire (GB)(Triangle de 12 m de long, de 9 à 12 m de large de couleur sombre avec unelumière centrale rouge en dessous, feux blanc et vert en plus des lumièressitués dans les coins son comme un bourdonnement ou silencieux)
Observation faite par un témoin expérimenté de l’aviation le 12 février 1997, l’objet avait une dimension de 2/3 des avions » Tornado « de la RAF. Il y avait un exercice militaire avec une activité aérienne dans la mer du nord à la même date, et le témoin pense qu’il a observé un appareil militaire. Le triangle est resté immobile plusieurs minutes au-dessus des maisons avant de s’éloigné et a perturbé la réception des TV. Arizona (USA)Les importantes observations du 13 mars 1997 en Arizona Paulden La soirée du jeudi s’annonçait plutôt ordinaire quand un premier appel fut reçu par le National UFO Reporting Center (NUFORC aux USA). En effet un premier témoin et sa famille, de la région de Paulden (dans le coin supérieur gauche de la carte), ont observé un étrange groupe de lumières rouges traverser rapidement le ciel nocture vers 20:16. L’homme qui a téléphoné est officier de police à la retraite. Il a expliqué qu’ils ont vu 4 ou 5 lumières rouges suivient par une autre. Le groupe de lumières était en formation en V. Prescott
Les appels suivants provenaient de la région de Prescott, 50 km au sud de Paulden, et racontaient que, vers 20:17, 4 ou 5 brillantes lumières blanches sont passé au-dessus de leur tête. Plusieurs témoins on raconté que l’objet semblait triangulaire avec un complexe groupe de lumières le long des bords. Dewey Un groupe de cinq personnes en voiture sur la route 69 en direction de Prescott ont observé l’objet triangulaire qui venait vers eux. Le conducteur a immobilisé le véhicule près de Deweyet les occupants sont descendu pour mieux observer l’OVNI. À ce moment-là, l’objet se trouvait directement au-dessus d’eux où il a semblé s’immobiliser pendant quelques minutes. L’objet était si gros qu’un point fermé à bout de bras n’arrivait pas à cacher l’OVNI. Celui du groupe qui rapporta l’observation ajouta que selon son expérience de pilote, l’objet était à moins de 300 mètres d’altitude. L’objet n’émettait aucun son et se déplaçait environ à la vitesse d’un ultra-léger. Pendant cette observation, le témoin affirme qu’il a aperçu un petit avion, pas très loin, qui se dirigeait vers Prescott.
Finalement le témoin avait téléphoné à l’aéroport de Prescott et à la Base Aérienne (AFB) de Luke avant de téléphoner au NUFORC. La téléphoniste de la base lui aurait confié qu’ilsétaient submergé d’appel à ce sujet. Étrange puisque les communiqué de la AFB Luke ont prétendu qu’aucun appel n’a été reçu à ce sujet. Monks Kirby, West Midlands (GB) (Triangle de 45 m de long pour une largeur de 11 m, quatre lumières rougesclignotantes à arrière, un feu rouge central émoussé en dessous. Vitesse très lente)
Observation faite par une multitude de témoins dans la nuit du 31 mars 1999, proche de Kirby (Coventry). « L’objet était un diamant façonné de l’arrière, avec une bande de lumières rouges brillantes, pulsantes du haut vers le bas. Il y avait aussi une lumière en fond et hors des séquences. Une lumières blanches et stables aux coins arrières du triangle. La section avant de l’objet est pointu. « La texture de l’objet paraissait comme vivante avec une distorsion de l’image comme à travers une brume de chaleur. Un modèle de labyrinthe à angles droits sur les surfaces inférieures en haut paraissent avoir été présent, semblable à l’observation de Stockis (Belgique) en 1993. Le triangle a plané à une hauteur d’environ 30 à 60 mètres, avec une inclinaison de 20 à 30 degrés sans aucun bruit pendant une durée de 15 à 20 secondes. Une distorsion horizontale de l’objet est apparue lorsque celui ci s’est éloigné.
Note sylv1 admArea 51 Blog:
Mardi 21 Octobre 2014 à 18h20:
« *La photo du petit Rechain a été depuis cet article signalée comme un fake. L’ennui c’est que son prétendu auteur n’ a jamais su refaire en direct et en public son oeuvre! (un comble!). Néanmoins même si nous acceptions que cette photo est un fake, alors comment expliquer que des F 16 ont décollé de Belgique ( l’une des bases de l’OTAN) suivre un morceau de carton et de frigolite, au prix que coûte le kérosène. C’est vraiment nous prendre pour des vessies, restons polis (sic!). Les médias ont bien pris soin ne ne pas l’expliquer ni même de poser la question aux autorités ( in -compétentes) bottant en touche, comme les organismes réputés sérieux, car officiels!
La vérité attends son heure, tôt ou tard tout se sait!
Pour l’heure admettons que n’avons pas les réponses mais des indicateurs.«
Vague belge 1990,vidéo de Michel ( un de nos contacts en Belgique)
Ajoutée le 22 déc. 2012
« Extrait du film de michel ,témoin de la vague belge vague belge 1990 . Cet extrait est la propriété de Michel Delval et du forum : http://ovni-belgique.xooit.be/portal.php Toute diffusion est soumise à autorisation de son propriétaire et ou administrateur du forum. Venez nous rejoindre sur notre tchat pour toutes questions au sujet de la vague belge. »
C’est le rêve de tous les hommes depuis le début de l’humanité : voyager dans le temps, revivre les grands moments qui ont marqué notre histoire dans le passé ou, au contraire, se propulser dans l’avenir pour essayer de savoir ce qui nous arrivera dans cent, deux cents ou deux mille ans. Le célèbre romancier H.G Wells avait déjà imaginé une machine à explorer le temps en 1895 et depuis ce thème a été repris par tous les grands auteurs de science-fiction. Ray Bradbury invente ainsi un héros qui peut se mouvoir à volonté dans le passé et le futur. Celui de Barjavel dans « le voyageur imprudent » entend même agir sur les événements du passé. Et au siège de Toulon, il essaye de tuer la jeune Bonaparte pour changer le cours de l’histoire. Dans la réalité peut-on vraiment se promener dans le temps comme on le fait dans l’espace ? Certains répondent que oui.
Les médiums, tout d’abord, ont parfois la faculté de revivre les événements du passé. Ce sont les psychomètres. Découverte à la fin du siècle dernier, la psychométrie souleva l’enthousiasme de nombreux savants. Ainsi, en « voyageant » dans le passé des médiums ont aidé à des découvertes historiques. Miss Beaumont, une jeune anglaise, plus connue par son surnom de médium Rosemary, revivait ainsi à loisir la vie de la cour du Pharaon Amenhotep III, qui vécut 1500 ans avant notre ère. En décrivant les coutumes de ce temps, elle donna une foule de renseignement précieux à un fameux égyptologue, Howard Hulme. Certaines personnes qui ne sont pas médiums réussissent parfois à dépasser aussi les barrières du temps, sans même le vouloir. Le cas le plus célèbre de ces voyages extraordinaires est l’aventure arrivée dans le parc de Versailles, le 10 aout 1901, à deux Anglaise, miss Moberly et miss Jourdain. Les deux femmes se promenaient, cet après-midi-là, dans le parc, avec l’intention de visiter le petit Trianon. Elles se trouvèrent alors en présence de deux hommes portant de longs manteaux et de curieux tricornes. Devant le petit Trianon une jeune femme dessinait. Elle portait un grand chapeau gris clair posé sur de longues boucles. Yb homme leur dit alors de ne pas rester là, il leur indiqua un chemin et, soudain, les deux femmes se retrouvèrent dans leur univers quotidien. La sensation d’oppression disparut et elles croisèrent de nouveaux les visiteurs de XX siècle. On sut, après enquêtes, que la vision des deux femmes correspondait parfaitement à l’état ou se trouvait le Petit Trianonen 1770. Et la jeune femme qui peignait était certainement la reine Marie-Antoinette. Ce jour d’aout 1901 miss Moberly et miss Jourdain avaient fait un curieux bond dans le passé.
M.P Schiel Crédit:informateur.creerforums.fr/
D’autres individus, eux, ont tout aussi fortuitement fait une incursion dans le futur. Un anglais nommé M.P Schiel a publié, en 1896, une nouvelle qui racontait la terreur répandue dans toute l’Europe par une bande de monstrueux criminels qui saccageaient, tuaient et brulaient les cadavres : « Les SS ».
L’écrivain américain Morgan Robertson, en 1898, quatorze ans avant le naufrage du Titanic, racontait la catastrophe survenue à un super transatlantique nommé le Titan. Tout concordait dans le récit avec ce qui serait la véritable tragédie. Le 7 décembre 1939, un habitant de l’Indiana fut amené au poste de police parce qu’il s’amusait écrire, sur tous les trottoirs, c’est inexplicable inscription : « Remeber Pearl Harbor » « Souvenez-vous de Pearl Harbor ». Deux ans donc, avant l’attaque japonaise sur la base du Pacifique. Et que dire de cet incroyable livre n°88 de la collection le Masque intitulé « Le Docteur Fregalle ». La particularité de l’ouvrage repose dans un passage de 2 pages qui raconte avec force détail l’assassinat d’un président des États-Unis dans un cortège alors que celui-ci se trouve à bord d’une voiture décapotable. Ce livre a été publié une première fois en 1931 par la « Librairie des Champs Elysées », 23, rue Marbeuf à Paris. Le titre anglais, « The strange case of vintrix polbarton », a été traduit en français par un certain Louis Labat et n’était pas numéroté bien que faisant déjà partie de la collection « Le masque » .
Il a été publié une seconde fois en 1936, toujours dans la collection « Le Masque », par les Editions Gérard, à Verviers (Belgique), laquelle publiait également la fameuse collection « Marabout ». C’est cette édition, portant le numéro 88, qui comportait justement les deux fameuses pages. Le livre avait des dimensions légèrement supérieures à la première édition (0.5). Il a enfin été publié une troisième fois, toujours par Gerard, avec le même numéro dans la même collection, mais avec les dimensions habituelles et sans les pages en question. Ah, oui, vous voulez peut-être connaitre le nom de l’auteur. Il s’appelait Oswald Dallas.
« Le Docteur Fregalle » crédit: informateur.creerforums.fr/
Certains savants n’excluent plus l’hypothèse, chère aux romanciers, d’une machine à remonter le temps. « La technique actuelle nous permettra bientôt de manipuler le temps », a déclaré le cosmonaute soviétique Kosirev. « Les progrès de la connaissance de l’univers nous donneront les moyens d’explorer à la fois le cosmos et le temps à travers d’autres dimensions ». Déjà en 1946, un ingénieur astronome, Emile Drouet, avait réalisé une maquette de machine à explorer le temps. Faute d’argent, il n’a pas pu réaliser son projet grandeur nature.
Mais des savants reprennent ses idées actuellement en Angleterre, en Suisse et même en France. En 2006 les services secrets de l’armée travaillaient sur ce projet. Si ces voyages sont possibles dans un avenir plus ou moins lointain, cela signifie que nos petits-enfants ou arrière-arrière – petits – enfants pourront voyager dans le passé, revenir au xx siècle ou remonter encore au-delà. Et cela veut donc dire que dans le passé on doit déjà retrouver la trace de ces visiteurs venus du futur. Cette trace selon les disciples du voyage dans le temps, elle existe. Et c’est l’explication de nombreux mystères qui planent encore dans notre univers. On a trouvé un appareil astronomique sophistiqué dans un navire dans les îles grecques il y’a 2000 ans. L’empereur Néron s’était vu offrir par un visiteur inconnu un gobelet en plastique ! On a retrouvé dans les ruines de Ninive une lentille astronomique comme taillée par une machine de notre époque, et à Bagdad au millieu de vestiges datant de 226 après J.C une série de piles électriques. En exposition dans différents musée du monde, tous ces objets d’un autre siècle auraient-ils fait un voyage dans le passé en compagnie de voyageurs venus du futur ? Il ne manque pas dans notre histoire de ces personnages connus ou anonymes, dont le savoir parait extraordinaire et largement en avance sur leur temps.
Le curieux Michel Scott qui vécut à la cour de Fréderic II de Hohenstaufen était un de ceux là, tout comme le roi Arthur, et le curieux empereur chinois Fo Hi, qui semblait immortel. Je pense aussi au mystérieux John Dee qui vécut à la cour d’Elizabeth 1 ere, et à notre immortel comte de Saint –Germain. Parmi les voyageurs du temps il y aurait encore le célèbre écrivain italien Dante. Dans la « divine Comédie » il fait en effet allusion à l’électricité non encore découverte et fait une description de la Croix du Sud, une constellation totalement inconnue de l’Italie du Moyen-Âge. Le Pape Sylvestre II qui vivait à la fin du X siècle avait inventé l’orgue à vapeur, l’horloge à pendule, une tête de robot, un appareil qui décrivait le cours des planètes et le paratonnerre bien avant Benjamin Franklin. Sous Saint Louis vivait un curieux juif, nommé Jekiel, lequel semblait lui aussi bien connaître aussi l’électricité. Quand il touchait un clou planté dans un mur de son laboratoire, une flamme bleuâtre s’en dégageait un crépitant. Dans les tableaux du peintre flamant Jérome Bosch on trouve de curieux oiseaux qui ressemblent tout à fait à des avions. « Mais l’extraordinaire, commente Robert Charroux, commence lorsqu’on s’aperçoit que, sans l’ombre d’un doute, la nef oiseau porte une antenne munie d’un instrument pour mesurer les angles qui n’est autre que la goniomètre qu’inventa, trois siècles plus tard, le Français Carangeot. » Swift, l’auteur des « Voyages de Gulliver » publiés en 1726, nomme les deux satellites de Mars et donne les distance et leur période de rotation avec une précision déconcertante, alors qu’au moins une des deux n’avait pas encore été découverte. En 1729, dans un livre, un écrivain français Tiphaine de la Roche, explique avec force détails le principe de la photo en couleur ! On connait aussi les découvertes « embarrassantes » de Léonard de Vinci, l’aéroplane, le sous-marin, le scaphandre, etc …
Mais le plus extraordinaire de tous ces voyageurs du temps, c’est sans doute le mathématicien italien Roger Boscovich.Il vivait en Dalmatie, au XVIII siècle, et dans ses ouvrages, parlait déjà de la théorie des quanta, de la mécanique ondulatoire, de la théorie de la relativité. Il fit même une description de la véritable nature de l’atome, se référant à la constante de Planck… une règle mathématique qui ne sera énoncée que deux siècles plus tard. Comment expliquer de tels prodiges ? Ces hommes avaient ils accès à des connaissances héritées de civilisations disparues, ou étaient-ils en contact d’une façon ou d’une autre, avec des visiteurs du futur ?
Il se pourrait bien que ce soit eux, ces visiteurs, les mystérieux initiateurs « venus d’au-delà des mers » dont on trouve la trace chez tant de populations primitives. Ce pourrait bien être eux, également, ces curieux pilotes d’ovnis venus d’on ne sait où mais dont le savoir est indéniablement beaucoup plus avancé que le nôtre. Les ovnis ne seraient alors pas l’œuvre d’extraterrestre mais d’extratemporels. Des êtres du futur qui auraient découvert la machine à explorer le temps et viendraient nous visiter, ayant dominé le temps comme nous dominerons un jour l’espace.