« Nous reprenons pour vous un article du FEA dont le contenu est intéressant. »
Article source: feairplane.canalblog.com/
Par F. Anceau
le 13 Janvier2015:
En 2003, j’ai mis sur le site d’UFOCOM un document [1] dans lequel je mentionnais que je n’avais trouvé aucune faille susceptible de justifier d’une influence « extérieure » dans le processus d’invention du transistor bipolaire, malgré l’affirmation du contraire faite par Ph. J. Corso dans son ouvrage « The Days after Roswell » [2].
Depuis, ma connaissance du sujet s’est approfondie et j’ai appris que l’histoire de l’invention du transistor était beaucoup plus complexe que ce qu’indiquaient les livres d’histoire des techniques, et qu’une influence « extérieure » pouvait effectivement s’y insérer, permettant d’éclaircir une énigme stratégique.
La découverte du transistor à pointes découle assez directement du développement du RADAR dans les années 1930 et 40. Comme la précision de la radiodétection est directement liée à la fréquence des ondes électromagnétiques utilisées, celle-ci doit être la plus élevée possible. Un tube, appelé « magnétron », étudié par plusieurs laboratoires, a permis d’utiliser des fréquences de l’ordre de quelques gigahertz, qui ont permis une bonne identification et une bonne séparation des échos. La réception de ceux-ci, à de telles fréquences, n’était pas possible avec la technologie radioélectrique de l’époque, largement basée sur les tubes électroniques. Des diodes spéciales, dérivées des détecteurs à galène utilisés au début de la radio, permirent de surmonter cet obstacle et le RADAR devint un acteur majeur de la seconde guerre mondiale.
Diode RADAR NEC GSB2
Toutefois, malgré le début du développement de la théorie des semi-conducteurs, le fonctionnement des diodes à pointes comportait encore, à cette époque, de nombreux mystères qui limitaient leur développement. Pour les résoudre, des recherches furent menées par John Bardeen et Walter Houser Brattein dans les laboratoires BELL aux USA et par Herbert F. Mataré [3] dans les laboratoires Telefunken à Lebus en Silésie (Allemagne). Dans chaque camp, les chercheurs découvrirent, vers 1942, que le rapprochement d’une seconde pointe exploratrice vers la pointe de la diode produisait une interférence entre ces deux pointes. L’urgence de la guerre, qui nécessitait l’amélioration des RADAR, ne permit pas d’approfondir cette découverte. Dès la paix revenue, et le retour aux activités civiles, ces chercheurs se remirent à explorer ce phénomène dans le but de découvrir un amplificateur (ou un commutateur) à l’état solide, ce que de nombreux laboratoires cherchaient à obtenir, dans une sorte de quête du Graal [4, 5], depuis les années 1920.
John Bardeen et Walter Houser Brattein dans les laboratoires BELL aux USA, et Herbert Frank Mataré avec Heinrich Welker chez Westinghouse, en France, mirent au point, quasiment en parallèle, un tel dispositif. Celui-ci naquit fin 1947 dans les laboratoires BELL et en mi-1948 dans ceux de Westinghouse. Les laboratoires BELL précédèrent de peu (d’une semaine) Westinghouse pour le dépôt d’un brevet en juin 1948 et obtinrent donc la paternité officielle de la découverte du transistor à pointes [Brevet US 2 524 035].
Bardeen, Shockley, Brattain Herbert Mataré
Reconstitution du transistor des laboratoires BELL Premier transistron (Westinghouse)
Jusque là, aucune place ne semble possible dans ce processus inventif pour une influence « extérieure ». Par contre, il n’en est pas de même pour la suite de l’histoire….
Après le dépôt du brevet par les Laboratoires BELL, ceux-ci et Westinghouse, cherchèrent à valoriser leur découverte. Dès 1948, au nom du progrès de l’humanité, les Laboratoires BELL cédèrent, à bas prix, des licences de leur transistor, ce qui incita la création de nombreuses jeunes entreprises. Celles-ci constituèrent le début de l’industrie microélectronique américaine. De son côté, Westinghouse, associé au CNET [6, 7, 8, 9], baptisa son dispositif « transistron » pour le différencier du « transistor » Américain. Une série, appelés PTT601, fut produite. Des transistrons furent utilisés pour équiper, dès 1953, un tronçon de la ligne téléphonique Paris-Nancy à Charmes dans les Vosges.
Pendant ce temps, au sein des Laboratoires BELL, W. Shockley s’était remis au travail [4] en reprenant, à la base, l’étude du transistor à la lumière de ses connaissances sur les jonctions découvertes depuis peu. Après quelques étapes intermédiaires, qui donnèrent lieu à des brevets de transistors hybrides (à pointes et à jonctions), un prototype fonctionnel de transistor à jonctions fut réalisé en 1949. En 1951, Gordon K. Teal et Morgan Spark réalisèrent un transistor à double jonctions, ancêtre des transistors bipolaires modernes.
Premier transistor à simple jonction Premier transistor à double jonctions (dit sandwich)
W. Shockley 1949 Gordon W. Teal et Morgan Spark 1951A première vue, tout ceci semble clair, bien qu’en y regardant de plus près, certaines choses paraissent très surprenantes :
– Dès 1948, il semble que les laboratoires BELL savaient que leur brevet de transistor à pointes serait dépassé et l’ont donc bradé à faible prix.
– Il semble aussi qu’ils savaient que d’autres dispositifs, basés sur des jonctions, étaient réalisables. Ils ont donc poursuivi leurs études dans cette direction.
– Il semble enfin qu’ils savaient aussi que ces autres dispositifs seraient meilleurs à terme, malgré le fait que, pendant plusieurs années, les transistors à pointes furent meilleurs, en terme de fréquence, que les premiers transistors à jonction (fabriqués en germanium). Ceux-ci se sont d’ailleurs révélés peu stables et très lents. Il fallu attendre 1954 pour obtenir un dispositif stable (le transistor silicium) et 1960 pour une généralisation de son usage dans l’industrie.
Tout ceci montre une excellente, et très surprenante, faculté de précognition de la part des laboratoires BELL. Celle-ci pourrait s’expliquer en donnant foi aux propos de Ph. J. Corso sur la valorisation, sous l’impulsion de l’armée américaine, d’artefacts trouvés dans l’OVNI de Roswell. Dans son ouvrage [2], Ph. J. Corso cite la présence de disques semi-conducteurs dans le lot d’objets qui lui aurait été confié pour valorisation. Les choix des laboratoires BELL pourraient bien avoir été orientés par l’analyse de ces disques (qui ne comportaient certainement aucune pointe).
A la fin de son séjour en France, Herbert F. Mataré retourna en Allemagne et fonda Intermetall à Cologne pour produire des transistrons en série. Des exemplaires de transistrons Français et Allemands existent encore dans certains musées (bientôt, un exemplaire de transistron devrait être visible au Musée des Arts et Métiers à Paris).
Industrialisation des transistors à pointes et des transistrons :
Transistor type A des laboratoires BELL Transistron industriel (radiographie)
Ce document ne prétend pas prouver l’existence d’une influence extraterrestre sur l’invention du transistor à jonction, mais simplement montrer un enchaînement d’évènements et un questionnement stratégique qui la rendrait plausible.
Le domaine des OVNI faisant l’objet d’un secret particulièrement épais, il est peu probable que nous ayons un jour prochain la confirmation ou l’infirmation de cette influence, pourtant très importante pour l’histoire des techniques.
Bibliographie :
[1] F. Anceau, L’invention du transistor a-t-elle bénéficié d’un coup de pouce extraterrestre ?www.ufocom.eu/v_fr/m_sciences/Transistors/Histoire_transistors.htm , Juillet 2003
[2] Ph. J. Corso and W. J. Birnes, The Days after Roswell, 1997, Pocket Books
[3] fr.wikipedia.org/wiki/herbert_mataré
[4] W. Shockley, The path of junction transistor, IEEE Transaction on Electron Devices, (reprise de 1976), nov 1984
[5] F. Nebeker, The Electric Century, IEEE Spectrum, june 2000
[6] Christian Licoppe, Chapitre 5- Les premières années des recherches sur le semi-conducteurs et les « transistrons » au CNET (1946-1956), in Réseaux, 1996 Hors Série 14 n° 1 pp123-146
[7] Jean-Marie Moulon, Les transistrons dans les amplificateurs, Collection technique et scientifique du CNET, Gauthier-Villars, 1956
[8] Christian Adam, The First French Germanium Semiconductors CFS Westinghouse Westectal Diodes and the Westcrel Transistron,www.radiomuseum.org/forum data/upload/130211_the_first_french_diodes_transistors_final_rmorg.pdf , feb 2011
[9] C. Rumelhard, Un transistor Français ?, séminaire : L’électronique dans la société contemporaine, Musée des Arts et Métiers, 14 décembre 2007
Mise à jour sylv1 pour Area 51 blog, le13/01/2015 à :10h05.
Sur la possibilité d’une influence « extérieure » dans le processus d’invention du transistor
13/01/2015La révélation des pyramides de Patrice Pooyard et Jacques Grimault
24/12/2014Vidéo youtube
Si cette vidéo ne fonctionne pas cliquez ici
Mise à jour Area 51 blog, le: 24/12/2014 à : 20h05.
Quand l’art s’inspire de l’ufologie.
18/10/2014
« Un lecteur artiste aussi passionné d’ufologie propose ses oeuvres. Je relaie l’information pour celles et ceux qui pourraient être intéressés. »
Ce que l’on sait de Kepler-186f, la sœur (presque) jumelle de la Terre
18/04/2014Adm investigations ufoetscience/Area51 Blog
Vendredi 18 Avril 2014:
« Cette annonce confirme l’avancée des recherches scientifiques, c’est plutôt une bonne nouvelle. Nous en saurons plus dans quelques mois sur ce corps céleste, sans doute.
La suite de l’article est à lire à la source . Nous avons cette habitude de renvoyer à la source originale les information là où nous les trouvons, normal, de ce point de vue, nous sommes clean depuis longtemps déjà.
Pour vous remercier de votre fidélité sur nos sites web voici une vidéo youtube:«
Ce que l’on sait de Kepler-186f, la sœur (presque) jumelle de la Terre.
Bonne année !
01/01/2014Amis visiteurs de nos sites web:Era & sylv1 vous communiquent ce message:
« Un autre chapitre se tourne dans notre grand livre de la vie. 2014 sera encore un nouveau grand titre avec nous l’espérons une très belle année ufologique qui viendra compléter des petits bonheurs plus personnels pour chacun d’entre vous . Très heureuse année à tous et ne regardez jamais derrière puisque notre tome à encore besoin de croître!!!! «
Risque de tempête solaire et conséquences terrestres
21/10/2013Article source: french.ruvr.ru/
Par La Voix de la Russie | De puissantes explosions avec des rejets importants de plasma pourraient avoir lieu au cours des prochains jours sur le Soleil. Ce phénomène risque de provoquer des orages magnétiques sur Terre, avec comme conséquence des dysfonctionnements d’appareils électroniques et des avaries. Selon les chercheurs russes, le danger d’éruptions solaires se poursuivra jusqu’à lundi. Mais un autre scénario d’évolution des événements est également possible, préviennent les experts.
Deux zones actives avec des groupes de tâches sont en train de se rapprocher sur le Soleil. Tant qu’elles sont bien séparées, elles ne présentent pas de danger, mais si elles se rapprochent, cela risque de provoquer un puissant rejet de plasma sur le Soleil. Des quantités condensées de gaz chaud se détacheront du corps céleste et se dirigeront vers l’espace le long de la ligne du champ magnétique solaire. Si ces lignes sont dirigées vers la Terre, cette dernière se retrouvera sous l’effet du fameux « nuage magnétique ».
« Si la Terre se retrouve sur le chemin de ce nuage, un orage magnétique risque d’éclater », explique le chef du département de physique du plasma à l’Institut de la recherche spatiale de l’Académie des sciences de Russie Anatoly Petroukovitch. « Des aurores polaires fortes et des variations géomagnétiques qui influenceront les signaux radio risquent également d’apparaître. »
Ce genre de problèmes représente un danger réel pour l’homme. Les avions risquent de perdre la liaison radio avec les contrôleurs aériens et les balises. Les particules de haute énergie peuvent même faire dévier la trajectoire des missiles. L’ogive d’un missile risque donc de s’écarter de sa cible et les conditions de cet écartement sont imprévisibles. Cela s’est déjà produit avec des satellites, que le plasma a mis hors service. Des incidents sur l’infrastructure terrestre ne sont pas exclus également.
« Les axes de communication, que cela soit des oléoducs, des gazoducs, ou des chemins de fer, sont soumis à des courants induits d’après la loi de Faraday », explique Alexandre Soloviev, directeur du laboratoire de physique du Soleil à l’observatoire de Poulkovo, près de Saint-Pétersbourg. « Cela peut provoquer des incendies et des problèmes techniques des stations automatiques sur les chemins de fer. »
Pour faire face à ces menaces éventuelles, la Russie et les Etats-Unis ont créé des services spéciaux chargés du contrôle de la « météo spatiale ». Ces services surveillent le niveau de l’activité solaire et émettent des avis d’alerte aux différentes institutions en charge du contrôle de l’infrastructure. Mais le comportement du Soleil reste très imprévisible.
« Il est difficile de prédire des explosions sur le Soleil, car ces événements sont très rares », continue Alexandre Soloviev. « Nous avons du mal à prédire à quelle fréquence peuvent se produire des ouragans dans l’atmosphère, et comment les localiser. »
Pour l’instant, les chercheurs arrivent à faire des pronostics avec quelques heures d’avance. Cela suffit pour corriger les horaires des vols des missiles et des avions. Quant à l’équipage de la Station spatiale internationale (ISS), les astronautes se trouvant à bord sont interdits de sortie dans l’espace pendant cette période. Il est important d’avertir le plus de personnes possible de l’arrivée de l’orage magnétique, car l’état de santé de ceux qui souffrent de maladies cardiovasculaires risque de se détériorer pendant cette période. Les bulletins de météo solaire sont régulièrement publiés sur le site Internet du Service d’hydrométéorologie et de surveillance de l’environnement (Roshydromet). N
Ajout : ( 21/10/2013 à : 10h48) un de nos contacts facebook (astronome amateur mais surtout ufologue passionné et par dessus tout métaphysicien.) a joint cette illustration avec une petite explication:
Mise à jour sylv1 pour Area 51 Blog, le: 21/10/2013 à : 10h00.
Dossier :Le mystère des «photos d’ovni» retirées par la Nasa élucidé
08/10/2013Note sylv1 adm:
Mardi 08 Octobre 2013 , 20h20.
« Nous avons exposé ce cas intriguant sur nos sites web.Nous soupçonnons la NASA de camoufler des images,informations etc…Dans cet article ci-dessous une version est donnée ,à chacun d’adhérer ou non à cette version, pour ma part je ne sais pas quoi penser…. ».
Vous trouverez aussi cette interview réalisé par le magazine de Roch Saüquere Top-Secret , repris par notre ami christian Macé de yvan Blanc (directeur du GEIPAN de (janvier) 2009 à (juin) 2011) concernant » l ‘Ovni-Transformer » photographié lors de la Mission STS-88, bonne lecture. Depuis janvier 2011 son successeur est Xavier Passot.
Article source: slate.fr/
Les ufologues du monde entier pensaient enfin tenir la preuve que les extraterrestre nous rendent visite et que les gouvernements du monde entier nous cachent la vérité. Plusieurs photos montrant des objets volant non-identifiés (ovni) ont été récemment retirées du site d’archive de la Nasa, où elles figuraient depuis mai 2011, comme le rapportait le site The Examiner le 18 janvier.
Il n’en fallait pas plus pour que les sites dédiés à la chasse aux ovnis et aux conspirations se réveillent. Le site UFO Sightings Daily écrivait ainsi:
«Comme je l’ai déjà dit, la Nasa a quelque chose à cacher. Je vais révéler l’imposture que représente la Nasa et les mensonges qu’elle défend.»
Mais après que la disparition des photos a été signalée par des sites d’information comme The Examiner ou io9, plusieurs lecteurs curieux ont découvert que les photos ont en fait simplement changé d’emplacement sur le site de la Nasa. Pour admirer ces beaux clichés, vous pouvez ainsi cliquer ici, ici ou encore là.
Selon io9, la Nasa identifie ces clichés comme des images de «débris spatiaux». Une explication plus rationnelle que celle de vaisseaux extraterrestres venus d’une galaxie très éloignée: la Nasa répertoriait 19.000 objets de plus de 10 cm, 500.000 déchets entre 1 et 10 cm, et des dizaines de millions de débris de moins d’1 cm en 2009, comme l’écrivait Cécile Dehesdin ici-même dans un article consacré à la difficile tâche de nettoyer l’espace.
Les sites d’information qui avaient rapporté la disparition des images ont mis à jour leurs articles pour diriger les lecteurs vers leur nouvel emplacement. Mais cela suffira-t-il à dissiper les soupçons de complot des ufologues? Rien n’est moins sûr. Le site UFO Sightings Daily n’a par exemple pas encore mis à jour son article ou signalé à ses lecteurs que les photos n’ont en fait pas disparu.
Mais que vous soyez plutôt du genre sceptique ou adepte des théories de Fox Mulder dans X-Files, vous pouvez toujours vous amuser à essayer d’identifier des objets volants bizarres en tapant «Space debris» dans cette base de donnée de la Nasa.
Yvan Blanc du Geipan s’exprime sur l’ovni de la Mission STS-88
Ci-dessus, l’une des photos de l’Ovni-Transformer photographié lors de la Mission Spatiale STS-88…
Retour sur l’Ovni-Transformer photographié lors de la Mission STS-88, l’une des photos ici. La revue « Top Secret » n° 48 (Avril-Mai 2010) a publié une interview d’Yvan Blanc, le responsable du GEIPAN, le groupe officiel d’étude des ovnis en France. Lire en pages 24 à 26 :
Ici cet extrait de l’interview :
« Question de TOP-SECRET : Si je vous dit ça, c’est pour avoir votre avis sur ce cliché de la Mission STS-88 qui faisait la couverture du numéro 45 de TOP SECRET ? La voici, qu’en pensez-vous ?
Yvan Blanc : On ne voit pas la dimension là-dessus. Vous savez, les satellites peuvent avoir toutes sortes de dimension et de taille.
TOP SECRET : Au début j’ai pensé à une sorte de voile, mais ensuite une autre photo m’a interpellé, qu’en pensez-vous ?
Yvan Blanc : Il y a eu des expériences de voiles solaires, quant à votre photo on peut tout dire là-dessus, ce n’est pas une preuve. Nous au Geipan nous pourrions l’expertiser grâce à certains de nos logiciels qui sont spécialisés dans l’étude photographique. Avec les originaux, nous aurions la capacité d’améliorer la définition de l’image. Ce programme est en cours d’adaptation à nos besoins au GEIPAN. C’est un outil indispensable à notre travail.
TOP SECRET : ce serait une bonne idée si la NASA vous faisait parvenir les originaux. Dix ans après le rapport COMETA, où en sommes-nous en France ?… ». Fin de l’extrait de l’interview.