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Publié par Émeline Ferard, le 06 septembre 2013
cercles de fées
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(crédits photo : Norbert Jürgens)Gentside DécouvertesUne équipe de chercheurs internationale a développé une nouvelle théorie pour expliquer le mystère des « cercles de fées », ces formes circulaires qui apparaissent sur le sol des déserts africains. Ils seraient dus à une compétition aux ressources entre les plantes.Le mystère des « cercles de fées » n’est visiblement pas totalement élucidé.
En mars dernier, des chercheurs avaient annoncé avoir trouvé l’origine de ces cercles intrigants qui apparaissent sur le sol des déserts africains, notamment en Namibie. Ces disques circulaires mesurent généralement plus de 2 m de diamètre mais leur surface, stérile, est cernée par une étonnante couronne de végétation (à partir de 0’30 sur la vidéo). Grâce à leurs travaux, les scientifiques avaient découvert que ces formations pouvaient être dues à des termites de sable. Mais cette hypothèse est visiblement loin de convaincre tous les spécialistes puisque aujourd’hui, une nouvelle théorie a vu le jour. D’après une étude publiée dans la revue PLoS ONE, les cercles de fées seraient plutôt liés à la féroce compétition à laquelle se livrent les plantes pour accéder aux ressources. C’est une équipe dirigée par Michael Cramer de l’Université du Cap en Afrique du Sud qui est arrivée à cette conclusion en réalisant de nouvelles analyses sur les fameux cercles, convaincue que les termites n’étaient pas les principales responsables. « Je pense que le principal obstacle que ces explications doivent surmonter est de trouver l’origine de l’espacement régulier des cercles, de leur circularité approximative et de leur taille », a déclaré Michael Cramer à LiveScience. « Il n’existe pas de raison réelle pour laquelle des termites produiraient des cercles aussi larges et aussi uniformément espacés », a t-il ajouté. De plus, la longévité de ces cercles a également de quoi étonner puisque les petits peuvent rester là durant plus de 20 ans et les grands jusqu’à 75 ans. Une répartition liée aux ressources disponibles Parmi les hypothèses évoquées ces dernières années, certaines chercheurs avaient estimé que ces formations pouvaient être dues à un mode d’organisation des plantes. Une théorie que le biologiste et sa collègue Nichole Barger de l’université du Colorado trouvaient plus convaincante, c’est pourquoi ils ont décidé de la tester. Pour cela, les chercheurs ont mesuré la taille, la densité des cercles de fées ainsi que la surface qu’ils occupent en Namibie. Puis ils ont collecté des échantillons de sol à différentes profondeurs à l’intérieur et en dehors des cercles. Ils ont alors analysé ces derniers en se concentrant sur la quantité de nutriments et d’eau contenue dans chaque. Enfin, ils ont inséré les résultats obtenus ainsi que des données climatiques sur le taux de précipitation et les températures notamment, dans des modèles informatiques. « Nous avons trouvé que la taille des cercles, leur densité et le degré auquel ils occupaient le paysage étaient tous associés à la quantité de ressources disponibles », a indiqué Cramer. En particulier, les chercheurs ont observé que les cercles de fées étaient plus petits s’il y avait plus de ressources tels que de l’azote dans le sol ou de la pluie. Ils ont également constaté que les pluies avaient un impact important sur la distribution des cercles : ceux-ci n’apparaissaient que dans les zones où il y avait juste le bon apport de pluie (ni pas assez, ni trop). Ces résultats ont ainsi permis aux scientifiques de conclure qu’une compétition entre les plantes pouvaient être responsables de ces formations. Des plantes qui provoquent la mort de leurs voisines Au départ, l’herbe pousse de façon homogène dans le désert namibien mais des pluies clairsemées et un sol pauvre en nutriments créent ensuite une féroce compétition entre les herbes. Les plantes fortes se mettent à absorber toute l’eau et les nutriments présents, causant irrémédiablement la mort de leurs voisines plus faibles et formant un trou stérile dans le paysage. Et plus la compétition se poursuit, plus le trou sans végétation s’étend. Il devient alors une sorte de réservoir d’eau et de nutriments pour les plantes qui se développent à la périphérie, donnant la forme caractéristique du cercle de fées. Selon le biologiste, les observations faites ont un sens puisque les herbes plus grandes n’auront pas besoin d’un réservoir important de ressources pour se développer et survivre si de l’eau et des nutriments sont déjà présents dans l’environnement. Les cercles seront donc plus petits. En revanche, l’herbe aura besoin d’un plus vaste réservoir si la quantité de ressources disponibles est faible, créant alors un plus grand cercle. Le fait que ces formations n’apparaissent que dans des zones au taux de pluies adéquat a également un sens, d’après Michael Cramer. En effet, s’il y avait trop de pluie, les ressources abondantes réduiraient la compétition et provoqueraient la disparition du cercle. Et s’il n’y en avait pas assez, la compétition deviendrait trop sérieuse et le cercle disparaîtrait également avec la mort des plantes. Pour les mêmes raisons, les différences de précipitations d’une année à l’autre pourraient donc être à l’origine de l’apparition et la disparition des cercles au fil du temps. En prenant en compte toutes ces informations, les chercheurs ont réussi à prédire la distribution des cercles de fées avec une précision de 95%. Une théorie à développer Michael Cramer et ses collègues ne nient pourtant pas le rôle des termites. « Ce qui forme les cercles est la compétition entre les plantes. Les termites sont un phénomène secondaire, et leur rôle est de maintenir les cercles en tuant les herbes qui poussent au centre« , a t-il expliqué. Toutefois là encore, la théorie de la compétition entre plantes ne convainc pas tous les scientifiques. Yvette Naudé, une géochimiste de l’université de Pretoria en Afrique du Sud a indiqué qu’il était agréable d’entendre une théorie n’impliquant pas des insectes pour expliquer les cercles de fées. Mais « la façon dont une compétition pour les ressources entre des herbes peut induire une mortalité aussi abrupte et synchronisée sur une parcelle entière est incertaine », a expliqué la spécialiste à LiveScience. « La réponse au mystère des cercles de fées demeure ailleurs », a t-elle ainsi estimé. D’autres scientifiques estiment cependant qu’on se rapproche de la solution. « C’est une très bonne théorie qui prend en compte toutes les caractéristiques des cercles de fées. Aucune autre cause proposée n’a fait cela auparavant », a fait remarquer Walter Tschinkel, biologiste de l’Université de Floride. Pour confirmer leur théorie, Michael Cramer et ses collègues entendent donc poursuivre leurs travaux en réalisant notamment des tests expérimentaux.
(crédits photo : Norbert Jürgens)
Copyright © Gentside DécouvertesMise à jour sylv1 pour Area 51 Blog, le : 07/09/2013 à : 14h10.
Le mystère des cercles de fées expliqué par une nouvelle théorie
07/09/2013Le mystère du lac Khyargas Nuur en Mongolie
07/09/2013Image La Voix de la Russie
Un groupe de chercheurs russes est revenu des rives du lac mongol Khyargas Nuur. Ils ont essayé de découvrir d’où venaient les traces qui apparaissent régulièrement sur les rives du lac. Elles pourraient appartenir à un grand reptile.
Les grandes traces sur les rives du lac Khyargas Nuur ont été découvertes au milieu des années 1980 lorsque des membres d’une expédition géologique soviético-mongole dirigée par Viktor Iarmoliouk s’étaient arrêtées là pour se reposer. Les années suivantes, les géologues y ont encore fait une halte à plusieurs reprises. Des zoologues y sont allés aussi. À chaque fois, les scientifiques ont vu des groupes de traces relativement fraîches, s’étalant à plus d’un kilomètre et demi de l’eau, comme si un reptile était sorti de l’eau et était resté un bon moment sur le sable. Les hypothèses voulant que ces traces proviennent d’un animal habitant sur la terre ferme ou qu’elles aient été laissées par l’homme ont été réfutées. Celle sous-tendant qu’elles aient pu être formées par les vagues ou le vent a aussi été écartée. Le rivage du lac Khyargas Nuur est un lieu désert et inhabité, se trouvant à une centaine de kilomètres du village le plus proche. Les nomades avec leurs animaux et les clients de l’auberge de tourisme à proximité ne passent pas près des rives. De plus, les géologues ont une nuit entendu des mugissements provenant du milieu du lac.
Toutefois, aucune expédition zoologique ou hydrologique sérieuse ne s’est rendue sur les rives du lac mongol. Il y a cependant des amateurs qui explorent différents sites étranges. L’écrivain et homme public Igor Grichine s’est rendu au lac Khyargas Nuur avec le groupe cet été. C’est la deuxième fois qu’il y va, la première était en 2010. Cette année, ils se sont armés de bon matériel, dont une sonde acoustique de dernière génération.
Zone de passages d’ovnis à Matane, Québec
07/09/2013Article source: ovniquebec.info
Je me nomme Claude, je suis proprio d’une demeure à Matane dans le Bas-Saint-Laurent. J’ai 43 ans et père de famille. Mécano de métier et plusieurs cordes à mon arc dans différents domaines. Nous voyons des ovnis depuis quelques jours et quelques années. Trois fois cette semaine. Une journée indisponible pour moi et une autre nuageuse entre l’avant et le dernière de chez moi.
Je ne sais pas trop à qui le dire tous ces mystérieux événements. Deux fois avec ma conjointe et une autre fois avec mes parents à l’extérieur. V’là trois ans. Un cas rapproché (très très proche) et de jour. Je peux vous dire parfaitement la forme de l’engin, couleur, etc. Il était très bas au-dessus de moi. Un autre témoin a vu la même chose.
J’ai été la chercher à l’intérieur pour lui montrer. V’là deux ans un cas sur la route en soirée. J’ai réussi à prendre quelques photos aujourd’hui et avant-hier. Mais de soir, je le vois présentement et dans les mêmes heures, c’est lumineux et en basse altitude. L’appareil photo a réussi à prendre quand même de bons clichés. Ce n’est pas facile à faire sortir sur l’appareil. Plusieurs photos ne sont pas bonnes, mais quelques-unes nous laissent un peu songeurs. De jour c’est gris pâle à gris foncé et de manière irrégulière et posée comme des plaques jointées.
Je n’irai pas trop loin dans mes descriptions, mais nous savons à quel endroit l’engin entre dans l’atmosphère et aussi les heures propices à le voir de chez nous. Il visite d’une manière journalière en ce moment, etc. Je vous joins une photo. Regardez au-dessus de l’antenne parabolique et vous faites un grossissement du point lumineux. J’ai une autre photo encore plus claire. La photo présente est avec une exposition nocturne. Cela laisse des lignes indésirables. Ce soir avec l’exposition normale. L’engin est mieux sorti.
Nous avons encore eu la chance du même soir de photographier un autre ovni. Les photos sont très claires au grossissement. On voit très clairement qu’il y a quelque chose de pas normal dans le ciel et l’engin est visible du mieux que mon numérique peut le sortir dans le noir et sans éclairage. Je pense avoir trouvé les options pour poser le mieux possible dans le noir. Je vais joindre quelques photos de ce soir. Vous allez devenir songeur un peu comme nous, je crois qu’il faut grossir le point au centre des photos nocturnes.
Les évènements des derniers jours ont tous été vus entre 10 h et 5 minutes à 11 h et le 8, 9, 10 et le 12 juillet 2005. Le véhicule volant entre dans le ciel presque toujours au même endroit, mais à des directions différentes. Je recherche d’ailleurs présentement une carte du ciel qui pourrait m’aider à mieux le situer. Il semble d’ailleurs avoir un genre de connexion entre moi et lui. Quelques faits cocasses sont arrivés sur le moment, ce soir et une autre fois dans le passé sur la route de Mont-Joli.
Pour celui que j’ai vu le jour. C’est un triangulaire, mais les coins sont arrondis. Le dessus et dessous est plutôt de forme galbée. Pas de vitre et aucune écriture sur l’engin. À l’arrière il y a deux angles droits qui rentrent un peu dans l’engin. Pas un son et le silence règne. Tous les appareils électriques fonctionnent quand même. La vitesse était vraiment basse. Peut-être 10 à 15 km/h et l’altitude très basse aussi, vers 4 h en été.
Les photos que je vous envois date tous du 9, 10, 12 juillet 2005. Le 8 était vraiment la journée idéale, car l’engin était très proche de nous et plus bas que les autres photos. Regarder la 527, 611, 658, on voit très bien un engin volant et ce n’est pas un satellite ou une météorite ou une comète. La 658, 659 et 663. Agrandissez le petit point central, il est petit, j’ai posé sans grossissent. J’essaie différents réglages. Il va apparaître l’engin, mais ce n’est pas facile de faire la photo dans le noir avec mon appareil.
L’objet que je parle prend des trajectoires différentes à toutes les fois. Semble aussi avoir des altitudes différentes et des vitesses différentes. Il n’est pas en haute altitude. Je vois régulièrement des satellites et la grosseur de l’objet n’a rien à voir. Ce que nous voyons semble très très gros. Ensuite hier, il a passé dans le ciel. Quand j’ai dit regarde il est là, il a changé de trajectoire et a disparu dans le ciel pour réapparaître au même endroit 5 minutes plus tard et il a continué sa route rapidement cette fois.
La puissance des lumières est très très grande et ne baisse pas durant son passage le soir. Contrairement à un satellite qui frappe le soleil et le réfléchit de moins en moins selon son déplacement. J’ai vu un appareil v’là deux ans et de jour à environ 250 à 300 pieds au-dessus de moi vers 4 heures avant de souper, aucune sphère. Sa forme est plutôt triangulaire avec les bouts arrondis. À l’arrière, il y a deux angles droits dans son centre. La couleur va du gris pâle à foncé. Aucun son n’est audible et la grosseur d’un gros porteur environ.
Une autre fois en descendant de Mont-Joli l’été passé, j’ai dit regarde la lumière à côté de nous, la lumière a fermé aussitôt et l’objet a continué son trajet à basse altitude, cela nous a médusés, car il y a eu une réaction dans mon raisonnement. Comment a-t-il pu savoir que je l’avais vu? Je ne sais pas! Mais il a fermé les lumières pour continuer sa route au-dessus du fleuve et à grande vitesse. De toute façon, je ne m’attendais pas à avoir une réponse positive sur cet ovni.
Les gens aiment mieux se dire que c’est des âmes qui montent au ciel quand ils ne comprennent pas que le phénomène existe ou aucune raison ne les ferait croire le contraire. Sauf peut-être un nez à nez, ha, ha, ha.
Il y a 400 milliards d’étoiles et la vie existe ailleurs. Moi, je ne doute plus de cela depuis un bon moment. Il faut être un peu étroit d’esprit pour dire que nous sommes uniques parmi les galaxies du cosmos. Peut-être sur la Terre nous sommes les Kings de la place, mais pas dans l’immensité de l’univers.
Je vous laisse donc, Monsieur Morin et je vous souhaite un jour d’avoir la preuve de vos propres yeux de ce que vous recherchez. Je ne désire aucunement parler de cela pour finir à rien de potable. Si un jour j’ai encore la chance de revoir un véhicule volant de ce genre pendant que le jour est là. Je me ferais un plaisir de vous transmettre les photos.
J’ai découpé dans 5 photos les véhicules non identifiés pour vous donner une meilleure idée et aussi plus de facilité à me comprendre face à ce phénomène que je vois souvent par ici. En espérant que vous allez trouver les photos meilleures que celle que vous m’avez offerte en comparaison d’un grossissement de 12 X d’un appareil photo numérique à 460X.
Moi, le véhicule n’a pas besoin de rien pour être observé et vu, il est très très clair. C’est avec mon appareil photo qui n’est pas facile de cadrer ou même de capter cela dans le cadre pour le poser. Je vous le dis, nous sommes observés. En espérant que vous allez voir mieux les photos comme cela.
Amicalement.
Claude de Matane
Mise à jour sylv1 pour Area 51 Blog, le : 07/09/2013 à : 10h55.