Sur les Traces de l’Atlantide

03/09/2013

image source : sylv1 :investigation océanographique et oanis copyright

De mes vacances de Bretagne du sud dans le département du Morbihan, j’ ai effectué une surprenante rencontre.

L’écrivain christian Robic auteur du livre : sur les traces de l’ atlantide.

Nous avons parlé pendant une bonne heure je crois  sur l’origine de la Bretagne ,les endroits à découvrir, et l’histoire riche de cette région .

Il m’ a présenté ses recherches et j ‘ ai acheté son ouvrage très instructif car étant daté assez précisément et les dires s’appuyant sur de la recherche, alors qui mieux qu’un breton pour parler de cet héritage ?

Les cultures celtes et romaines ont -elles été orientées dans leur savoir et leurs connaissances grâce à l’armorique? Un peuple sédentaire contrairement à ce que nous pensions du fait que la nourriture foisonnait à volonté issue principalement des »ingrédients de la mer », voilà ce que pense l’auteur.

Voici un résumé que je retape pour vous ici , emprunté au verso de son livre.

Lire la suite Sur Notre site Investigation Océanographique et OANIS


Une boule de feu en Russie

03/09/2013

Vu sur SOTT. NET

lun., 02 sept. 2013 05:19

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Près de Vladivostok, des témoins ont aperçu une boule de feu qui a illuminé le ciel, laissant une traînée dans le ciel qui a duré 1h30. 

Regardez la vidéo

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Mise à jour Area51blog le 3 Septembre 2013 à 10 h 55

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Terriens en quête du ciel et d’eux-mêmes

03/09/2013

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Note Era Admin 

Le 3 Septembre à 10:30

Je vous propose cet article de La Croix, non pas pour faire du prosélytisme, mais parce que je le trouve intéressant dans le sens ou le religieux qui s’exprime le fait d’une manière très pragmatique et déclare que la réponse à nos questions sur la vie dans l’univers viendra de la science et non pas des livres sacrés.

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Deux ouvrages invitent à nous tourner vers les étoiles : l’un pour évoquer la conquête spatiale, l’autre l’éventuelle découverte d’une vie extraterrestre.

Le rire d’Icare. Le risque et l’aventure spatiale
de Jacques Arnould
Éditions du Cerf, 116 p., 15 €

Les extraterrestres existent-ils ? Un astronome du Vatican répond
de Guy Consolmagno
Éditions  Quasar, 80 p., 10 €

Icare s’est brûlé les ailes à s’aventurer trop près du soleil. Même s’il ne s’agit que d’un mythe, comment ne pas se souvenir de la leçon en observant, avec Jacques Arnould, chargé des questions éthiques au Centre national d’études spatiales (Cnes) et collaborateur régulier de La Croix, que « depuis le début des vols habités, si environ cinq cents hommes et femmes sont allés dans l’espace, vingt-deux ont accidentellement péri, durant une mission ou au cours de leur entraînement, soit presque un sur vingt ». Ce lourd tribut payé pousse à s’interroger sur les finalités, moyens et conséquences de l’aventure spatiale.

Jacques Arnould réfléchit notamment sur les risques que l’homme a pris pour sortir de ses limites et « découvrir un monde un peu, voire beaucoup trop grand pour l’humanité ». Risque pour les astronautes, « envoyés consentants d’une humanité conquérante », mais aussi risque pour l’humanité tout entière, puisqu’il n’est pas exclu que des micro-organismes susceptibles d’être ramenés sur Terre avec des échantillons extraterrestres, malgré toutes les précautions, puissent représenter un danger pour l’homme. L’inquiétude n’est donc pas illégitime.

Mais, l’auteur le souligne dans cet essai nourri philosophiquement tout en restant accessible, le danger vient moins de l’espace que la propension des humains à majorer leurs propres capacités et à se croire invulnérables. Les victimes de la conquête spatiale sont pourtant un appel à une plus grande humilité.

L’homme peut aussi rêver du ciel tout en restant sur sa planète et observer les astres à travers son télescope. C’est le cas de Guy Consolmagno, frère jésuite, astronome à l’Observatoire du Vatican qui s’interroge : existe-t-il une vie intelligente ailleurs dans l’univers ? « Nous ne savons pas », répond le scientifique tout en ayant l’intuition que dans les milliards de galaxies du cosmos, « il doit bien exister d’autres êtres rationnels et civilisés » et que « tôt ou tard, la race humaine découvrira qu’il y a d’autres créatures intelligentes quelque part dans l’univers ». Une intuition nourrie scientifiquement mais aussi théologiquement : « La créativité féconde de Dieu ne saurait se limiter à nous. »

La réponse viendra de la science, et non de la théologie ou de la Bible, affirme le jésuite. Et c’est scientifiquement qu’il explore l’hypothèse d’une vie extraterrestre, exposant dans un langage simple les conditions qui devraient être réunies pour cela.

Dans le même temps, et avec un grand sens pédagogique, il dégage les enjeux de la question. Ils sont aussi bien épistémologiques (« il serait difficile de parler de “la vie telle que nous ne la connaissons pas” puisque, par définition, nous n’aurions pas les mots pour la décrire » et c’est pourquoi « il est important d’admettre qu’en dernière analyse, tout langage et toute explication, biblique ou scientifique, sont de nature analogique »), anthropologiques (« penser aux extraterrestres est un bon moyen de comprendre, et d’apprécier, ce qu’être un homme signifie ») que théologiques (« réfléchir sur la manière dont le salut dans le Christ pourrait s’appliquer à d’autres êtres est un chemin de croix pour apprécier à nouveaux frais ce que le salut signifie pour nous les humains »).

L’astronome en est convaincu : la science, tôt ou tard, donnera une réponse à la question de l’existence d’une vie extraterrestre. « Dans la foi, écrit-il, il ne devrait pas y avoir d’inquiétudes à savoir que nous ne sommes pas seuls au monde. » Scruter le ciel, écouter les bruits qui viennent du cosmos à la recherche d’une autre vie, c’est finalement manifester que rien, a priori, ne permet de limiter les capacités créatrices de Dieu.

DOMINIQUE GREINER

Source 

 

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Mise à jour Area51blog le 3 septembre 2013 à 10 h 40

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Extraterrestres : nos ancêtres viennent-ils de Mars ?

03/09/2013

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La vie sur Terre se serait-elle développée grâce à la planète rouge ? C’est en tout cas la théorie (un peu folle) que développe Steven Brenner, enseignant à l’Institut Westheimer de Gainesville. Selon lui, la vie a pu se développer sur Terre grâce à un morceau de métal arrivé tout de droit de la planète Mars.

Et si les martiens étaient finalement nos ancêtres ? Si l’on en croit la théorie (un peu loufoque) défendue par Steven Brenner, enseignant à l’Institut Westheimer de Gainesville, la vie sur Terre aurait été possible grâce à un morceau de métal venu tout droit de la planète Mars grâce à une météorite.

<<< A lire : Mars One : bientôt un aller simple pour la planète rouge ? >>>

Ce morceau de métal sans doute bientôt aussi connu que la Kryptonite se nomme molybdène et n’était pas présent sur Terre lors de l’apparition des premières formes de vie. « C’est seulement lorsque le molybdène est très oxydé qu’il devient capable d’influencer la formation d’une vie primitive », explique l’enseignant.

Steven Brenner va plus loin en affirmant que la vie ce serait en réalité développée sur Mars avant de venir sur Terre grâce à la chute d’une météorite, événement fréquent à cette époque. « Il semble qu’on accumule les preuves selon lesquelles nous sommes en réalité tous des Martiens », poursuit le chercheur qui estime d’ailleurs que le hasard a bien fait les choses car la Terre est nettement plus propice au développement de la vie que ne l’est la planète Mars, particulièrement inhospitalière.

<<< A lire : Nasa : à la recherche d’extraterrestres sur Mars (ou presque) >>>

Bien conscient de défendre une théorie en laquelle peu de personnes vont croire, Brenner a ajouté qu’il allait sans doute recevoir des objets durant sa présentation en guise de protestation !

Alors, les Martiens sont-ils nos ancêtres ?

Source 

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Mise à jour Area51blog le 3 Septembre 2013 à 10 h 30

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Un nouvel élément pourrait compléter le tableau de Mendeleïev

03/09/2013
Photo: RIA Novosti

Photo: RIA Novosti

Article source : french.ruvr.ru

PAR LA VOIX DE LA RUSSIE | UN NOUVEL ÉLÉMENT POURRAIT PROCHAINEMENT COMPLÉTER LE TABLEAU DE MENDELEÏEV. IL S’AGIT D’UN ÉLÉMENT RADIOACTIF SUPER-LOURD PORTANT LE NOM PROVISOIRE D’« UNUNPENTIUM ». IL A ÉTÉ SYNTHÉTISÉ POUR LA PREMIÈRE FOIS PAR LES CHERCHEURS RUSSES DE L’INSTITUT UNIFIÉ DE RECHERCHES NUCLÉAIRES. UNE EXPÉRIENCE QU’ON RÉUSSI À REPRODUIRE LEURS COLLÈGUES SUÉDOIS ET ALLEMANDS.

L’UNUNPENTIUM SIGNIFIE LE CENT-QUINZIÈME. C’EST SOUS CE NUMÉRO QU’IL FIGURERA DANS LE TABLEAU DE MENDELEÏEV, S’IL EST RECONNU PAR L’UNION INTERNATIONALE DE CHIMIE PURE ET APPLIQUÉE (UICPA). ET IL SEMBLE QUE CE SOIT UNE CHOSE QUASIMENT FAITE PARCE QUE LES CHERCHEURS SUÉDOIS ET ALLEMANDS VIENNENT DE CONFIRMER CE DONT LES CHERCHEURS RUSSES AVAIENT LA CERTITUDE DEPUIS CES DIX DERNIÈRES ANNÉES : L’UNUNPENTIUM EXISTE BEL ET BIEN. LES CHERCHEURS DE L’UNIVERSITÉ DE LUND EN SUÈDE ONT BOMBARDÉ L’AMÉRICIUM, UN ÉLÉMENT SYNTHÉTISÉ POUR LA PREMIÈRE FOIS EN 1944, AVEC DU CALCIUM, OBTENANT AINSI L’ÉLÉMENT 115. C’EST CE QUI AVAIT ÉTÉ DÉJÀ RÉALISÉ EN 2003 À DOUBNA, DANS LA BANLIEUE DE MOSCOU, PAR LES CHERCHEURS RUSSES, EXPLIQUE LE RESPONSABLE DU LABORATOIRE DES RECTIONS NUCLÉAIRES DE L’INSTITUT UNIFIÉ DE RECHERCHES NUCLÉAIRES, IOURI OGANESSIAN :

Un nouvel élément pourrait compléter le tableau de Mendeleïev.

 


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