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Napoléon Bonaparte, Empereur Français – 1769-1821 :
« Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au-dessus de la main qui reçoit. […] L’argent n’a pas de patrie ; les financiers n’ont pas de patriotisme et n’ont pas de décence ; leur unique objectif est le gain.«
Au fil de mes années de lectures de témoignages, d’enquêtes diverses, y compris celles affichées par les USA, ceux des GEPAN/SEPRA/GEIPAN ou de la gendarmerie française, du MUFON, des chercheurs et rapports officiels, des rapports (sous-hypnose ou non) d’enlevés, ou de rencontres rapprochées, il m’est apparu une raison peut-être plus évidente que la crainte du ridicule ou d’une panique des citoyens de la part des gouvernements en ce qui concerne la non-révélation d’une présence extra-terrestre parmi nous : le système économique de la Terre, propriété d’une élite est en danger dans ce cas.
En effet, tout m’amène à penser que les civilisations bien plus évoluées que nous se sont effectivement débarrassées de tout système monétaire. Quand on voit le détournement de l’outil monnaie en objectif vital pour l’ensemble de la planète Terre comme le système commercial l’impose pratiquement depuis son invention (s’il s’agit bien d’une invention, mais j’y reviendrai plus bas), je comprends personnellement la nécessité de se séparer de cet outil plus nocif que bénéfique en final pour l’Humanité (mais le contrôle d’une civilisation entière via son système d’échanges de matières est le plus solide (et évident) trouvé, bien plus que par les armes ou la force…). Ce n’est pas pour rien que la Terre, sans le dire officiellement, est en guerre mondiale économique depuis déjà quelques années… et qu’un grand gagnant semble se dessiner, « curieusement » un gagnant n’ayant pas une idéologie déclarée « capitaliste »…
Pourquoi ? Comment se passer d’un système simple (mais contraignant et amenant par nature aux pires instincts) d’échanges de matières ? Quelle évolution à la fois mentale et d’organisation pourrait le permettre ? Et surtout, les avantages seraient-ils supérieurs cette fois-ci aux inconvénients ? Les libertés et égalités en seraient-elles renforcées, et comment ? Certaines réponses nous ont déjà été données…
Rothschild Brothers of London :
« Les quelques personnes qui comprennent le système (argent et crédits) seront soit tellement intéressés par les profits qu’il engendre, soit tellement dépendantes des faveurs qu’il conçoit, qu’il n’y aura aucune opposition au sein de cette classe. D’un autre côté, les personnes incapables d’appréhender l’immense avantage retiré du système par le capital porteront leur fardeau sans se plaindre et peut-être sans même remarquer que le système ne sert aucunement leurs intérêts.«
Rothschild :
« Permettez-moi d’émettre et de contrôler les ressources monétaires d’un pays et je me moque de celui qui écrit ses lois.«
Je vais d’abord tenter de démontrer, via des témoignages recensés, connus et enquêtés (y compris par des forces de l’ordre officielles), des comparaisons entre propos de témoins, enquêteurs et agents officiels, et en plus, ce qui est intéressant dans certains de ces rapports, c’est qu’il y en a certains avec traces physiques constatées (sur l’environnement ou le témoin), tous sont d’ailleurs toujours classés dans les rapports inexpliqués. Attention, une première partie de ces témoins concernent des « contactés » ou « enlevés » dont certains sont probablement des affabulateurs en toute ou partie, mais leur principal intérêt consiste précisément à toucher du doigt l’existence et permanence d’une prescience des évènements futurs chez l’être humain, notamment par le biais de la science-fiction, bien sûr, mais aussi par de simples humains, tels l’astronome amateur George Adamski, qui a certainement fortement « allongé » ses histoires pour des raisons financières mais auquel il faut tout de même reconnaître le fait d’avoir écrit et anticipé le retour du phénomène « soucoupe volante » dès 1946, sans compter dès les années 50 les allusions aux problèmes financiers et le fait que des civilisations plus évoluées n’utiliseraient plus d’argent… Evidemment, la prépondérance de ces déclarations concerne souvent le nucléaire dans les années 50 à 80, l’environnement, l’énergie et la religion sont plus souvent cités à partir des années 90, tout à fait en relation avec les problèmes bien terriens actuels. Mais toujours anticipés, aussi bien dans la littérature de fiction que dans les déclarations de mystiques, enlevés ou contactés (d’une façon ou d’une autre-la mode est encore plus acuellement à la télépathie ou « chaneling », facile et difficilement prouvable).
En premier, nous avons le témoignages de Sid Patrick de ce qui lui est arrivé dans la nuit du 6 au 7 mars 1965 à Selva Beach près de Watsonville, Californie. Vous trouverez en-dessous le rapport et l’interview complète de Sid Patrick, je vais juste mettre les extraits concernant notre sujet.
Extraits de l’interview de Sid Patrick à la revue The Little Listening Post de mars-avril 1965 :
« – Comment vivent-ils chez eux ?
– L’astronaute me dit : « Comme vous le savez, nous n‘avons pas de maladie, pas de crime, pas de vice, pas de police. Nous n’avons pas d’école. Les enfants apprennent un métier dès leur plus jeune age. En raison de notre longue espérance de vie, nous avons un contrôle des naissances rigoureux. Nous n’avons pas d’argent. Nous vivons absolument unis. »
– Et votre interrogatoire de trois heures par l’Air Forces ?
– Ils me demandèrent un compte rendu circonstancié. Je leur ai raconté exactement ce qui était arrivé. Ils étaient les premiers à m’entendre. Ils me dirent de ne pas parler publiquement de certains détails. Quant à moi, tout pouvait être révélé. Je ne vois pas pourquoi quelque chose est à cacher. On me demanda de ne pas dire que les extra-terrestres n’avaient pas d’argent, de ne rien révéler sur le genre et les dimensions de l’engin, parce que cela pourrait vouloir signifier, aux yeux du public, que l’Air Force manque à son devoir. Je leur rétorquai qu’il n’y avait pas de raison à tout cela.
– L’Air Force a-t-elle divulgué des informations confirmant ou concernant votre expérience ?
-Oui, à l’époque. Mais je n’insiste pas. Je n’essaye pas non plus de prouver ce qui est arrivé. Que l’on y croie ou pas m’importe peu. Mais je sais que l’Air Force y croit. Elle enquêta maintes fois dans la région. Les enquêteurs virent ici peu de temps après l’incident et eurent la preuve absolue qu’un engin avait atterri déjà avant l’incident et après.
– Y avait-il encore d’autres faits que l’Air Force voulait taire ?
– Oui, quelques-uns : les moyens de communication et la source d’énergie. Le nom de l’astronaute, aussi. Ils m’ont demandé de ne jamais répéter ce nom, parce qu’il ne voulait rien dire. L’astronaute m’avait dit : « Vous pouvez m’appeler Xéno. » Ce n’était pas nécessairement un nom. Je l’ai appelé Zéno ou Zeeno, mais c’était bien Xéno. D’après le dictionnaire, cela veut dire « Étranger ».
Traduction : livre – o.v.n.i. et extra-terrestres tome 3 de Yves Naud
http://lesvenusiens.jimdo.com/contact%C3%A9s-1/20-sid-patrick/
William Lyon Mackenzie King, ex-premier ministre du Canada :
« Jusqu’à ce que le contrôle de l’émission de devises et de crédit soit restauré au gouvernement et reconnue comme sa responsabilité la plus flagrante et la plus sacrée, tout discours sur la souveraineté du Parlement et la démocratie est vain et futile… Une fois qu’une nation abandonne le contrôle de ses crédits, il n’importe plus qui fait ses lois… L’usure, une fois aux commandes, coule n’importe quelle nation.«

1940, des « foo fighters » volent entre les avions en Europe pendant la guerre
Au début des années 60, plusieurs personnes (au moins 20) recoivent des lettres à caractères fortement scientifiques et étranges, provenant d’êtres se disant venant de la planète Ummo. Principalement en Espagne où un groupement se créé avecMr Sesma, mais aussi en France plus tard, car le scientifique specialiste des fluides Jean-Pierre Petit en reçoit également, et qu’il constate lui-même de fortes connaissances en physique, cosmologie ou autres dans ces écrits (au point qu’il pense un moment je crois qu’elles émanent en partie d’un génie comme Sakharov). Il met d’ailleurs lui-même au point une assez bonne théorie d’univers-jumeaux cosmologique à l’aide de ces documents… Bien que deux astrologues étranges aient crié sur les toits (bonne pub) qu’ils étaient les auteurs des ummites, de gros doutes restent sur la provenance de beaucoup de courriers (beaucoup de scientifiques et ne pouvant avoir été décemment écrits par les astrologues) aussi bien sur leur destinataires que les datations des courriers annoncés par les astrologues…
1966, Sesma-Lettre Ummite– Rémunération et classification sur UMMO
– Concept et jouissance de biens sociaux sur UMMO
– La propriété privée n’existe pas sur UMMO
Au cours de notre histoire nous sommes passés sans transition du troc d’espèces à l’évaluation économique du travail et des biens industriels et de consommation en fonction d’un système mathématique très complexe. Pour comprendre ce système, il vous faut connaître plus à fond la structure de notre Société.
Nous tentons de faire un résumé des traits les plus en accords avec l’économie de UMMO.
Nous possédons un système de codification des biens très complexe et soigneusement standardisé de façon qu’à chacun soit assigné une série de chiffres qui le représente. Ils sont recensés dans les groupes suivants, tous évalués du point de vue économique.
OUMBOOBUUA. Biens – services intellectuels tels que travaux de calcul mathématique, inspection de la clarté de la communication phonique, examen psychotechnique de l’enfant et beaucoup d’autres. (Inclus les formes de divertissements)
OUMBOOMIIA. Biens en formes de services qui requièrent l’usage de la motricité physiologique, mains, pieds, thorax, manipulation de machines outils, réparation d’instruments de recherche, chirurgie…
OUMYASAAII. Biens naturels de surface ou de volume tels qu’aires de terrains, volumes de sous-sol, volumes d’espace dans ou hors de l’espace atmosphérique.
OUMDAA DOAA. Biens de consommation alimentaire, vêtements, AARBII OMAIU (sorte de tablettes de titane où peuvent s’enregistrer les sons, équivalent des disques et bandes de magnétophone de la Terre), objets décoratifs, meubles, ainsi que l’ÉNERGIE.
OUMWI AA. Biens d’équipement tels que les appareils industriels, les véhicules, les bâtiments, etc, (inclus tous les types d’instruments de travail)
Observez que les deux premiers sont réalisés par l’énergie humaine et que les trois derniers sont DIMENSIONNELS.
En principe les hommes de UMMO ne possèdent aucun de ces derniers biens dimensionnels.
Vous pouvez interpréter cela comme une forme occulte d’économie marxiste terrestre mais les différences entre la structure communiste et la nôtre sont bien notoires comme nous allons le voir :
D’abord il n’y a pas sur UMMO de problème de production. D’une part, l’autorégulation des naissances est parfaitement assurée sans faillir aux normes religieuses de l’UAA (code MORAL) et, d’autre part la production massive synthétique des glucides, protéines, lipides et de tous les aliments et le reste des biens OUMDAA DOAA. et OUMWI AA. , est si énorme et si parfaitement planifiée que les terribles problèmes de l’injuste répartition des biens qui harcèlent l’humanité dela Terre ne peuvent exister, de même qu’entre vous des problèmes comme celui en rapport avec l’air et sa répartition.
Quand l’existence de BIENS est supérieure à la DEMANDE probable, ils subissent une dépréciation telle que, pour un certain seuil quantitatif, ils perdent toute signification à une prétendue évaluation rémunérative.
Mais il y beaucoup de biens estimés et évaluables, étant donné que leur nombre ou grandeur ne sont pas supérieurs à ceux de la fonction de la DEMANDE (certaines attractions, objets rares, terres, etc).
Quand l’enfant a atteint un certain âge, on évalue ses facultés psychophysiologiques. On considère que la maîtrise de son éducation appartient à l’UMMOAELEWE (CONSEIL DE UMMO). C’est à 13,7 ans (terrestres) qu’il s’intègre dans l’UNAWO UUI (grand centre d’enseignement) où le régime est sévère et où le jeune s’habitue à ne rien posséder à lui.
Une fois terminée sa formation – adaptée aux facultés de notre OEMII (corps humain) – on lui attribue un code chiffré qui constitue notre FICHE D’IDENTIFICATION (nommée UMMOGAIAOO DAA) .
A ce moment notre identité est intégrée dans la gigantesque XANWAABUUASII BEEO AO d’UMMO situé à GOABAAAE.
Elle est traitée dans une gigantesque mémoire centrale connectée à tout le réseau XANMMOO AYUBAA (espèce d’ordinateurs ou cerveaux de base DIEWEE). La technologie de ces grands équipements qui ont une lointaine parenté avec vos cerveaux électroniques est trop complexe pour être décrite ici.
En premier lieu, les unités de mémoire XANWAABUUASII ne sont pas constituées, comme celles de la Terre, de bandes magnétiques, disques magnétiques de ferrite ou tambours. Il s’agit simplement de petits cubes de titane cristallisé chimiquement pur. Chacun de leurs atomes peut être excité et atteindre une douzaine d’états quantiques de façon que chaque atome puisse engrammer un chiffre. (Les 12 de leur numération NDT) (Remarquez que les mémoires des ordinateurs de la Terre travaillent avec des BITS en système binaire.)
Vous pouvez imaginer qu’on puisse amasser des trillons de chiffres dans un petit volume de titane prêts à être de nouveau utilisés. Un faisceau d’ondes de section infinitésimale et de haute fréquence coagit avec deux autres en formant un trièdre en traversant le cristal de titane sur l’atome que l’on veut exciter ou décoder.
L’information (codée) déposée peut être traitée dans des équipements calculateurs (beaucoup plus complexes que vos simples équipements.)
Bon. Il existe sur UMMO 120 XANMOO AYUBAA géants reliés à la grande MÉMOIRE sus-citée. Ces énormes dispositifs règlent toute l’activité de UMMO. Ne pensez pas qu’ils se substituent à l’esprit créateur de l’homme. Ils sont essentiellement un auxiliaire indispensable de notre civilisation.
Mon épouse peut, de notre domicile, entrer en contact avec le XANMOO AYUBAA et lui soumettre les données relatives à la température, tension, degré d’acidité de la sueur, nature des ondes cardiologiques, etc, de notre petite fille malade, et en recevoir le diagnostic et les prescriptions thérapeutiques. De même, nous pourrions lui soumettre un problème compliqué de mathématique pure ou de psychobiologie analytique.
Signalons que notre UMMOGAIAO DAA est intégré dans cette mémoire. Aujourd’hui devant chacune des données correspondant à notre rendement le point professionnel assigné, convenablement pondéré, est inscrit aussi dans cette Mémoire.
En ce moment même, je dicte ce document à un homme de la Terre. Ce travail est ensuite enregistré en Australie. Il y est évalué et codé à l’égal de vous pesant un kilogramme de café traduit en pesetas ou en francs. Ces données de nos travaux sur Terre sont enregistrées aussi dans un petit ordinateur pourvu également d’une mémoire de titane. Cette plaquette, qui contient non seulement ces données mais des milliers de document codés se référant à la civilisation de cette planète, sera envoyée sur UMMO. Mieux, les données numériques qui enregistrent mon travail iront se mêler à toutes les données qui se rapportent à ma personne et qui existent dans la XANWAABUASII BEEO AAO.
Si je reviens un jour sur UMMO et désire par exemple acquérir une antiquité rare (par exemple un chronomètre balistique) (cela s’entend en USUFRUIT) le « vendeur » consulte la XANWAABUASII qui lui dira si j’ai ou non droit à elle. Et la réponse est conditionnée par de multiples facteurs :
– Mes capacités psychophysiologiques et mon grade hiérarchique
– Mon rendement au travail tout au long de ma vie
– Toute l’économie de UMMO en cet instant.
Comme cela, nous n’avons pas besoin d’argent que d’ailleurs nous n’avons jamais connu et nous croyons n’y avoir rien perdu, puisque avec notre système de rémunération centralisé et soumis à une rigoureuse analyse depuis le central coordinateur de UMMO, c’est comme si nous comprenions beaucoup plus justement et plus rationnellement.
Une analyse plus détaillée de ce système montre qu’au fond il est semblable au terrestre. L’argent matérialisé en documents (vos BILLETS) cautionné par un patron (c’est l’OR ou la CAPACITÉ ÉCONOMIQUE du pays) a été remplacé sur UMMO par des valeurs symboliques qui étaient en même temps soutenus par l’économie de UMMO. La circulation monétaire n’est pas nécessaire et le système employé rappelle un peu les TRANSFERTS BANCAIRES DE LA TERRE. Mais par contre, le système de rémunération du travail est d’un point de vue scientifico-économique et moral beaucoup plus rationnel.
La suppression de la propriété privée n’a pas créé de grands problèmes et d’autre part l’homme de UMMO est libre de choisir le travail qu’il désire. Malgré l’absence de propriété, l’incitation et la stimulation au travail sont plus intenses que sur votre planète.
Si je rends un grand respect à ma condition professionnelle, je jouis d’avantages en biens usufruitiers, services et prestations, qui ne seraient pas accessibles à un individu paresseux. En somme, vous pouvez interpréter notre civilisation comme une espèce de structure socialiste (plus perfectionnée que les balbutiants et équivoques systèmes socialistes de la Terre) et profondément religieuse, mais avec une base argumentaire pour cette religion nettement scientifique et dépourvue de toute tendance fanatique. Nous croyons à des valeurs spirituelles qui sont plus équilibrées que les vôtres. Seuls les arts, et spécialement la musique, sont terriblement plus pauvres que ceux de la Terre.
http://www.ummo-sciences.org/fr/D41-16.htm
http://futurenfolie.blogspot.com/2011/11/les-lettres-ummites-un-contenu.html
Document Ummite NR9 du 30/09/1991 :
Nous avons eu du mal à comprendre que les humains dépensent tant d’argent et de forces pour protéger les richesses d’une minorité, alors que tant d’hommes au même instant meurent de faim. Nous considérons ceux qui vous gouvernent comme des malades mentaux. Document Ummite NR9 du 30/09/1991.
James A. Garfield, Président des Etats-Unis, assassiné :
« Celui qui contrôle le volume de la monnaie dans notre pays est maître absolu de toute l’industrie et tout le commerce… et quand vous réalisez que le système entier est très facilement contrôlé, d’une manière ou d’une autre, par une très petite élite de puissants, vous n’aurez pas besoin qu’on vous explique comment les périodes d’inflation et de déflation apparaissent.«
En 1954, Laura Mundo-Marxer crée l’Interplanetary Foundation (qui devient par la suite le Planetary Space Center) à Passadena (Maryland).
Le groupe de contactés considère que la Terre est en danger en raison des changements radicaux à venir dans l’atmosphère (activité solaire) et que les Etres de l’Espace sont là pour nous aider : ils seront capables, soit de résoudre le problème, soit de sélectionner des terriens et les emmener en lieu sûr (dans leurs vaisseaux spatiaux indépendants) en attendant que l’activité atmosphérique se calme. Lorsque les humains retourneront sur Terre après avoir survécu à l’instabilité atmosphérique, ils adopteront un Mode de Vie Universel, qui est la manière standard de vivre sur les autres planètes. Le groupe croit également que les Gens de l’Espace vivant sur Terre aujourd’hui sont là pour nous surveiller et nous aider.
Woodrow Wilson, Président des Etats-Unis – 1913-1921 (après avoir déplacé le pouvoir financier de l’Etat aux banques privées) :

Czaplinek-Pologne-1947
« Je suis un homme des plus malheureux. J’ai inconsciemment ruiné mon pays. Une grande nation industrielle est contrôlée par son système de crédit. Notre système de crédit est concentré dans le privé. La croissance de notre nation, en conséquence, ainsi que toutes nos activités, sont entre les mains de quelques hommes. Nous en sommes venus à être un des gouvernements les plus mal dirigés du monde civilisé un des plus contrôlés et dominés non pas par la conviction et le vote de la majorité mais par l’opinion et la force d’un petit groupe d’hommes dominants.«
George Hunt-Williamson
En 1952, il déclare avoir établi un contact sur ondes courtes avec des ovnis, et observé des ovnis au-dessus de son lieu d’émission.
Dans ses livres, Williamson reprend les thèmes de 2 camps opposés d’ET, avec les bons (les moissonneurs) et les mauvais (les intrus). Selon lui tous les terriens sont des êtres de l’espace dont les ancêtres viennent ici en tant que fils de Dieu. Pour lui l’humanité passe par une période de turbulence planétaire menant à une nouvelle conscience et l’aube d’une nouvelle ère dorée. De plus, un gouvernement mondial caché (les familles banquière internationales) controllées par les ET négatifs maintiendraient la vérité cachée, gardant les gens nés sur Terre ignorant de leur origines réelles. Williamson cite aussi la Bible pour identifier les ET « maléfiques »…
Hunt-Williamson, G. & McCoy, John: UFOs Confidential – The meaning behind the most closely guarded secret of all time, Corpus Christi, TX : Essene Press, 1958 – Un des premiers livres à parler d’un supposé empire caché de banquiers internationaux empêchant la révélation de la vérité sur les ovnis et les civilisations ET.
Sir Josiah Stamp, Directeur de la Banque d’Angleterre
1928-1941 (Réputé 2e fortune d’Angleterre à cette époque) :

Yokohama-Japon-1950
« Le système bancaire moderne fabrique de l’argent à partir de rien. Ce processus est peut-être le tour de dextérité le plus étonnant qui fut jamais inventé. La banque fut conçue dans l’iniquité et est née dans le pêché. Les banquiers possèdent la Terre. Prenez la leur, mais laissez-leur le pouvoir de créer l’argent et en un tour de mains ils créeront assez d’argent pour la racheter. Otez-leur ce pouvoir, et toutes les grandes fortunes comme la mienne disparaîtront et ce serait bénéfique car nous aurions alors un monde meilleur et plus heureux. Mais si vous voulez continuer à être les esclaves des banques et à payer le prix de votre propre esclavage laissez donc les banquiers continuer à créer l’argent et à contrôler les crédits.«
Gabriel Green :
A partir des années 1950 Green déclare avoir fait plus de 100 observations de soucoupes volantes et avoir été contacté plusieurs fois en personne par des gens d’autres planètes avancées, telles que Korender, une planète qui serait colonisée par des être en tous points humains, bien que 4 à 5 pieds de haut en moyenne (1m50). Green consacre sa vie à faire diffuser sur Terre le « Plan du Peuple de l’Espace » dans diverses publications (un autre contacté, Robert Renaud, parlera également des « Korendiens« , déclara qu’ils possèdent une grande installation souterraine dans le Massachussetts). Les Korendiensauraient fait alliance avec les Arcturiens et feraient partie une alliance massive de mondes pronant le non-interventionisme.
En 1956, Green forme les Los Angeles Interplanetary Study Groups, jusqu’en 1959 ou Green fait évoluer l’organisation en l’AFSCA (Amalgamated Flying Saucer Clubs of America, Inc. avec son journal Flying Saucers International), qu’il fonde et préside en tant qu’organisation à but non lucratif dédié à l’émancipation physique, spirituelle et économique de l’homme. En 1960, il déclare que le Peuple de l’Espace lui a demandé de se présenter à un bureau politique dans un effort pour planter les graines de réformes nécessaires sur notre monde, et devient candidat indépendant à la présidence des USA, avant de finalement se retirer pour soutenir Kennedy. En 1962 il se présente également au Sénat américain depuis la Californie et reçoit plus de 171 000 votes à l’Election Primaire Démocratique, faisant campagne contre les essais nucléaires. En 1967 il publie un ouvrage très peu critiqué. En 1972, il est candidat à la Présidence pour le Parti Universel

Phoenix, USA, 7 juillet 1947
Green est le principal exposant de Economie Universelle (le système d’économie sans argent sur d’autres planètes avancées permettant à leurs peuples d’apprécier une telle abondance) et le Monde Uni, un gouvernement mondial théocratique basé sur des lois universelles et des principes spirituels.
Charles A. Lindbergh :
« Le système financier est devenu la Banque centrale américaine (Federal Reserve Board). Cette banque centrale gère un système financier au moyen d’un groupe de purs profiteurs. Ce système est privé et son seul objectif consiste à réaliser les profits les plus énormes possibles en utilisant l’argent des autres. Cette loi (de la Réserve fédérale) démontre la plus grande preuve de confiance au monde. Lorsque le président signe cet acte, il légalise le gouvernement invisible par le pouvoir monétaire. Les personnes ne s’en rendent peut-être pas compte pour le moment mais le jour du jugement n’est plus qu’à quelques années, le jour du jugement de cet Acte qui représente le pire crime de tous les temps commis au nom de la loi par l’intermédiaire d’un projet de loi. »
Henry Ford :
« Il est appréciable que le peuple de cette nation ne comprenne rien au système bancaire et monétaire, car si tel était le cas, je pense que nous serions confrontés à une révolution avant demain matin. »
Buck Nelson :
Le 30 juillet 1954, Nelson est chez lui quand sa radio commence à devenir folle. Son chien dehors aboie et Nelson court dehors pour voir ce qui se passe. Dans le ciel il voit un gros disque en survol avec 2 autres. Nelson revient chez lui, attrape son appareil photo et prend 3 clichés.
C’était une journée plutôt belle. Et j’ai pu sortir dehors. J’ai vu ces choses au-dessus de ma maison. Je les appelais des « choses » à l’époque ; je ne savais pas ce qu’elles étaient. Mais elles avaient tout simplement l’air de ce qu’on en disait… des soucoupes volantes.
Les photos faites, Nelson fait des signaux avec une lampe-torche pour les faire descendre et atterrir. Pour toute réponse, les objets tirent sur lui une sorte de rayon. « C’était bien plus brillant et chaud que le Soleil », écrira-t-il. Le rayon assomme Nelson derrière un tonneau et il ne se réveille pas avant que les « choses » soient parties.
A sa stupéfaction, il découvre ne sentir aucune douleur et ne plus avoir besoin de ses lunettes pour lire. Plus tard il découvre être guéri d’un lumbago à son dos.
Lorsque la pellicule est développée, seule 1 photo montre 2 des « choses » qualifiées de disques par Nelson. Le projetgouvernemental Blue Book concluera à une double exposition en ce qui concerne la photo et ne tiendra pas compte des effets physiques notés.
Presque 1 an plus tard, vers minuit, la « chose » atterrit et 3 hommes et un chien de 365 livres arrivent à la maison de Nelson. L’un d’eux est Bucky, un américain de 19 ans avec un accent scandinave, prétendumment cousin éloigné de Nelson. Les 2 autres sont Bob Solomon, un extraterrestre semblant du même âge que Bucky mais vieux de 200 ans, et un autre extraterrestre sans nom, vieux et frippé, ainsi que le chien appelé BO.
Ils passent près de 1 h à comparer leur habitat à celui de Nelson. Ils s’intéressent à sa radio, en particulier la batterie au sommet. Lorsque Buck explique qu’elle sert à alimenter la radio, ils agitent leur mains au-dessus de leur tête et disent : » Quoi, avec toute cette puissance au-dessus, vous utilisez çà ? « Ils disent brancher leurs éclairages et appareils sur leur radio pour les alimenter.
Plus tard Nelson découvrira que les gens de l’espace n’utilisent que l’énergie solaire et les lignes d’énergie entre le Soleil et les planètes, semblables aux lignes entre un aimant et un morceau de métal qui seraient fixés à distance.
Le « peuple de l’espace » : Leur nourriture est principalement constituée de fruits et légumes. Ils ont de belles dents et les maladies sont très rares. Ils sont leurs propres docteurs et utilisent des médecines « naturelles ». Ils ne font pas de compétitions sportives car cela cause des contraintes sur l’ensemble du corps et en particulier au coeur. Ils travaillent de 1 à 3 h chaque jour et suivent des cours pour apprendre les langues des gens qu’ils vont contacter.
Puisqu’ils suivent les 12 Lois de Dieu, ils n’ont pas de force de police, de prisons, cour de justice, bâtiments gouvernementaux, guerres… Leur technologie a aboli le besoin de routes et ils construisent les choses pour durer très longtemps.
En 1955, Bucky enregistre sur bande audio un avertissement sur le Futur de l’Humanité, ayant vu tant d’autres civilisations s’auto-détruire avec des Armes Atomiques : Le monde doit abandonner les Armes Atomiques et la Guerre. La prochaine guerre, si elle est faite, sera sur le sol américain. L’Amérique sera détruite, puis la civilisation à travers le monde sera détruite.
Nelson apprend aussi que nos scientifiques ne devraient pas rechercher une nouvelle source d’énergie dans le monde subatomique en faisant des expériences dans des énormes tunnels souterrains. Le Destin sera similaire à celui des Atlantes qui firent exploser leur continent alors qu’ils expérimentaient une nouvelle Energie, bien plus puissante que l’Energie Atomique (pas la fusion). Le peuple de l’espace n’utilise que l’énergie du Soleil et les lignes d’énergie des planètes.
Intéressant de voir que Bucky Nelson parlait déjà dans cet enregistrement de 1955 puis dans son bouquin (My trip to Mars, the Moon and Venus, 1956) de la théorie de l’univers électrique et des interactions Soleil-Planètes, ainsi que des essais de collisions de particules…
Louis McFadden :
« Nous possédons dans ce pays l’une des institutions les plus corrompues que le monde ait jamais connu. Je veux parler de la Banque centrale américaine. Cette institution a appauvri les citoyens des Etats-Unis et a presque mené notre gouvernement à la faillite. Tout ceci est dû aux pratiques frauduleuses des vautours qui contrôlent cette situation. Un super état dirigé par les banquiers et les industrialistes internationaux qui s’associent avec plaisir pour asservir le monde. »
Robert H. Hemphill, gestionnaire de crédits, Fed, Atlanta, Géorgie :
« Si les banques créent assez d’argent synthétique, nous prospérons ; sinon, nous sombrons dans la misère. Nous sommes, définitivement, sans système monétaire permanent. Quand on a une vision complète de l’ensemble, l’absurdité tragique de notre position désespérée est presque incroyable, mais il en est ainsi. »
L’agent de police et patrouilleur Herbert Shirmer :
Le soir du 03 décembre 1967, peu après minuit, l’agent de police et patrouilleur Herbert Shirmer (22 ans) fait sa ronde. Il contrôle la Grange des Ventes de Ashland, où il trouve le bétail agité. En sortant de sa voiture, il entend des chiens hurler. Ne trouvant rien, il poursuit sa ronde, vérifiant des stations d’essences le long de l’autoroute 6.
A 2 Heures 30, Schirmer passe à l’intersection de l’autoroute 6 et 63, près d’Ashland (Nebraska), lorsqu’il voit ce qui lui semble être des lumières rouges sur un grand camion arrêté. Il décide de faire un tour pour aller contrôler, et arrive devant l’objet avec ses phares pointés sur l’objet.
L’objet n’est pas un camion. Les lumières rouges clignotent à travers des ouvertures ovales d’un objet ovale, en forme de ballon de rugby (football américain), à la surface semblant d’aluminum poli, avec une sorte de rebord tout autour. En dessous il voit une sorte de trépied. L’objet s’élève dans les airs avec une sorte de son de sirène et des flammes sortant d’en-dessous. Il passe littéralement au-dessus de la voiture de Schirmer, puis part d’un coup hors de vue.
Schirmer retourne au poste de police, et constate avec surprise qu’il est déjà 3 h. Il semble avoir « perdu » environ 20 minutes. Il écrit sur la main courante : « Vu une soucoupe volante à la jonction des autoroutes 6 et 63. Croyez-le ou non ! » Par la suite,Schirmer se retrouve avec une marque rouge sur le cou, un mal de tête, et commence à se sentir mal.
Enquête :
Edward Condon, directeur du Projet d’Etude sur les ovnis de l’Université du Colorado, déclare à Shirmer : « Nous vous croyons… »
La Commission Condon a vent de cette affaire et demande à Shirmer de venir à Boulder (Colorado) et, le 13 février 1968,Leo Sprinkle fait régresser Schirmer sous hypnose.
Selon le témoignage sous hypnose de Schirmer, des êtres hauts de 1,50 m sortirent de l’ovni et entourèrent sa voiture de patrouille. Terrifié, il tenta de sortir son arme mais en fut empêché par un ordre transmis télépathiquement.
L’un des êtres tenait quelque chose comme une boîte qui recouvrit le véhicule d’un gaz ou d’une lumière de couleur verte. Un des êtres toucha son cou et le blessa. Les extraterrestres l’interrogèrent au sujet de la centrale électrique et du réservoir d’eau tout proches.
Lorsqu’il admit être le « gardien de cette ville », il fut emmené à bord de l’ovni où on lui affirma que l’engin était mû par électromagnétisme réversible et qu’il tirait de l’énergie des lignes électriques et des sources d’eau de la terre. Les êtres venaient d’une proche galaxie et avaient plusieurs bases sur notre planète.
Schirmer demanda si les extraterrestres enlevaient des gens. Ils répondirent qu’ils avaient « un programme connu sous le nom de analyse de la reproduction et que quelques humains avaient été employés pour ces expériences.
Références : Magazine Facteur X, Commission Condon rapports.
1924 US Banker’s Association Magazine :
« Le capital doit assurer sa propre protection par tous les moyens possibles, grâce à la coalition et à la législation. Les dettes doivent être collectées et les hypothèques interdites le plus rapidement possible. Lorsque les personnes ordinaires perdent leurs maisons à travers le processus de la loi, elles deviennent plus dociles et peuvent plus facilement être dirigées grâce au bras fort du gouvernement représenté par les principaux acteurs financiers et par une puissance centrale due aux richesses. Ces vérités sont bien connues de nos principaux intervenants qui s’appliquent désormais à créer un impérialisme permettant de gouverner le monde. En divisant les votants grâce au système de partis politiques, nous les manipulonsafin qu’ils dépensent toute leur énergie pour des problèmes n’ayant aucune importance. C’est donc grâce à une action discrète que nous garantirons la pérennité de ce que nous avons si bien planifié et accompli. »
Indices d’interventions extérieures dans l’Histoire connue :
Si Extra-terrestre il y a, (ou autres), il doit y avoir des indices dans l’Histoire qui démontrent son intervention. En plus des religions et légendes, il y a la science officielle qui le démontre à sa façon : des traces d’anomalies géologiques ont été trouvées sur Terre par exemple : des preuves de l’existence de photosynthèse (donc d’une vie active) au Groenland, datant de 3.8 milliards d’ années : tous les scientifiques sont d’accord pour admettre que c’est trop court après la création de la Terre (4.6 milliards d’années environ) pour l’apparition naturelle d’une simple brique organisée de la vie. Ils sont même à peu près tous d’accord pour dire que la vie sur Terre a probablement une origine extra-terrestre (via les comètes ou astéroïdespour la majorité-ce qui n’exclue par évidemment l’intervention volontaire extra-terrestre… ou divine !). Autre anomalie sur laquelle la science officielle est d’accord : il y a environ 550 millions d’années, alors que depuis 3,3 milliards d’années les microscopiques vies simples n’avaient pas évoluées du tout, ces dernières se mettent subitement (pour des temps géologiques) à se multiplier, à se diviser en cellules et à devenir vertébrées… aucun évènement géologique ou climatique particulier n’est différentiable à priori à cette période sur Terre. Pourtant, très rapidement, des poissons, des amphibiens puis des reptiles apparaissent sur la Terre. Assez curieusement aussi, ces êtres sont atteints de gigantisme assez tôt : les premiers dinosaures (et mammifères-dinosaures) apparaissent pratiquement en même temps et atteignent des tailles considérables entre -260 millions d’années jusqu’à environ – 65 millions d’années, où ils disparaissent tous assez brusquement (très brusquement selon les temps géologiques). On n’a pas encore trouvé les raisons claires de ce soudain épanchement de vie il y a 550 millions d’années, ni non plus les raisons d’une évolution vers le gigantisme extrêmeconstaté. D’après certains chercheurs, la Terre était pratiquement gelée entièrement, y compris à l’équateur, (une boule de glace) jusqu’à cette période, mais un évènement (volcanique, astéroïde, autres) ou simplement un simple espace non gelé dans l’océan aurait permis une réaction en chaîne au fond des océans : de grandes quantités d’oxygène aurait été entraînées au fond des océans, auraient provoqué l’oxydation du carbone organique, donnant de grandes quantité de CO2, sortant des trous de la banquise englobant la Terre, pour provoquer vers -542 millions d’années un grand réchauffement climatiquefaisant tout fondre… et délivrant pour de bon la vie latente… Belles théorie, mais les scientifiques n’expliquent pas pourquoi un tel évènement ne s’est pas produit plus tôt (alors que c’est assez probable si on regarde les possibilités volcaniques ou même météoriques…).
Je pense personnellement que cet évènement a été provoqué par l’apparition dans le ciel de la Terre d’une autre Lune, ou d’un vaisseau géant ou de plusieurs satellites, rocheux ou métalliques. Leur simple masse et attraction ont suffit pour se faire éclater d’abord la banquise glacée de la Terre, puis a brasser (marées importantes) les océans augmentés en plus par la fonte des glaces. Ce bouleversement gravifique a probablement aussi provoqué plus tôt ou accentué la rupture des plaques tectoniques de la Pangée et leurs mouvements, ainsi que le réchauffement global lié au volcanisme et, pour finir, le gigantisme. Ces satellites ou cette Lune se sont écrasés en morceaux sur la Terre probablement entre les – 65 millions d’années et -55 millions d’années, provoquant de grandes destructions et à nouveau des changements climatiques et gravifiques importants : les dinosaures survivants, ne pouvant plus supporter leur propre poids se sont éteints très vite, aidés par les nouveaux prédateurs : les petits mammifères… (1). En fait, même la simple disparition de la grosse masse en question dans l’espace peut avoir eut le même effet question gravité sur les dinosaures…tout cela peut donc avoir effectivement été volontairement exécuté, ou bien cela ne fait qu’une troisième coïncidence troublante (se débarrasser en un tour de main d’êtres ayant dominé la Terre, sans partage, pendant plusieurs centaines de millions d’années : très fort ! surtout après les avoir fait apparaître via l’évènement déclanchant la soudaine volonté de biodiversité de la nature !). Environ 60 millions d’années plus tard (d’après les archéologues), les premiers hominidés menant à l’Homme foulent la Terre…
Laissons la parole au regretté (pas pour ses idées politiques mais pour son talent et son esprit de chercheur sincère) Jimmy Guieu, écrivain et parmi les premiers chercheurs de la Vérité (et qui ne s’est jamais enrichi contrairement à d’autres, vu qu’il réinvestissait tout dans ses recherches et enquêtes couteûses) (extraits de son livre posthume : OVNI-E.T : La Verité Cachée :Terre, Ta civilisation fout le camp !) :
« Toutes les traditions, tous les textes sacrés, aux yeux des matérialistes et autres folkloristes (tels ces “constipés du bulbe rachidien”, selon la plaisante expression du Professeur Rémy Chauvin), passent pour d’aimables mythes, empreints de poésie, certes, mais sans la moindre valeur objective. Cet aveuglement est largement répandu, hélas, chez les pseudo-savants, même s’ils s’enorgueillissent de titres universitaires! Mais poursuivons notre analyse. L’évolution occulte des symboles est extrêmement lente; leur interprétation nouvelle – et enfin véritable – ne peut être entreprise et confirmée qu’à la suite de cette patiente évolution. Ces textes recèlent des vérités fondamentales voilées par des symboles, des images, des métaphores qui, jusqu’à notre époque, résistaient à toute interprétation objective, sinon scientifique. Or, notre évolution technologique nous permet désormais de cerner, d’éclairer d’une lumière étrange, inhabituelle et non orthodoxe ces textes sacrés ou ces traditions orales, codés par des symboles.
« Je connais des récits qui sont venus du ciel », disait Taliesin, le barde gallois du VIème siècle. Effectivement, il semble bien que nombre de traditions et de symboles nous aient été apportés, ou soient nés, de par la venue d’initiateurs « descendus du ciel », cela à bord de singulières machines que nos ancêtres appelèrent des chars volants et leurs occupants des dieux, des anges ou des messagers. Je n’évoquerai que pour mémoire le bien connu VIème verset de la Genèse faisant allusion aux « filsdes Dieux » – les Elohim – venus du ciel vers les filles des hommes qui leur donnèrent des enfants, les Néphilim, ces géants des temps anciens ». (Anciens par rapport à l’époque biblique, s’entend). Citons aussi pour mémoire les curieux « anges » bien charnels qui rendirent visite à Loth et à sa famille, partageant leur repas et les prévenant de l’anéantissement prochain deSodome et Gomorrhe « par le feu du ciel ».
Toujours en retard de quelques guerres, matérialistes et rationalistes ricanent bêtement à ces évocations qu’ils assimilent à des fables. Pourtant, c’est sur les bords de la Mer Morte, là où furent pulvérisées Sodome et Gomorrhe, que l’on a trouvé destektites, recelant des isotopes radioactifs d’aluminium et de béryllium; ces mystérieuses tektites qui n’ont pu se former que dans des conditions de température extrêmement élevées et de radiations nucléaires non moins puissantes. Autrement dit, des conditions voisines de celles qui règnent lors d’une explosion thermonucléaire et l’on conçoit alors que les anciens aient pu dire que Sodome et Gomorrhe avaient été détruites par le feu du ciel!
Revenons en Europe. Dans le domaine traditionnel des Celtes, nous citerons les Tuaata de Danann, qui vinrent de la mer, de l’énigmatique Hyperborée mais aussi du ciel avec, à leur tête, le dieu Dagda dont le titre était « Ruad Ro Flessa », à savoir:Seigneur de la Science Complète. Parmi ces « dieux” – entre guillemets – se trouvaient d’autres « dieux », chacun hautement spécialisé dans l’une ou l’autre des sciences nécessaires à leur implantation sur notre planète. Aussi, lorsque au cours d’un combat l’un des combattants eut la main droite tranchée, deux « dieux » s’occupèrent de lui afin de lui greffer une main artificielle en argent! Cette prothèse ne devait pas l’empêcher de mourir plus tard dans un autre combat, ce qui prouve bien que ces « dieux« (toujours entre guillemets) étaient mortels.
Notons aussi que les « dieux » conversaient entre eux dans une langue incompréhensible pour les Celtes et autres peuples autochtones. Lorsqu’il est question de combats navals entre les divinités, il est fait allusion à des « tempêtes magiques » qui coulent les navires par le fond en soufflant uniquement au niveau de l’escadre; il s’agit d’une sorte de souffle « magique » ne dépassant pas la hauteur des mâts; peut-être des faisceaux d’ultrasons ou d’infrasons ?
Référons-nous encore à la tradition celtique. Cuchulainn, le fils de Lug, le grand dieu celtique des Arts et des Techniques, possédait plusieurs pupilles à ses yeux et 7 doigts à chaque main et à chaque pied; cette polydactylie, peu commune pour un mortel, semble assez courante pour une divinité!
Lug eut un jour à affronter la déesse Badb montée sur son char. Arrêtons-nous un instant sur la description de ce char tiré par un « cheval rouge »; ce cheval n’avait qu’un pied! Le timon du char lui passait au travers du corps, la pointe du timon sortait du sommet du front du cheval et ce front servait de soutien au timon et un tel char, affirme la tradition, atteignait des vitesses vertigineuses!…
On peut se demander comment, avec ce cheval unijambiste traversé de part en part par le timon, telle une pièce de gibier sur la broche! Mais si l’on sait que ce vocabulaire est celui d’un poète, d’un barde tout à fait ignorant de la technologie des « dieux », il devient évident qu’il s’agit là d’une machine, comparée à un cheval et à un char, puisque cette machine était mobile et pouvait transporter un personnage! (Imaginez un indigène du fin fond du Matto Grosso ou de l’Inferno verde, [l’Enfer vert du secteur encore très peu exploré de Madre de Dios, Rio Roosevelt, plus à l’ouest], transporté en hélico puis en avion à Rio de Janeiro: la circulation automobile démentielle, les néons, les vendeurs ambulants, les Cariocas habillés – ou quasi déshabillés si cette « balade » a lieu pendant le carnaval de Rio – tonitruant de chants et de musique! Mettez-vous un instant à la place de ce pauvre bougre terrorisé, désorienté, totalement incapable de comprendre cette agitation, ramené dans sa tribu isolée à laquelle il racontera son aventure: avec quels mots inexistants de son pauvre vocabulaire va-t-il narrer ce qu’il aura vu et qui pour lui sera magie pure? La question vaut aussi pour les contemporains des prophètes bibliques, témoins d’innombrables paléocontacts avec les « dieux » – bons ou mauvais! – descendus de leurs « chars volants », et plus encore pour la période protohistorique).
Continuons: Cuchulainn, n’écoutant que son courage, bondit. Il saute dans le char de la déesse et, subitement, retombe sur le sol! Il n’y a plus char ni déesse car celle-ci vient de se transformer en grand oiseau noir qui s’enfuit dans le ciel à la vitesse de l’éclair! Curieux comportement pour un « char » tiré par un cheval, surtout unijambiste! L’interprétation néo-ésotérique de cet épisode évoque bien évidemment un engin roulant et volant d’une haute technicité. Un détail renforce cette analyse: le lieu où se produisit cette rencontre fut appelé Grellach doluid, c’est à dire « la boue insupportable » car cette zone marécageuse, après l’envol du « char », était devenue terriblement dangereuse pour les humains. De là à conclure qu’elle était polluée par la radioactivité il n’y a qu’un pas aisé et logique à franchir.
Dans un autre volet de l’épopée celtique, Brann rencontra un homme dans un char qui s’avançait sur la mer! Une autre fois,Cuchulainn, magnanime, soigne la déesse Badb qu’il a blessée au cours d’un nouveau combat; ensuite, elle s’en va, s’élance sur son char et disparaît « dans une gloire », précisent les textes. Cheval rouge, char, gloire, ou éclair ou halo lumineux ne sont que des symboles qu’il nous est aisé d’interpréter, aujourd’hui, grâce à nos connaissances technologiques. Avouons donc que ces chars ressemblent singulièrement à des aéronefs ou astronefs de combat!
Mon confrère et ami Eric Guerrier, dans son ouvrage Le premier testament des dieux, (Editions du Rocher, 1979), a magistralement démontré l’altération, la dérive sémantique, la perte du sens initial des mots. Et ce justement à propos de « gloire » qui à l’origine signifiait une espèce d’aura énergétique puissante, redoutable et lumineuse, qui entourait les manifestations de la divinité (comme dans la description du « char » d’Ezéchiel). Alors que cette dérive, cette altération duterme de « gloire » en a fait, faussement, un synonyme de renommée, de succès, de triomphe!
Il est d’ailleurs fait allusion, textuellement, dans la tradition des Celtes, à un « vaisseau d’argent voguant sous l’eau ». Et que dire aussi du vieux chef de guerre Balor, qui ne possédait qu’un oeil? Ecoutons la tradition: « L’oeil lançait des éclairs et une grande partie de l’armée ennemie tombait, foudroyée ». Mais qui était ce vieux Balor? Un curieux personnage qu’on nous décrit ainsi: « Sa paupière était si lourde qu’il fallait qu’un servant la soulevât à l’aide d’un croc. Le regard lancé sur l’ennemi, le croc retiré, la lourde paupière retombait, plongeant Balor dans le sommeil ».
Est-il besoin de faire appel à une imagination particulièrement fertile pour voir dans ce Balor un engin de guerre crachant un rayon thermique, une sorte de laser dont se servaient les « dieux », voilà de nombreux millénaires, sur le territoire celte? Un vaste territoire englobant alors une partie de l’Allemagne, la France et les îles Britanniques.
On pourrait continuer longtemps d’énumérer les relations symboliques de la geste celtique qui, toutes, tendent à démontrer qu’en ce lointain passé, des dieux – nous dirions des Extraterrestres – venus du ciel, disposaient d’armes terrifiantes que notre technologie est sur le point de redécouvrir, de re-inventer! De par le fait que ces humanoïdes « beaux comme des dieux », c’est le cas de le dire, contèrent fleurette à nos arrières-arrières-grands-mères et qu’ils leur firent des enfants – les demi-dieux – il découle qu’ils étaient morphologiquement et biologiquement identiques aux Terriens, même si leur taille était sensiblement supérieure à la nôtre.
Dans les traditions celtiques, nous avons vu que ces « dieux» n’étaient pas des « anges »; ils se livraient entre eux à de furieux et titanesques combats faisant intervenir des armes dignes de la Science-Fiction! Il en va de même avec les traditionshindoues qui, dans la Mahâbârata par exemple, nous décrivent des guerres effroyables faisant intervenir des aéronefs et astronefs équipés d’armes aussi peu conventionnelles que les bombes atomiques, les rayons de la mort, les lasers, les ondes hypnogènes, j’en passe et des meilleures!
Quel était l’enjeu de ces affrontements de titans? L’occupation et le contrôle d’un territoire, d’un continent, la mainmise sur la Terre entière? Le saurons-nous jamais? Fort heureusement, selon les périodes et les latitudes, des Etres venus d’Ailleurs ontaussi exercé une influence bénéfique sur nos lointains ancêtres. Ces humanoïdes, par leur enseignement, permirent à l’espèce humaine de gravir un sentier déterminé de l’évolution. Leur science, leur technologie, les « miracles » entre guillemets qu’ils pouvaient accomplir les firent évidemment passer pour des dieux.
La plus célèbre intervention de ces Instructeurs, nous en trouvons l’épisode sur le mont Horeb, dans le Sinaï – selon la tradition – là où Moïse, près du « buisson ardent », reçut les Tables de la Loi qui devaient – ou auraient dû – servir de guide à toute l’humanité. Ouvrons ici une parenthèse afin de rectifier un mythe, grâce aux recherches de Yannick Auffret, auteur deLa Genèse biblique déchiffrée (Editions Arcane, Collet des Grands Bois, Chemin Saint Sauveur, B1, O667O Colmar). Voici ce qu’il écrit intelligemment, page 75: « Cette vision d’un Messager dans un buisson en feu est purement allégorique. En fait, le terme traduit ici par buisson signifie tout autre chose. Ce terme est S.N.S = Sene. Il est traduit traditionnellement par buisson ou épineux parce qu’il vient de la racine TS.N.H., qui signifie épine, d’où épineux, c’est à dire « buisson ». Mais cette racine (Ts.N.H) signifie aussi « un grand bouclier », c’est à dire un objet en forme de disque (c’est moi qui souligne, JG). Ici, derrière l’allégorie du « buisson ardent », la réalité désigne en fait un objet en forme de « grand bouclier »(fin de citation).Pline l’Ancien, déjà, parlait de « grands boucliers ardents » (clipei ardente) qui parcouraient le ciel. A partir du 24 juin 1947, ces « boucliers », de façon tout aussi imagée, furent surnommés « soucoupes volantes » .
Bien des « Instructeurs » se manifestèrent au cours des millénaires, tels ces « Anges » qui, en Genèse XVIII-8 « mangèrent le veau préparé par Abraham », ou ceux qui furent les hôtes de Loth, qui eux aussi mangèrent à sa table, et le prévinrent d’avoir à fuir, avec sa femme et ses filles, pour échapper au « feu du ciel » qui allait s’abattre sur Sodome et Gomorrhe. S’il s’était agi d’une chute de météorite, celle-ci n’aurait pas été localisée à l’avance avec autant de précision; le « feu du ciel » désignait donc quelque chose ayant fait l’objet d’un plan, d’une préparation, d’une programmation qui serait exécutée le Jour J à l’heure H. Un tel plan mettant en oeuvre des moyens techniques et une arme aussi fantastiques ne peut avoir été exécuté par les Terriens de l’époque, modestes éleveurs, peuples nomades analphabètes en général.
Au reste, le Nouveau Testament ne recommande-t-il pas, de façon significative: « N’oubliez pas l’hospitalité car, en l’exerçant, quelques uns ont logé des anges sans le savoir » (Hébreux, 13-2)? »
Insistons bien sur ce fait: tout au long de la Bible (et d’autres textes sacrés), les démonstrations « technologiques » abondent et nous allons voir que des vaisseaux cosmiques intervinrent en quantité d’occasions; notamment lorsque Joseph et Marie, enceinte, se rendirent de Nazareth (mais archéologiquement, il n’est pas sûr que Nazareth existait déjà !) à Bethléem (une trotte d’environ 120/130 km, elle à dos d’âne, son époux à pied) pour répondre à un ordre de recensement. Rappelons incidemment qu’avant sa grossesse, Myriam (Marie) avait reçu la visite de l’« Ange » Gabriel venu lui annoncer qu’elle enfanterait un fils « par l’Opération du Saint Esprit »,… ce qui pourrait recouvrir une insémination artificielle génétiquement programmée par le choix – non moins génétique – de Myriam, conformément aux plans des Elohim. Une programmation génétique garantissant à ces derniers la naissance de l’enfant mâle exceptionnel, doué de pouvoirs Psi, dont ils avaient planifié la venue, pour accomplir et contrôler une action de longue haleine… puisque, apparemment, elle n’est pas encore achevée!
Faisait également partie des plans, la mise en route de ces curieux personnages appelés les « rois mages », (qui en fait n’étaient pas rois), initiés de longue date à l’astronomie, plus exactement à l’astrologie et qui, pour se rendre – par des itinéraires différents – au lieu de naissance de l’enfant-divin, n’eurent qu’à suivre la soi-disant étoile. Il fallait évidemment, pour décider ces astrologues rompus à l’observation des astres, que cette étoile fut extrêmement particulière et originale et tout d’abord qu’elle bougeât. Une étoile filante? Il eût alors fallu que nos rois-mages fissent...fissa, si l’on sait que ces grains de poussière cosmique se déplacent à la moyenne de 40 km/seconde et la plupart du temps ne sont visibles que pendant quelques secondes et les météorites guère plus. Éliminons donc les étoiles filantes, météorites et autres bolides, doués eux aussi d’une grande vélocité… mais à la luminosité cachée par la lumière du jour!
Une comète, alors? Pas davantage. Euréka! s’écria M. David Hugues, astronomes à l’Université de Sheffield: c’est laconjonction de Jupiter et Saturne dans la constellation des poissons! [« Découverte » naïvement reprise par Science et Avenir de Décembre 1996, p.133, qui nous apprend qu’une cassette vidéo a été éditée par la Cité des Sciences et de l’Industrie étoffée d’entretiens avec des scientifiques. Nous voilà gâtés!]. Soit, analysons les faits: Jupiter et Saturne qui, le soir, pour permettre aux rois mages de se sustenter et bivouaquer, se seraient complaisamment arrêtés pour se remettre en mouvement le lendemain matin et donner ainsi la direction à prendre à nos trois illustres pèlerins… Pèlerins mais astrologues ignares au point de n’avoir pas reconnus ces astres (juxtaposés pour former UNE grosse étoile) pourtant familiers… qu’ils eurent cependant le loisir de contempler tout au long de leur voyage qui dura des mois? (Alors que les textes semblent laisser entendre que le phénomène initial fut bref qui détermina le départ simultané des « rois » mages; de surcroît originaires de régions différentes).
Une conjonction astronomique est tout de même un phénomène connu: l’occultation (complète ou partielle) d’un corps céleste par un autre ne dure que peu de temps, et sûrement pas des mois! (D’ailleurs, je conçois difficilement que cette indiscutable évidence ne saute pas aux yeux des rationalistes! Même des plus bornés!) Alors, exit l’hypothèse « lumineuse » de cette conjonction qui ne résiste à aucune analyse et n’éclaire rien du tout. La seule explication raisonnable, rendant compte de tous les faits liés à cet étonnant épisode, est d’admettre l’interprétation néo-herméneutique de ce « phénomène ». Ce dernier n’a rien d’astronomique puisqu’il s’agit – une fois de plus – d’un vaisseau piloté par les Elohim (décidément présents partout dans la Bible et d’autres textes sacrés); un vaisseau qui guida les rois mages comme un autre vaisseau/Colonne de nuée ou colonne de feu, au temps de Moïse, guida les Hébreux à travers le désert après avoir envoyé Pharaon et ses troupes dans un monde meilleur! Un vaisseau lumineux, enfin, qui s’immobilisa, telle une balise vue de très loin, à la verticale de la grotte-grange de Bethléem où Joseph et Myriam,- sur le point d’accoucher – avaient trouvé refuge.
Le mérite de l’astronome David Hugues est tout de même d’avoir (après Kepler, en 1603 ou 1604), donné une précision quant à la date de naissance de Jésus, dont on sait évidemment depuis longtemps qu’il n’est pas né un 25 décembre. La date probable serait le 15 Septembre de l’an 7 avant l’ère chrétienne, de sorte que notre calendrier serait en avance de 7 ans! Et nous ne serions pas en 1999 mais en 1992 (pas en 2011 mais en 2004)…
Mais ce n’est sûrement pas par hasard que Jésus a vu le jour à Bethléem; ni qu’un « messager » d’abord, puis des « anges » (bien informés du « programme »!), se sont ensuite répandus dans le secteur pour annoncer aux bergers la venue au monde d’un enfant-dieu dans une étable (Cf Evangile selon saint-Luc, 2, 8), à la périphérie de Bethléem, où les auberges affichaient « complet », en raison du recensement ordonné par Auguste. (Pas le clown, il n’existait pas encore!). A ces humbles ruraux « contactés », le « Messager » déclara: – Ne craignez point, car je vous annonce une bonne nouvelle (…) c’est aujourd’hui, dans la ville de David, qu’il vous est né un Sauveur qui est le Christ ». [N.B: l’Alien, ou « Messager » n’emploie pas le « nous » mais le vous, s’adressant UNIQUEMENT aux Terriens. C’est lui, le « Messager », qui baptise donc « Christ » le nouveau-né]. « Et soudain, il se joignit à l’ange une multitude de l’armée céleste (…). Lesquels « anges », après l’annonce faite aux bergers, s’en retournèrent « au ciel ». Belle préparation et mise en condition pour propager la bonne nouvelle; opération de « marketing à grand spectacle » tout à fait hors de portée de nos ancêtres d’il y a 2000 ans! Ou un peu moins! Et même aujourd’hui, nous serions incapables de matérialiser une multitude de « figurants » d’un point A à un point B pour concrétiser cette « armée céleste »! Et ce même si la radiotransmission de la matière, [appelée aussi « télétransfert »], courante dans la technologie « alien », constituera sans doute dans un futur X l’un des multiples transferts technologiques dont nous finirons bien par bénéficier! Procédé absolument révolutionnaire (pour nous) qui sera sévèrement contrôlé… pour ne pas [trop] déplaire aux pétroliers, en complet veston ou en burnous!
(…) Revenons (plus sérieusement) à l’Histoire Sainte véritable qui diffère assez de celle qu’on nous a enseignés! Voici un autre détail des plus troublants qui renforce l’analyse néo-herméneutique des événements associés à la naissance du « divin enfant »: Bethléem n’était pas une cité « ordinaire ». David, à la lignée duquel appartenait Joseph, avait passé son enfance dans cette ville, dont le nom s’écrit aussi beth-(trait-d’union)léem. « C’est là, précise Eric Guerrier,(in De Bethléem à la fin des temps », Op.Cit.) l’écriture avec une inversion classique en langue sémitique pour beth-élem et élem n’est que la vocalisation factice de élim, qui veut dire « dieux » dans un sens très général. Et du coup, tout devient clair: Marie doit venir accoucher dans une « maison des dieux ».(Fin de citation).
Il importe de réfléchir, de secouer le joug imposé par les rationalos et l’Eglise, et tout devient clair: Bethléem, depuis les origines, est l’une des bases des Elohim, auteurs de ces plans « civilisateurs » appliqués avec l’aide d’acteurs soigneusement sélectionnés, Myriam en particulier, destinée à « CONCEVOIR » un enfant mâle conforme à leur programmation d’ingénierie génétique! Metteurs en scène ayant pour toile de fond ce que l’on pourrait appeler le Moyen-Orient, ces Démiurges galactiques maîtrisent la Dimension Temps et l’exécution de leur scénario se déroule sur des dizaines de millénaires.[1] Nous sommes assurément loin de la traditionnelle Histoire Sainte, mais nous nous rapprochons de plus en plus d’une Histoire secrète de l’Humanité, qu’on s’est efforcé jusqu’ici de nous cacher! Et dont on tente encore d’empêcher la découverte de preuves matérielles la concernant. Tout comme l’on tentera, le moment venu, de faire passer le retour du Messie pour une imposture… très provisoire car cet être d’exception provoquera des « manifestations » ou phénomènes si spectaculaires (et si peu « naturels ») que tout un chacun se devra d’admettre la réalité VISIBLE de ces « impossibilités » devenues démonstrations palpables d’une Science du futur!
Les rationalos et scientistes pourront alors se faire pendre ailleurs! Le Messie reviendra – cette fois – armé d’une verge de fer; il est donc probable que ces « mécréants », vivants exemples de la contre-culture et des Forces Noires, vont en prendre pour leur grade! Car les Elohim ont programmé le retour messianique dans la Dimension Temps…(…)
[1] (1996) La 12ème planète, de Zacharia Sitchin (Editions Souffle, Paris) publiée en 1988. Livre fascinant où l’auteur, spécialiste des langues anciennes du Proche et Moyen Orient, démontre de façon rigoureuse que bien des millénaires avantl’extraordinaire développement de Sumer, des humanoïdes venus du ciel – les Néfilim (ou Anunaki) – s’installent sur la Terrepour « modeler » l’espèce humaine; ils vont la placer sur les voies de l’évolution… quitte à provoquer le déluge pour « balayer » un biotope et ses occupants « expérimentaux » qui ne leur donnaient pas toute satisfaction! Un chef d’oeuvre de la néo-herméneutique agrémenté d’une abondante iconographie archéologique venant à l’appui de ces découvertes. (Nous allons y revenir, YH)
(…)Tout cela est très clair pour qui étudie le problème avec objectivité et il est inutile d’épiloguer. Il faudrait aussi – et c’est élémentaire – que ceux qui écrivent des articles sur les OVNI et les Extraterrestres prennent au préalable la peine de se documenter auprès des ufologues sérieux, pour ne pas écrire des… c…rétineries en répétant celles des faux-ufologues mais authentiques debunkers interviewés!
(…)Alors, Amis, là non plus ne vous laissez pas abuser par le criminel amalgame discrètement dicté par les officiels, qui vise à assimiler les groupes ufologiques à des sectes. Et remarquez, incidemment, que cette assimilation concerne surtout les groupements les plus honnêtes,sincères et les plus actifs à dénoncer la conspiration du silence, impliquant le MJ 12, laTrilaterale, le CFR (Council on Foreign Relations), le Bilderberg Group...(…) » Jimmy Guieu.
Jimmy Guieu était un grand visionnaire et on peut effectivement lire dans plusieurs de ses ouvrages la prévision ou pressenti de ce qu’il se passe actuellement, non seulement concernant les interventions de plus en plus visibles des Exterieurs (je préfère encore les appeler comme ça, et j’y inclue ceux éventuellement déjà sous terre !) mais aussi les « amènagements » planétaires qui s’accélèrent (la plupart des pays impliqués dans les pétroles et gaz sont actuellement de plus en plus destabilisés, en particulier au Moyen-Orient, la « Crise » des subprimes de 2008 (annoncée et prévue dès 2001) suivie de la « crise » logique des dettes publiques (aussi prévue puisque déplacer les dettes privées au public a été le plus facile, et ça continue d’être voté par les « représentants » des peuples grâce à des plans d’austérités (pour la France, certains se souviendront peut-être des plans d’austérités de Raymond Barre et VGE (sans oublier le coup de l’impôt sècheresse, très fort !), qui ont fait avaler des couleuvres au français sur le pétrole à l’époque, comme quoi…, ah mais c’est vrai qu’en fait, il fallait commencer à financer Maastritch… après que le Président, déjà malade, Pompidou ait cédé ce que De Gaulle avait pu reculer : le déplacement du pouvoir financier réel aux mains du privé-le fait que Georges Pompidou ait été avant son mandat dirigeant d’une grande banque ne choque personne… enchaînement (logique ?) : le President Mitterrand et la gauche ne changent rien au Programme et font voter Maastritch, font un peu de social qui ne coûte pas grand chose (fin de la peine de mort, Restos du Coeur… financés par tout sauf l’Etat) mais en profitent aussi pour « inventer » de nouvelles taxes pour combler un nouveau trou mystérieusement apparu (après des soupçons de la part de la Cour des Comptes sur des détournements des fonds de la Sécu par un Parti Politique, au passage)… Seule la « gauche » en France aurait pu faire passer un truc comme la CSG/CRDS : une double-cotisation + taxe non déductible sur un même salaire déjà taxé pour « combler » un trou (qui ne s’est jamais comblé, au contraire !) provoqué lui-même par les hommes politiques qui gouvernent ! Mais d’autres tournants du Programme arrivent vite… il faut accéler le Nouvel Ordre Mondial, regrouper un maximum les grandes instances représentatives mondiales, en vue de créer un gouvernement mondial et une banque mondiale unique. Autre exemple ? la Constitution Européenne de VGE est rejetée par référendum ? Pas grave pour la démocratie, on la fait adopter en catimini quelques mois plus tard par des Elites qui s’élisent entre eux dans des Commissions (Heureusement que la « Droite » est à nouveau au pouvoir en France pour faire passer ça à son tour, hum, en jouant avec l’extrême droite…)… N’importe comment, faut que ça passe et que le Programme continue… Monnaie Européenne, élargissements, Banque Centrale Européenne, remontée en grâce du FMI : tout est mis en place juste pour le début des « crises » que l’on connait actuellement…
Pourquoi cet empressement et cette accélération ? Si on écoute certaines données, cela va de la pression de la Chine qui est en train de racheter le monde entier selon certains jusqu’à la précision d’un message Extérieur disant que le grand contact officiel ne pouvait se faire que devant une représentation unique et officielle de la planète Terre… LesExtérieurs veulent s’adresser à la planète, pas à un Etat/Tribue ou à un Bloc politique…
Alexander von Humboldt
« D’abord, ils nieront la chose; ensuite, ils la minimiseront. Enfin, ils diront que cela se savait depuis longtemps…«
Des coïncidences plus proches ? Peut-être avec les Sumériens et l’invention de l’écriture, puis de l’argent par la suite… :
Les traductions des tablettes cunéiformes sumériennes :
On ne sait pas exactement d’où viennent les Sumériens, leur langue n’est ni indo-européenne, ni sémitique… Les premiers occupants (période préhistorique) occupaient de modestes villages sur tout le territoire. Toutes ces populations semblent avoir été résorbées par les deux groupes ethniques Akkadiens (Sémites) et Sumériens. C »est donc enMésopotamie (ce qui veut dire en grec « entre deux fleuves ») que les akkadiens ont rencontrés l’autre groupe ethnique et mystérieux, les sumériens. Ces deux groupes ethniques donnera naissance à la civilisation antiques de Mésopotamie, en particulier celles des Sémites d’ Akkad et d’ Assyro-Babylonie puis au grand empire de Babylone, qui dominera longtemps la région avant les conquêtes Perses et Macédonienes…
Les Akkadiens venaient probablement des terres du nord (Syrie, Liban …) et de l’Arabie toute proche. Par contre, on ne sait pas d’où viennent les Sumériens. Ils ne sont pas originaires de Mésopotamie et leur langue, mal connue, n’est ni indo-européenne, ni sémitique. Le fameux mythe des « sept sages » impute la première civilisation du pays à de nouveaux arrivant étranges « arrivés de la mer« . Il est possible qu’ils soient arrivés en suivant le littoral iranien, venant de l’ Inde ou d’Asie en longeant les côtes…
Le plus étrange est qu’ils ont coupés les liens avec leur ancienne civilisation et son passé, oubliant complètement leurs origines, à la différence des Akkadiens qui ont gardés des liens avec leurs cousins de Syrie notamment.
Les Sumériens n’ont apparemment jamais été alimentés de sang frais, ne mélangeant pas leur race, aussi ils ont été au fils du temps phagocytés par les Akkadiens plus vigoureux. Ils sont supérieurs militairement avec la maîtrise de l’arc.
Mais le déclin rapide de la dynastie akkadienne entraîne une renaissance de Sumer et la montée en puissance de la cité d’ Our (Ur). Les cités sumériennes de cette époque se dotent de ziggourats, monumentales tours à étages destinées au culte, en simples briques de terre cuite comme toutes les constructions de la région. L’histoire biblique de la tour de Babel est sans doute inspirée par ces ziggourats.
Les cités-États de Sumer ne cessent de se combattre entre elles. Le pays n’était pas un royaume unifié, mais un ensemble de cités-États rivales et indépendantes (une douzaine au sud de la Mésopotamie), formant des royaumes au gré des alliances et des conquêtes. Ce conglomérat d’états-cités ne favorisa pas l’émergence d’une capitale précise car le centre du pouvoir se déplaçait sans cesse. Les cités d’Ourouk, Our, Eridou, Nippour, Kisch et Lagash furent les plus importantes. Our (Ur) était la ville principale vers 3000 avant J.C. et fut la capitale de Sumer sous la III ème dynastie.
Vers 2000 avant JC, l’effondrement des cités sumériennes et d’Our en particulier ouvre la voie à de petits royaumes indépendants. L’un d’eux va connaître un destin exceptionnel. Il s’organise autour de la cité de Babylone, à une centaine de kilomètres au sud de l’actuelle Bagdad. Cette région, la Chaldée (ou la Babylonie), occupe l’ancien pays d’Akkad. Babylone atteint son apogée sous le long règne du souverain illustre Hammourabi (1792-1750 avant JC).
Il y a environ 5500 ans naissaient, quelque part entre le Tigre et l’Euphrate, les germes de ce qui allait devenir la première forme d’écriture de l’humanité. Devenus agriculteurs, les Sumériens durent concevoir un système de comptabilité durable afin de gérer les surplus de nourriture. Ils se servirent donc de l’argile, matériau abondant dans ce territoire fluvial, pour garder des traces de leurs récoltes et troupeaux. Les comptables sumériens utilisaient des boulettes d’argile, appelées « calculi » pour enregistrer les livraisons et les échanges.
Les documents écrits les plus anciens (-3500 AV JC) ont été retrouvés dans les ruines d’Uruk lors de fouilles en 1929-1931. Le cunéiforme est une forme d’écriture inventée dans l’ancien Sumer aux environs de la moitié du IVe millénaire avant notre ère. Le système était à l’origine pictographique, mais en s’adaptant aux autres langues de la région (akkadien, perse, etc.) il devint plus phonétique.
L’utilisation de l’écriture débouche sur une organisation complexe de la société. Elle est administrée, de façon méticuleuse et tâtillonne, par un État monarchique et sacerdotal. Les méthodes d’agriculture, exigeant l’irrigation des terres afin de les fertiliser par le limon, demandaient une organisation sociale complexe, donc une structure hiérarchique qui allait devenir de plus en plus importante avec le temps. La population croissant, les surplus de nourriture devant être gérés, l’écriture est vite devenue un besoin pour la civilisation naissante.
La découverte en 1961 à Tartaria (Roumanie) de tablettes d’argile avec des signes pictographiques, datées par C-14 à peu près 1000 ans avant Sumer, ont conduit certains scientifiques russes, britanniques et américains a suggérer que les sumériens ont leur origine dans l’espace carpato-danubien.
Les Sumériens se servirent donc des techniques qu’ils connaissaient pour expliciter d’avantage leurs notations comptables, sous forme de pictogrammes tout d’abord. Ces pictogrammes se multiplièrent par la suite, se stylisèrent, ce qui donna une écriture complexe, la première connue. Le cadre d’utilisation dépassa la comptabilité des récoltes et des troupeaux, pour témoigner de la richesse de la culture sumérienne à travers des témoignages et même du premier texte littéraire connu, « l’Épopée de Gilmalesh ». (les archéologues, historiens ou linguistes passant allègrement de « témoignages » à « oeuvres littéraires » ou « mythologiques » quand ça les arrangent ! YH)
Les témoignages extrêmement riches laissés par l’écriture cunéiforme ne vont pas l’empêcher de disparaître, lorsque le papyrus remplacera l’argile. L’écriture cunéiforme sumérienne ne compte pas moins de 20000 signes ! Les premières traductions sont dues à Sir Henry Creswicke Rawlinson (1810 – 1895).
La plupart des peuples de l’Asie occidentale adoptent le cunéiforme qu’ils transcrivent dans leurs langues respectives. Ils l’utilisent jusqu’au premier siècle av. J.-C. .Ce sont d’abord les Akkadiens (peuple sémitique, ancêtre des Hébreux et des Arabes), puis les Babyloniens et les Assyriens, puis les Hittites, les Perses… Pendant ces 4000 ans, des milliers de documents administratifs et économiques ainsi que la plupart des connaissances scientifiques et des oeuvres littéraires sontécrites en cunéiforme, dans différentes langues, par toutes ces civilisations. Le courrier et les livres de comptes sont inventés, on écrit les hymnes sacrés et les prières.

Evolution de l’écriture Sumerienne : à gauche -3500 ans à droite -3000 traduction ville d’Uruk en cunéiforme
Evolution de l’écriture Sumerienne : à gauche -3500 ans à droite -3000 traduction ville d’Uruk en cunéiformeDans « l’Épopée de Gilgamesh« , oeuvre sumérienne écrite à cette époque, on y devine une source importante de la mythologiegrecque (les exploits d’Héraclès), et de la Bible (le Déluge y est conté).
« Il y a 6000 ans d’après d’autres datations, les scribes d’ » Enuma Anu Enlil « étaient un groupe d’hommes experts en astronomie et astrologie à la cour babylonienne. Les textes se réfèrent à ce groupe de scribes, mais nous ne connaissons pas exactement qui ils étaient, ce qu’ils ont fait et comment ils ont été formés. L’Antiquité commence donc à des dates différentes selon les civilisations considérées. La plus ancienne civilisation antique connue serait celle de Sumer. qui inventa l’écriture cunéiforme, à base de pictogrammes pointus, dus à la forme biseautée du calame… » Mais dans les légendes de Sumer, on trouve celle du royaume d’Aratta, civilisation plus ancienne que Sumer. Or, en 2001, les ruines d’une cité vieille d’au moins 5000 ans, correspondant à Aratta est découverte du côté sud-est de l‘Iran… des traces d’écritures anciennes y ont été également trouvées, toujours à l’étude… Sumer pourrait donc perdre sous peu l’appellation de plus vieille civilisation du monde et inventrice de l’écriture… remplacée par celle d’Aratta, en attendant d’en trouver une autre encore plus ancienne… dans l’Indus ou au fond des mers ! http://www.arte.tv/fr/1095560.html
Les astronomes étaient nommés au premier millénaire « Tupshar Enuma Anu Enlil ». Ils étaient en fait des prêtres ayant reçu une formation spéciale, et sachant lire et écrire. De ce fait, leur fonction est avant tout religieuse. C’est pour cela qu’ils sont à la fois astronomes et astrologues (c’est une différence pour nous, mais pas pour les Mésopotamiens. Ils officiaient dans les temples, qui ont de ce fait livré de nombreuses archives de textes astronomiques et astrologiques qui étaient gardées dans des salles spéciales.
L’astronomie se base avant tout sur l’observation du ciel, et principalement des étoiles. Le plus ancien texte astronomique exhumé est une liste d’observations des mouvements de la planète Vénus, très importante en Mésopotamie, puisqu’elle est identifiée à la déesse » Inanna » (Ishtar), couvrant tout le règne d’Ammi-Saduqa, roi de Babylone entre 1646 et 1626 Av JC. L’astrologie connaîtra son véritable développement au Ier millénaire. On a exhumé de nombreux compte-rendus d’observations des phénomènes météorologique à partir de la fin du VIIIè siècle. Les souverains assyriens et babyloniens l’encouragèrent, avant tout pour l’astrologie. Elle connut ainsi une période de progrès, et atteint son apogée sous la période séleucide, avant de passer le relai aux Grecs. Les textes retrouvés ont une utilité particulière pour les historiens, puisqu’à partir des signalements d’éclipses, on peut connaître la date exacte de certains évènements. C’est à partir du signalement d’une éclipse de soleil, qui a eu lieu le 15 juin -763, sous le règne du souverain assyrien Assur-Dân III (773-755 Av JC), qu’on connaît avec précision la date des évènements ultérieurs de l’histoire mésopotamienne. Les souverains assyriens entreprendront un regroupement des observations astronomiques, et entretiendront un groupe important d’astronomes/astrologues autour du palais royal. De ce fait, ils aideront beaucoup l’essor de cette discipline.
Vers -1000 av. J.-C. les astrologues Mésopotamiens connaissent déjà toutes les planètes visibles à l’oeil nu, et ils a observent que toutes se lèvent à l’Est et se couchent à l’Ouest, en suivant dans le ciel la même trace que le Soleil : la bande où se déplacent ces astres est donc appelée « zodiaque ». Une tablette babylonienne enregistre toutes les éclipses lunairesqui se sont produites entre le règne de Nabuchodonosor et l’an 317 avant JC (soit pendant 400 ans).
La longueur de l’année fut calculée à 0,001% près et, les mouvements du Soleil et de la Lune, étaient connus avec une marge d’erreur égale à trois fois seulement leur valeur selon les connaissances de notre XVIIème siècle.
Durant des centaines d’années les scribes ont tenu les rapports précis d’événements naturels sur la terre et dans le ciel afin de prévoir l’avenir. Les sumériens connaissaient parfaitement les « étoiles » de notre système solaire, et d’autres aussi. Deux mille ans plus tard, les Grecs parleront de « planètes », terme qui signifie « vagabond ». Assimilées à des divinités, les planètes porteront le nom d’un dieu grec puis romain. Les Mésopotamiens connaissaient au moins cinq planètes, Sihtu / Mercure(divinité: Nélo), Delebat / Vénus (divinité: Ishtar), Salbanatu / Mars (divinité: Nergal), Neberu / Jupiter (divinité: Marduck),Kayamanu / Saturne (divinité: Ninib). Mais très certainement avaient-ils des connaissances à propos d’autres planètes, certainement au moins 7, voir même beaucoup plus!
A partir des années -1000 (environ), l’astronomie de Mésopotamie tout en restant encore assez descriptive, émerge lentement de son contexte astrologique de départ : les astronomes ou les veilleurs vont noter nuit après nuit tous les phénomènes célestes observés, surtout ceux qui sont visibles au début et à la fin de la nuit divisée en trois « veilles » (massartou). Les veilleurs observent bien sûr tout ce qui concerne les éclipses, mais les ils vont aussi repérer et noter les positions des planètes par rapport à des étoiles brillantes, la durée écoulée entre le coucher du soleil et le coucher du premier croissant de Lune en début du mois, etc. Ces textes étaient refondus par la suite sur une tablette unique portant sur l’ensemble des événements du mois (des almanachs), puis seront archivées dans la bibliothèque du temple.
En dehors des almanachs, un texte majeur d’astronomie le « MUL. APIN » (1000 avant J.-C) liste 66 constellations (ou astérismes). Première carte céleste connue (découverte à Ninive). C’est un planisphère en argile, divisée en 8 sections, et montrant une ou deux constellations avec les étoiles importantes (Sirius, l’Épi, Pégase, la Balance, etc.). « Mul APIN » veut dire étoile d’Andromède; [mul = étoile + APIN = champ : premiers mots du texte]; ce texte regroupe sur 3 tablettes à l’écriture serrée toutes les connaissances de l’époque en Astronomie. Les indications sont données dans un calendrier de « travail » contenant 360 jours dans l’année. On y trouve des indications sur la durée des jours et des nuits tous les mois de l’année, une sorte de catalogue d’étoiles situant celles-ci les unes par rapport aux autres, une liste d’étoiles dites « ziqpu » qui permettent de se repérer par rapport au méridien selon la date, la liste des constellations qui se trouvaient sur le « chemin de SIN » (dieu de la Lune), c’est à dire sur l’écliptique, la longueur de l’ombre portée d’un style vertical pour un temps donné depuis le lever du Soleil (cadran solaire), les périodes de visibilité et d’invisibilité des planètes, etc.
Cet état des lieux fourni aussi quelques règles de calcul; cela permet de constater que déjà une modélisation numérique est utilisée dans des cas simples. L’essentiel des repérages d’événement astronomique se fera par rapport à des étoiles brillantes connues. Les distances sont données en shu-si « doigts » (1/12 de degré) et en kush (2,5 degré) en spécifiant la direction Nord Sud Est ou Ouest à partir de l’étoile de référence; celles-ci sont au nombre d’une trentaine et sont connues par des listes références.
Ultérieurement les textes les plus nouveaux concernent les éclipses; des relevés qui s’étagent sur plusieurs siècles contiennent des observations qui croissent en précision : celles des moments du début et de la fin de l’éclipse par rapport soit au lever soit au coucher du Soleil; l’unité utilisée est l’OUSh (= 4 minutes de temps); on peut de nos jours vérifier les données et constater que l’unité est stable; cela suppose donc l’utilisation d’une horloge (à eau?) étalonnée!
De plus, les Sumériens ont aussi probablement inventé le cadran solaire (Hérodote, historien grec du Ve sc. av. J.-C. rapporte que les gnomons et polos (cadrans solaires) sont des legs babyloniens). Le premier horoscope individuel est probablement aussi un texte babylonien (daté de -410 av JC).
La médecine s’est dégagée assez tôt de la magie, et s’est constituée en science indépendante à côté d’elle. Les maladies étaient attribuées à la présence de démons malfaisant dans le corps des malades, la médecine s’occupait de soigner le corps. La médecine était déjà fort avancée vers la fin du III millénaire : utilisation d’onguents et de filtrats, de nombreuses plantes, substances animales et minéraux.
Importantes découvertes lors de la fouille des tombes royales d’Ur, entre 1922 et 1934, conduite par Leonard Woolley. Outre les centaines de précieuses tablettes cunéiformes d’argile crue, la plus sensationnelle découverte de Woolley fut celle de la nécropole, 450 tombes dont celles des rois d’Ur et la fameuse “fosse de la mort”. Une fosse rectangulaire où, il y a 4500 ans, s’est déroulé une étonnante et tragique procession funéraire. À l’époque, ce n’était pas seulement le roi, ou la reine, que l’on portait en terre, mais aussi les membres de la cour et les proches serviteurs qui s’immolaient pour suivre le défunt dans son ultime voyage. Cette fosse contenait ainsi 74 squelettes, parés de bijoux, des harpes d’or et d’argent dont les mélodies avaient sans doute accompagné le rite funèbre. À côté de chaque corps se trouvait une coupe. On trouva également un cratère où chaque convive allait probablement remplir sa coupe de poison. La richesse et le raffinement des bijoux et objets sont exceptionnels et les tombes d’Ur dévoilèrent une civilisation disparue aux fastes oubliés, et traduisent le niveau de perfection technique et artistique atteint par les Sumériens. La plupart des pièces maîtresses de ces fouilles se trouvent aujourd’hui au British Museum (exposées salle 56), collection du Moyen-Orient. (on peut pratiquement dire que l’influence des souverains était similaire à celle de gourous de sectes, YH).
Un autre grand musée, qui rivalise rivalisait sur le thème avec le British Museum, abrite abritait les joyaux de ce patrimoine de l’humanité, des trésors archéologiques : des milliers de tablettes cunéiformes conservant le témoignage de l’activité économique, des arts, de la littérature, des mathématiques, de l’administration, des lois à une époque vieille de plus de 4000 ans, notamment un précieux Code d’Hammurabi, des dizaines de bijoux, de coupes en or, d’armes et autres pièces (dont un “bélier dans le buisson”) provenant des tombes d’Ur, mais aussi une tête en bronze d’un roi akkadien, un vase d’Uruk, des sculptures assyriennes, des bas-reliefs des palais de Nimroud et de Khorsabad, une collection de 1600 monnaies anciennes, sans compter la collection d’art islamique, le plus vieil astrolabe connu (d’Ahmad Ibn Khalaf), etc. Il s’agit bien sûr du musée archéologique de Bagdad.
Mais aujourd’hui, de ce que les bombardements des deux guerres d’Irak n’avaient pas détruit, la passivité de l’occupant américain a fait le reste.
Le musée archéologique de Bagdad offre aujourd’hui un spectacle navrant de complète désolation. Cette honte supplémentaire et inexcusable est pleinement à porter au crédit de l’administration Bush, qui n’a que faire de l’héritage laissé aux générations futures.
Environ 170,000 pièces ont été détruites ou ont disparu, selon Nabhal Amin, la conservatrice du musée, sans compter le saccage des précieuses archives, ce qui laisse entrevoir l’ampleur du pillage.
4000 pièces avaient déjà disparu d’Irak (au sud et au nord, selon Jaber Khalil Ibrahim, président de l’Office national des antiquités irakiennes) lors du conflit de 1991. C’est ainsi qu’une statuette en bronze assyrienne (volée au musée de Kirkouk) a fait son apparition dans une salle du Metropolitan Museum de New York. Au moins, pour celle-ci, on sait où elle est.
Pour toute personne attachée à l’art, à l’histoire, à la mémoire, il n’y a que ces sentiments qui seront partagés dans le monde entier : colère, indignation et consternation.
http://embruns.net/logbook/2003/04/13.html
Des avances récentes dans la recherche sur l’ ADN ont établi qu’il y avait une « EVE » qui a vécu il y a environ 250 à 270 milles ans, une première mère de l’humanité moderne, peu importe que l’héritage racial. En 1987, les scientifiques des Universités dela Californie et le Michigan ont annoncé que tous les humains sont descendants d’une « EVE » mitochondrial simple qui aurait vécu en Afrique. Quelques années plus tard la science nous apprendra qu’il y avait aussi un « ADAM » réel. Finalement, des avancées génétiques ont vraiment créé des bébés-éprouvette possibles en mélangeant le sperme masculin avec des oeufs féminin en les réimplantant…
La connaissance que nous avons acquis corrobore ce que les Sumeriens connaissaient il y a six mille ans. Le symbole des serpents entrelacés, que nous employons toujours aujourd’hui pour représenter la médecine et la guérison, la biologie, existe depuis 6000 ans. C’est le symbole du dieu « Inkishzidda ». Ce symbole est aussi celui de l’ADN, la spirale double de l’ ADN !
La représentation du dieu sumérien « Ninkishzidda » représente deux serpents entrelacés et l’échelle semblable à des rubans entre les corps de serpents. Découverte par la science moderne, la structure de spirale double d’ADN est aussi le symbole des « Serpents entrelacés » sumériens, qui ont imité la structure du code génétique, dont la connaissance « secrète » aurait permis la création d’ « ADAM », le premier homme que les « Annunakiens » ont créés, selon le mythe… Les traductions de tablettes sumériennes, notamment celle de L’Épopée de la Création, découverte dans les ruines de la bibliothèque d’Assourbanipal à Ninive par l’écrivain Zecharia Sitchin (1920-2010).
Qui était les « Annunakiens » et d’où venaient ils ? Les Sumériens écrivent : « Ils sont venus de Nibiru« . Et sur Nibiru lesSumériens ajoutent : « C’est encore une planète de notre système solaire ».
En 1973, le Prix Nobel Francis Crick qui avait codécouvert la structure de l’ADN, émettait l’hypothèse que « la vie sur la terre émanait peut-être d’organismes venant d’une planète lointaine ». Les anthropologues n’arrivent toujours pas à faire le lien entre notre race et ses plus proches parents, les « simiens ». Il y a environ 300.000 ans, après un demi million d’années d’évolutions minimes, l’homo erectus se transforma alors soudainement en homo sapiens, se caractérisant par une augmentation de 50 % de la capacité de la boîte crânienne, et cela sans explications sur la rapidité de la transformation.
sur l’origine de l’Humanité, dont il attribue la création aux Annunakis, divinités sumériennes qu’il présente comme étant des extraterrestres qui, venus sur Terre pendant la Préhistoire, auraient été divinisés par les premiers hommes. La Mésopotamieaurait été la première colonie terrienne de ces visiteurs venus de l’espace.
Les Annunakis auraient créé l’ homo sapiens en croisant leurs propres gènes avec ceux de l’ homo erectus, pour ensuite l’utiliser en tant qu’esclave à l’extraction de matières premières, lesquelles eussent été nécessaires pour protéger l’atmosphère alors en danger de leur propre planète : Nibiru. On peut d’ores et déjà remarquer que l’homme partageant plus de 98% de gènes avec le chimpanzé, il en partage normalement bien plus avec l’homo erectus, on peut dès alors se demander où sont donc ces fameux gènes dans notre patrimoine, ceux-ci ne témoignant pas d’une différenciation plus importante que ne le permet la spécialisation des espèces. (en décodant le génome de Neanderthal, on a trouvé 4% de ses gènes dans unepartie des Homo Sapiens comparatifs… YH).
Dans son livre, la 12e planète, il traduisit une ancienne légende, L’Épopée de la Création, découverte dans les ruines de la bibliothèque d’Assourbanipal à Ninive. Plutôt que d’y voir des combats célestes symboliques opposant les divinités, il décida de les interpréter comme des faits astronomiques réels, chaque divinité représentant une planète et il remarqua qu’une planète inconnue était mentionnée en tant que Tiamat. Il explique qu’une collision de Tiamat et de Nibiru aussi nommée Mardoukengendra la Terre et la ceinture d’astéroïde, Tiamat fut complètement détruite durant la collision. Accomplissant une orbite elliptique Nibiru ne passerait au voisinage de la Terre que tous les 3600 ans, causant à chaque fois d’importantes perturbations et destructions.
Ses idées interviennent dans les livres de David Icke sur la fraternité babylonienne. Contrairement à lui, Sitchin ne considère pas les Annunakis d’origine reptilienne. Anton Parks décrit dans son livre, Le secret des étoiles sombres, la genèse desAnnunakis, mais vus comme des reptiliens.
Les temples consacrés à ces dieux ne sont pas décrits comme des lieux de culte mais des résidences temporaires où lesAnnunakis venaient séjourner. Les sumériens venaient leur demander conseil, voire même un jugement en cas de litige entre cités ou personnes. Ce sont eux encore qui nommaient les chefs ayant un pouvoir législatif et exécutif en leur nom.
Les tablettes Mésopotamiennes indiquent que « EA« , Prince de la terre, créateur de l’homo sapiens, se rebella, n’acceptant pas les cruautés que ses congénères infligeaient aux hommes, et fonda la « Confrérie du Serpent« . LesAnnunakis participaient à l’enrichissement culturels par l’apport de techniques essentiellement agraires (semences, irrigations, aménagements du sol,…) , de connaissances astronomiques (position de la ceinture d’astéroïdes qui n’est pas visible,…) ou de nouveaux termes destinés à décrire des objets, des lieux et parfois des concepts.
Il existe un lien évident entre l’existence d’une mythologie et la création d’un système philosophique pour toutes les anciennes civilisations connues, y compris chez leurs voisins Akkadiens. Hors les Sumériens ne possèdent aucun système philosophique. Ils procèdent au cas par cas sans proposer de généralisations. Par conséquent l’intervention des Annunakisdans la société sumérienne ne peut se justifier que par de la poésie ou de la mythologie subite, comme préfèrent le faire les archéologues.
Sitchin et d’autres chercheurs ont apportés du moulin à ces traductions :
Histoire courte des Annunakis
« Il y a fort longtemps, mais pas dans une lointaine galaxie, dans notre bon vieux système solaire (probablement peu après sa formation voici 4.6 milliards d’années), la Terre, alors deux fois plus grosse qu’aujourd’hui et recouverte d’eau, s’appelaitTiamat et orbitait entre Mars et Jupiter. Tiamat possédait alors une grosse lune (du nom de Kingu qui n’est évidemment pas celle d’aujourd’hui) qui sera plus tard destiné à devenir une planète, dont nous n’avons malheureusement pas d’autre précision (cette mystérieuse planète, autrefois Kingu, serait probablement Mercure dont les anomalies pourraient ainsi être justifiées). Une dixième planète (ou douzième corps céleste pour les anciens qui incluaient la Lune et le Soleil) plus grosse queTiamat, nommée Nibiru (ou Nibirou) par les Sumériens et plus tard Marduk (ou Mardouk) par les Babyloniens (du nom de leur dieu principal depuis Hammourabi), décrivait également une très large orbite elliptique (d’une période de révolution égale à 3600 ans) entre Mars et Jupiter.
Nibiru (Marduk) tournait dans le sens inverse des autres planètes et son orbite n’était pas forcément dans le plan de l’écliptique (le plan orbital des autres planètes), ce qui signifierait qu’elle n’appartenait pas au système solaire à son origine. L’Enuma Elish (texte sacré babylonien) précise que Nibiru (Marduk) était une planète « nomade » propulsée dans le système solaire (et capturée) suite à un événement cosmique de nature inconnue. Sa trajectoire, via Neptune et Uranus, aurait suivi un mouvement effectué dans le sens des aiguilles d’une montre à l’inverse du sens de rotation des autres planètes tournant autour du soleil. Les effets gravitationnels combinés de ces autres planètes auraient alors déviés Marduk vers le centre du système solaire, en pleine formation (Les tablettes sumériennes n’y font pas allusion mais toutes n’ont sûrement pas été découvertes et un grand nombre reste à trouver et surtout de meilleure qualité).
La vie semble s’être épanouie sur Marduk, probablement après sa capture par le système solaire, aboutissant à une civilisation extraterrestre (les Annunakis pour les Sumériens et les Néfilims pour les Babyloniens et plus tard lesHébreux) ayant acquis une certaine maîtrise du voyage interplanétaire avant la catastrophe. En effet, Nibiru/Marduks’approcha si près de ce qui était alors notre orbite, qu’une de ses lunes entra en collision avec Tiamat (les textes sumériens moins précis laissent plutôt supposer que le choc concerne les deux planètes elles-mêmes) la coupant en deux. La partie supérieure intacte de Tiamat (ainsi que sa Lune principale) fut (furent) déplacée(s) sur une nouvelle orbite entre Mars etVénus pour devenir après un nouvel équilibre (et reconstruction géologique) notre Terre telle qu’elle est aujourd’hui. L’autre partie de Tiamat (celle ayant subit le choc) aurait été réduite en mille morceaux pour devenir, selon les Sumériens, le « bracelet martelé » que nous appelons la ceinture d’astéroïdes entre Mars et Jupiter. A ce propos, on a repéré des trouées importantes à l’intérieur de la ceinture d’astéroïdes (diamètre de l’ordre du million de km) qu’on explique par des phénomènes de résonance avec Jupiter (cf. les divisions de Kirkwood). Mais que l’on pourrait également justifier par l’orbite d’un important corps planétaire qui l’aurait traversée.
Les archives sumériennes précisent que les Annunakis étaient très grands : les femmes avaient une taille de 3 à 3 mètres 50 et les hommes de 4 à 5 mètres. Leur durée de vie était d’environ 360 000 années terrestres (soit environ cent années deNibiru/Marduk, ce qui est cohérent avec notre longévité), puis ils mourraient comme tout le monde. Toujours selon ces archives, il y a environ 450 000 ans, les Annunakis / Néfilims durent impérativement solutionner un problème atmosphérique en liaison avec leur hiver (aphélie : point de l’orbite d’un corps tournant autour du Soleil où la distance de ce corps au Soleilest maximale) très long. Leurs scientifiques ont alors imaginé de répandre de la poussière d’or dans la partie supérieure de leur atmosphère afin de profiter de son fort pouvoir émissif permettant ainsi de maintenir une température suffisante à leurs besoins. Il est intéressant de noter que nos spécialistes préconisent une solution analogue pour lutter contre les trous de la couche d’ozone en y répandant des particules de poussière destinées à filtrer les rayons nocifs du Soleil.
Les gisements d’or sur Nibiru (Marduk) étant insuffisants, la Terre fut exploitée à son tour (il est possible que Mars ait été antérieurement exploité car plus proche). Les tablettes décrivent les Annunakis voyageant dans des vaisseaux spatiaux laissant sortir des flammes à l’arrière des fusées de type rocket. Cette technologie nécessitait que Nibiru soit suffisamment proche de la Terre pour faire le voyage entre les 2 planètes. Ils atterrirent et s’établirent dans une région correspondant à l’Iraqactuel en constituant ainsi les premières colonies (constructions des premières villes extraterrestres). Pour trouver de l’or, ils se rendirent dans une vallée située au Sud-Est de l’Afrique (en face de l’île de Madagascar). Des ouvriers Annunakis (les dieux inférieurs comme les désignaient les Sumériens) creusèrent et exploitèrent les premières mines d’or. Des navettes furent mises en œuvre pour transférer l’or depuis l’Afrique du Sud vers Nibiru. 100 000 à 150 000 ans plus tard (ici les textes sont imprécis), ces ouvriers Annunakis ne tolérant plus leurs conditions de travail se rebellèrent contre leur hiérarchie militaire. La solution adoptée fut la fabrication d’ouvriers hybrides par ingénierie génétique à partir du sang annunaki (ADN) et celui de primates locaux (trop malhabiles à l’état naturel) et qu’ils se substituent aux dieux inférieurs dans le travail minier. Les premières expériences génétiques se firent dans des récipients en argile.Cette nouvelle espèce de primates devint l’Homo sapiens-sapiens : nous aurions ainsi été conçus (créés) par des dieux dans le seul but de servir d’esclaves destinés à creuser la terre et extraire son or. Notre fonction de mineur s’étendit plus tard à d’autres tâches domestiques… » (C’est ici que l’on peut peut-être considérer que les Neanderthaliens ont aussi fait partie de l’expérience avant, ou qu’ils sont en réalité les restes des Annunakis ouvriers… après tout, comme pour l’Homo Sapiens, on ignore toujours les origines duNeanderthalien… YH)
Léon Tolstoï :
« L’argent est une nouvelle forme d’esclavage, il se distingue de l’ancienne simplement par le fait qu’il est impersonnel, il n’y a pas de relation humaine entre le maître et l’esclave. »
Encyclopædia Britannica, 14ème Edition :
« Les banques créent du crédit. C’est une erreur de croire que le crédit des banques est créé dans toute mesure par le versement d’argent aux banques. Un prêt créé par la banque constitue un ajout significatif au volume d’argent de la communauté. »
Qui a bien pu inventer l’argent et pourquoi ?
Les manuels spécialisés évoquent l’apparition des pièces métalliques en Lydie vers le VIIe ou le VIe siècle avant Jésus-Christ. L’argent fut inventé au départ par les riches marchants arabes pour faciliter les échanges commerciaux de biens et de services. Un instrument banal et familier mais qui pose des problèmes insolubles à l’historien, au philosophe, à l’économiste et au juriste : voilà qui fait soupçonner que la monnaie n’est pas une invention assignable, mais plutôt le produit de l’expérience, des usages et de la sélection sociale. Certes, l’État s’intéresse très tôt et de très près à la monnaie « inventée » par la collectivité des marchands et les ancêtres des banquiers. Mais la capture monopolistique de la monnaie par l’appareil d’État (la Banque Centrale surplombant hiérarchiquement les banques de second rang) ne date somme toute que du XIXe siècle… Il faut ajouter ici que le Président américain Woodrow Wilson, (Président des Etats-Unis – 1913-1921) a fait adopter une loi redonnant cette prérogative aux banquiers privés avec la Federale Reserve, détenue par un consorsium de banques privées américaines, et que toutes les autres places financières ont fait de même… et ne vous y trompez pas quand ils vous disent que les Etats y sont fortement représentés et dirigent ces Banques Centrales : la plupart de ces hommes ou femmes d’Etats dans ces organismes proviennent des mêmes banques et instituts financiers en question, ou font partis des mêmes loges maçonniques…
http://www.imf.org/external/french/np/speeches/2011/091511f.htm : Ici se trouve le discours de Christine Lagarde, l’actuelle Directrice générale du Fonds Monétaire International (FMI) à Washington DC, 15 septembre 2011 – Elle y révèle une bonne partie des dispositions que l’organisme entend être appliqué par les Etats (à ses ordres en partie financièrement) et pour ceux qui savent lire entre les lignes, on assiste à une décision tout à fait arbitraire, voir dictatoriale, en ce qui concerne la division d’une grand problème qu’est ce système bancaire en soit en ajustements distincts suivant les Blocs politiques (un non-sens) : sécuriser les ménages sur-endettés aux USA (à mort les autres ailleurs !), sécuriser les banques en Europe (surtout celles qui ont trahi les intérêts de leur propre pays en trichant)… Le discours est ponctué de bonnes intentions mais les contredits sans arrêt : On a besoin de la croissance mais tout ce qu’on propose, c’est la même chose qui est déjà fait depuis des années et à chaque fois qu’il y en a l’occasion : réduire les prestations sociales (donc réduire les ressources du peuple), bloquer plus d’aides en changeant les indices (le taux d’inflation par le taux de croissance – certains vont peut-être comprendre pourquoi il était intéressant de limiter fortement l’inflation selon VGE et transmettre le pouvoir financier au privé en échange : beaucoup de taux (retraites, prestations…) sont axés sur l’inflation : en limitant l’inflation, on limite aussi les aides et les prestations dûes par les Etats… et si ça suffit pas, et comme la croissance est mal partie pour plusieurs années, on peut aussi économiser sur le dos du peuple en changeant les taux sur la croissance…), bloquer ou limiter les salaires (mais ça les entreprises le font toutes seules), et pour rêver à la croissance, il est (comme toujours) proposé évidemment des taux de crédits attractifs (endettez-vous, endettez-vous…). Autrement dit, on ponctionne et on récupère de l’argent sans se soucier de ce qu’il reste, on ruine le peuple, et on l’oblige à se surendetter pour alimenter à nouveau une fausse croissance. Elle révèle aussi que pratiquement rien n’a été réglé depuis 2008 et la chute de Lehman, mais ça ne l’empêche pas de prôner de tourner quand même en rond et de refaire ce qui a toujours été fait (et sans tenir compte des avertissements d’une crise du crédit à venir), c’est à dire prôner l’endettement à tout va via le FMI… On y apprend aussi que Christine Lagarde n’est pas très bonne en Histoire, vu qu’elle situe le Président Woodrow Wilson en 1944 à la fin de son discours…
Lord Acton, Lord Chief Justice of England, 1875 :
« Le problème récurrent au cours des siècles derniers et qui devra être réglé tôt ou tard est celui du conflit qui oppose le Peuple aux banques. »
Sir Josiah Stamp, Gouverneur de la Bank of England, 1920. :
« Les banquiers détiennent la Terre. Si vous souhaitez rester leurs esclaves et payer le coût de votre propre esclavagisme, alors laissez les continuer à créer de l’argent… »
M. Phillip A. Benson, Président de l’American Bankers’ Association,8 juin 1939 :
« Il n’existe pas de moyen plus efficace pour prendre le contrôle d’une nation que de diriger son système de crédit (monétaire). »
http://www.dailymotion.com/video/xc4fnb_les-invites-du-groupe-bilderberg-de_news
http://www.jp-petit.org/CHRONIQUES/10_01_21_haiti.htm
Andrew Gause, historien de la monnaie :
« Une chose à comprendre à propos de notre système de réserve fractionnaire est que tel lors d’un jeu de chaises musicales, aussi longtemps que la musique tourne, il n’y a pas de perdants. »
Inutile de continuer à citer les multiples sources concernant les témoignages et les rapports parfois officiels comme celui du policier Herbert Shirmer ou de nombreux pilotes ou forces armées concernant les ovnis, ainsi que de la part des chercheurs et auteurs dont plusieurs arrivent aux mêmes conclusions. Il suffit de chercher assez peu de temps pour trouver des témoignages de pilotes, forces de l’ordre ou militaires, voir des scientifiques et hommes publiques…
En effet, tout s’enchaîne admirablement si l’on considère d’un point de vue un peu plus global ce que nous apprennent d’un côté la science officielle (géologie, climats, tectonique, études du génome humain, archéologie, etc) et les textes anciens, les différentes légendes des ethnies réparties sur le monde, etc… mais également du point de vue politique et économique, la main-mise d’un pouvoir religieux puissant issu d’une concrétisation des légendes anciennes en l’an zéro de notre ère : Jésus. Il devient évident que cette intervention – parfaitement matérielle du point de vue du pouvoir et mainmise sur de larges populations- qui se répercute encore très fortement de nos jours (artificiellement car aussi bien l’Islam que la Chrétienneté sont issues de la même intervention qui s’est bien préparée le long des quelques centaines d’années auparavant, tels Enoch,Moïse, Joseph, etc…!). Les théories ici peuvent diverger : les Hommes ont oublié le but de l’intervention (aider l’Humanité) et certains en ont tiré profit pour prendre le pouvoir et s’enrichir en créant des systèmes économiques emprisonnant le commun des mortels, ou encore, non l’intervention a été parfaite et mène où nous en sommes à l’heure actuelle, toujours sous contrôle généré par cette intervention : la division du genre humain…
– Les récentes découvertes archéologiques (quelques ossements) font remonter l’apparition de l’Homo Sapiens à au moins 200 000 ans avant maintenant environ, avec des traces de mutations obligatoires chez son ascendant : Homo Erectus ? : pas de traces d’ADN de l’Homo Erectus chez Homo Sapiens apparemment… Homo Neandertalis ? Il n’y a que 4 % d’ADN de Neandertalis chez une partie des Homo Sapiens modernes. De plus, Neandertal est apparu certes avant Homo Sapiens (à priori) mais pas assez pour en être l’ascendant, et a aussi survécu longtemps finalement après l’apparition de ce dernier. Car les premières traces de mutations chez Erectus par exemple pour donner Sapiens seraient apparues au moins vers – 500 000 à – 450 000 ans, ce qu’on n’a pas encore trouvé…
– La génétique et l’étude du génome humain, de son ADN, annoncent que l’Homme moderne serait issu d’une seule cellule, identifiée comme l’ »Eve » et que cela daterait de -270 000 ans environ, un « Adam » a aussi été trouvé (Les chercheurs ont également trouvé la trace de variations, chez l’homme moderne comparé à l’homme de Neandertal, de la composition en acides aminés de 83 protéines — ce qui peut influer sur leur fonction — et d’une « sélection positive » de gènes, c’est-à-dire de leur fixation dans la lignée moderne. Ces gènes se sont différenciés chez l’homme moderne depuis sa divergence avec l’homme de Neandertal, entre -435 000 ans et -272 000 ans. Plusieurs gènes sont connus pour être associés au développement cognitif, au métabolisme énergétique, à la structure du crâne et de la cage thoracique, à l’apparence de la peau et à la cicatrisation. Ils existent chez les Neandertaliens mais sous une forme différente, ce qui pourrait (peut être) expliquer les différences morphologiques entre ces deux populations. Autrement dit, Homo Sapiens moderne et Homo Neandertalis sont bien cousins, se sont rencontrés au Moyen-Orient vers au moins -80 000 ans (toujours dans « croissant fertile » déjà cité par ailleurs) et y ont échangés pendant au moins 30 000 ans d’après les archéologues (tout en continuant à migrer de par ailleurs, ensembles ou séparément, vers l’Asie et le Pacifique… L’Homme de Neandertal disparaissant de la surface de la planète vers -30 000 ans avant maintenant. (date des dernières guerres « des Dieux » ?).
– Mais aucune trace directe de leur ancêtre commun clairement établie et de plus, pas de progrès pour l’instant sur la comparaison des génomes d’Erectus, d’Heidelbergensis ou d’Homo antecessor et de l’homme moderne… : (Despite recent advances inthe retrieval of ancient DNA from Neanderthals and early modern humans, DNA sequences have not been recovered from other Pleistocene hominins such as H. erectus, H. heidelbergensis or Homo antecessor. A major reason for this is that exceptional circumstances are required for DNA to survive over long time periods.- Vol 464|8 April 2010| doi:10.1038/Nature08976).
Pour résumer, la science n’a pu trouver nulle part, aussi bien génétiquement qu’archéologiquement, des traces certaines d’un ancêtre autre que Neanderthal (qui est un cousin mais pas un ancêtre) dans le génome humain. Les traces d’Erectus soi-disant trouvées dans les années 2000 se sont avérées être les traces de Neanderthal… d’où est sorti l’homme moderne, il y a entre 435 000 et 200 000 ans ? Aucun fossile d’hominidé ne peut le dire malgré les centaines de découverts, dont certains âgés de 7 millions d’années (peut-être plus même). Une seule chose est certaine d’après la génétique : l’homme moderne a développé subitement une intelligence supérieure par rapport au Neandertal, alors qu’ils ont partagé la même vie, les mêmes outils sans trop évoluer pendant au moins 30 000 ans (à partir de – 80 000 avant maintenant). Donc, vers – 50 000 ans avant maintenant, un évènement non connu, une intervention, a fait se développer subitement le cerveau de l’homme moderne, pour le transformer en artiste et en inventeur chevronné… toutes les preuves d’une grande activité artistique assez soudaine sont visibles en France et bassin méditerranéen en général, et ce ne sont pas des œuvres de neanderthaliens, mais bien des Homo Sapiens (Cro-Magnon, etc).
S’il y a eu intervention extérieure en ce qui concerne l’Homme directement, il y a donc une grande probabilité qu’elle ait eu lieu d’abord vers 500 000 avant maintenant, premier essai avec la création de Homo Sapiens Neandertalis (il faudrait comparer son génome a celui d’Erectus ou autres pour voir aussi d’où il descend éventuellement, mais c’est en cours sûrement)… ce premier essai ne donnant pas satisfaction, Homo Sapiens Sapiens apparaît à priori vers -270 000 ans, au même niveau que les autres hominidés. Vers – 50 000 ans avant maintenant, une deuxième intervention, un miracle, une connexion subite neuronale, comme vous voulez, donne au cerveau humain plus de capacités intellectuelles.
Intervention divine ou extra-terrestre, coïncidences multiples chanceuses (ou d’un monde parallèle ou du futur suivant les théories) en suivant les travaux des ecclésiastiques ou des chercheurs à l’esprit ouvert, peu importe : le résultat est là. Même tous les arguments de la science officielle ou des sceptiques endurcis n’y changeront rien : le nombre de yeux et de consciences ayant réellement vu des choses non compatibles avec les affirmations de la science dite officielle implique obligatoirement que cette dernière est dans l’erreur quelque part. Le problème étant surtout qu’elle ne veut pas le reconnaître, comme cela a d’ailleurs toujours été le cas d’une science moderne qui se comporte plus comme une religion dogmatique qu’autre chose.
Les progrès sur les mythologies et légendes :
Comme chacun sait, de nombreux ethnologues, linguistes et autres spécialistes ont amassés ces dernières années des catalogues des légendes de tribus et peuplades du monde entier, y compris celles de certaines isolées en Amazonie ou îles du pacifique. Toutes ces légendes révèlent une commune genèse de l’apparition de l’Homme sur la Terre, des histoires communes d’êtres, entités, hommes surhumains, animaux inconnus, phénomènes inédits venant du ciel et bouleversant durablement la vie humaine, au point que cela mérite d’être conservé et répété dans le temps. Les progrès de l’archéologie et de certains rapprochements (déductions/théories/preuves physiques) font maintenant que de plus en plus de ces légendes (prises dès le 19ème siècle pour de la littérature religieuse) prennent corps dans la réalité archéologique et étudiable. En fait, depuis la découverte de la légendaire Troie, la science n’a cesser de contredire ses propres propos suivant lesquels les légendes ne pouvaient être prises en considération dans l’Histoire officielle. Les plus remarquables preuves d’une réalité liée aux antiques légendes (parmi les plus anciennes existante à ce jour) nous proviennent probablement de l’Inde, du Tibet et des régions environnantes. Les preuves de fortes irradiations nucléaires datant de plusieurs milliers d’années dans ces régions sont établies. Des ruines présentant de fort taux d’irradiation, de fusion et vitrification, des cratères très circulaires et non météoritiques ou volcaniques. Des squelettes présentant des taux de radiations anormaux également :
Un peu plus sur Oppenheimer, « père » de la bombe atomique moderne :
« Dans sa première année de premier cycle à Harvard, Oppenheimer a été admis diplômée en physique permanent sur la base d’une étude indépendante. Comme une licence, il n’a jamais eu une classe de physique. En 1933, il a appris le sanscrit et a rencontré l’indianiste Arthur Ryder à Berkeley. Il a lu la Gita sanskirt. Il a plus tard développé un vif intérêt sur les textes anciens de l’Inde. Plus tard, il a cité sa visite en Inde comme la chose la plus influente dans sa vie.
Ses conférences ont été considérés comme les meilleurs. Pour chaque théorie, il donne une citation de Mahabharata ou Gita. Il parle de Shiva et Krishna, même pendant la «Trinité», il a cité un verset du Mahabharata]
Ce n’ est pas des histoires fictives. C’est de l’histoire. Ils parlent de vols des vimanas. Les Vimanas étaient des véhicules réels et l’origine des «Avions». De grandes guerres ont été décrits dans ces premiers textes. Dans l’Inde antique, nous trouvons (dans les textes) les mots pour certaines mesures de longueur, l’une était la distance en années-lumière et une a été la longueur d’un atome. Seule une société qui possédait l’énergie nucléaire aurait la nécessité de tels mots. Lorsque Oppenheimer a déclaré «Je suis devenu le destructeur des mondes», il citait ces anciens livres. Croyez-le ou non, un certain nombre de continents aujourd’hui sont le résultat de (préhistoriques) guerres nucléaires. L’HistorienKisari Mohan Ganguli dit que les écrits sacrés indiens sont pleins de ces descriptions, qui sonnent comme une explosion atomique telle que vécue à Hiroshima et Nagasaki. Il dit que ça parle de luttes contre des chars et des armes « finale » dans le ciel . Une ancienne bataille est décrite dans le Drona Parva, une section du Mahabharata. « Le passage parle de combats où des explosions d’armes ont décimé des armées entières, causant la vision de foules de guerriers avec chevaux et éléphants, armes emportés comme si elles étaient des feuilles sèches des arbres, » dit Ganguli.
Sylv1,vous avez beaucoup de chance ,dans une photo au debut on voit un ovni triangulaire en 1940,bien amicalement georges.
ou ?
la première photo de 1932 montre peut être une soucoupe, la deuxième photo de 1940 montre un avion de chasse a droite et un triangle a gauche ,très bien visible,Georges.
Georges, je ne vois que 2 avions et deux boules de lumières ( foofighters) et quelques nuages et un endroit sombre entre ces mêmes nuages .Si vous assimilez le vide et les lumières ça désigne un triangle , et là on est dans l’effet d’optique.Ceci n’explique pas ces globes de lumière en revanche.
Donc 2 sphères oui un triangle, non pour ma part.
Chacun y voit ce qu’il veut, ou croit bien voir sans doute.
il me semble que la lumière de gauche forme un triangle ,alors que celle de droite est ronde,ce n’est que mon estimation,bien amicalement Georges.
Alors cette fois, avec ce texte, vous touchez au Saint Graal!
Bravo pour la trouvaille!
Félicitation pour votre site.
Félicitation, Sylv1, excellent.
Georges une lumière est bien ronde, l’autre paraît d’une autre forme,effectivement, est-ce l’éclat ? C’est légitime de se demander si c’est la forme de cette lumière ou du phénomène voir de l’objet ?
Bonsoir,
Ici, il est question d’une forme de société plus évoluée avec comme exemple les ‘ummos’. Cette forme de société détachée de ‘tout matérialisme de débiles mentaux terriens’ est unes expression qui résonne fortement dans ma tête surtout pour pour nos dirigeants vecteur de crimes contre l’humanité…
Cette forme de société me fascine…
A quand, un modèle cohérent terrien ?
J’attends…
Des propositions ?
Hallo, y a t il un pilote dans l’avion humanité ?
dommage
Bio.
Sinon les infos de l’articles : pertinentes
Biostormy: Laisse tomber Ummo. Les responsables de ses lettres se sont dénoncés. C’est une très belle parabole sur le communisme. Pour rappel c’est un ufologue Italien (très à gauche) complétement allumé qui, le premier à fait état de ses missives. Pas bon choix pour E.T s’il veut être Crédible. Cette forme de société te fascine? Une société ou les enfants sont enlevés aux parents ? Une société qui te place dès 13 ans, suivant tes aptitudes intellectuelles dans un travail que tu effectueras toute ta vie sans l’espoir d’en changer. Le concept de neuroplasticité n’existe pas chez eux et c’est juste un cran, dans l’ignoble, au dessus de la ségrégation.
Hallo, y-a t-il un quelqu’un d’assez heureux et lucide pour ne pas succomber à toutes les idéologies qui passent?
bonjour, encore de la désinformation ,qui sont ses rigolos qui ont donnes a Jean Pierre Petit,ces renseignements de très haut niveau qui lui ont permis de faire des avancées dans la recherche, du niveau de SAKHAROV, bien amicalement Georges.
l’affaire Ummo semble être une véritable farce orchestrée par des savants.Dans le but de faire du fric en faisant des ouvrages d’une -part et sans doute aussi pour tester l’incrédulité d’une partie de la population!
J’ avoue ne pas y croire à cette histoire, surtout que ce soit du fait de prétendus E.T.Je ne vois pas l’intérêt d’envoyer par le facteur des codes, ça cloche ce procédé. De plus pas très recommandé pour révéler des astuces TOP-Secret! E.T serait donc devenu pauvre technologiquement parlant à ce point,,,????
http://fr.wikipedia.org/wiki/Ummo
Mais bon….., à chacun son avis.
si on suit les conclusions de votre lien,la fraude n’est pas révélé officiellement de plus,l’espagnol qui se dénonce n’est pas très crédible ,puisse qu’il dit lui même que ce sont les Ummites qui lui ont demandes, de ce dénoncer ,il me semble que cette personne n’a pas le niveau requit pour avoir écrit ces lettres,de plus JP Petit déclare avoir reçu des lettres après qu’il est révélé sa fraude,dont la dernière en 2010 et une autre avant en 2004,bien amicalement Georges.
http://bourdais.blogspot.fr/2010/04/retour-sur-laffaire-ummo-premiere.html
Georges je vous conseille de tout lire sur cet article de G.Bourdais, il y en a des incohérences dans cette affaire, un peu trop à mon goût.
Votre problème, tout ce qui se dit extraterrestre, vous le prenez pour argent comptant
cette lecture ne m’a pas convaincu il ne parle que de ce qui est défavorable,il fait beaucoup d’omissions sur des faits qu’il ne relate pas,les photos sont fausses car le jour de l’arrivait il y avait trop de monde qui attendait l’arrivée de la soucoupe car ils avaient annoncés sont arrivée ,alors la soucoupe serait repartie en voyant tous ces témoins,il ne parle pas du niveau scientifique des faussaires et comment JP Petit a fait ses découvertes et les communications au comités de lecture,moi je voudrait avoir la preuve que c’est faux, bien amicalement Georges.
il est surprenant de voir que G.BOURDAIS soit étonné du fait que CHRISTEL SEVAL et DENIS DENOCLA écrivent OUMMITES ou OUMMAINS qui est la traduction en français de ummites,qui en Espagne prononce le U en OU,donc en Espagne se sont des OUMMITES qui viennent de la planète OUMMO,ceci est une grave erreur a ce niveau,il est étonné également que c’est PEÑA qui souvent retrouve des témoins mais ne dit pas s’il y en a d’autre qui en cherche,c’est pleins de contradictions,bien amicalement Georges.
vous dites que tout ce qui ce dit extraterrestre,je le prend pour argent comptant,je pense que c’est pour ça que je suis la,moi je par du principe que tout est vrai a vous de me prouver le contraire, je fait le contraire des autres qui disent c’est un faux mais ça peut etre vrai,moi je dit c’est vrai ou prouvait moi le contraire avec des faits, pas des insinuations,Georges.
La preuve vous l’avez dans les énormes erreurs astronomiques,puis en javie dans le lieu du rendez- vous vers la région de Digne puis les témoins envolés, qui ne viennent pas ou bien on a perdu leurs traces, franchement jean pierre Petit ou pas, la supercherie organisée aussi bien ficelée soit -elle peut duper des savants ou bien les savant peuvent même y participer à une moindre mesure.
Alors croyez à cette histoire si elle vous arrange , moi il y a longtemps que j’arrête de tout gober.
1°Des preuves disparaissent tiens donc!
Il cite aussi la date de 1964, sinon pour des lettres, du moins pour les premiers contacts : « Un certain nombre de Terriens ont été impliqués dans cette affaire depuis les premiers contacts, situés par les Ummites, selon les documents reçus, en 1964 » (Petit 2, p. 28). En fait, si l’on se réfère aux enquêtes de plusieurs ufologues espagnols, publiées notamment dans la revue Cuadernos de Ufologia en 1988 et 1994 (Cuadernos 1 et 2), Sesma avait bien reçu des lettres à partir de 1962 (et des appels téléphoniques), mais elles étaient dues à un autre groupe d’extraterrestres, venus de la planète Auco, tournant autour de l’étoile Alpha du Centaure ! Le « représentant » de cette planète Auco s’appelait Saliano. Mieux encore, dès 1961, Sesma recevait déjà des lettres anonymes bizarres, provenant de différentes parties du monde, un mode de communication qui allait être aussi employé ensuite par les Ummites. Curieusement, toutes ces lettres ont été détruites par Sesma (Cuadernos 1, pp. 41 à 45). Ce qui est sûr, c’est qu’à partir de 1966, plusieurs autres personnes ont reçu également des lettres ummites. La majorité d’entre elles vivaient à Madrid, d’où leur nom de « groupe de Madrid « .
2°Pourquoi des gens plus que d’autres ces ummites dialogueraient, et en core une question pourquoi n’ont-ils pas donné toute la recette de leur soucoupe volante à JPP qui prétends recevoir encore ces lettres alors que ces travaux sur la MHD sont intéressants , il sait par essence que celle-ci ne fonctionne pas dans l’espace dont les E.T , ummites ou autres sont soumis aux mêmes lois de la physique, alors quel est donc leur mode de propulsion? JPP aurait perdu les plans ou ne les a jamais reçus , bien moi je crois que ces lettres sont autre choses et ce srait plus un code secret mais encore une fois bien de la terre!
3)De son côté, Fernando Sesma a déjà publié dès 1967 son livre Ummo, Otro Planeta Habitado (Sesma 1). Il se pare du titre de » professeur « , abusif, et il a une réputation de spéculateur fantasque. Il avait déjà écrit un livre sur d’autres contacts qu’il disait avoir eu avec des extraterrestres, si bien que son livre sur Ummo n’a guère attiré l’attention. Selon Antonio Ribera, Sesma s’est désintéressé de l’affaire car les lettres ummites étaient trop techniques à son goût. Il préférait s’intéresser à d’autres extraterrestres, comme ceux de la planète Auco, plus élevés selon lui sur le plan spirituel. Ainsi, Sesma a cédé toutes ses archives Ummo à l’enquêteur Rafaël Farriols (Ribera 4-1). En fait, il aurait été écarté par les auteurs des lettres car on le jugeait trop indépendant : il ne cédait pas aux injonctions qui lui étaient faites de ne plus s’occuper que des Ummites ! (Cuadernos 1, p. 51). Quoi qu’il en soit, il ne reçut plus qu’une dizaine de pages en 1967, et plus rien en 1968.
4)
Rafaël Farriols
Parmi les autres « contactés » recevant des lettres de Ummo, figurent l’ingénieur Enrique Villagrasa, dont Farriols et Ribera deviennent amis, et surtout José Luis Jordan Peña (souvent appelé Jordan tout court) qui va prendre de plus en plus d’importance dans toute l’affaire. Luis Jordan est un psychologue d’entreprise qui s’intéresse au paranormal. On l’a vu, il est l’un des principaux témoins de la première observation, à Aluche en 1966. C’est lui également qui va trouver la plupart des autres témoins, pour Aluche ainsi que pour les observations de 1967, à San José de Valderas et Santa Mónica. Il intègre alors le groupe de Madrid, dont il va devenir le président et qui prendra le nom de « Eridani ». Luis Jordan est véritablement un pilier de toute l’affaire Ummo. Or il est en fait de tendance rationaliste très dure, hostile aux ovnis et à tous les phénomènes » paranormaux « ! Cela est clair dans un entretien qu’il a accordé en 1991 à Alejandro Agostinelli, ufologue argentin travaillant pour la revue espagnole Cuadernos de Ufologia. Cet entretien est paru en français dans la revue Phénomèna de mai-juin 1993 (Agostinelli 1). Puis, en 1993, il a fini par avouer qu’il était l’auteur des lettres ummites ! (Petit 2, p. 225, et Mahric 2). Disait-il la vérité ou continuait-il à tisser des mensonges ? Il semble établi qu’il a au minimum participé à leur rédaction et à leur diffusion, mais le niveau scientifique souvent élevé de ces lettres incite à douter qu’il en ait été réellement l’auteur. Je vais y revenir plus loin, mais commençons par résumer le dossier des observations de Madrid, en rappelant les divers témoins, souvent « découverts » par Luis Jordan Peña.
5)
ordan cite aussi un officier d’aviation qu’on ne va pas pouvoir retrouver.
Quels témoins ont pu retrouver Ribera et Farriols ? En fait, à part Luis Jordan, ceux-ci n’ont pu rencontrer que Vicente Ortuño, deux ans plus tard , le 1er juillet 1968, et son témoignage est assez vague. Il leur dit avoir vu de loin l’ovni « en forme de lentille », qui illuminait les alentours, disparaître derrière la ferme, puis réapparaître et s’éloigner en virant au jaune pâle. Il a vu une tache sombre sous le ventre, mais pas le symbole Ummo (Ribera 2, p. 68). Pour les autres témoins cités par Luis Jordan, Ribera et Farriols ont dû se contenter d’écouter les enregistrements qu’il avait fait au magnétophone. Parmi ceux-ci, Mariano de la Heras, propriétaire d’un bar proche, « Le Palencia », raconte que plusieurs clients, dont des soldats employés à une poudrerie proche, ont dit avoir vu l’ovni, mais aucun n’a laissé d’adresse et il est impossible de les retrouver. Amador Gonzales, marchand de chaussures, dit connaître plusieurs témoins de l’atterrissage, mais refuse de donner leurs noms et adresses.
6)trace d’aluche
En revanche, on a découvert des traces au sol, le lendemain près de la ferme. Un journaliste de Madrid, Antonio san Antonio, intéressé par les histoires d’ovnis, vient les photographier dès le lendemain et publie la photo le 9 février dans un article du journal Informaciones, quotidien du soir à Madrid. Ribera et Farriols ne disent pas comment il a pu être aussi rapide. Est-ce Luis Jordan qui l’a prévenu ? Ce sont trois empreintes rectangulaires de 15 x 30 cm et profondes de quelques centimètres, dans un sol relativement dur. Elles peuvent correspondre aux trois « pieds » décrits pas Luis Jordan. Mais sont-elles authentiques ? On ne sait même pas qui les a trouvées.
7)
Témoins de la trace d’Aluche:
Vicente Ortuño, le complice démasqué!
Le seul témoin apparemment indépendant de Jordan était Vicente Ortuño. Hélas, nous savons maintenant qu’ils étaient amis depuis plusieurs années ! Cette amitié entre Jordan et Ortuño est signalée par les ufologues espagnols José Juan Montejo et Carles Berché : lors d’un deuxième entretien avec Ortuño, celui-ci leur a concédé qu’il connaissait Jordan depuis plusieurs années avant 1966 (Cuadernos 2, p. 32). Ceci m’a été confirmé par l’ufologue espagnol Javier Sierra, qui est convaincu que toute l’affaire d’Aluche a été mise en scène par Luis Jordan. Je connais Javier, l’ayant rencontré plusieurs fois comme conférencier au symposium annuel de Saint-Marin, et je tiens ses informations pour crédibles. Voici ce qu’il m’a écrit le 9 octobre 2001, en m’autorisant à le citer :
« L’affaire Ummo est très difficile. Il est exact que je me suis beaucoup impliqué dans son étude, de 1988 à 1994, en découvrant que le cas d’Aluche en 1966, qui est à l’origine de toute l’affaire, était un canular perpétré par Jordan Peña et Mr Vincente Ortuño, les deux témoins du cas. Ils étaient apparus dans la presse comme des témoins indépendants, mais la vérité est qu’ils étaient de très bons amis. J’ai obtenu la confession d’Ortuño dès 1988. Et plus tard celle de Jordan ». La second incident, près de Madrid en 1967, est-il plus solide ?
8)Qui sont les témoins de ce nouvel incident ? Dans son article de 1969, Ribera dit qu’ils sont nombreux mais mentionne seulement » une dame dont Jordan enregistra les déclarations », des « rumeurs circulant dans les bars de l’endroit », un « ingénieur qui vit la chose voler le long de la grand-route de l’Estremadure ». Il ne donne pas leurs noms et ne dit pas s’il les a rencontrés.
Dans son livre de 1968, il évoque une centaine de témoins et donne plus de détails (Ribera, Farriols 2, p. 97), mais en fait très peu de témoins sont cités. La plupart ne sont connus qu’à travers Luis Jordan, qui les a enregistrés sur son magnétophone, et il ne paraît pas utile à présent de les détailler.
Le doute subsiste sur la question de savoir si certains sont sincères et ont réellement vu quelque chose dans le ciel, mais alors qu’ont-ils vu vraiment ? On ne peut exclure quelque mise en scène, peut-être avec un modèle réduit, comme l’ont suggéré Claude Poher et Jacques Vallée, remarquant qu’il y avait un terrain d’aviation et une école aérotechnique à proximité (Poher 1, Vallée 2, p. 123). Qu’en est-il des fameuses photographies prises ce soir-là ? Elles sont censées avoir été prises par deux témoins qui se trouvaient sur les lieux, tout près l’un de l’autre, et qui avaient chacun un appareil chargé, prêt à fonctionner. Mais ils restent anonymes, et les photos seront dénoncées comme fausses dix ans plus tard !
9)La revue LDLN de juin-juillet 1977
Dans LDLN de juin-juillet 1977, Claude Poher dénonçait les photos truquées Il lui déclare qu’il possède un « document photographique présentant un intérêt exceptionnel », qui est à sa disposition dans un laboratoire photographique, où il peut aller le chercher (Ribera, Farriols 2, p. 98). San Antonio se précipite et y trouve cinq clichés, séparés, qu’il publie dès le lendemain 2 juin au soir dans le journal Informaçiones. On ne sait qui admirer le plus pour leur célérité, le photographe amateur ou le journaliste. L’enquêteur Rafaël Farriols, après un entretien avec le journaliste, supposa que le témoin avait développé le film lui-même dans la nuit. Il l’aurait mal fait, ce qui expliquerait le flou des clichés. Rétrospectivement, sachant maintenant que c’étaient des faux – des maquettes pendues au bout d’un fil – on peut supposer qu’ils étaient flous intentionnellement, pour cacher le trucage.
Le second photographe amateur, nous disent Ribera et Farriols, qui disait s’appeler Antonio Pardo, avait aussi développé ses clichés lui même et les avait gardés chez lui pendant deux mois. « Enfin, il prit contact par téléphone, puis par lettre, avec notre ami Marius Lleget, peu de temps avant la parution de l’ouvrage que celui-ci a consacré aux disques volants » (Ribera, Farriols 2, p. 102). Mais Lleget, qui était très distrait, nous disent Ribera et Farriols, oublia de lui demander son adresse ! Rétrospectivement, on se dit qu’il avait peut-être été bien choisi, et au bon moment.
Le mystérieux Pardo lui envoie aussi, joint à sa lettre, un cliché d’une « petite bande de matière plastique », d’un » fragment de métal tombé, paraît-il, du VED (« Véhicule Extraterrestre Dirigé ») lorsque celui-ci avait atterri pour quelques instants à proximité de Santa Mónica, ainsi que deux négatifs de photos prises par lui dans son appartement et représentant le tube métallique et l’élément en plastique » (ibid. p. 102). Il s’agissait de mystérieux tubes métalliques contenant un bout de feuille plastique, découverts non loin de là, à Santa Mónica, où l’engin serait allé se poser brièvement, après avoir été observé à San José de Valderas, où les témoins l’avaient vu s’éloigner vers cet endroit. Mais avant d’en venir à ce curieux épisode de Santa Mónica, franchissons dix années jusqu’en 1977, date à laquelle deux experts indépendants démontrèrent que les photos de l’ovni étaient des supercheries.
En 1977, la découverte des trucages
Personne ne songe aujourd’hui à défendre l’authenticité des photographies de San José de Valderas. Rappelons comment elles furent démasquées en 1977 par deux équipes indépendantes. En France d’abord, par l’ingénieur Claude Poher, du Centre National d’Etudes Spatiales (CNES) à Toulouse, qui s’intéressait à cette affaire depuis le début des années 70. Il avait étudié des lettres ummites et avait déjà de sérieux doutes sur leur authenticité, comme nombre d’ufologues espagnols. La revue espagnole Stendek avait déjà publié dès 1972 un article jugeant fausses les photos de San José (Stendek 1). En 1976, de nouveaux moyens d’analyse performants devinrent disponibles au CNES, et Poher obtint de Farriols et Ribera le prêt des documents originaux. Les conclusions de son étude, totalement négatives, furent publiées en juin 1977 dans la revue Lumières dans la Nuit (Poher 1) :
« Les résultats des études conduisent à penser que ces clichés sont une supercherie réalisée au moyen d’une petite maquette en plastique translucide sous laquelle on a dessiné le signe )+( à l’encre et que l’on a suspendue par un fil très fin pour la photographier en prenant bien soin de ne pas faire apparaître la « canne à pêche » sur les clichés, ce qui explique les visées anormales ».
On avait remarqué, en effet, que les photos étaient cadrées bizarrement, l’ovni étant toujours très décentré, en haut de l’image. Une autre bizarrerie était l’absence totale de personnages au sol, alors que de nombreuses personnes étaient censées se trouver là. Enfin, Poher avait démontré que les deux photographes anonymes ne faisaient qu’un, l’appareil étant exactement au même endroit, monté sur pied à 1,15 m du sol !
Les conclusions de Claude Poher, publiées juste avant la création du GEPAN dont il fut nommé responsable, furent confirmées la même année par l’équipe américaine de William Spaulding « Ground Saucer Watch », très active à l’époque sur l’étude des ovnis. L’analyse sur ordinateur fit apparaître la trace du fil auquel la maquette était attachée (Clark 1, Caudron 1). Signalons aussi qu’une étude faite plus récemment en Espagne par Carles Berché a abouti aux mêmes conclusions (Cuadernos 2).
Cette découverte des photos truquées, en 1977, allait-elle sonner le glas de l’affaire Ummo ? Oui, pour la plupart des observateurs. Non, pour les convaincus qui étaient encore nombreux en Espagne, en France et quelques autres pays. Ainsi Ribera écrivait-il en 1979, dans l’introduction de son livre Les Extra-terrestres sont-ils parmi nous ? (Ribera 5, p. 24) :
« Pas si simple ! Nous ignorons bien sûr la source de ces documents photographiques, mais Poher oublie un peu vite que le cas de San José s’appuie également sur plusieurs témoignages ».
C’est la raison pour laquelle il faut évoquer ici, même brièvement, ces fameux témoignages.
10)
Admettons cependant que des témoins indépendants avaient vu quelque chose. Il reste à savoir quoi. Or leurs témoignages sont vagues : il ont vu par exemple une lumière orange traverser le ciel avec des étincelles. Il pourrait très bien s’agir d’une fusée éclairante tirée par des complices de Jordan Peña.
Le principal témoin signalé par Pardo et rencontré par Luis Jordan était le patron du restaurant « La Ponderosa « , Antonio Muñoz. Celui-ci a raconté que, alors qu’il préparait la salle pour le dîner, il vit entrer les uns après les autres toute une série de témoins » très excités » (Ribera 3, pp.24 et 25). Ceux-ci lui dirent, chacun à leur tour, avoir observé l’ovni avec son fameux symbole Ummo, un « objet circulaire rouge qui vola au-dessus de leurs têtes et se posa brièvement sur le sol avant de s’envoler de nouveau ». Il y a un détail qui ne colle pas : selon Muñoz, les témoins commencèrent à défiler vers 17 h 10 (Ribera, Farriols 2, p. 172), alors que l’observation de San José, précédant celle de Santa Mónica, était censée avoir eu lieu après 20 h ! Détail plus regrettable encore, Muñoz ne nota ni noms ni adresses. Le lendemain, il était occupé et c’est son beau-frère qui alla sur le terrain, où il découvrit trois empreintes rectangulaires, de même forme et de mêmes dimensions que celles d’Aluche. On peut se demander qui les avait faites.
C’est ici que le mystère s’épaissit encore, avec la découverte au sol de petits tubes métalliques. Citons exactement l’article de Ribera dans la revue Phénomènes Spatiaux de décembre 1969 (Ribera 3) :
» Il apparaît qu’à l’endroit de l’atterrissage furent découverts de mystérieux tubes métalliques. Ils avaient moins de 15 cm de long et provenaient, semble-t-il, de l’engin.
11)
Quelques jours après l’atterrissage, señor Muñoz et un certain nombre d’hommes d’affaires de la région reçurent une circulaire signée par un nommé « Henri Dagousset » où l’on pouvait lire qu’ayant appris par la presse espagnole qu’un ovni avait atterri à Santa Mónica et que cet ovni ou soucoupe volante avait laissé tomber des tubes métalliques, lui, ledit Henri Dagousset, éprouvant un intérêt scientifique pour ces tubes, offrait au nom du groupe qu’il représentait 18.000 pesetas pour chaque tube envoyé à son secrétaire, M. Antoine Nancay… « .
La lettre donnait un numéro de boite postale valable jusqu’au 15 juin, ce qui ne laissait pas beaucoup de temps pour répondre. Elle était accompagnée d’une photographie de l’un des tubes avec un croquis et ses dimensions : drôlement bien renseigné, ce mystérieux Monsieur Dagousset ! Disons tout de suite que personne n’a pu le retrouver, et Antoine Nancay non plus, comme l’explique l’ufologue français Hervé Matte, dans un article complétant celui de Ribera. Il avait bien repéré une personne de ce nom dans l’annuaire parisien et l’avait appelé, en compagnie de Joël Mesnard, qui m’a confirmé la chose. Sans résultat : après avoir écouté poliment l’histoire, l’homme s’était borné à répondre platement que ce n’était pas lui, sans aucun commentaire.
Plusieurs petits tubes métalliques furent bien retrouvés par des habitants du lieu, et Farriols put en faire analyser un exemplaire par un laboratoire compétent dont il connaissait le directeur. On découvrit que le métal était du nickel à 99 %, avec des traces de magnésium, de fer, de titane, de cobalt, de silicium et d’aluminium. Un matériau cher à fabriquer, mais pas extraordinaire. Dans le tube se trouvait une petite bande de plastique , frappée du sigle Ummo, qui était du tedlar, un polyvinyle fluoré, plastique très résistant aux intempéries utilisé par la NASA pour protéger les fusées sur les plates-formes de lancement ! (Ribera, Farriols 1, pp. 197 à 206). Sacrés Ummites : ils avaient le sens de la plaisanterie. Ne seraient-ils pas d’origine américaine, par hasard ?
L’atterrissage annoncé à l’avance ?
Il faut maintenant mentionner un autre aspect troublant du dossier Ummo dont on a fait grand cas, celui de l’annonce à l’avance, dans une lettre ummite, de l’atterrissage du 1er juin. Dans leur livre de 1968, Ribera et Farriols disent que, le 20 mai 1967, le journal Informacion (dans son édition d’Alicante) avait publié une communication selon laquelle un astronef devait se poser près de Madrid « dans les derniers jours du même mois » (Ribera, Farriols 2, p. 137 de l’édition française). C’était Fernando Sesma, l’homme du « groupe de Madrid », qui avait reçu la lettre et l’avait communiquée au journal. Pourquoi fut-elle publiée dans l’édition d’Alicante et non pas de Madrid ? Mystère ! De plus, il y a une légère incertitude sur le contenu du message, qui devient « entre le 30 mai et le 3 juin », dans l’article de Ribera de 1969 (Ribera 3). Puis l’anecdote évolue encore. Dans son article de 1975, Ribera change curieusement la date de l’atterrissage, qui devient le 10 juin 1967 au lieu du 1er juin (Ribera 4-1). Est-ce une coquille ? Pas du tout, car il répète plusieurs fois cette date en rappelant la lettre ummite qui l’annonçait :
« Le fait déconcertant est que, plusieurs jours auparavant, les mystérieux « gentlemen » de Ummo avaient annoncé à trois de leurs correspondants de Madrid l’arrivée de l’appareil, prévue pour le 10 juin 1967, et avaient même donné, avec une remarquable précision, les coordonnées géographiques du lieu où il atterrirait. Environ quarante personnes, présentes à une réunion au Café León, où elle devaient rencontrer le professeur Fernando Sesma, Président de la Société des Amis de l’Espace, confirmèrent par écrit que, la veille au soir du jour où eut lieu l’atterrissage, ils avaient déjà lu l’annonce de son arrivée ».
Et Ribera précise que son ami Farriols possède leur déclaration signée. Le moins qu’on puisse dire est qu’il y a une incertitude sur la date et sur la signification de cet épisode. En revanche, la date du 1er juin, citée dans la presse du 2 juin, semble bien établie pour les événements de Madrid, et c’est un bien curieux trou de mémoire de la part d’Antonio Ribera.
12)
Le site introuvable de La Javie
L’arrivée supposée des Ummites sur Terre était décrite dans des lettres de 1967. La première expédition, en provenance de leur planète Ummo, était censée avoir débarqué clandestinement, le 24 mars 1950, près du village de La Javie, lui-même proche de la ville de Digne, dans les Alpes de Haute Provence. Les Ummites donnaient des indications sur l’emplacement de l’atterrissage dans la montagne, où ils s’empressèrent de creuser un abri souterrain, et plusieurs équipes d’enquêteurs allèrent dans les montagnes entourant le village pour tenter de découvrir cet abri. C’était d’autant plus excitant que les Ummites disaient y avoir laissé une partie de leur équipement. Mais en vain. Il était censé se trouver sur les contreforts de la montagne du Cheval blanc, d’où l’on voyait le clocher de la cathédrale de Digne, mais ces indications n’étaient pas assez précises et ceux-ci tournèrent en rond.
Jacques Vallée raconte qu’il se rendit à La Javie en 1974, en compagnie d’Aimé Michel et de Fernand Lagarde. Le voyant américain (remote viewer) Pat Price croyait avoir localisé le lieu sur une carte, mais cela ne donna rien (Vallée 2, p. 130). Des enquêteurs espagnols, après avoir vainement cherché sur cette montagne, dénoncèrent la supercherie de Ummo en 1981. Claude Poher étudia lui aussi le site. Les Ummites avaient donné deux distances : à 13 km de Digne et à 8 km de La Javie, et cela correspondait au Col de la Cine, mais de là on ne voyait pas le clocher de la cathédrale de Digne !
Puis cette affaire des umites a fait plus de mal à l’ufologie que du bien, alors quelque-part vous tombez dans le piège de la désinformation peut-être….J’en ai terminer de cette discussion, vous ne prenez pas d’exemples concrets et précis , et bien dans ce posts je vous ait repris points par points les incompréhensions répondez y puisque vous savez tout, on fera un article les vérités de georges!
13)
Un intermède russe : Voronej, 1989
Glissons rapidement sur l’épisode de Voronej, en Russie. En septembre 1989, des enfants auraient vu se poser un ovni sur lequel apparaissait le symbole de Ummo. L’incident est annoncé dans la presse en octobre et fait quelque bruit, ce qui conduit Martine Castello et Jacques Vallée à enquêter à Moscou, en janvier 1990. Ils y rencontrent des ufologues de la région de Voronej qui semblent convaincus de l’authenticité du cas (Castello 1, chap. 10). Mais selon l’ufologue russe Boris Chourinov, qui avait participé à l’entretien, le dessin du symbole Ummo était déjà connu des ufologues russes à cette époque, et l’un d’eux l’avait montré au garçon qui avait fait le dessin. En fait, explique Chourinov, c’est toute l’affaire de Voronej qui est elle-même douteuse <strong>(Chourinov 1, chap. 19, p. 202).
13)
Les lettres ummites : quelques critiques
Nombreux sont ceux qui soulignent l’intérêt des lettres ummites, quelle que soit leur origine véritable. En dépit de lourdeurs et de maladresses, elles touchent à de nombreux domaines et contiennent beaucoup d’idées, de nature scientifique ou même philosophique. Il ne s’agit pas de le nier, mais de rappeler ici quelques unes des nombreuses critiques qui se sont accumulées, et qui mettent en doute l’éventuelle origine extraterrestre de ces textes. Le fait est qu’ils contiennent de nombreuses invraisemblances, au point que l’argument souvent mis en avant que ces erreurs sont intentionnelles paraît largement insuffisant pour les expliquer. Quant à l’argument selon lequel les lettres contiennent des données scientifiques complètement originales, inconnues à l’époque, il semble bien court lui aussi.
La distance très variable de leur étoile
Selon Jacques Vallée, une lettre ummite de janvier 1965 (cette date paraît pour le moins incertaine) révélait l’identité et la distance de l’étoile Iumma par rapport au Soleil : c’était l’étoile Wolf 424, située à 3,68502 années-lumière du Soleil, à la date du 4 janvier 1953. Là, nous nous heurtons à un gros problème, car si cette distance était bien celle que donnaient les catalogues astronomiques depuis 1938, elle avait été révisée à la hausse, étant maintenant estimée par les astronomes à 14,3 années-lumière. Fernando Sesma leur signala l’erreur, sur quoi les Ummites lui répondirent qu’ils avaient donné la « vraie distance », qui « varie grandement d’un jour à l’autre d’après les concepts d’espace-temps découverts par Ummo » (Vallée 1, p. 126). On trouve en effet le paragraphe suivant dans la lettre qui annonce l’arrivée des nefs ummites, fin mai 1967 :
« Distance de Iumma au Soleil – Distance apparente que suivrait un quantum énergétique d’un faisceau cohérent d’ondes dans l’Espace de trois dimensions. Mesurée par nous le 4 janvier 1955 : 14,436954 années lumière.
« La distance réelle Mesurée dans le Cadre tridimensionnel [symbole ummite] à cette même date durant le Plissement [autre symbole ummite] 40 [autre symbole ummite] 45/77/76 : 3,68482 années lumière terrestres » (Ribera 5, p. 103).
Ainsi, selon les Ummites, les deux distances étaient bonnes ! Une « explication » qui tombait bien, extrêmement ésotérique, mais qui devrait mettre la puce à l’oreille de tous les lecteurs scientifiques des lettres ummites. Sans rien savoir de l’astronomie spatio-temporelle, version ummite, on peut se demander comment la première estimation des astronomes terriens, proposée en 1938 par l’observatoire de Yerkes (Caudron 1, p. 193) avait pu coïncider aussi remarquablement avec la distance due à un « plissement » de l’espace-temps selon les Ummites, à la date de janvier 1953 ou 1955 et non pas de 1938. Quelle extraordinaire coïncidence !
14)L’étoile Wolf 424 : deux naines brunes !
Les Ummites ont fait une autre erreur astronomique, cette fois sur la nature de l’étoile Wolf 424. Dans leurs premières lettres, ils la décrivent comme une étoile de type K, autour de laquelle leur planète Ummo décrit une orbite presque circulaire, plus grosse que la Terre et permettant la vie. En fait, cette description ne correspond pas du tout aux observations astronomiques. En premier lieu, l’étoile Wolf 424 a un éclat beaucoup trop faible et beaucoup trop rouge, et donc une température beaucoup trop faible, pour être leur étoile « Iumma ».
Dans une lettre reçue par Antonio Ribera en 1969, les Ummites se lancent dans une explication compliquée pour expliquer cette énorme différence : il y a un léger doute pour identifier l’étoile Wolf 424, « due à l’existence d’une accumulation de poussière cosmique très dense », pouvant atténuer beaucoup l’éclat apparent de l’étoile, ce qui crée des difficultés « difficiles à résoudre » (Ribera 5, pp. 46 et 47).
Or, selon les astronomes, il n’y a pas de nuage de poussière important entre Wolf et le Soleil, ce qui fait que cette explication ressemble plutôt à un écran de fumée (Caudron 1, pp. 193 et 194). Certains continuent cependant à laisser cette porte ouverte : peut-être, se demandent-ils, la véritable étoile Iumma est-elle cachée derrière un nuage interstellaire, non loin de Wolf 424 et à la même distance qu’elle du Soleil ? (voir site internet de Alain Ranguis). En attendant une aussi miraculeuse découverte, on peut se demander pourquoi les Ummites, en dépit de leur science si avancée, avaient pourtant désigné dans leurs premières lettres l’étoile Wolf 424. Peut-on se permettre de se tromper ainsi d’étoile quand on pratique la navigation interstellaire ?
Plus sérieusement, on savait depuis de nombreuses années que Wolf 424 est une étoile double, ce que n’avaient pas dit, d’ailleurs, les lettres ummites. Plus récemment, grâce au télescope spatial Hubble, les astronomes ont pu déterminer qu’il s’agissait de naines brunes très proches l’une de l’autre (deux fois la distance Terre-Soleil). Leur masse totale est très faible – 4,2 % de celle du Soleil – et leur rayonnement est non moins faible, ne permettant pas l’existence d’une planète favorable à la vie (voir site internet Ufocom, « Wolf 424 est-elle Iumma ? »). Bref c’est un démenti fort embarrassant qui a été ainsi opposé aux lettres ummites.
15)Le problème de la découverte de la Terre
Le récit de la découverte de la civilisation humaine par la réception d’une émission radio est tout aussi suspect. Dans une lettre de 1967, les Ummites racontent qu’ils ont capté des messages radio émis par un navire norvégien, qui faisait des essais de transmission en morse entre le 4 et le 8 février 1934 sur une fréquence de 413.43877 MHz. Il paraît hautement improbable qu’ils aient pu capter, par hasard, une telle émission, de faible puissance et non dirigée.
Sans qu’il soit nécessaire de citer des chiffres, on sait bien que tous les espoirs actuels de capter des messages extraterrestres supposent que les émissions, s’il y en a, soient dirigées vers nous avec précision, avec une forte puissance, au bon moment, et sur la bonne fréquence d’écoute. Et encore faut-il de puissants radiotélescopes, braqués dans la bonne direction et au bon moment, pour avoir la moindre chance de les capter. Jean Heidmann, le pionnier français de telles écoutes, a toujours admis que les chances de réussir étaient extrêmement minces. Sur le seul problème de la fréquence, Heidmann observe, dans son livre Intelligences extraterrestres, que la « fenêtre SETI (de 1 à 10 GHz) contient cent milliards de canaux (de 0,1 Hz) de communication possibles » ! (Heidmann 1, p. 149).
Dans le même ordre d’idée, on peut aussi se demander comment il se fait que ces extraterrestres « voisins », en avance sur nous de milliers d’années et capables de franchir la distance qui nous sépare en quelques mois, n’aient découvert notre existence qu’au milieu du 20eme siècle. N’avaient-ils pas un programme d’exploration des étoiles proches semblables à la leur, au besoin avec des sondes automatiques, comme nous savons déjà le faire pour les planètes du système solaire?
Vous lisez ce qui vous arrange et moi je perds mon temps avec vous pour expliquer mon sceptiscisme et vous me dites montrez moi les preuves et vous avez le culot de dire que c’est moi qui spécule!
Vous n’argumentez rien, alors répondez points par points comme je viens de prendre de mon temps pour les copier coller en commentaire ici en y ajoutant mes propres questions , les anomalies citées par monsieur Bourdais posent sur son article.( et argumentez clairement et précisément s’il vous plaît!)
Pour conclure:
jean Pierre Petit je respecte l’hommme en tant que personne plus âgée que moi et savant, mais ça s’arrête là, je n’oublie pas que son équipe m’ a menacé lorsque j ‘ai ouvert mon premier site en 2008 ufoetscience à cause de la ressemblance avec leur site ufo-science! au niveau de l’appellation.
D’ailleurs c’est pour cela que je précise à chaque fois la différence quand j’interviens publiquement,ça c’est un point!
De plus monsieur PETIT argumente défendre l’ufologie alors pourquoi à la moindre occasion il descends les associations ufologiques pour notre incompétence, nos manques de moyens (sur certains points bien sûr il a raison) en englobant généralement les ufologues amateurs demandez donc l’avis à monsieur J. MESNARD sur ce qu’il pense de JPP!
pour en finir avec JPP:
Au niveau de sa propre filière ( scientifique )il a déglingué à tort ou à raison ceux qui ne sont pas d’accord avec lui comme il l’ a fait pour nous ufologues AMATEURS qui nous n’avons rien à vendre je tiens quand même à le préciser!
Alors les gens chevronnés sont respectables, je leur rends quelquefois hommages grâce à leurs travaux, mais pour ma part de les considérer comme des dieux , NON!
On préférerait son aide , grâce à son savoir et ses talents alors pourquoi ne monte t-il pas son école de formation ufologique? ? Ainsi il aura laisser une trace positive et utile de son passage sur TERRE!
L’avis d’un autre blog:
http://www.forum-ovni-ufologie.com/t3772-l-affaire-ummo-alerte-aux-envahisseurs-ummites-la-fin-du-cirque
une intelligence si avancé n’aurait je pense pas eu besoin de l homme pour extraire de l or ,,,deja rien que ca me fait douter )))
Il n’y a eu aucune avancée et les propositions « de très haut niveau » faites à l’époque par jpp sont obsolètes aujourd’hui, il faut se réveillé la théorie de SAKHAROV ne fait aucune prédiction et une théorie qui fait pas de prédiction c’est de la philosophie, aujourd’hui ont a le modèle standard qui à fait et continue de faire des prédictions vérifiés dans l’observation et dans les accélérateurs de particules notamment la découverte du boson de higgs en 2013 qui explique enfin pourquoi toute matière à une masse (inconnu de nos ummites), ensuite il faut arrêté de prendre jpp pour Einstein même si je respecte ses travaux ont est en 2013 et l’astronomie et la théorie quantique ont fait des avancées énorme et tous ce qui est raconté dans les lettres ummites ne sont que des reprises d’articles contenus dans des revues scientifique de l’époque à la porté de n’importe qui s’intéresse en science.
de plus pour finir ce qui est vraiment marrant dans ses lettres, nos ummites n’ont aucune connaissance de la physique des particules il voyage dans l’univers mais nous sommes sur terre plus calé que eux, pourquoi? car la physique des particules est très compliqué, dans le monde ils doivent être quelques milliers à peine à la maîtrisé et encore la plupart du temps ils travaillent en groupe, donc une chose inaccessible pour le rigolo qui à fait ces lettres voilà pourquoi nos voyageurs interstellaire n’en parle jamais.
Merci Sylv1 pour cet article très instructif, malheureusement j’ai fait mon commentaire maintenant inutile avant de lire le tient, je pense que ta tous bien résumé et en plus j’ai appris des choses.
Bonjour Midas,
Merci pour l’info… Cependant, une société différente pour le plein épanouissement de l’individu multi-disciplinaires pour le bien de chacun dans le respect de l’autre et de la nature…(surtout de la nature). L’argent est un moyen de s’épanouir et non une finalité (avarice!!!). Mieux partager 50/50 à l’heure des procès des salaires indécents, la multiplication des pollutions… Notre civilisation est entrée dans l’ère du cynisme dans un dirigisme occulte… Sans transparence… Aux hommes de foi sans religions, sans politiques, sans sectes donc sans fioritures de faire le ménage…
La guerre du troisième type est en plein essor…
Et le plus grand perdant, c’est l’humain…
Bio.
L’argent fait partie de l’ancien monde de dominant/dominé que nous quittons petit à petit il suffit de le voir partout dans les médias, le système mondial capitaliste et financier s’écroule petit à petit apparement de façon chaotique mais en fait c’est soigneusement orchestré par les dominants (Illuminatis et maitres Reptiliens) qui régissent la partie, ainsi ils coulent les nations les unes après les autres (Grèce Espagne France etc), et ils pourront établir sur ce chaos le règne dont le plan a été mis sur pied depuis plus d’un siècle par Albert Pike un des des plus éminents francs maçons et luciferien: le règne de Lucifer sur le chaos sera établi. Ce plan n’est pas de lui mais directement inspiré de Satan (ou les Ténèbres, l’Energie sombre appelez cela comme vous le voulez) et est soigneusement appliqué (1ere et 2eme guerres mondiales, guerres au proche Orient etc).A ce moment là ce sera, d’après les prohéties, le règne de la Bête, ceux qui suivront la Lumière seront persécutés mais bienheureux, tandis que ceux qui suivront les Ténèbres croiront triompher mais leur anéantissement est prophétiser depuis le commencement,l’immense masse des gens entre les 2, ceux qui sont trop pris par leurs préoccupations leur passé qui ne comprennent pas ce qui se passe, se mettront à paniquer, perdront la tête, disparaitront s’is ne peuvent supporter le choix qui est donné de raller un camp ou l’autre car le Bien et le Mal ne peuvent pas se mélanger. Ceux là donc ne pourront plus supporter ce monde où tous leurs repères seront effacés, et partiront de ce monde. Ce sera la période la plus dure que l’humanité aura jamais vécue, les survivants, fidèles à Dieu et au principe de Bien, qui auront ouvert leur coeur, vivront sur cette nouvelle Terre qui leur est promise.
C’est ce qui est prédit et qui se réalise, espérons que l’être humain saura mériter une Grâce divine ar sa bonne volonté en voulant changer de façon de penser et de vivre… Tant qu’il y a de la vie il y a de l’espoir, et il ne faut surtout pas tuer l’espoir qui est une Force contrairement à ce que certains cyniques voudraient faire croire que c’est une faiblesse du faible d’esprit oh! ils aimeraient tuer l’espoir pour achever d’asservir une humanité résignée et toute prête à se rendre à l’abattage, ou à être esclave sans plus opposer la volonté d’être libre.
Quoi qu’on dise,… quoi que les astronomes voient ou disent aussi il y a des gens qui ont vus ..vécus des choses..et tous ne sont pas des menteurs ou des illuminés…il faut en tenir compte de cela….et surtout de cela…
il y a des différences à faire en ce qui concerne les faux ..dit ou romancés et ceux qui ont vécus ou filmés et qu’on voit bien que ce ne sont pas des faux …croient ceux qui veulent croire mais dans les deux camps il y a des gens honnêtes, sincères et ceux qui ne le sont pas ..quoi qu’on en dise ..
cela n’empêche pas l’histoire de parler depuis la nuit des temps des ovnis …sous divers aspects qui à leur époque ne pouvait pas avoir inventer des engins qui sillonnent le ciel…rien que ça c déjà une preuve..en soi.
et les légendes qui deviennent réalités vu sous un autre angle …de ce que nous savons aujourd’hui sur les soucoupes etc…je crois que tous peuvent être victimes de ceux qui ne veulent pas qu’on avance sur le chemin……
c pas grave en ce qui me concerne ..je dit simplement que il y a du faux ET également du vrai ..on ne peut pas être catégorique dans un cas comme dans l’autre …..puisque des faux circulent…
mais je suppose que le fait de douter de quelqu’un d’honnête et intègre ne permet pas d’avancer non plus et en fin de compte on peut passer à côté d’une vérité qu’on ne veut pas admettre….
Pour moi le but de tout ceci nous dépasse de très loin en voulant seulement voir dans les faits…soucoupes …extra terr, la vie ailleurs, etc..même bp de scientifiques et d’ufologues et j’en passe veulent seulement s’arrêter sur les « faits » …et si les faits étaient justement d’autres choses que physique uniquement ??
cette quête changerait de direction tout en restant sur le même chemin….mais cette direction n’est pas à la portée de .tous parce que trop science fiction…..ou du moins pas encore compris par bp ou admis par bp..si cela se trouve les Extra terr sont sans doute…fait d’autres particules que nous et nous ne sommes pas prêt d’appréhender toutes ces informations pour bp d’entre nous …encore….
Alors quand serons nous prêt??
je crois que les forums comme celui ci et d’autres participent à l’ouverture de réflexions qui peuvent contribuer un jour à faire bouger les choses…
dans tous les domaines…je crois aussi que tout se tient dans les mondes nous n’arrêtons pas de trouver ne serait ce que de parler les capacités du cerveau…
alors pourquoi se limiter à cause des faux..ce qu’on pourrait connaître dans les sciences même si cela nous parait tellement étonnant… incroyable..pour le moment.
cap
Alors CAP vous serez d’accord avec moi, commençons par nous mettre au niveau de ce qui existe et de ce qui est avéré en science et en technologie humaine d’abord! ( je peux vous dire ça ne prends pas qu’une seule semaine, je sais de quoi je parle!)
2) je n ai jamais dit que les gens étaient des menteurs faut pas ramener un sujet comme celui amener par Georges à tous les cas pour vous dérober sur le cas démonter!
3) justement avec ERA nous avançons car on regarde tout aussi bien côté sceptique que de l’autre côté mais à la différence des 2 courants nous n ‘ affirmons rien.
Les ovnis de l antiquité qu’est ce qui prouve que ce n’est pas de notre terre fait par une civilisation disparue ou bien par des voyageurs temporels ?
Le soucis , c’est que les gens font des amalgames systématiques parce que si les E.T dérangent pour certains le contraire aussi,( pour d’autres « comme Georges » )n’en déplaise!
L’objectivité c’est de confronter les idées justement ni plus ni moins.
Il me semble que nos posts traitent d’infos le plus large possible et je ne vois pas en quoi on se limite!
crop circles, mystères marins, sciences, technologies, archéologie artefacts, canulars, dossiers militaires, conquête spatiale,robotique, drones, les hologrammes, LHC, men in black, témoignages, abduction, contactés, les RR6 (mutilations de bétail), les sons étranges, les complots ( affaire mauntauk, blue beam, puces RFID…, et les sites comme wikistrike)l affaire mc kinnon…), voyages spatio temporels, les civilisations perdues, les mayas, les incas, les pyramides du monde,les échouages d’animaux, le parisis code etc…Avec nos seuls 4 sites tout y est alors svp ne nous faites pas offense en disant que nous tablons sur une seule et unique approche, loin s’en faut.
D’ailleurs je me mouille à vous répondre sur des désaccords tant que c’est correct ainsi les gens ne peuvent pas dire non plus qu’on les censure!
Merci bonne soirée.
Salut Sylv1, oui je suis d’accord qu’il faut être prudent….à force d’expliquer certaines choses on peut s’éparpiller parce qu’il y a tellement de choses intéressantes….mais sans renier que je crois aux ovnis ….je crois aussi à d’autres choses qui peuvent s’apparenter et plus encore à ce qui fait que les ovnis sont de tous temps ….venant ou non d’un espace intemporelle …voilà c tout…
Cordialment
Cap
je ne vais pas m’epencher,je vais juste vous metrre un lien ou vous allez pouvoir dire que vous etes sur du faux et donner vos preuves, car a ce jour personne ne peut dire oui ou non,bien amicalement georges.
http://photovni.free.fr/html/ummites.htm
Cette histoire de Ummo que j’ai appris il y a quelques mois me scie, commun s’évertuer à mentir ainsi, dans quel but faire perdre du temps à tellement de gens ?
Je trouve cela vraiment bas…………Pas étonnant après que les gens veulent plus croire ceux qui voient quelque chose.
En fait un truc pareil empêchera les gens qui eux voient des choses de parler.
L’impression qu’il y a tellement de menteurs que pourquoi nous on en ferait pas parti aux yeux des autres, c’est clair.
suite au lien du 12/03/2013 plus haut,de toutes façon depuis,l’Armée aurait trouvée la grotte et l’aurait dynamite pour faire passer un chemin forestier,d’après les personnes qui le déclarent le chemin passe a 10 mètres de la grotte ils auraient récupérés tout le matériel Ummite.Georges.