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Les traces, présentées comme ayant été laissées par le phénomène rapporté, sont postulées comme autant d’indices physiques témoignant d’une interaction quelconque lors de RR2.
On distingue les cas de :
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traces environnementales, issues d’actions (volontairement ou involontairement) exercées sur l’environnement du phénomène prétendu, non trouvées dans un ou plusieurs échantillons de contrôle (à quelques m de la zone typiquement), et supposées ne pas avoir été là avant son occurence, telles que :traces résiduelles, éléments matériels supposés non présents avant l’occurence du phénomène
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Compression (végétation, empreintes au sol)
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Exemples de cas de traces associés à des ovnis
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- Brûlures sur vêtements et végétation en 1952
- Traverses de voie ferrées endommagées en 1954
- Sol chauffé en 1964
- Cultures modifiées en 1965
- Sol creusé et brûlé en 1967
- Sol enfoncé en 1967
- Rougeur triangulaire au ventre en 1968
- Corps mutilés de bétail
- Cultures couchées à partir des années 1970s
- Landévennec en 1974
- Enregistrement audio en 1987
- Livingston en 1979
- Sol modifié en 1981
- Plantes modifiées en 1982
- Marcilly en 1989
- Branches brûlées en 1998
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Déshydratation (végétation)
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Rupture (branches d’arbre)
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Chauffage (sol)
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Rayonnement (radioactivité)
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effets secondaires sur des acteurs de l’observation (témoins, animaux)
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physiologique
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psychologiques
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