Visiteurs en chambre : le cas Kourhy

08/04/2011

Ajout d’une vidéo pour l’article  repris pour archive  consultable sur: la médiathèque et index ufologique et spatial.

Reportage youtube:

Le visiteur de la nuit

Visiteurs en chambre : le cas Kourhy

L’expérience vécue par Peter Khoury fait partie des cas de ” visites en chambre “ ; il a fait dans l’intimité de sa demeure une rencontre très particulière avec deux curieuses entités. Une affaire avec analyse d’ADN à l’appui, qui pourrait bien être l’une des toutes premières preuves irréfutables de la matérialité des créatures extraterrestres.

Rencontre du troisième type ?

On trouve, dans le numéro du printemps 1999 de la revue du CUFOS (association américaine ufologique), « International UFO Reporter », un article de l’ufologue australien Bill Chalker. Ce dernier relate dans cet article le cas de Peter Khoury, un Australien d’origine libanaise qui dit avoir vécu une surprenante aventure survenue le 23 juillet 1992 alors qu’il était âgé de 28 ans. Le 12 juillet 1988, cependant, il avait déjà vécu une première expérience du type « bedroom visitors » (visiteurs en chambre), ce qui l’avait amené à s’intéresser à l’ufologie. En juillet 1992, Khoury souffrait des séquelles d’une violente agression dont il avait été victime quelque temps auparavant ; il se remettait péniblement de coups reçus à la tête. Le matin du 23 juillet, une demi-heure après s’être endormi, Khoury sursauta et se redressa soudain. Il avait fermé à clé la porte de la maison et en dépit de cela il y avait deux femmes entièrement nues, agenouillées sur son lit : une blonde de très grande taille, qui « s’intéressait » à lui, et une brune au visage de type asiatique qui observait la scène sans intervenir ! Ces deux femmes avaient des yeux beaucoup plus grands que ceux d’un être humain. Khoury ayant été pris d’une quinte de toux, les deux intruses disparurent instantanément, comme « dématérialisées ». C’est en se rendant aux toilettes qu’il put constater la présence sur son corps d’une sorte de cheveu fin, presque blanc. Khoury le rangea et quelques années après, il fit la connaissance de Bill Chalker, auquel il remit le cheveu précieusement conservé.

Analyse d’ADN extraterrestre ?

Chalker confia le cheveu pour analyse à l’APEG (Anomaly Physical Evidence Group), ce groupe étant constitué de scientifiques australiens intéressés par la recherche ufologique. En avril 1999, l’APEG effectua une analyse ADN du cheveu présumé appartenir à l’intruse blonde. Cette analyse, qui a porté sur les mitochondries, a été effectuée par un procédé appelé PCR (Polymerase Chain Reaction). Les résultats ont été publiés dans le numéro du printemps 1999 de la revue du CUFOS, et ils ont été rappelés dans le numéro de l’automne 2004 de la même revue. En outre, Bill Chalker a publié, en 2005, un livre sur cette affaire : « Hair of the Alien » (Paraview Pocket Books). La traduction française du sous-titre du livre est : « L’ADN et autres preuves judiciaires des enlèvements extraterrestres ». Même si Chalker reste prudent dans ses conclusions, il précise qu’on a trouvé dans les mitochondries, non pas un seul type d’ADN, comme pour un échantillon d’origine humaine, mais deux. Bill Chalker note que l’analyse ADN effectuée a fourni un « extraordinaire niveau de certitude sur la réalité de la rencontre de juillet 1992 ». Sans cette analyse, il aurait été facile pour les spécialistes du dénigrement d’expliquer le cas par la prise de médicaments, et donc d’imputer l’aventure de Khoury à un effet secondaire du traitement consécutif à la blessure reçue à la tête. Avec le cas Khoury, exit donc les explications psychologiques, puisqu’un élément matériel est là pour prouver que la rencontre mystérieuse était bien réelle.

Des rencontres physiques ou virtuelles ?

Nous avions déjà les « implants » découverts dans le corps de certains « abductés », qui montraient que certains « enlèvements » n’étaient pas si « virtuels » que cela. Voyez, à ce propos, le livre de Roger Leir, « Ovnis et Implants » (Le Mercure Dauphinois, 2003). Avec le cas Khoury, nous passons à un stade supérieur d’attestation de matérialité de certaines « abductions » et « visites en chambre », sous réserve, bien sûr, de confirmation des résultats initiaux obtenus. Certes, les êtres/entités disparaissent brutalement, comme « dématérialisés », ce qui pourrait rentrer dans le cadre de la théorie de Jean Sider, lequel fait le parallèle entre ce type de manifestation et les matérialisations obtenues dans un contexte spirite. Néanmoins, les analogies peuvent être trompeuses, car des phénomènes différents peuvent par ailleurs produire des effets semblables. Des entités extraterrestres pourraient ainsi fort bien avoir maîtrisé le processus de téléportation de la matière vivante. Quoi qu’il en soit, il y a bien un élément matériel indiscutable : un cheveu. Il semble pertinent de penser que le cas Khoury évoque irrésistiblement les histoires d’incubes et de succubes d’antan. Dans mon propre modèle théorique, cette similitude s’explique aisément par ceci : certains cas d’incubes et de succubes s’expliquent sûrement par d’anciens cas d’« abduction », au sens extraterrestre…

Abductions et visites en chambres : Théories divergentes

Qui ne connaît pas, dans le petit monde de l’ufologie, ces histoires d’entités extraterrestres enlevant des humains pour procéder à diverses expériences sur eux ? On connaît ces cas sous le nom d’« abductions », terme anglo-saxon que l’on peut traduire par « enlèvement » ou « ravissement ». Ce sujet est l’un des plus « sulfureux » de la phénoménologie ovni, et ceux qui se targuent de faire de l’ufologie sérieuse évitent soigneusement de l’aborder. En tout cas, diverses explications et théories ont été émises pour tenter d’expliquer le phénomène des « abductions » et des « visiteurs en chambre ». Cela va des explications de type psychologique à l’action perpétrée par des entités de type fluidique manipulant nos acquis spirituels, en passant par l’action de vrais extraterrestres, sans oublier les prétendus enlèvements perpétrés par des services gouvernementaux secrets. Paul Devereux et Peter Brookesmith soutiennent pour leur part que ces enlèvements n’ont aucune réalité physique : il s’agirait uniquement d’expériences d’état de conscience modifié (ECM). On a aussi évoqué l’influence de la science-fiction, ainsi que les points communs avec le folklore… En outre, l’utilisation de l’hypnose a été critiquée par certains auteurs, mais défendue par d’autres. Parmi les ufologues sceptiques quant à la réalité physique des « abductions », il y a Kevin Randle, William Cone et Russell Estes, auteurs, en 1999, d’un livre intitulé : « The Abduction Enigma ». Parmi les ufologues convaincus de la réalité du phénomène, il est important de mentionner le professeur d’histoire David Jacobs, l’artiste Budd Hopkins et le psychiatre John Mack (victime d’un chauffard, en 2004 à Londres). Mentionnons aussi la thèse de l’ufologue français Christel Seval, auteur d’un excellent livre paru en 2005 chez JMG éditions : « Le Plan pour Sauver la Terre ». L’auteur argumente à propos de la thèse d’une expérience non-physique ; selon lui, divers éléments accréditent l’idée d’un « kidnapping mental », d’un « voyage purement psychique », d’un « scénario implanté dans l’esprit », d’un « film surréaliste ». Il s’agirait donc d’un « voyage imaginaire, guidé et contrôlé par un système de manipulation psychique ». Sa thèse, sur ce point, n’est donc guère différente de celle de Jean Sider (entre autres), à cette différence près cependant : Christel Seval envisage la possibilité de « l’utilisation d’instruments physiques de contrôle mental, à bord d’ovnis réels ou de bases souterraines ou sous-marines, qui opéreraient à distance sur plusieurs sujets simultanément ». Un seul élément pourrait faire pencher la balance en faveur de ceux qui, comme moi, soutiennent la réalité physique, extraterrestre, d’un certain nombre d’« abductions » et de « visiteurs en chambre » : la découverte d’un élément matériel comme des implants insérés dans le corps de la victime, ou un élément corporel de l’entité, comme dans l’affaire évoquée dans cet article.

Références : monde de l’inconnu


Avancée potentielle majeure en physique: une possible nouvelle « force »

08/04/2011

Source : http://actu.voila.fr/actualites/sciences

Une équipe internationale de recherche doit révéler mercredi aux Etats-Unis la possible existence d’une nouvelle « force » dans la nature, une observation qui, si elle est confirmée, serait une avancée majeure dans la physique des particules.

« Il pourrait s’agir de la première manifestation de quelque chose qui est tout un monde d’interactions au-delà de toute la science physique telle que nous la connaissons, quelque chose que l’on recherche depuis longtemps », a expliqué à l’AFP Giovanni Punzi, un physicien au laboratoire Fermilab de Chicago et porte-parole de l’équipe internationale ayant mené ces travaux.

Selon lui, « cela pourrait être une nouvelle force inconnue » en plus de Celles de la gravité, de l’électromagnétisme et des forces nucléaires forte et faible.

Ces recherches sont conduites depuis plus d’un an dans l’accélérateur de particules du Fermilab à Chicago Illinois, Nord) qui doit cesser ses activités en septembre faute d’argent.

Ces travaux sont publiés dans la revue américaine Physical Review Letters et devaient faire l’objet d’une présentation à partir de 21H00 GMT au Fermilab accessible en ligne sur le site du laboratoire.

« Tout Le Monde attend la découverte de quelque chose car il y a des pièces manquantes dans la physique que nous connaissons … c’est pourquoi on est tous très emballés », a poursuivi Giovanni Punzi.

Il a néanmoins reconnu que cette observation « pouvait être une simple fluctuation » ou irrégularité, explicable par la physique conventionnelle. Mais il a jugé cette possibilité très improbable, « avec moins de deux chances sur mille ».

« Nous allons maintenant essayer d’obtenir autant de données que possible pour confirmer ces résultats », a expliqué le physicien, écartant d’ores et déjà la possibilité que ce phénomène soit une manifestation du célèbre boson de Higgs, clé manquante dans la théorie de la physique des particules élémentaires qui n’a jamais pu être observé.

« La seule chose dont nous sommes sûrs, c’est qu’il ne s’agit pas du boson de Higgs », a dit Giovanni Punzo, précisant que la nouvelle découverte concernait un objet lourd, ayant 145 fois la masse d’un proton.

« Personne ne sait ce que c’est », avait expliqué auparavant au New York Times, Christopher Hill, un physicien du Fermilab qui ne fait pas partie de l’équipe de recherche.

« Si cela se confirme, ce serait la découverte la plus importante en physique depuis un demi-siècle », a-t-il jugé.

Tout en notant que ces résultats sont certainement « exaltants », Nigel Lockyer, directeur du laboratoire national canadien de physique nucléaire et des particules (TRIUMF) a estimé qu’il était « trop tôt pour savoir avec certitude ce que les chercheurs du Fermilab ont observé ».

« D’une part, il y a des indications claires que nous sommes face à quelque chose d’inexpliqué et en même temps il existe une longue liste d’autres explications possibles », a-t-il ajouté.

Pour lui, « l’excitation suscitée par cette observation ne fait qu’alimenter un nouvel engouement pour la prochaine génération de résultats et de découvertes qui proviendront des recherches conduites au Grand collisionneur de hadrons (LHC) (situé à la frontière franco-suisse) et ailleurs ».

« Nous sommes très près de découvrir quelque chose de fondamental », a estimé le physicien canadien.


Explosion cosmique d’une puissance et d’une durée jamais observée

08/04/2011

Source :  http://actu.voila.fr

1/1 L'image de l'explosion cosmique, obtenue par la Nasa à partir d'images combinées de différents téléscopes - AFP

La Nasa a mobilisé plusieurs télescopes dont Hubble pour étudier dans une galaxie lointaine l’explosion cosmique la plus puissante et la plus longue jamais observée, a indiqué jeudi l’agence spatiale américaine.

Plus d’une semaine après, de fortes radiations, dont l’intensité fluctue, continuent à être émises de l’endroit où la déflagration s’est produite, précise la Nasa dans un communiqué.

Les astronomes affirment ne jamais avoir vu une explosion d’une intensité lumineuse aussi variable et d’une aussi longue durée.

Généralement, ces puissantes émissions de rayons gamma qui résultent de la Destruction d’une étoile massive ayant épuisé son carburant nucléaire ne durent jamais plus que quelques heures.

« Nous connaissons des objets dans notre galaxie pouvant produire des explosions à répétition mais ils sont des milliers ou des millions de fois moins puissants que ce que nous observons. C’est vraiment extraordinaire », estime Andrew Fruchter, astronome au Space Telescope Science Institute à Baltimore (est).

Ce phénomène cosmique a été initialement saisi le 28 mars par le satellite américain Swift, spécialement conçu pour détecter les explosions de rayons gamma dans l’univers.

Swift a localisé la source de ces explosions dans la constellation du Dragon, au centre d’une galaxie située à 3,8 milliards d’années-lumière de la Terre (une année lumière équivaut à 9.460 milliards de km).

Bien que les recherches se poursuivent, les astronomes pensent que cette explosion inhabituelle s’est produite quand une étoile s’est approchée trop près du trou noir se trouvant au coeur de la galaxie.

Quasiment toutes les galaxies, y compris la nôtre, la Voie Lactée, ont un trou noir en leur centre dont la masse est des millions de fois Celle de notre Soleil.

La force gravitationnelle intense du trou noir a probablement brisé l’étoile et les jet de gaz qui s’échappent continuent à s’écouler vers son centre.


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