La MHD ( propulsion magnétohydrodynamique )

La propulsion magnétohydrodynamique (MHD) pourrait être retenue comme un des systèmes le plus en adéquation avec une partie des manifestations qui précèdent. Ce dispositif consiste à ioniser le fluide gazeux ou liquide environnant. À partir du moment où, par exemple, l’air entourant la machine a été rendu conducteur d’électricité, il est possible d’exercer des forces, dites forces de Laplace. La MHD expliquerait les vitesses vertigineuses, les perturbations constatées de par le champ magnétique engendré par l’appareillage, ainsi que la luminosité des objets eu égard à la décharge électrique expulsée dans l’air ambiant.

De plus, bien que la MHD permette la propulsion d’engins, la force de déplacement ne correspond pas à une force de réaction qui a pour effet de rejeter en arrière l’air ou le gaz nécessaires à la propulsion. Lors de son déplacement, l’objet, ainsi que l’espace qui l’entoure, est pris dans un champ magnétique. Ce type de déplacement nous amène à nous « poser des questions sur notre physique la plus avancée, sur la nature de la gravitation, celle de l’inertie, sur l’égalité entre les masses inertielle et gravitationnelle.

Mais on voit bien que la théorie de la MHD est insuffisante pour résoudre l’énigme des modifications biologiques, des apparitions ou des disparitions spontanées, ou bien encore d’un voyage au-delà de zones pourvues d’atmosphère ou d’un milieu liquide.

Il se peut que les capacités d’une MHD améliorée, ou couplée à d’autres dispositifs, permettent à des voyageurs d’accélérer leur déplacement, voir de l’étendre à des horizons qui nous paraissent inatteignables en l’état actuel de nos connaissances, en flirtant avec l’ergosphère. Autrement appelée « horizon événementiel », cette zone correspond à la région située entre la limite du champ gravitationnel et la « surface » d’un Trou Noir. La forte gravité qui règne au sein de ce dernier a pour particularité d’inverser les propriétés de l’espace-temps : « les dimensions spatiales se transforment en paramètres temporels. Autrement dit, au cœur d’un Trou Noir on peut observer simultanément le passé, le présent et le futur de l’Univers ».

La Chrononautique

La Chrononautique est la science hypothétique du voyage dans le temps. C’est la théorie de la relativité qui lui donna naissance, liant le temps à la vitesse et à la gravitation. Cette théorie se divise en deux. D’une part on a la relativité générale pour laquelle on observe une dilatation du temps lorsque l’on voyage à grande vitesse (le temps s’écoule lentement).
D’autre part on a la relativité restreinte pour laquelle on observe une contraction du temps lorsque l’on se situe dans un champ gravitationnel plus faible (le temps s’écoule plus vite).

Grâce à la maîtrise d’une technologie décuplant les possibilités de la MHD et une bonne connaissance des propriétés du Trou Noir, le voyage spatio-temporel ne serait plus une utopie. Albert Einstein et Nathan Rosen supposèrent que certains trous noirs (ou puits gravitationnels) pouvaient déboucher sur un autre puits symétrique appelé fontaine blanche. Ce raccourci dans l’espace-temps, appelé « pont d’Einstein-Rosen », relie ainsi deux points très éloignés dans l’univers par une incursion dans une quatrième dimension spatiale. Dans les années cinquante, le physicien John Archibald Wheeler leur donnera le nom de « Trous de Ver ». Aujourd’hui, des physiciens quantiques émettent l’hypothèse que des Trous de Ver apparaîtraient et disparaîtraient en permanence au niveau subatomique, dans ce que l’on appelle le « vide quantique », où surgissent des topologies, c’est-à-dire des structures de l’espace-temps, différentes de celles de notre espace-temps[7]. Mais il s’avère qu’une expédition par le biais d’un Trou de Ver poserait des problèmes de localisation et de stabilité du passage. Kip Thorne apporta une solution à ce problème en 1985. Il démontra que la seule manière de préserver la stabilité structurelle d’un trou noir serait de le tapisser d’une matière anti-gravitationnelle, ce qui produirait un champ anti-gravitationnel.
Or justement, en 1996, ce phénomène a été mis en évidence expérimentalement. Il porte le nom d’effet Casimir. Si l’on impose un fort champ électrique entre deux plaques séparées par le vide, le champ impose au vide une telle tension qu’il l’oblige à fluctuer jusqu’à ce qu’il donne naissance à des électrons. Cela revient à extraire de l’énergie du vide[8], comme le pressentait déjà Nikola Tesla[9] au début du siècle. De plus on sait que le soleil et les planètes engendrent des ondes gravitationnelles d’intensité beaucoup trop faible pour être détectées[10]. Néanmoins, il n’est pas insensé d’imaginer que nous puissions un jour exploiter ces ondes. T. Henry Moray pense qu’un jour on produira des fréquences qui neutraliseront la force de gravitation, ce qui s’est peut-être déjà produit lors de l’expérience de Philadelphie où d’après Al Bielek, vingt mégawatts d’impulsion de radiofréquence électrique ont été employés pour rendre invisible le Eldridge.

Avant longtemps, nos machines seront alimentées par une énergie disponible en tout point de l’univers.

Nikola Tesla

Il est indéniable que nos connaissances sur les liens qui peuvent exister entre l’espace, le temps et la gravitation ne pourront que s’accroître. En 1931 l’éditeur de la revue « Science & Mechanics », Hugo Gernsback, déclare : « Beaucoup de scientifiques pensent que la force de gravitation est une autre manifestation des ondes électromagnétiques ». On peut donc envisager qu’une évolution de la technique MHD permette un déplacement dans une dimension qui nous paraît infranchissable, en agissant de façon conséquente non seulement sur la vitesse, mais aussi sur la gravitation grâce à des lois que nous ne connaissons pas encore. C’est alors que s’expliqueraient les disparitions soudaines d’objet ainsi que le vieillissement prématuré des organismes vivants entrant en contact de façon accidentel avec cette technologie.

Source : http://www.chez.com/frenzy/ovni_discret.htm

3 Responses to La MHD ( propulsion magnétohydrodynamique )

  1. buire dit :

    en faite je pense que c’est sa, un fort champ magnétique, pour les voyages spatiaux temporels.

  2. buire dit :

    en faite je pense que c’est sa. un fort champ mégnétique, pour les voyages spatiaux temporels.

  3. buire dit :

    AUTRE REMARQUE; si les voyages spatiaux temporels ne nous sont pas accessibles directement,RIEN n’empeche d’y envoyer des robots!.

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